Critiques VO février 2015

[Slobo]

J'ai hâte d'avoir ma dose de superior.

[Fletcher Arrowsmith]

FANTASTIC FOUR #643 (James ROBINSON / Leonard KIRK / Karl KESEL)



James ROBINSON continue de mener son intrigue tambour battant et convie une large part de l'univers Marvel (superbe double page) à la petite fête, même ceux d'une autre Terre. Il est en train de nous faire un Secret Wars avant l'heure, au nez et à la barbe de Jonathan Hickman (à moins que cela soit voulu par l'éditorial Marvel ?).
L'atout de ce numéro c'est la réunification de la famille que cela soit les 4FF ou bien les jeunes de la Future Fondation. J'ai particulièrement apprécié la caractérisation de chacun des FF avec un Reed Richards qui redevient un leader moins tourmenté, plus dans la réflexion et cherchant à comprendre son ennemie. De même Susan prend corps et existe puisque c'est elle qui dirige la rébellion en l'absence de son mari de façon très sensée (je la rapproche de celle de John Byrne et elle a su canaliser Malice au contraire de son personnage sous l'ère De Falco). On ne manquera pas le regard que lance Namor lors de l'embrassade entre les époux Richard. Ben et Johnny, toujours sans pouvoirs, complètent alors à merveille le tableaux.
Surement car il a envie de monter que tout est lié, Robinson fait peut être un léger faux pas avec l'explication des pouvoirs de Sleepwalker avec malgré tout une logique vis à vis des rêves de Franklin. C'est au final assez malin et évite de faire appel aux sempiternels génies et autres mages de l'univers Marvel (Pym, Stark, Strange voire Xavier si il était encore vivant). Du sang neuf donc pour une très bonne utilisation de l’univers Marvel le tout embellit grâce au duo Leonard KIRK - Karl KESEL qui ne faiblit pas avec des planches très dynamiques et colorées.

Encore un très bon épisode des Fantastic Four. Le run de Robinson est cohérent et cela sera surement un plaisir à lire à nouveau quand il sera terminé.

[Magda]

Prometheus: Fire and Stone - Omega #1 est une excellente conclusion à cette histoire. Cette conclusion de 44 pages pouvait sembler de trop et surtout une redite des précédents récits alors qu'il n'en est strictement rien une fois la lecture de numéro finish. Le script de Kelly Sue DeConnick conserve en tout cas l'esprit et et l'atmosphère des précédents numéros tout en nous proposant sa vision du mythe de l'Alien, du Predator et des autres créatures de cet univers, après j'aime beaucoup l'histoire principale, mais je pense que pour ceux qui n'aiment pas, elle passerait quand même mieux lorsque tous les numéros seront rassemblés en un seul volume. Omega étant la conclusion, on ne découvre pas grand chose de plus j'en conviens, le numéro bénéficie de son rôle dans la chronologie. Omega n'est pas vraiment le récit que l'on pouvait attendre, l'approche était totalement différente, et la scénariste exploite les nombreux éléments des numéros précédents. DeConnick tire pleinement parti de la situation. Kelly Sue DeConnick a également la possibilité de raconter son récit sans avoir le problème d'autres scénaristes avec l'utilisation d'une certaine continuité. Son récit se tient en lui-même et elle opte plutôt pour une fin ouverte ce qui pour ma part est plaisant, car j'aimerai bien avoir une suite pour le coup.Les personnages comme Elden, Galgo ou Angela évoluent réellement dans le récit, bien que la scénariste utilise de nombreux archétypes de ce genre de récit, elle n'en oublie pas d'apporter sa propre version, et comme souvent chez elle, ce ne sont pas les évènements qui ont de l'importance dans ses récits, mais les personnages. On se rapproche énormément de Prometheus par exemple, du premier Alien ou encore de Blade Runner. Ici ce n'est pas l'évolution classique qui l'intéresse, que ce soit le changement d'espèces par exemple, ou celle de la technologie, non ce qui intéresse réellement la scénariste c'est l'évolution morale, psychologique et philosophique des personnages.Le récit est un peut long même s'il reste intéressant, c'est assez dynamique en soit et même si la scénariste apporte sa touche au récit, et pourtant si vous n'aime pas les précédents numéros, alors vous ne devez pas lire ce numéro, d'ailleurs ce serait un peu illogique vu que même si le numéro est autant un one-shot qu'une suite, il reste une conclusion à la série. J'aime beaucoup les planches en tout cas, que ce soit les parties classiques ou plus dynamiques, on sent que l'artiste est à l'aise en tout cas et il nous propose vraiment d'excellents dessins. Le récit en tout cas est très bon et les dessins le sont tout autant. Le voyage fut aussi intéressant que ne l'était celui de Prometheus. Moi j'aime bien en tout cas et j'espère que nous aurons d'autres comics dans le même univers.

[Magda]

Satellite Sam #11 est encore une fois une vraie réussite. En ce qui me concerne je suis conquise depuis le début de la série et ici c'est encore une nouvelle fois avec un grand plaisir que je lis le numéro. Matt Fraction et Howard Chaykin, c'est du tout bon en ce qui me concerne et même si je ne suis peut-être pas objective, je vous conseille quand même de lire cette série pour vous faire votre propre avis car c'est vraiment quelque chose de très différent, que ce soit dans les comics en général ou même pour Image et moi j'en suis bien contente. Le mystère autour du meurtre de l'acteur qui jouait le personnage de la série pour enfants des années 1950 du même nom n'est pas toujours omniprésente dans le titre, mais reste l'intrigue principale, le point central comme on dit de tous les événements qui ont découlé depuis le meurtre. Matt Fraction et Howard Chaykin fonctionnent vraiment bien à deux et ils arrivent à jongler avec succès entre toutes les intrigues du récit, par moment on aimerait en avoir plus de l'un ou l'autre. On pourrait se plaindre d'avoir des redites, même avec les récits spéciaux, mais ce n'est pas le cas en faite en ce qui me concerne, il y a toujours une approche différente quelques soit les thématiques, le racisme et le sexe sont bien entendu les thèmes principaux, notamment en ce qui concerne on va dire ce qui pour l'époque (et dans la tête de certaines personnes aujourd'hui) est considéré comme de la déviance. Le traitement des auteurs en tout cas ne donne jamais raison en tout cas aux accusateurs, à ceux qui critiquent, mais plutôt aux victimes, ce qui est normal me direz vous et j'adore la vision qu'ils ont de cette époque, c'est vraiment réaliste, bien que pouvant être considéré comme glauque par moment. Ils se font plaisir et font plaisir aux lecteurs, ils ne nous épargnent rien et utilisent l'humour avec efficacité, que ce soit pour le scénario ou les dessins. La série ressemble énormément à l'ouvrage The Other Hollywood avec tous les faits sordides, que ce soit les complots, les histoires de sexe, de drogues et j'en passes, des histoires de secrets et de chantage, on pourrait presque croire que c'est une étude de ce milieu et c'est efficace, surtout que les dessins de l'auteur son vraiment parfaits pour cette série. Le découpage du numéro est classique, mais c'est ce qui est plaisant avec la série, en effet on pense toujours voir une série classique et ce n'est pas le cas, car par la suite le scénariste et le dessinateur arrive à nous surprendre. Le scénariste Matt Fraction utilise les connaissances de ses lecteurs et surtout leur fidélité en utilisant des éléments des précédents numéros pour nous raconter ce nouveau numéro. Les dialogues sont d'une richesse incroyable et mélange comédie et vérité, j'aime ce que je vois et ce que je lis en tout cas, c'est limite malsain car ce qui nous est raconté est glauque, enfin pas glauque, mais racoleur, sauf que c'est fait avec intelligence et c'est ce qui est intéressant. Ce n'est pas malsain, enfin bref c'est difficile à raconter, mais je peux vous dire que c'est intéressant. Le scénariste nous donne sa vision de cette période, et de manière plus réaliste qu'on ne laisse croire, bon je n'ai pas connue les années en question, mais c'est bien plus perspicace que de nombreux témoignages édulcorés selon moi. L'histoire est toujours plaisante, complexe, peut-être un peu trop pour certains, mais pour moi c'est un réel plaisir. La série gagne en importance en tout cas, le scénariste exploite vraiment son récit de la meilleure façon et c'est efficace. oi en tout cas j'aime et je continue de vous recommander la lecture de ce titre. Il est intelligent, creepy, sexy et amusant, c'est une lecture à avoir et pour ceux qui n'aiment pas monsieur Fraction, ce travail est totalement différent des productions pour Marvel par exemple.

[Baltazared]

Suiciders #1

Enfin le début de la nouvelle série Vertigo, et franchement la seule qui m'ai donnée envie ces derniers mois (même si j'ai raté The Names et que je ne peux m'en prendre qu'à moi même). Le label s’essouffle un peu, et j'imagine qu'ils comptent beaucoup sur Suiciders pour repartir sur de bons rails. Difficile alors de ne pas concentrer d'énormes attentes sur une série dessinée et scénarisée par le trop rare artiste qu'est Lee Bermejo.

Ce numéro d'introduction rempli parfaitement son rôle. On ne s'ennuie pas un instant, et les deux intrigues en fil rouge se complètent assez, permettant un aperçu clair de ce qu'est devenu Los Angeles, du côté bling-bling et sanguin qui contraste fortement avec la réalité et la pauvreté, comme un écho accentué à notre monde d'aujourd'hui. Jusque là rien d'extraordinaire certes, mais avec une empreinte et un charisme fou. The Saint est vraiment hypnotisant, et je ne crois pas qu'il soit du genre à envoyer les méchants en prison. Ou alors avec les jambes en moins.

Visuellement c'est parfait ou presque. Lee Bermejo est un des meilleurs, et son style est sans comparaison. Il est assez particulier pour faire des réfractaires, mais trop abouti pour qu'on puisse le critiquer. Certaines pages sont des leçons visuelles, qui m'ont rappelées à ma misérable condition et à mon absence de talent pour le dessin.
Au niveau des reproches, ou de ce qui s'en rapproche le plus, le parti pris est vraiment trop testostéroné (petit néologisme du jour), ce qui est quand même un thème récurrent chez cet artiste. Je ne lui en tient pas rigueur mais certains des personnages ont une musculature qu'on pourrait qualifier de "fantasque", même si c'est sa marque de fabrique et qu'on oublie finalement assez vite.

(La colo' est parfaite, comme souvent avec Hollingsworth)

Suiciders #1 fait sont taff' de premier numéro. Pour l'instant pas d'intrigue mais un plantage de décor dans les règles qui laisse augurer de bonnes choses pour la suite. Visuellement parfait, Lee Bermejo revient dans le paysage pour mon (notre ?) plus grand plaisir.

[Baltazared]

Batman #39

Petite amertume à la lecture de ce numéro. Non seulement le teasing de l'issue précédente se révèle être juste une sorte d'easter egg anecdotique et vraiment inutile. Peut-être que la suite me donnera tort mais là c'est sans équivoque une grosse déception. Le reste du numéro est faible. Toute petite révélation d'un secret de polichinelle (Red Hood / Joker).
C'est déjà l'avant-dernier numéro de l'arc et on ne peut pas dire que la menace soit réelle. Je ne comprends pas vraiment les intentions de notre ami. Que veut-il ? Ce n'est jamais dit clairement et finalement on s'en fiche presque. Le statut quo installé par cet épisode est un de mes pires cauchemars : Les héros qui font alliance avec les vilains quand la menace est trop grande. Non. Ce n'est pas crédible, chiant et ça donne des répliques imbuvables. Bref, je déteste ces situations.

Après je ne vais pas cracher trop longtemps sur un run que je défend corps et âme. C'est visuellement toujours aussi beau, et le scénario reste quand même au-dessus de la moyenne. Mais je crois que Snyder vient de foutre son arc en l'air. A voir.

Finalement, ce que j'ai le plus apprécié dans ce numéro et en règle général dans cet arc, ce sont les back-up de James Tynion IV et Nguyen. Intéressants sans être trop ambitieux, on croit en apprendre plus sur le Joker, et j'aime beaucoup la conclusion et la structure du récit autour de la folie et de la vérité. Une réussite.

Episode très moyen pour un arc inégal. La conclusion rendra le verdict sur celui-ci, et malheureusement, les fins, ce n'est pas ce que maîtrise le mieux Snyder. J'ai hâte et peur.

[Slobo]

Number 7
Titre de la série : Munchkin
Numéro : 1
Editeurs : Boom Studios

Pourquoi je l'ai pris :
Après un un en 4 gag ce 2 devait m'aider à choisir si oui ou non j'ai bien fait de prés-commandé jusqu'au numéro d'Avril.
Titre de l'épisode : might makes wight part1
Auteur :
Illustrateur & Encrage : Ian McGinty
Scénariste : Tom Siddell
Pitch :
Skyke et sa copine viking on décider d'un plan pour gagner dans le donjons. Les monstres c'est pas bien, les trésor c'est bien. Et on peut toujours tricher.
Phrase qui fait écho à ma lecture : "This could be a problem."
Titre de l'épisode : The ecology of floating nose
Auteur :
Illustrateur & Encrage : Rian Sygh
Scénariste : Jim Zut
Pitch :
Qu'est ce que le nez flottant et comment le vaincre ... Prouvez que vous avez le nez creu en lisant ce petit guide.
Phrase qui fait écho à ma lecture : "The nose know."
Avis :
Les personnages -
Spyke et sa copine me laisse totalement froid dans leur délire de tricherie, et le nez flottant est bien plus amusant. Nez-ce pas ?!
L'histoire -
Première histoire qui pu un peu tellement elle est sans queue ni tête. La seconde est bien plus fun et inspirante ^^
Le graphisme -
Graphique cartoonie et grossier dans les traits parfois pour les deux, mais c'est clairement dans la mouvance du jeu. Ca passe.
L'atmosphère -
Ca se veut drôle mais 2 histoires seulement ? Plus long ne veut pas dire meilleurs en plus. Fallait pas nous en donner 4 dans le premier numéro. Ca sent l'arnaque là ^^
Conclusion -
Mouaif ... 4 numéros ce sera peut être un peu trop pour moi. Bon le bon coté est là carte offerte là encore en fin du numéro (Je m'attendais à une carte monstre Floating Nose mais même pas).
Couverture : 2/2
Dessin & encrage : 7/10
Scénario : 7/10
Intérêt : 2/6
Originality : 3/6
Plaisir de lecture : 3/6
Note : 6/10

Number 6
Titre de la série : Orphan Black
Titre en couverture : Sarah
Numéro : 1
Editeurs : IDW

Titre de l'épisode : Sarah
Auteur :
Illustrateur & Encrage : Szymon Kudranski
Scénariste : Graeme Manson, John Fawcette, Jody Houser
Pourquoi je l'ai pris :
Parce que j'adore la série Télé, et que pour avoir lu du Dr Who et du Star Trek je sais qu'IDW fait bien son travail sur les licences qu'il gère.
Pitch :
On repasse en revu l'arriver de Sarah à londrès jusqu'à la mort de katia (Soit l'épisode 1) avec des choses en moins et d'autre chose en plus (Comme sa naissance ou des flashback concernant Beth ou la jeunesse de Félix & Sarah)
Phrase qui fait écho à ma lecture : "this woman just keep getting stranger and stranger."
Avis :
Les personnages -
Beaucoup moins d'accroche sur Sarah ici surtout qu'il l'encre assez peu à Felix même en prenant en compte les flashback.
L'histoire -
Sans les flashback sur Beth et la jeunesse de Sarah j'aurais trouver le numéro 1 désespérant.
Le graphisme -
Et bien c'est pas le top, mais c'est pas mauvais. Il fait de son mieux pour tenter de reprendre les traits des acteurs, mais pas vraiment (Paul par exemple est raté).
L'atmosphère -
Moins intéressante que la série et on se demande en quoi nous raconter ça (En dehors des flashback est intéressant). A voir le numéro 2 sur hellène comment il vont s'en sortir.
Conclusion -
Un peu déçu par se numéro 1 ... En même temps il est compliquer de faire des épisodes en dehors de la série mais sur la série. Peut être en creusant les parties non dites de la série comme dans les flashback de Sarah/Beth. Ou en prenant des clones non connu. Ils ont 5 numéros pour me convaincre.
Couverture : 2/2
Dessin & encrage : 7/10
Scénario : 7/10
Intérêt : 2/6
Originality : 2/6
Plaisir de lecture : 4/6
Note : 6/10
Pourquoi devant Munchkin ? Parce que là ils est desservit en racontant une histoire connue (Peu être ne fallait-il pas commencer par Sarah). Mais j'y crois plus qu'en Munchkin.

Number 5
Titre de la série : George Perez's Sirens
Numéro : 3/6
Editeurs : Boom Studios

Titre de l'épisode :
Auteur :
Illustrateur, Encrage & Scénariste : George Perez
Encrage : Scott Koblish
Pourquoi je l'ai pris :
Parce que les 2 premiers en donnait pour mon argent.
Pitch :
Boombshell et vivant et les Sirens vont mourir une à une. Ou bien c'est le contraire, les Siren sont en vie et Bombshell serait morte ... Mais est-ce certain ? En tout cas les rêves de Chan semble indiquer que tout va se finir mal et le titre être clos à jamais chez Bam ! Comics.
Phrase qui fait écho à ma lecture : "Retcon ? That's new."
Avis :
Les personnages -
Difficile de s'attacher aux Sirens au vu du nombre. Ma préférer Empress est un peu absente malgré sa présence. On s'intéresse à Chan une des entités de Bombshell créatrice de Comics ... Ce qui amène une double planche intéressante montrant comment l'évolution de la création à l'encrage ce fait. Enfin dans l'autre sens ^^
L'histoire -
Toujours super compliquer à Suivre. Faudra tout relire au final. Surtout qu'avec 2 mois entre chaque numéro, ça n'aide pas.
Le graphisme -
Très beau, un peu moins avec l'encrage de Koblish mais c'est fait exprès pour qu'on ressente être sur une lecture du média que crée Chan.
L'atmosphère -
Je me suis tout de même demander où voulez aller Perez et où il nous entrainait. Complexe. Trop peu être.
Couverture : 1/2
Dessin & encrage : 9/10
Scénario : 7/10
Intérêt : 3/6
Originality : 4/6
Plaisir de lecture : 4/6
Note : 7/10

Number 4
Titre de la série : Superior Iron Man
Titre en couverture : Who is responsable for the origin of Teen Abomination ?!
Numéro : 5
Editeurs : MARVEL

Titre de l'épisode : The origin of teen Abomination
Auteur :
Illustrateur & Encrage : Laura Braga
Scénariste : Tom Taylor
Pourquoi je l'ai pris :
Parce que j'ai adoré les 4 premiers
Pitch :
Tony demande à Teen Abomination comment il a développer ses étranges pouvoirs ?
Phrase qui fait écho à ma lecture : "You were picturing me fighting an actual Llama."
Avis :
Les personnages -
Tony excellent en petit salopiaud sur de lui et qui avoue à teen abomination qu'il allait le disséquer pour son profit mais plus maintenant. Enfin il se fera des tunes sur son dos malgré tout
L'histoire -
Arrowsmith à plus de connaissance que moi de tête de fer et à donc apprécier ... Moi je me suis trouver un peu extérieur. Malgré tout c'est bon.
Le graphisme -
Et bien je signe directe si Miss Braga devait revenir ou rester sur le titre ... Y'a de petit couac parfois mais très peu.
L'atmosphère -
Humour & Origine.
Couverture : 2/2 (Bien mieux avec le texte et le titre et les bulles que tout seul. Y'a un petit rétro bien plaisant d'ailleurs.
Dessin & encrage : 8/10
Scénario : 8/10
Intérêt : 3/6
Originality : 3/6
Plaisir de lecture : 6/6
Note : 7,5/10

Number 3
Titre de la série : Sinistro
Numéro : 10
Editeurs : DC

Titre de l'épisode : Prisoners of Warworld
Auteur :
Illustrateur : Brad Walker
Encrage : Andrew Hennessy
Scénariste : Cullen Bunn
Pourquoi je l'ai pris :
J'aime Sinestro et puis c'est tout.
Pitch :
Les Apex sont allier à Mongul et Sinestro obliger de se rendre. Il appel don à l'aide ... Eux non à la destruction de son ennemi ses membres du Sinestro Corps.
Phrase qui fait écho à ma lecture : "You don't know sinestro."
Avis :
Les personnages -
Lira & sinestro toujours juste. Mongul parfait. Les apex sont logique dans leur choix et vont s'en manger une bonne. Le sinestro corps & Natu sont excellent aussi. Et puis la nouvelle
L'histoire -
Original que cette capture où sinestro ne veut pas reconnaitre qu'il a besoin d'aide mais à appeler à l'aide malgré tout ... Enfin presque ^^
Le graphisme -
J'adore, parfais pour le comics et l'ambiance du numéro.
L'atmosphère -
De guerre spatial ...
Conclusion -
Bunn garde toute ma confiance, il sait comment utiliser et gérer Sinestro et son gang, y'a pas à dire.
Couverture : 1/2
Dessin & encrage : 9/10
Scénario : 9/10
Intérêt : 5/6
Originality : 4/6
Plaisir de lecture : 6/6
Note : 8,5/10

Number 2
Titre de la série : New Avengers
Titre en couverture : In 2 Month ... Time Run out ! Secret Wars
Numéro : 30
Editeurs : Marvel

Titre de l'épisode : Beyonders
Auteur :
Illustrateur : Dalibor Talajic
Encrage : Rick Magyar
Scénariste : Jonathan Hickman
Pourquoi je l'ai pris :
Parce que j'aime cette série
Pitch :
Hank gym raconte ce qu'il a "vu" est constater.
Phrase qui fait écho à ma lecture : "He's aying it was a trap."
Avis :
Les personnages -
J'aurais aimer plus sur Braddock que Sur Pym qui fait un peu trainer.
L'histoire -
En tout cas Hickman nous à bien manipuler vu qu'au dernier numéro je pensais que Pym ramener leur sauveteur, mais non il à trouver ceux à la source du problème. Après j'ai trouver étrange cette source (Mais diablement puissante). Je suis pas plus intéresser que ça par eux et me demande en quoi il vont être lier à Secret wars. Après qu'ils soient lier à une secret wars n'est que logique vu que la dernière était mise en place par leur version de l'univers 616.
Le graphisme -
La grande force de ce numéro sans conteste.
L'atmosphère -
De révélation Mais aussi d'une fin inévitable
Conclusion -
Etrangement je ne pouvais pas concevoir le mettre dans les 3 premier mais en écrivant cette revu je me rend compte que le numéro aurait du/pu être moins bien placé.
Couverture : 2/2 (Plus de Cap Britain )
Dessin & encrage : 10/10
Scénario : 8/10
Intérêt : 5/6
Originality : 4/6
Plaisir de lecture : 5/6
Note : 8,5/10
Alors pourquoi diable devant Sinestro ? Parce que c'est un moment important de l'univers marvel actuel sans conteste. Et que sinestro on sent vers quoi tend Bunn (Capture/Libération/Revenche ou il s'en pleine plein la tronche). Alors qu'ici vraiment on sens qu'on perd et qu'il n'y a pas d'issue. Enfin on sait par les preview que non surtout que Marvel va pas se petit suicider tout seul. Mais bon on est clairement dans le drame et l'incertain. Et ça faisait longtemps que je n'avait pas ressentit ça.

Number 1
Titre de la série : Fantastic Four qui a perdu le titre que j'aimais tant
Titre en couverture : The end is foure...2
Numéro : 643
Editeurs : Marvel

Titre de l'épisode : Back in blue part 3
Auteur :
Illustrateur : Leonard Kirk
Encrage : Karl Kesel
Scénariste : James Robinson
Pourquoi je l'ai pris :
Parce que c'est MES FANT4SK à moi
Pitch :
Eden semble avoir déjà gagner ... Mais les FF sont les meilleurs dans les moments les pires. Comme une famille
Phrase qui fait écho à ma lecture : "Thanks to me."
Avis :
Les personnages -
Parfais des FF au Vengeurs, des jeunots au sorcier ... J'adore.
L'histoire -
Vous aussi vous attendiez à ce que les FF aillent sauver les fesses de Reed. Et bien comme moi Robinson vous à bien eux. Un numéro très bon avec en plus les origines de Sleepwalker et pourquoi il ne s'est pas manifester dernièrement.
Le graphisme -
Un putains de graphisme servant magnifiquement le scénario montrant (Et ses rares) les retomber ailleurs avec d'autres héros que ceux les plus vu s'interposant.
L'atmosphère -
Si vous cherchez le coté de wonder des super héros c'est définitivement ici.
Conclusion -
Pour un numéro de transition c'est un putain de numéro
Couverture : 1/2
Dessin & encrage : 10/10
Scénario : 10/10
Intérêt : 6/6
Originality : 5/6
Plaisir de lecture : 6/6
Note : 9,5/10

[EsseJi]

Justice League 3000 #14 : quand j'ai mis en ligne sur Buzz une chronologie de la Justice League Bwa-ha-ha j'y ai inclus à la fin JL3000 #12 en laissant en suspend avec un à suivre... Désormais il n'y a plus de doute cette série est bien la suite du run mythique de Giffen & DeMatteis (et Gerard Jones aussi). En effet l'histoire de Ice racontée dans ce numéro fait clairement le lien avec l'arc I Can't Belive it's not the Justice League de JLA Classified (#4-9).
Le récit de Ice confirme aussi que Giffen est un fils de Kirby, l'historique de ce futur de DC est très proche de celui de Earth 51 du Multiversity Guidebook.
Seul ombre au tableau, l'intérim de Andy Kuhn peu inspiré, heureusement que certains dialogues nous évitent la confusion entre Clark et Bruce. On ne peut que regretter encore plus que le maitre à bord, Howard Porter, ne soit pas surhumain ou qu'on ne puisse le cloner.
Néanmoins cet épisode fait parti de ceux qui cimentent plusieurs titres entre eux, et qui de ce fait exploite bien le concept d'univers partagé. La League 3000 a bien un air de famille avec la Bwa-ha-ha, plus aucun doute à avoir si il en subsistait.

[gobius]

	Citation:			Posté par Baltazared
	Batman #39 Episode très moyen pour un arc inégal. La conclusion rendra le verdict sur celui-ci, et malheureusement, les fins, ce n'est pas ce que maîtrise le mieux Snyder. J'ai hâte et peur.

Je te rejoins totalement. L'utilisation du cliff m'a vraiment déçu mais dans l'interview postée par Scarlet, on devrait les voir jouer un grand rôle sur le dernier numéro donc à voir.
Sinon presque comme à chaque fois, je trouve que Snyder fait beaucoup de remplissage, les trois derniers numéros n'auraient du faire que un et demi.

[Baltazared]

	Citation:			Posté par gobius
	Sinon presque comme à chaque fois, je trouve que Snyder fait beaucoup de remplissage, les trois derniers numéros n'auraient du faire que un et demi.

Ça c'est vrai et c'est bien dommage. J'aime beaucoup quand il explique des choses sur Gotham, sur les motivations de Batman, etc... C'est souvent bien écrit. Mais le reste c'est vrai que ça fait remplissage.

[Fletcher Arrowsmith]

S.H.I.E.L.D. #3 (Mark WAID / Alan DAVIS / Mark FARMER)



Marvel ne c'est pas trompé en confiant cette série à Mark WAID qui doit être surement le plus grand connaisseur actuel (avec Peter David) de l'univers Marvel travaillant chez la maison des idées (c'est la fête du slip, excusez moi des généalogistes séniles, cette semaine, car après le Black Lama de Superior Iron Man c'est au tour de Pavel Rasputin de venir faire un tour). Les choix des dessinateurs sont également très heureux car qui de mieux que Alan DAVIS encré par Mark FARMER pour croquer le monte en l'air le plus célèbre du monde qui va investir la maison de tous les dangers du Doctor Strange. L'humour arachnéen contre l'humour Coulsonien va rythmer la visite de cette demeure que même Stephane Plaza n'arriverait pas à vous vendre malgré une très belle cuisine.
Graphiquement j'ai trouvé Alan DAVIS très à son avantage et plus convainquant que lors de ces dernières prestations. Il est fait pour dessiner Spider Man et cela se voit. Mark FARMER a également un encrage plus poussé que d'habitude et cela convient bien à l'ambiance sombre et aux espaces réduits de cet épisode. Enfin Waid est un filou car il réussi, ni vi ni connu, à relier les évènements de ce numéro avec ceux du premier via l'agent Coulson.

Un épisode un peu moins surprenant que les deux précédent, à cause notamment de son environnement, mais qui enchante le lecteur par des choix très juste : humour, situation, dialogue et dessins. Un sans faute pour l'instant pour cette série.

[Magda]

Rasputin #5 est une série assez particulière, j'aime beaucoup ce numéro et fin du premier volume. À la fin de cet arc, Grigori Raspoutine se dirige vers un camp pour faire ce qu'il fait de mieux, guérir ceux qui ont besoins. Cependant, comme l'a déjà montré le scénariste auparavant, les choses ne se déroulent pas toujours comme prévues. La série Raspoutine est excellente depuis le début et fonctionne très bien avec la lectrice que je suis. Je pense qu'il est peut-être préférable de lire le premier arc d'un seul coup, c'est plus intéressant à lire d'une seule traite et vu le découpage de la série et le style de récit, c'est mieux. On sent que les auteurs connaissent parfaitement le personnage, du moins ils ont fait des recherches et cela se ressent. Le personnage de Grigori est particulièrement intéressant quand on s'intéresse à l'histoire de la Russie et cela fonctionne très bien sous ce format. L'introduction du récit de ce numéro est particulièrement violente, la série est violente de toute façon et ce début de numéro se déroule en plein combat et j'aime ce que je vois. En voyant les quelques pages, on comprend mieux la Russie je pense, du moins pour ceux qui ne connaissent pas la Mère Russie. Ici en tout cas on continue de découvrir le personnage de Grigori, enfin découvrir, on le voit évoluer plutôt, on le voit en action et c'est particulièrement intéressant et troublant en soit, cela donne un côté fascinant et horrible en quelque chose. On arrive à la fin du récit et on se pose des questions, même en connaissant l'histoire du personnage, on ne sait pas trop ce que nous réserve l'avenir du personnage, et la suite étant pour le mois de juin, je pense qu'on a le temps de voir arriver nos réponses. En tout cas la remise en question du personnage et de ses dons est au centre de ce numéro et du récit. C'est brutal en tout cas, peut-être un peu trop par moment et en même temps c'est en corrélation avec l'histoire du moine. J'aime beaucoup les doutes qu'on peut avoir sur le réalisme et le fantastique de la série, l'équipe arrive très bien à jongler avec tous les aspects de sa vie (imaginaire ou non, fantasmé ou non.) C'est une œuvre d'art. en soit, c'est autant intéressant que les dessins sont magnifiques, bref c'est du bazoom et si vous voulez une série différente de la production Image et de la production de comics, vous devez lire ce premier volume, c'est vraiment bien.

[EsseJi]

Batgirl #39 : énormément de lecteurs se plaignent de ne pas reconnaître Batgirl, comme si ce n'était pas la même Barbara Gordon qu'avant. Rassurez-vous la propre héroïne ressent exactement la même chose.
Dès le début du run de Stewart, Fletcher et Tarr il semblerait que les mots d'ordre soient chamboulement et nouvelles technologies. Et les auteurs font exprès de brouiller les pistes : où est le personnage littéralement marqué par Killing Joke? Où sont ses années Oracle et Birds of Prey? N'est-elle pas trop Out of Character?
Cet épisode insiste sur la fait que toutes ces questions sont justifiées et que l'écriture de Batgirl ne se fait pas sans manque de connaissance de son background.
Ainsi tous les jeux de faux semblants et l'impression d'une absence de cohérence convergent ici pour révéler qu'ils sont réellement des éléments de l'intrigue.
En dépit de toute l'affection qu'on leur porte les personnages de comics n'appartiennent pas aux lecteurs, un peu plus aux auteurs, et personne n'aurait dans l'idée de froisser ce sentiment de possession virtuelle du lectorat, mais c'est si bon de le taquiner.

[Fletcher Arrowsmith]

GRAVEYARD SHIFT #3 (Jay FAERBER / Fran BUENO)

Liam, échappe à une partie de Jambe en l'air car il préfère entendre le récit de la découverte de sa condition de vampire de sa chère et tendre Hope (qui a des attribues très intéressant). C'en suit la venue d'une médium (oui on aurait pu s'en passer mais la scène est assez cocasse) et vu que le sexe c'est toujours non l(ils sont habillés dans le lit, ils n'ont rien compris) es deux amants enquêtent enfin ce qui va les amener dans un bar branché, tanière du grand manitou suceur de sang

. Voilà c'est tout.
La lecture de Graveyard shift n'a rien de surprenante. Je pense que Jay FAERBER doit être satisfait d'avoir son scénario mis en image (Fran BUENO que je découvre n'est pas désagréable) et c'est en plus une mini en 4. Rien d'extraordinaire donc et cela fera à l'arrivée un TP sympathique si tant est qu'il vous reste des sous. Les dialogues de Faerber relevent quand même l'ensemble.

On passe un bon moment sans prise de tête et ce n'est déjà pas si mal.

[EsseJi]

J'ai juste acheté le #1 mais le tp est déjà préco, tout comme celui de Birthright qui sort la semaine prochaine.