Remember, remember the reviews of November!

[Ben Wawe]

Aquaman #42
Triste idée de conclusion, en effet, du run de Dan Abnett sur le titre - qui doit partir sur un ultime tie-in à Drowned Earth, bien faible saga.
Cependant, l'auteur, qui n'a cessé depuis quelques années de suivre constamment les demandes des éditeurs même quand cela impliquait de changer ses plans (Aquaman et le changement d'ambiance après le #25, Titans avec cette nouvelle composition post No Justice, et même encore la série Titans elle-même, faisant suite à Titans Hunt où Abnett devait gérer l'impossible avec les bribes d'éléments qu'il avait sur les Héros originaux), parvient à livrer un épisode très personnel et très fort, avec celui-ci.
En effet, en s'intercalant entre Justice League #11 et 12, ce numéro plonge dans l'âme d'Aquaman, et interroge ses motivations mais son rapport au père ; classique, mais efficace. Abnett en profite pour livrer un portrait de son personnage, en n'épargnant pas ses pulsions et mauvais choix, mais en montrant ses frayeurs, ses peurs - bref, ce qui justifie ses actes, ses réactions. Et c'est évidemment bien fait, tant le scénariste maîtrise Aquaman et son univers depuis plus de quarante épisodes.
Bref, malgré l'obligation d'être un tie-in, malgré les contraintes, Dan Abnett s'en sort très bien, et réussit l'exploit d'une histoire intimiste - pas originale, pas forcément brillante, mais très efficace et bien pensée ; personnelle, surtout. Une belle réussite, à mettre au profit d'un auteur sous-estimé, mais qui offre ici un beau moment, plutôt bien illustré par un Lan Medina sans folie, mais propre et appliqué.
Bravo et merci, Dan Abnett. Je n'oublierais pas ton run.

[Ben Wawe]

Astonishing X-Men #17
Ultime numéro de cette équipe de losers fort sympathiques, et Matthew Rosenberg achève bien sa saga et son propos ; une jolie réussite.
En mettant un peu de côté l'humour de situation, notamment né des échecs répétés de sa petite bande de blaireaux (même s'il y a quelques bonnes vannes), l'auteur s'acharne surtout à conclure toute son intrigue en un numéro (ce qui est fort), mais enfin à offrir une conclusion très personnelle et superbe sur Havok, définitivement mieux écrit ici que depuis des années (ce qui est définitivement plus que fort).
Avec une bonne gestion des Reavers, de son équipe et du reste des X-Men, le scénariste livre un numéro dense, mais très cohérent et intelligent. Je reviens encore sur ce final, ce joli monologue intérieur de Havok, d'une franchise terrible et sévère sur lui-même ; les répliques de Kitty et Warpath sonnent justes, et Rosenberg caractérise en creux Havok comme un héros qui, au fond, n'a jamais eu sa chance - soit que les autres ne l'ont jamais réellement pris au sérieux (frère de), soit que lui-même n'y a jamais cru.
C'est pertinent, c'est cohérent, et ça offre une belle fin ; notamment parce que Rosenberg n'oublie pas ses autres personnages, et range tout, réussissant même à offrir une suite plutôt intelligente pour chacun.
Dommage, au fond, que la série s'arrête : par son groupe de losers, par cette orientation, par l'humour mais aussi la bonne caractérisation générale, le scénariste a livré de très belles choses, ici. Greg Land a fait comme d'habitude, il a géré au mieux, selon ses capacités ; qui ne sont pas mes préférées, mais font le job.
Quel étonnant OVNI. Il en faudrait plus !

[Ben Wawe]

Marvel Knights 20th #2
Bon, cette étrange se poursuit, mais l'effet de surprise n'est plus là ; l'ensemble est donc moins punchy, moins percutant, et un peu moins inspiré.
Matt hésite et doute de ce qu'il croit savoir, comme il ignore pourquoi il parle au fantôme de Karen. On embraye ensuite sur Frank et Bruce, le premier rencontrant violemment Elektra - et ça dure longtemps, avant la réunion avec Murdock et une petite révélation finale ; mais ça tombe à côté.
Ho, Matthew Rosenberg livre des dialogues classiques, sans brillance mais avec sérieux. Donny Cates doit surveiller tout ça, mais l'ensemble avance peu, et ça n'a franchement rien de vraiment intéressant. Je ne comprends pas pourquoi Marvel a voulu ou validé ce projet, pour l'anniversaire de la gamme : c'est tellement éloigné de ce qu'elle fut que ça n'a pas de sens.
Bref. Ca se lit, c'est correct et sérieux, mais sans génie et sans brillance. Niko Henrichon livre des planches bien fichues, cohérentes, mais elles aussi sans fougue.
C'est sympathique ; mais complètement oubliable.

[Slobo]

	Citation:			Posté par Ben Wawe
	Astonishing X-Men #17

Tu m'as persuader de m'intéresser à cette version, j'attends juste les TPBs

[satan666]

Personne ne lis "murder falcon" ?
Je trouve super frais et beau.
C'est un peu le bonbon que j'attends tous les mois.
Le pitch est assez simple : un looser peut faire apparaître un faucon over buildé en faisant de la gratte. S'il enchaîne des riffs bien vénères, le faucon se met à se battre tel que ryu en mode berserk. J'aime bcp les commissions du dessinateur. Ses planches ne sont pas aussi poussées que ses com mais cela reste dynamique et beau.

[Slobo]

	Citation:			Posté par satan666
	Personne ne lis "murder falcon" ?

Bien si j'ai fait les avis des deux premiers pourtant

	Citation:			Posté par satan666
	Je trouve super frais et beau. C'est un peu le bonbon que j'attends tous les mois. Le pitch est assez simple : un looser peut faire apparaître un faucon over buildé en faisant de la gratte. S'il enchaîne des riffs bien vénères, le faucon se met à se battre tel que ryu en mode berserk. J'aime bcp les commissions du dessinateur. Ses planches ne sont pas aussi poussées que ses com mais cela reste dynamique et beau.

On est d'accord j'adore aussi

[Ben Wawe]

	Citation:			Posté par Slobo
	Tu m'as persuader de m'intéresser à cette version, j'attends juste les TPBs

Il n'y en aura qu'un de bon : les 12 premiers numéros par Charles Soule, je les déconseille ; et Asto'/Club des Losers ne va que du 13 au 17.

[Ben Wawe]

Heroes in Crisis #3
Tom King décide dans ce numéro de stopper l'enquête au présent pour revenir sur le Sanctuaire - autant son fonctionnement, en creux, que le déroulé des événements dramatiques.
Il passe, pour cela, par l'analyse de trois "thérapies", sur Lagoon Boy (qui ne se remet pas des événements traumatisants du one-shot Titans East il y a des années, avec déjà son lot de morts choquantes [et gratuites]), sur Wally (qui ne se remet pas de la perte de sa famille) et sur Booster Gold (qui... est fou dans la caractérisation de Tom King depuis les épisodes de Batman avant le #50). Et ça fonctionne très bien.
L'auteur est vraiment à l'aise dans l'évocation des traumatismes des personnages, et a de bonnes idées sur les thérapies proposées par le Sanctuaire. On découvre, en soi, son fonctionnement, et ça a beaucoup de sens... même si je trouve quand même cela très "froid", très clinique, très inhumain ; je suis surpris que Diana ou Clark aient accepté cela, ce manque d'humanisme, d'humanité. Ca me fait tiquer.
Après, le numéro est très bon, mais terrible. Heroes in Crisis est une lecture difficile, fondamentalement pessimiste et dépressive, voire déprimante. Tom King gère très bien ses personnages et les traumatismes, semble faire avancer l'enquête mais je n'y crois guère - pas aussi vite, pas au 3/9.
Clay Mann, Lee Weeks et Tomeu Morey ont des styles qui se fondent bien les uns avec les autres, et c'est très joli ; mais ça demeure une lecture brutale, psychiquement violente. Je suis curieux de voir où ça ira - mais je pense que l'ensemble ne me plaira pas.
Pas objectivement, car cela aura sûrement des qualités ; mais subjectivement, je ne pense pas que DC ait "besoin" d'une telle histoire, et je ne suis pas dans la période adéquate pour cela. Mais soit, je lirais, même si je pressens le cataclysme émotionnel par ici.

[JB]

Merci de partager ces retours. Selon ta description, cela a quand même l'air moins gratuit qu'Identity Crisis par exemple. Je reste curieux.

[Ben Wawe]

Hum, je ne saurais pas encore dire.
Je n'ai pas aimé Identity Crisis, que je trouve sur-côté car il repose sur un whodunnit qui ne tient pas à mon avis. Et l'idée d'avilir la période dorée du Silver Age par du glauque me gêne.
Mais Heroes in Crisis débute - et tue, gratuitement, plusieurs personnages jusque-là. J'attends de voir le responsable, mais l'ampleur des décès me semble abusive ; à voir.

Disons que c'est quand même plus profond que Identity Crisis : IdC était un whodunnit basé sur un secret inavoué, Heroes in Crisis plonge dans les traumatismes des héros, qui se lâchent et s'écroulent au Sanctuaire. C'est plus profond, plus psychologique, plus crédible et réel (je pense que les soldats, policiers, pompiers sont dans le même état de fond) ; mais bien plus dur à lire, aussi, car bien plus "réaliste".

[Ben Wawe]

Return of Wolverine #3
Troisième épisode sur cinq de la mini-série, intitulée "Purgatoire", où Logan déboule dans une ville contrôlée par l'ennemi, est retrouvé par les X-Men, mais finit par les affronter et par lâcher sa "bête" intérieure, en étant manipulé par... je ne sais pas, peut-être des souvenirs implantés.
Bref. C'est nul.
Mais vraiment nul, hein. Je sauve un, voire deux dialogues (d'Ororo, au début), et peut-être l'idée de "catégoriser" les souvenirs de Wolverine dans une prison mentale (la cellule du Logan X-Man, la cellule du Logan Patch, la cellule du Berserker)... et les dessins de Declan Shalvey, peu inspiré mais propre et efficace. Et c'est tout. ET. C'EST. TOUT.
Charles Soule n'est pas un bon scénariste, mais peut faire du travail lisible, "propre" ; pas ici. C'est nul. C'est juste complètement nul, absolument inintéressant, volontairement complexe. Rien n'a du sens, ici, rien n'est intéressant, rien n'est pertinent.
Je n'aime pas dire ça, mais c'est vraiment de la merde. Et si c'était rigolo au début, de voir ce naufrage industriel, la blague ne prend plus quand c'est continuellement naze. Je lirais la suite, mais il est évident que cette "intrigue" ne s'arrêtera pas ici, et perdurera ailleurs... jusqu'à ce que Marvel sente qu'ils seront allés trop loin. Mais vu que ce genre d'événement vend, ce n'est pas prêt de finir.
Bigre. Pauvre Logan. Même dans ses pires moments de surexposition, il ne méritait pas ça !

[Ben Wawe]

Fantastic Four #4
Dan Slott termine ici la saga du retour des Fantastic Four - après un état des lieux de Johnny & Ben seuls, après une explication de ce que les Richards & la Future Foundation ont fait ainsi que la menace ennemie, et après le combat contre cette dernière, voici le temps du retour... et des au-revoirs. L'auteur a l'intelligence de trouver une solution logique et pertinente pour la Future Foundation, et les F.F. rentrent, pour permettre de se réunir, faire un peu le point - et annoncer leur retour, même si les Fantastix veulent s'imposer.
Bon. C'est rigolo. C'est gentil. C'est mignon.
C'est sympa... mais c'est un peu tout.
Dan Slott gère très bien ses personnages et ses caractérisations, mais tout ça est franchement gentillet. Même les bagarres Johnny/Spidey, ou la confrontation avec le Wrecking Crew - c'est mignon, hein, ça fait sourire, mais c'est quand même très limité. Très sage, en fait.
D'autant plus que, même si Marvel Two-in-One en parle, j'ai beaucoup de mal à "accepter" ou à trouver logique les réactions de Ben & Johnny... qui se réjouissent et acceptent le retour des Richards, sans avoir le moindre moment de rancune envers ceux qui, finalement, leur ont fait croire à leur mort, et leur ont menti. Franchement, ça me fait tiquer.
En dehors de ça, c'est une lecture sympathique, mais très sage, très limitée ; ça se lit très bien, mais c'est vraiment très sage, mignon, gentil. L'effet est multiplié par les dessins de Stefano Caselli & Nico Leon, qui font ce qu'ils peuvent mais apparaissent "en rush", sûrement vu les délais.
En soi, cette relance est bonne et efficace - mais extrêmement cadrée, très gentille, mignonnette. J'attends de voir la suite, mais j'espère que ça commence à bouger plus...

[Ben Wawe]

Action Comics #1005
Brian Bendis a, récemment, livré un très bon épisode de Superman, un titre que je trouvais très faible jusque-là ; notamment en comparaison d'Action Comics, série centrée sur le journaliste Clark Kent, où son talent s'exprimait jusque-là mieux et avec plus de constance.
Cet épisode confirme, encore, que ce titre et cette orientation fonctionnent très bien avec Bendis.
Celui-ci parvient à très bien caractériser la criminalité de Metropolis, et a quelques idées fort pertinentes (ne pas prononcer certains mots / la salle de réunion en plomb / etc.), et s'empare idéalement de Question, joliment réintroduit ici. Mais, surtout, il caractérise fort bien Clark Kent en journaliste, et n'attend pas trop longtemps avant de révéler l'identité de Red Cloud... pas surprenante, mais l'événement est bien amené.
En créant un casting secondaire neuf, mais plutôt solide, le scénariste s'en sort vraiment bien, ici. La lecture est fluide, agréable ; intrigante. Mission accomplie, son run est bon et je suis curieux de lire la suite.
Francis Manapul et Ryan Sook se partagent les dessins ici, tous deux ne sont pas à leur meilleur niveau, loin de là, mais ils assurent le minimum ; ça pourrait être mieux, mais ça va encore. Cela accompagne bien une lecture qui, je le répète, me plaît bien. Content d'attendre le prochain numéro.

[Ben Wawe]

Uncanny X-Men #3
Ho, bon sang : ça démarre.
Au troisième numéro, Brisson/Thompson/Rosenberg font ce qu'ils auraient dû faire dès le #1, à savoir finir sur un cliffhanger choquant et surprenant, qui mérite des explications et fait monter la tension. Bon, clairement, une partie de ce cliffhanger a été déjà vu maintes fois, mais... le tout a un certain effet, intrigue et donne envie de voir la suite ; ce qui n'était pas le cas jusque-là.
Le trio d'auteurs livre un numéro correct, qui commence enfin à donner des réponses à des questions qui ne semblaient guère passionnantes. L'explication sur les Multiple Men est plutôt cohérente, la gestion de Legion surprend mais intrigue, et les relations entre X-Men "adultes" et leurs anciens élèves/jeunes X-Men sont toujours un des (rares) points forts de ce Disassembled. Je demeure assez troublé de voir une telle mise en avant de Bishop (surtout après sa caractérisation après Messiah Complex), mais le tout "passe" plutôt bien.
Yildiray Cinar est bon, ses planches sont efficaces, mais l'encrage est un peu gras ; ça n'est pas forcément gênant, l'épisode demeure bon... très surprenant sur son final, mais bon ! Quel dommage que ça ne se lance que maintenant !

[Slobo]

Lu en première position dans ma pile et pris au dernier moment car totalement non prévu :

DC Nuclear Winter Special 1

Rip Hunter, time master in "The nuclear winter special" (Mike Russell à l'écrit et Mike Norton au stylo)
Il est ballo ce Rip Hunter, il est partit sans charger sa time sphère et doit attendre qu'elle se recharge. Sauf qu'il est dans un futur apocalyptique face à trois affamé qui veulent le bouffé avant que Rip ne leur propose de leur raconter des histoire.
Avis :
Entre la machine à remonté le temps et les milles et une nuit (Rien n'a voir avec l'affreux arc des exiles) en essayant de leur rappeler l'esprit de Noël. Sympathique et drôle et on se dit que face à ses trois looser si Rip n'utilise ni la force ni les armes c'est pour pas les blesser, eux. Et je le crois quand il dit qu'il se sentait seul (Après tout il a plus papa dans les pattes depuis Tom King).
Les dessins sont très bon aussi ce qui ne gâche rien.
Batman 666 IN "Warmth" (Collin Kelly & Jackson Lanzing à l'écrit secondé par la fine fleur - Guiseppe Camuncoli au papier crayon et Cam Smith à l'encre de chine)
Damian marche seul dans le gotham dévasté par son funeste choix. Et il va faire face à son grand père qui veut le mettre face à ses responsabilités de ne pas l'avoir écouter. Ainsi que de le forcer à le tuer.
Avis :
Pas désagréable, même si cela ne sera pas mon préféré. L'histoire est très solide cependant avec un Damian, pardon un Batman au petit onglon. Coté dessin c'est vif, ça tranche sec et c'est beau.
Superman One Million in "Memory Heart" (Steve Orlando à l'écrit, Brad Walker au crayon papier et Drew Hennessy au rotring)
Superman va visité Martian Manhunter sur la futur mars et lui compté sa dernière aventure qui à un lien avec eux deux dans le passé.
Avis :
Un peu construit bizarrement mais vraiment très jolie. Par contre superman One million peut non seulement voir, mais aussi voyagé dans le temps

et supprimé un souvenir au martian manhunter

Je suis contant que cette version de sup ne soit pas oublié mais fait ce demandé si comme pour les titres crossover à Warner cela ce passe pas dans l'univers près Flashpoint. J'ai beaucoup aimé l'idée du Martian Manhunter futur, je crois pas qu'on l'avais vu dans 1 millions mais je peux me trompé. La fin avait un très belle émotion.
The Flash in "Once and Future" (Jeff Loveness à l'écrit, Christian Duce au Stylo)
La justice league fait face à une alliance de méchant qui les marrave sévère et comme si c'était pas suffisant Zoom s'invite à la fête forçant Flash à se sacrifié pour sauver ses amis. Depuis il est enfermer dans un monde d'où il ne peut sortir mais où il peux voir ce qui arrive sur terre avant qu'une porte de sortit vers un ailleurs lui soit offert.
Avis :
C'est pas que se soit moche mais c'est le style qui m'a moins plu, peut être dû à l'encrage. L'histoire ne m'a pas emballé non plus.
Supergirl in "Last Daughter" (C'est pas surprenant Tom Taylor à manoeuvre ; Tom Derenick Breackdown ??? et Yasmine Putri Line art)
Crédité avant le Aquaman mais placé pourtant après.
Dans un monde dévasté ou une couche épaisse cache le soleil, Kara à baisé en niveau de pouvoir, mais le fait de trouvé une fillette va la pousser à se dépasser pour la sauver.
Avis :
Vraiment le plus beau des récits même si j'aurait pas fini comme ça.

Le parallèle entre les destins de Kara et de la fillette est énorme et aurait été d'autant plus beau si Kara ne l'avait accompagné.

Le graphisme m'a fait pensé à du Kindom comes
Aquaman in "Where the Light cannot reach" (Mairghread Scott à l'écrit, Dexter Soy aux pinceau)
Deux scientifique viennent demander l'aide d'aquaman pour trouver le dernier espoir des humain dans un monde dévasté. S'il n'y a peu d'espoir et malgré les risque, l'ex roi d'atlantis accepte. Un récit à suivre.
Avis :
Pas emballé au début, il m'a gagné petit à petit. On sent pas bien le danger pour Arthur qui parait un peu pleutre d'avoir accepté malgré lui. Son cauchemar c'est peut être faire face au ruine d'Atlantis plus qu'au monstre marin, mais on ne ressent pas bien l'impact de l'un ou l'autre. Ou trop peu. A la fin j'en veux plus. Je serais curieux de voir ou ça mène. Graphiquement j'adore Soy. Arthur ne m'avait pas autant plu depuis John/Reis.
Firestorm in "Last Christmas" (Paul Dini est décidément une bible DC, Jerry Ordway aux pinceaux)
La justice League envoie Firestorm enquêter sur une résurgence d'énergie atomique dans un ex-parc d'attraction d'un monde post-apo.
Avis :
Je me disais ouai, ne connaissait pas la famille Nucléaire et donc m'en fichait un peu, et en quelque page j'ai été investie au point d'être triste pour cette famille et quel belle fin, merci Mr Dini. Allez parce que j'ai envie de bougonné un peu j'aurais pas dit non à une petite larmes, parce que les androïdes pleur aussi ^^ ... J'ai adoré le style d'Ordway qui est complet et très bien fait. Merci à lui aussi qui a réussit à me faire entré dans son monde.
Kamandi in "Northern Lights" (Phil esther à sortit ses crayon pour écrire et dessiner, Ande Parks à l'encre de chine)
Kamandi est trouvé par des ourse qui vont le prendre avec eux et le traité humainement jusqu'à ce que le père chef de meute vienne un peu gueuler ce qui va mener Kamandi à l'affronté. J'ai aimé le graphisme qui est pas le meilleur mais fait le travail. Et puis j'ai beaucoup aimé ses ours.
Avis :
J'avoue celle que j'ai moins aimé, au point de pas être sur que se soit le père ou qu'il a l'arme du père qui en fait le chef de meute. La fin est pas mal, facile mais pas mal. J'ai tenté de chercher les signe avant coureur de la résolution qui amène a Electric Warriors mais je suis plus sur que les ours était nommé dans les races plus éclairé. Les poulpes par contre je suis sur mais là y'en avait aucun ^^
Catwoman in "Night Lives" (Cecil Castellucci à la machine à écrire, Amancay Nanhuelpan au stylo)
Sophie et Sélina dans un Gotham Ravagé. Des deux Catwoman on va suivre la majeur qui part chercher des paquets d'aide.
Avis :
J'ai pas réussit à m'investir surement parce qu'au début j'ai cru à une veille version du perso vu que Sophie me parle près Flashpoint, sauf que plus loin Catwoman revet son costume récent ou on vois ses aiselles le précédent était plus classe. Du coup j'ignore si ce qu'elle a fait est bien ou mal, si ça va pas manqué à des gens ses kits. Désolé. Graphiquement j'ai pas aimé.
Green Arrow in "The birds of christmas past, present & future" (Dave Wielgosz se croit scénariste, Scott Kollins au pinceau qui renverse la vapeur)
Ollie c'est fâché avec l'équipe et a quitter (C'est fait viré) de la ligue du coup bam plusieurs son mort et apocalypse. Du coup fête chez Hawkman bien plus tard et il est pas content d'y voir son ex (Qui a fait sa vie sans lui) mais va lui parler ... Je peux vomir ? Graphiquement du lourd Dinah vieillissante toujours superbe, Ollie vieillissant à une prestance dès qu'il l'a dans ses bras. Kollins rule.
Notation générale (Mon général)
Couverture - Bien sympa même si les seules histoires qui se rapproche en terme d'ambiance sont celles de Batman 666, Kamandi (Mais parce que c'est l'hiver) et Catwoman. Les autres semblent avoir des raisons différentes à leurs apocalypses au look eux aussi très différents. Ah oui est Harley a était la raison du pourquoi je ne l'ai pas pris et n'était pas dedans heureusement. Comme quoi. 1/2
Scénario - Et bien pour le prix je ne me sens pas volé. Y'a du très très bon. Je veux plus de ce Aquaman. Damian rule comme souvent dans sa période 666. J'ai faillit pleuré trois fois (Superman, Supergirl et Firestorm) 2.5/3
Dessins - Y'a du lourd du costaud, du wahou, ce qui fait que ceux moins bon mais assez bon quand même paraissent en dessous. Fortement injuste car franchement c'est le haut du panier graphique qu'on a là. 2.5/3
Sentiment - Chaudement recommandé. J'en attendait rien, j'ai bien ri, j'ai été triste, j'ai apprécié pratiquement au moins un truc dans chaque histoire et je suis amoureux de plusieurs d'entre elles. 2/2
8/10