|
#1
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
Pas aimé le 1 mais plus le 2, ce 3 était introuvable dans les différentes boutique parisienne surement à cause du temps de parution qui font que ce n'était que sur commande. |
#2
|
|||
|
|||
Paper girls #24
PAPER GIRLS #24
W : Brian K. Vaughan P : Cliff Chiang La fin du cinquième arc arrive avec un numéro très intéressant car Vaughan donne enfin quelques réponses. C'est d'abord le retour de certains personnages aperçus dans les arcs précédents (le 3 surtout) permettant d'assembler les pièces du puzzle, puis cela offre une évolution intéressante à certaines de nos héroïnes (Mac) et surtout ce numéro propose encore une fois un cliffhanger à la hauteur en lançant la série sur une suite qui sera des plus prometteuses. A la lecture on se dit à chaque fois que BKV nous enfume et que cela peut durer une plombe avec un tel schéma narratif. Sauf que c'est le propre des feuilletons et Paper Girl adopte exactement cette trame. D'ailleurs le prochain numéro promet un explosive “season finale" ma note : 8/10 |
#3
|
||||
|
||||
- Daredevil #608 : fin de l'arc - probablement l'avant-dernier de la série par Soule avant une refonte du titre.
Curieusement, cet épisode se mord un peu la queue : Soule a eu une idée intrigante en incarnant Mike Murdock mais la conclusion rend la suite (trop) prévisible. Il n'empêche que la situation peut logiquement aboutir à une refonte de la série avec la présence d'un Inhumain en particulier dans la partie et le rôle attendu de Mike. On verra si mes soupçons se vérifient mais ce serait habile. Noto est en forme, il a pris ses marques en un temps record et on ne peut qu'être bluffé par sa rapidité à enchaîner les épisodes (dont il assume dessin, encrage, colorisation) ! Troublant mais alléchant. - Peter Parker : The Spectacular Spider-Man #309 : fin de cette histoire en deux parties, et avant-dernier épisode écrit par Zdarsky. Après le sommet poétique du mois dernier, il était presque impossible de faire mieux. C'est effectivement le cas, Zdarsky se complaisant un peu trop dans les auto-citations (à ce titre et à Marvel 2-in-1) et sacrifiant à l'action spectaculaire. Il n'empêche, Sandman ressort vraiment changé de cette histoire (même s'il faudra vérifier si d'autres auteurs le conservent ainsi). Bachalo livre des planches incroyables, parfois à la limite de l'abstraction, mais pleine de puissance. Un retour en force, qui, je l'espère, préfigure sa présence sur une prochaine série régulière (je l'aurai bien vu sur Guardians of the galaxy avant que Geoff Shaw soit annoncé, ou s'il pouvait remplacer Bazaldua sur Mr & Mrs X). Etrange mais beau. (Bon maintenant, il va falloir que je mette la main sur The Seeds #2, The Quantum Age #3 et The Weatherman #4 que j'ai bêtement oubliés de commander...) |
#4
|
||||
|
||||
- Hawkman #4 : Carter Hall continue de se chercher... Et il se trouve en quelque sorte...
Par contre Vendetti flirte lentement mais sûrement avec un procédé un peu trop mécanique (un épisode=un endroit/une époque différent(e)=un artefact). Du coup, on voyage beaucoup mais sans beaucoup avancer et à chaque fois grâce à un gadget. C'est agréable, habile, mais captivant ? J'espère que ça va un peu plus swinguer. Hitch, en revanche, tient la grande forme et sans lui, la série n'aurait certainement pas le même attrait. Il retrouve même un peu de rondeur dans le trait. Décors très fouillés, personnages énergiques. Il nous en donne pour notre argent. Un petit coup de mou, mais rien d'alarmant (enfin, j'espère). - Supergirl #22 : Kara part enquêter chez les Green Lanterns... Andreyko profite de la rampe de lancement proposée par Bendis pour emmener Supergirl dans une enquête spatiale sur la fin de Krypton. Evidemment, rien ne se passe comme prévu. C'est rythmé, avec de l'action et une pointe d'humour. Pas renversant, mais très plaisant. Maguire fait des merveilles au dessin, l'expressivité incroyable qu'il donne aux personnages leur donne vie comme peu d'artistes savent le faire. Et les décors sont bien garnies. De la belle ouvrage. Frais et accrocheur. - Catwoman #3 : la cata... Je ne sais pas ce que Joelle Jones veut raconter mais je n'y comprends de toute façon pas grand-chose. C'est nébuleux au possible, souvent incohérent, sans rythme. L''épisode se concentre sur la méchante de l'intrigue sans faire avancer le schmilblick. Grosse déception. Au dessin, Jones a (déjà) besoin de renfort : coup de bol, c'est Fernando Blanco qui s'y colle. Mais tout de même, ça fait pas très sérieux. Sauf redressement spectaculaire, cette série sera vite rayée de la liste. |
#5
|
||||
|
||||
- Crowded #2 : malheureux celui qui n'a pas eu la curiosité d'essayer cette merveille...
Voilà une série bien pleine, très dense et très nerveuse. Christopher Sebela met ses héroïnes et ses lecteurs sur le grill, ça va vite et c'est compact. Cette chasse à l'homme complètement barge est tendue et drôle à la fois. C'est sûr, comme le dit un hacker dans l'épisode : "tu dois être vraiment spéciale pour qu'on t'en veuille autant". Les dessins de Ro Stein sont eux aussi très fournis et l'expressivité de ses personnages plus le détail des décors pourraient suggérer que ce garçon très talentueux a peut-être fait ses armes dans l'animation. Grande révélation. Les ennuis ne font que commencer. Mais qu'est-ce que c'est bon ! - The Seeds #2 : le meilleur pour la fin des critiques de cette semaine. Ann Nocenti semble vouloir tester ses lecteurs avec ce projet. C'est à la fois dérangeant, austère, limite nébuleux. Mais pourtant cet objet inconfortable est passionnant. On s'y glisse progressivement et ça devient captivant de suivre l'héroïne en quête de preuves sur la présence d'aliens dans une zone et la romance de l'un d'eux avec une humaine. David Aja met ça en images de manière prodigieuse, collant au récit tout en l'optimisant visuellement. Pourtant, il ne racole pas lui non plus : encrage épais, couleurs réduites, ambiance oppressante. Mais la narration est fabuleusement fluide, intelligente : ça vous prend par la main et vous y allez sans vous poser de questions, juste fasciné. La richesse du produit fait regretter qu'il ne compte que quatre épisodes. Mais on lit ça et on cogite longtemps après. |
#6
|
||||
|
||||
X-23 #4
Ce #4 est un bon numéro : dynamique, rapide à la lecture, avec des révélations intéressantes, une bonne reprise de la continuité, des rebondissements intrigants et même touchants, un cliffhanger prenant, et l'envie de lire la suite. C'est, en plus, bien dessiné, dans un style clair et propre. Mais. Mais même si c'est bien, même si c'est agréable, même si tout ça me plaît et est très cohérent avec les éléments passés, même si Juann Cabal assume au graphisme... va pas falloir déconner, Mariko Tamaki ! C'est bien beau de s'amuser, de ressusciter les Stepford Cuckoos (dans tous les sens), de faire joujou avec le coeur du lecteur, mais faudra tout bien ranger à la fin de la saga ! Sinon je me fâche, dis donc ! |
#7
|
||||
|
||||
Mister Miracle #11
Après lecture de ce numéro, et deux heures pour digérer, je ne sais toujours pas quoi en penser ; ce qui, en soi, est plutôt bon signe pour une lecture. Le grand jour est arrivé : Barda & Scott amènent leur enfant, Jack, chez Darkseid, pour l'offrir en contrepartie de la paix - comme Izaya l'avait fait, jadis ; alors que cela a déjà échoué. Sauf que rien n'est aussi simple, et rien ne suit jamais le plan... s'il y en a un. Quel étrange épisode, vraiment. Sur bien des aspects, il est brillant et parfait : les personnages sont toujours aussi bien incarnés, l'opposition est idéale, les réactions sont bien vues, les rebondissements arrivent au bout moment, les dialogues sont au top, et il y a une vraie implication émotionnelle sur plusieurs instants. C'est fort, c'est bon, le final est absolument surprenant, je ne l'ai pas vu venir, et j'ai une folle envie de lire la suite... ho, et Darkseid qui mange des légumes, c'est vraiment fun. Mais. Mais, au fond, ça me gêne un peu. Mais, au fond, je trouve quand même dommage de "régler" (en apparence ?) la situation ainsi. Mais, au fond, je trouve que même si le gag est bon, c'est dommage d'utiliser Darkseid ainsi, pour cette vanne, alors que Tom King a idéalement fait sentir sa présence, son ampleur sur tous les numéros, sans le laisser voir. Mais, au fond, je ne reconnais pas ce Scott Free-là, qui agit ainsi, alors que ça n'est ni son concept, ni vraiment son passif jusque-là. C'est bon, c'est beau (Gerads assure totalement), c'est fort, c'est plein d'émotions, et ça me touche ; mais, au fond, je trouve que c'est dommage, et presque que ça tape à côté. Sauf que. Sauf qu'il reste un épisode. Sauf que la fin... peut tout changer. Sauf que ça paraît trop facile. Sauf que ça sent le sale coup. Sauf que le final ouvre sur bien plus. Sauf que "DARKSEID IS", et que ça doit avoir un autre sens. Sauf que, quoi. J'ignore totalement où veulent en venir les auteurs, mais j'ai totalement envie de savoir. L'épisode fonctionne parfaitement, alors : ascenseur émotionnel, implication sentimentale, plaisir des rebondissements, surprises, incompréhensions, interrogations, envie d'en découvrir plus, et nombreuses hypothèses derrière. Bravo, donc. Tom King m'a bien eu. Mais, franchement, il va falloir assurer sur ce #12... |
#8
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
Mister Miracle #11
La prestation de Mitch Gerards reste parfaite et le dessinateur rend une meilleure copie que dans la "première" partie (du #1 au #6) en restant constamment lisible et surtout en s'appropriant définitivement la composition en gaufrier. ma note : 7/10 Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 21/09/2018 à 18h57. |
#9
|
|||
|
|||
Black Hammer : Age of Doom #5
Black Hammer : Age of Doom #5
W : Jeff Lemire P : Dean Ormston Un numéro explicatif qui révèle l'histoire derrière le rideau en faisant le lien avec le reste de l'univers Black Hammer (présence de Doctor Star). Lemire n'en fait pas trop, reste dans la lignée de son récit et l'explication est simple mais crédible. Le scénariste canadien s'attache quand même à ses personnages. On comprend les motivations de certains et les réactions des autres mettent beaucoup d'émotion en jeu. Les deux numéros suivants ne seront pas dessinés par Dean Ormston mais par Rich Tommaso, artiste complet très intéressant. Lemire continue d'inviter du beau monde sur sa série. ma note : 6/10 |
#10
|
||||
|
||||
Return of Wolverine #1
Bon sang... mais c'est de la m*rde. J'avais déjà trouvé Death of Wolverine naze, creux, stupide et complètement à côté de la plaque, et Charles Soule retrouve cette même "voie" pathétique ici. Rien ne fonctionne. Aucune de ses idées ne tape juste, que ça soit l'introduction violente et sanguinolente, l'amnésie de Logan, les flashbacks tellement simples et niais, les monstrueux tunnels de dialogues qui expliquent tout et le font si mal, les pseudos "trois histoires" que la nana qui le récupère commence à raconter pour le définir, ou les éléments sur le plan de Perséphone. Absolument. Rien. Ne. Fonctionne. C'en est impressionnant, tellement ça tape à côté et c'est mal fait. Wahou. Et McNiven n'est forcément bien mieux : son style demeure celui de ces dernières années, mais il loupe le visage de Logan sur tous les panels, et ses planches paraissent inutilement chargés. Un accident industriel total. Bigre, j'ai presque envie de lire la suite, pour voir si ça peut s'enfoncer plus. |
#11
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
#12
|
||||
|
||||
Return of Wolverine #1 : C'était très nul. Voilà.
Même pas sûr d'avoir le courage de lire la suite. C'était juste chiant en fait. |
#13
|
||||
|
||||
Ca vaut la lecture ; pas l'achat.
|
#14
|
|||
|
|||
#15
|
||||
|
||||
Justice League #8
James Tynion IV revient déjà (après le #6, centré sur Luthor et la création de sa Legion of Doom), afin de donner une origine au Starman réapparu à la fin du dernier numéro, pour montrer l'avancée, les réussites et un échange au sein de la Legion of Doom ; ou, plutôt, comment Luthor négocie avec le Batman-Who-Laughs. Si ce personnage, un Batman fusionné avec le Joker, était intéressant sur le papier et plaisant au début, son ultra-présence dans Dark Nights : Metal et dans ses tie-ins me l'ont rendu insupportable (ça, et la police d'écriture, rouge sur noir, dégueulasse à lire). Ici, Tynion s'en sort mieux, en en faisant un Hannibal Lecter face à un Lex Starling à peine moins sous le charme qu'elle. En soi, le numéro est plutôt bon, poursuit cette intrigue sur The Totality, les différents éléments déposés partout sont pertinents, mais... bon, c'est sympathique, mais j'attends quand même que ça prenne plus, et plus vite. Je suis surpris que le titre fasse déjà une nouvelle "pause", même si on voit plus le groupe que dans le #6. La Legion of Doom est bien écrite, elle est une menace d'importance, et le mouvement général me plaît ; mais le rythme n'est pas forcément le plus adapté, d'autant plus que le spectre d'une Pandora bis apparaît en fin d'épisode. Tynion assure néanmoins, Mikel Janin aussi. Lu individuellement, l'épisode est bon. Dans l'ensemble du titre, il surprend et interroge - mais j'ai quand même envie de lire la suite. |
|
|
Discussions similaires | ||||
Discussion | Auteur | Forum | Réponses | Dernier message |
Hunt for Wolverine Dead Ends #1 | scarletneedle | Singles | 4 | 24/08/2018 09h32 |