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Critiques VERTIGO-WILDSTORM–ABC VF d'août 2007
Certains échos rapportent le succès en librairie de la gamme Vertigo-ABC-Wildstorm de PANINI. Réjouissons-nous, la qualité étant, le plus souvent, au rendez-vous.
En ce mois d'août, précipitons nous sur : 100% VERTIGO : Y : LE DERNIER HOMME 5 100% WILDSTORM : AUTHORITY - HUMAINS MALGRÉ TOUT Je viens de les acheter et les quelques pages d'Authority que j'ai lu sont des plus prometteuses. De son coté, Yorick arrive à un tournant de ses aventures. Je dévore et je développe incessamment sous peu! Le trid étant ouvert, je n'ai plus le choix! Et vous, votre avis? |
#2
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100% WILDSTORM : AUTHORITY - HUMAINS MALGRÉ TOUT John RIDLEY – Ben OLIVER Le retour d’Authority était l’évènement du mois d’Août à marquer d’une pierre blanche. La mini-série «Humains malgré tout » promettait d’apporter un regard différent sur les personnages de Warren Ellis. Les commandes du Porteur sont confiées à John Ridley, connu entre autre comme scénariste pour le cinéma sur le film « Les rois du désert », film qui interrogeait de manière caustique et décalée la présence des USA en Irak. Pour l’occasion, on lui adjoint les crayons de Ben Oliver qui a auparavant oeuvré sur Ultimate X-men. Le récit de Ridley se passe entre le dernier arc du volume 1 d’Authority, Brave New World, et Reality Incorporated, qui ouvre le volume 2 de la série régulière. Les francophones pourront donc ranger ce 100% Wildstorm entre les Semic Books 4 et 5 consacrés à Authority. Ridley fait le pari de quitter les sentiers battus de la surenchère gore et du blockbuster hollywoodien pour approfondir les caractères et les faiblesses de chacun des membres d’Authority pour mieux remettre en cause la toute puissance auto-proclamée de l’équipe. Un peu de profondeur et de sens ne pouvaient pas nuire à la série et la caractérisation des personnages ne s’en porte que mieux. L’histoire débute par une journée odinaire d’Authority qui évite une III° Guerre Mondiale en deux menaces, trois sarcasmes. Le lecteur, familier ou novice, se trouve aussitôt en terrain rassurant, et c’est de ce terreau que Ridley fait surgir la seule menace susceptible de faire vaciller les certitudes des membres de l’équipe. Ridley mène son travail de sape avec subtilité entre combat sanglant contre des puissances inédites et redoutables et guerre psychologique qui met en péril le sort de toute l’humanité. A ce niveau du récit, on s’attends à une conclusion cataclysmique doublée d’une leçon de vie sur la notion d’humanité. Ridley peine hélas à tenir toutes ses promesses. Si la conclusion attendue illustre bien son propos, on le sent comme soudain à son tour saisi par le doute de pouvoir réparer les jouets qu’il vient de briser avec délectation et pressé de mener l’histoire à son terme dans la place qui lui est impartie. La dernière partie est donc cousue de fil blanc et étonnamment naïve pour un récit d’Authority et au vu des ambitions affichées préalablement. La conclusion, elliptique pour ne pas dire confuse, est aussi frustrante par le peu de cas qui est fait d’un personnage astucieusement remis au premier plan mais cavalièrement renvoyé dans les cordes. Pour ce qui concerne la partie graphique de l’affaire, il est étonnant de constater que sa qualité évolue en parfaite symétrie avec le scénario. Ben Oliver ajoute son ambition graphique aux ambitions scénaristiques de Ridley et semble confronté aux mêmes difficultés en matière de conclusion. Il livre de belles planches d’abord bien soutenues par les couleurs élégantes de Wendy Broome et Randy Mayor, puis ses décors que nous qualifierons pudiquement d’épurés semble se vider totalement dans les dernières planches. La partie Parisienne du récit montre un manque total de documentation que ce soit au niveau de la ville ou des uniformes. Le combat final fait assez pâle figure comparé à celui qui, quelques pages plus tôt, apportait le chaos au sein d’Authority, et le manque total de charisme de la Nemesis du jour tombant là comme un cheveu sur la soupe ne fait qu’affadir un peu plus la conclusion de l’histoire. Malgré les réserves exprimées sur sa conclusion, « Humains malgré tout » reste une histoire qui a le mérite de tenter d’apporter un ton nouveau à «Authority » bien qu’elle ne tienne pas toutes ses promesses. La lecture en reste cependant agréable au regard du soins apporté à sa création par ses auteurs et par le plaisir de retrouver Hawksmoor, Midnighter, Apollo, Le Docteur, L’ingénieur et la petite Jenny Quantum ainsi qu’un invité surprise. |
#3
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Partout j'ai entendu que ce GN était bof. tu ne fais que me réconforter dans ma décision de ne pas l'acheter.
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"Veuillez ne pas tenir compte de ses élucubrations post-modernes. Merci, bonsoir. |
#4
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Ca semble être le sentiment général qui va de "bof" à "mouais y'a pire mais bon...".
Doop nous donne son avis avec son talent habituel là : Crit.Doop n°26: X,violence,cynisme,bonnes surprises et "welsh bashing" |
#5
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Perso, j'ai bien aimé, pour une raison qui n'emportera sans doute que mon adhésion : j'ai l'impression qu'après les excès de Millar, Ridley essaye de corriger l'attitude de The Authority, sans que cela ne soit finalement pris en compte par ses successeurs.
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Rétrospective Captain Marcel sur mon blog Marcel Duo : Le Sage et l'Impétueux : Sergent Marcel et Adam Space contre ... Djokessada ?!?, avec Tandhruil. Sergent Marcel : Rapports non protégés : une BD cosmique avec Satanispunkrocker Mes gros sabots sont sur Twitter : https://twitter.com/Caducite Dernière modification par Mycroft ; 28/08/2007 à 22h23. |
#6
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hélas, pour moi, la fin n'est pas à la hauteur, mais l'intention était bonne, effectivement. Dans mon souvenir, Robbie Morrison et Dwayne Turner n'en tenait aucun compte et ce n'était pas non plus transcendant. Il faudrait que je le relise. On a jamais eu les épisodes 6 à 14 du vol.2 en VF d'ailleurs. |
#7
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Robbie Morrison essayait de faire du Millar sans y parvenir. et c'était grossier, comme Millar, mais sans son talent.
Le volume 2 est vraiment moyen. Revolution, je sais pas, je n'ai pas lu. mais les critiques étaient plutôt bonnes.
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"Veuillez ne pas tenir compte de ses élucubrations post-modernes. Merci, bonsoir. |
#8
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Y The last man 5
Lors de ma lecture du dernier volume, j'avais du m'y reprendre à 2 fois pour le trouver passable. Cette fois-ci, pas d'embrouille, je retrouve tout ce qui était bon dans la série. Suspens, flashbacks utiles et bien intégrés, c'est avec un plaisir non dissimulé que j'ai dévoré ce volume 5. Nous voila donc presque au milieu de l'épopée de Yorick et d'esperluette, et tout ne semble tourner qu'autour d'une chose: le passé. Entre la soeur de Yorick, l'anneau déstiné à Beth, la mère du docteur, étrangement, se récit avance dans le temps tout en regardant vers l'arrière. Toujours déssiné merveilleusement par Pia Guerra, notre dernier homme qui n'est plus le dernier continue sa quête pour retrouver son namoureuz, et maintenant son singe. Il se rapproche enfin de l'Australie, on découvre pourquoi il a survécu meme si on ne sait pas exactement ce qui a tué les autres hommes,vraiment un bond en avant dans ce volume. Un soulagement pour moi apres mes doutes de la fois derniere. Un tres bon comics, mais lisez le plutot pour en savoir plus, moi j'arrete la, j'ai l'Omnibus Buffy #2 qui m'attend!!!
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je fais mon gougoune et je reviens uneviedestar.free.fr |
#9
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Ouais il est vraiment pas mal ce volume 5 de Y. Des révélations, de l'action, du suspense, une ninja, des espionnes rénégats et Yorick comme toujours un peu paumé au milieu de tout ça. Ah oui j'adore la raison de la survie de Yorick! Bref, 8 épisodes qui se dévorent.
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#10
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Y the last man est ma serie non super hero préférée !!
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#11
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Pis Humains malgré tout est moins bof que ça quand meme.
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#12
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moi c'est presque mon super héros préféré!!
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http:\\espritludique.fr Ce à quoi le grand Timonier de la pensée post-moderne débarque, Nicoalk13 toujours à poser les bonnes questions, au bon moment. C'est la marque de ces gens dont on dit sans pudeur "qu'ils dérangent". |
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