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Et je sais pas pour les beats mais, je vais en revenir à eux, mais Fuzati et Detect ont sorti des trucs bien plus mortels ces 4 dernières années... Ou même DJ Mehdi bien avant ça. Et je vais même te dire que Rohff est clairement un putain de meilleur MC que Booba, même si son imagerie est moins golri.
Ce qui est bien dans ce millieu, c'est que t'as du rap "de blanc" relativement innofensif qui ne toucheront jamais à la rue et vont te parler de problèmes très classe moyenne. Ou seront juste fait pour le lol... Et à coté de ça des trucs beaucoup plus (trop) hardcores qui passeront jamais en radio.
Pour ça que ouais, Led Zep, les Doors, les Beatles, Hendrix et le reste, ça m'éclate toujours autant que quand j'avais 17 piges. EDIT :Je me fais une petite matinée Seth Gueko et y'a pas à dire, Bistouflex, c'est vraiment bien. En dehors, du truc golri qui me rapelle mon adolescence, c'est vachement bien construit et cohérent comme histoire.
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Mes ventes de Comics VO ! Dernière modification par zarma ; 27/09/2012 à 11h57. |
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Non, plus sérieusement, le fait d'apprécier une musique, d'adhérer à son style, n'a rien à voir avec l'époque où elle a été conçue (sinon, imagine les fans de Mozart...). J'écoute des trucs récents et plus anciens à peu prés en proportions égales (même si je n'ai pas fait de statistiques), et ce que j'apprécie, c'est qu'en fait la musique est sans cesse dans la référence et en même temps, contrairement à ce que beaucoup prétendent, tout n'a pas été écrit, inventé. De toute manière, je n'écoute pas un disque en pensant sans arrêt : "de quoi ceci est inspiré ? A quoi ça me fait penser ?" Il y a une immédiateté dans la musique qu'il ne faut pas chercher à intellectualiser, c'est un langage mystérieux qui nous touche de manière sensible, étrange, incontrôlable. Après, il y a des genres musicaux qui ne me parlent pas - ou plus. Par exemple, je lis (enfin, je parcours) vos commentaires sur le rap. Je n'ai aucune idée sur qui est Booba ou d'autres que vous citez. Mais je n'aime pas le rap, la plupart du temps, je ne comprends pas ce que disent les rappeurs. Ce n'est pas une question de "flow" ou je ne sais quoi : la plupart des rappeurs n'ont pas une bonne diction et leurs mix sont tellement lourds que les rythmiques couvrent souvent leurs paroles. Ce n'est hélas ! pas qu'un problème pour le rap, nombre de groupes pop, rock ou électro sont incompréhensibles pour les mêmes raisons. Je n'aime pas non plus la musique club (dance, techno, house), même si les sonorités électro mêlées à d'autres styles musicaux peuvent produire des résultats enthousiasmants. Mais pire encore que le rap actuel ou la techno-dance, le "R'N'B" est mon ennemi. C'est la dénaturation du rythm'n'blues qui était une musique extraordinaire, et qui est aujourd'hui devenu un concours de chêvres, avec une imagerie débile. Les clips de "r'n'b" polluent les chaînes musicales, et leurs pseudo-chanteurs me font mal aux oreilles (c'est pire encore avec les voix trafiquées : la plaie de la musique actuelle). |
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alors là on arrive au coeur de ce que j'aime en musique c'est à dire ce truc de détruire les idoles et de découvrir de nouveaux genre avec lesquels on est pas ou peu famillier. Je n'étais pas du tout famillier du metal mais je m'y suis mis récemment, le RNB il y a quelques années. Dorénavant je peux te dire que je suis hyper fan de R Kelly et que je vois completement ce qu'est un bon groupe de RNB par rapport à un mauvais. Je me suis également penché sur le New Jack des 90's que je trouve fort passionnant. En fait, j'ai vraiment un intérêt pour ça car j"aime la culture pop (le gout pour les comics vient de là, la fascination pour le thème du super héros etc). Tu devrais écouter l'album de Frank Ocean. Après (et ne le prends pas trop à coeur ni trop pour toi) mais je pense qu'il faut se faire violence dans la découverte de la musique pour découvrir de nouveaux horizons.
Parfois c'est dur mais on arrive à des choses assez exquises. My Bloody Valentine c'est dur au début (enfin ça dépend des gens) mais ça ma permis de m'ouvrir davantage. La techno, l'ambient également. Bref sinon je ne parlais d'aimer que de la musique dont on est contemporain mais je pense que certains groupes ont tendance à mal vieillir face à d'autres groupes qui vont peut être reprendre des codes qui vont ensuite être réutilisés pour finalement les faire évoluer et rendre leur créateur obsolète. Pour revenir à ce que j'écoute bcp en ce moment : Superbe album de rock classique (si ça veut dire quelque chose) http://www.youtube.com/watch?v=nB8PKWGeXpA |
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Oui, il y a un retour aux affaires de Dinosaur Jr, depuis 3, 4 ans qui fait plaisir à entendre.
Et Aguéev, autant je ne te jetterai pas la pierre pour les Doors, Led Zep ou Hendrix, autant tu as grand tort de te priver des Stones, surtout les premiers albums. Si c'est le fait de tomber sur des morceaux trop référencés qui te gonfle, et je peux comprendre, essaye "Between the buttons", "Aftermath" ou un peu plus tard, leur pièce maîtresse à mes oreilles, le double "Exile on Main Street", aucun tube, que du bonheur bluesy qui arrache. |
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(oui je repense encore à la polémique sur l'article de Tomb Raider dans Joystick)
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Mes ventes de Comics VO ! |
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J'ai bien découvert Dylan il y a un an et demi . Merci en tout cas de me mettre quelques noms que je vais chopper d'ailleurs pour les écouter un de ces jours. (Enfin un ou deux albums du début) J'ajouterais que le film Watchmen est superbe le moment où l'on entend The times they are a changin, dommage que le film ne se soit pas plus démarqué que ça...
Oh et puis merde http://www.dailymotion.com/video/xtr...?search_algo=2 Dernière modification par Aguéev ; 28/09/2012 à 19h06. |
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sinon j'ai posé la question à deux personnes ici mais je veux acheter une platine pour écouter des vinyles et également des enceintes et ampli.
Quelqu'un pourrait il m'aider? |
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http://www.youtube.com/watch?v=bLKQ5q-25ow avec Devin T http://www.youtube.com/watch?v=g6v0B...feature=relmfu
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☆☆VENTE VO/VF!☆☆Maj 02/10/2017http://www.buzzcomics.net/showthread.php?t=22416 |
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Crisis ! What crisis ? de Supertramp. Ce titre et cette pochette prennent une dimension troublante avec l'état du monde actuel alors que l'album a quand même 37 ans ! Mais c'est une des meilleures galettes produites par le groupe, aidé par Ken Scott (l'homme aux manettes de grands disques de Bowie entre autres). Je ne connaissais pas bien les morceaux de cette époque, pas de single emblématique - à part peut-être l'excellent Ain't nobody but me (que Supertramp a souvent repris en live). L'ensemble se distingue encore une fois par le soin apporté aux mélodies, ouvragées, où se côtoient des claviers et des guitares magnifiques. Mais il y a aussi les contributions extraordinaires de John Helliwell, qui passe du saxo au hautbois (instrument qui participera également aux arrangements des titres des Go-Betweens, un des rares combos héritiers de Hodgson et Davies). Des choeurs et des cordes dirigés par Roger Hewson donnent aussi de la majesté à certaines compositions. Un bien bel opus. Wolfgang Amadeus de Phoenix. Un curieux album dont je me souvenais mal... Et dont les chansons me sont redevenues immédiatement familières en les réécoutant. Ce disque est d'une concision et d'une efficacité remarquable, très bien produit, composé. La pop française (bien que chanté en anglais) peut se hisser à la hauteur des standards anglo-saxons quand elle est exécutée par des musiciens qui ont su la digérer tout en la comprenant. Le single Lizstmania est une véritable scie qui ne vous sort plus de la tête une fois écoutée. Rafraîchissant et diablement efficace. Ommadawn de Mike Oldfield. Encore une aventure décoiffante de la part de ce compositeur atypique. Deux titres seulement mais qui dépasse les 20' chacun - en fait une seule composition mais en deux parties. Les références celtiques d'Oldfield sont très présentes, et la structure des morceaux est parfois acrobatique, encore plus que sur les autres disques que j'ai pu écouter de lui. Le mixage reste impressionnant quand on considére l'état de la technologie dans ce domaine à l'époque (même si Oldfield avait ressorti cet album dans une version remastérisée en 2010), avec des claviers et des guitares dont les effets s'enchevêtrent, une rythmique parfois très présente. Peut-être pas son meilleur opus, mais assurèment un de ceux où il a tenté le plus de choses. Et puis Dino. La voix, la cool attitude... Tout ça sur des orchestrations renversantes. On reprochait, dans l'intimité, à Dean Martin de se foutre de tout, que rien ne le touchait vraiment (à commencer par lui-même, sa carrière), mais comment un type avec un tel détachement pouvait produire de telles chansons, les chanter avec un tel swing ? C'est à la fois son mystère et sa magie. Memories are made of this... Dernière modification par wildcard ; 04/10/2012 à 18h46. |
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Ha? Y a des gens qui écoutent du rap fr ici? ok.
Odezenne: http://www.youtube.com/watch?v=rlDB-k90sW8 Vicelow: http://www.youtube.com/watch?v=GNwKncQn0t4 Faken: http://www.youtube.com/watch?v=lW6dJgX3Hdk |
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LE morceau du moment pour de nombreux mois :
http://www.youtube.com/watch?feature...&v=Hy9W_mrY_Vk et oui la petite sœur de la grande assure. sa manière de bouger, le côté girl next door mais inaccessible, le bon goût de la prod et les années 80's qui même si elles n'en finissent plus de revenir depuis 20 ans nous rappelle ce qui est essentiel. Dernière modification par Aguéev ; 04/10/2012 à 20h56. |
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Encore une fois, j'ai suivi une des recommandations musicales d'Alex Jaffray à "Télématin". Glenn Gould aurait eu 80 ans cette année et les Variations Golberg de Jean-Sébastien Bach restent ses interprétations les plus connues. L'histoire de ces deux enregistrements est d'ailleurs le résumé de la carrière de ce pianiste génial. En 1955, le prodige canadien a 22 ans et il choisit ces 32 morceaux pour son premier disque chez Columbia. Le succès sera phénomènal et va installer Gould au panthéon des interprétes classiques. C'est un personnage fascinant, élévé à la dure par un père intransigeant, dont le jeu est unique. Dans cette première version, la rapidité est de mise : il expédie l'ensemble en 38'27". Le rythme est effrenné et pourtant le toucher du pianiste est déjà d'une admirable subtilité. Il ne sert pas de la pédale de son piano (Gould est installé sur une vieille chaise de bridge dont le coussin de l'assise a été retiré et en croisant les jambes !), ce qui donne à chaque note une percussion tranchée, nette. Chaque corde ainsi frappée n'est modulée que par la sensibilité des doigts sur le clavier. Pourtant, quand 26 ans plus tard, Gould retourne en studio pour revisiter les Variations, il est dans un état d'esprit totalement différent. Ce n'est évidemment plus un jeune homme, mais s'il n'est pas âgé. Par contre, c'est un individu d'une maniaquerie maladive (quasiment égale à celle d'un Howard Hughes), et qui a repensé profondèment sa manière de jouer, en particulier le répertoire de Bach. Il aspire à atteindre, selon ses propres termes, une "sorte de paix automnale". La durée des 32 Variations s'en ressent nettement : désormais, l'ensemble se déroule sur 51'15" ! Gould n'a que peu réécouté son précédent enregistrement, mais il ne l'a guère apprécié, le trouvant trop rapide, avec une rythmique trop précipitée, des notes trop appuyées, des accords hâchés. Il va alors peaufiner le tempo de ces morceaux, toujours en se privant de pédale, de plus en plus voûté sur son instrument. La qualité de la prise de son doit être exemplaire pour saisir toutes les nuances de cette nouvelle lecture. Les Variations ne sont plus alors une succession de pièces de durée variable mais un tout, plus fluide, infiniment délicat, comme une extension de la respiration de son interprète. Il n'y a plus ce côté "pulsé", ce staccato débridé, presque drôle : Gould est à la fois moins appliqué, mais plus sérieux, grave, mélancolique. C'est troublant mais l'on jurerait qu'il savait qu'il enregistrait son testament musical et qu'en revenant aux Variations, il bouclait la boucle. En tout cas, il est difficile, même pour celui qui n'est pas un auditeur habitué de musique classique, de ne pas être saisi par la puissance émotionnelle qui se dégage de cet enregistrement, par la virtuosité, la finesse, de Gould. Rarement une musique a été jouée comme ça, comme si le musicien parlait à travers elle, comme s'il était agi par elle. Superbe, fascinant, et historique. Junjo d'Esperanza Spalding. Cette jeune contrebassiste a un fan de choix puisque Barack Obama l'a citée comme une de ses musiciennes favorites !... Et, ma foi, il faut avouer que le président américain a bon goût. Esperanza Spalding joue dans une formation resserrée, avec un pianiste (Aruan Ortiz) et un batteur (Francisco Mela). Comme tous les disques de contreabassiste, on peut redouter un léger ennui : de grands solistes ont livré des albums brillants techniquement mais musicalement moins passionnants. Mais la jeune femme a du répondant et des références qui, pour être ambitieuses, sont parfaitement intégrées : elle est la digne héritière d'un géant comme Ron Carter (même si ce n'est pas mon contrebassiste de jazz préféré : j'aime davantage Bob Cranshaw par exemple). Elle sait tirer de son impressionnant instrument de très belles phrases et sa complicité avec ses partenaires est lumineuse. En neuf morceaux, aux influences sud-américaines, elle séduit sans forcer, en chantonnant parfois, en improvisant avec grâce, en ayant toujours le souci du rythme (on pense à l'album Inventions & dimensions d'Herbie Hancock). Un talent à suivre de près. Dernière modification par wildcard ; 09/10/2012 à 18h55. |
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Posologie Pour adultes et adolescents. La posologie de ce médicament est dès le matin au réveil. Mode d'administration Voie auditive Fréquence d'administration Autant de fois que possible par jour. Durée du traitement Il semble envisageable qu'elle puisse dépasser la durée limite de la plupart des disques actuels. Quels sont les effets indésirables éventuels? Trouver le dernier grizzly bear et autres disques pop/rock du moment fades et sans effet. Comme tous les excellents disques Tame Impala Lonerism est susceptible d'avoir des effets indésirables bien que tout le monde n'y soit pas sujet, notamment les grincheux et les gens de fort mauvais goût. Des effets neurologiques tels que des tapements du pied et des fredonnements incoercibles ont été rapportés. Dans ces cas, le traitement ne devra pas être interrompu. Que contient Tame Impala Lonerism? Des synthés hantés, des guitares flanger, la voix de John Lennon revenu d'entre les morts, des chansons psychées diaboliques pour arpenter les rues de votre ville avec la banane, du talent à haute dose. Autres composants et excipients. Il n'est pas impossible que ce traitement ait été conçu sous haute influence psychotrope. Des traces résiduelles peuvent subsister. Toutefois Tame Impala Lonerism peut tout à fait s'envisager à jeun. Qu'est-ce que Tame Impala Lonerism? Ce médicament se présente sous la forme galénique de 12 plages musicales. 13 sur une édition Deluxe. Nous vous conseillons cette dernière formulation. Des informations détaillées sont disponibles sur le site internet du fabricant. |
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60 minutes enchainées de délire créatif total. Faut arriver à rentrer dedans, mais si c'est le cas, y a de quoi prendre son pied
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http://www.comicsvf.com Les récaps (rigolotes) de Game of Thrones Saison 5 Stannis à Davos : On n'a rien pu faire, ils étaient au moins genre vingt-deux et puis y en avait un torse nu. |
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