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  #91  
Vieux 20/04/2018, 16h38
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Je vais le lire ce Kick-Ass en Vf et j'espère qu'il est aussi bien que tu le dis.
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Supermatou ! https://www.youtube.com/watch?v=r6PkiI2LNWM
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  #92  
Vieux 20/04/2018, 16h43
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Je vais le lire ce Kick-Ass en Vf et j'espère qu'il est aussi bien que tu le dis.
Je le préfère en tout cas à la précédente version. L'héroïne est plus intéressante tout simplement. Et Millar et Romita Jr fonctionnent parfaitement (Romita performe mieux que tout ce qu'il a fait ces derniers mois, on sent que Millar écrit sur mesure).

Bon, après, ce n'est pas révolutionnaire. C'est juste très efficace. On voit bien que le Millarworld se divise en deux : d'un côté les comics classiques, où Millar s'amuse avec ses créations ou revisite des genres qu'il apprécie en compagnie du gratin des artistes ("Starlight", "Chrononauts", "Emress", "Reborn"...), et de l'autre des projets ambitieux, avec plusieurs "books", où là il réfléchit sur le genre super-héroïques ("Jupiter's Children/Circle", "Wanted").
"Kick-Ass", c'est le lien entre ces deux tendances : de l'entertainment mais avec cette figure du "real life super hero".
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  #93  
Vieux 20/04/2018, 16h44
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Skyward 1
Image ; Scénariste Joe Henderson ; Artist Lee Garbett.

Pitch :
Vingt ans plus tot la petite Willa a été mise dans son berceau pas son père alors que sa mère partait courir. Et c'est ce jour là que la gravité ses arrêter de fonctionner et que sont père n'a pu secourir sa femme à temps. Vingt temps plus tard Willa aime parcourir le ciel en volant pour distribuer ses colis. Son père aurait préférer la garde à la maison mais Willa a soif de découverte même si c'est dangereux.
Avis :
Couverture - Sympa et bien dans l'esprit. 2/2
Scénario - J'ai beaucoup aimé même si j'ai trouvé ça un peu rapide vu qu'il y a pas mal de page sur l'incident d'il y a vingt ans avant de passer à aujourd'hui. Du coup on a une fausse impression d'assez peu avec Willa. 3/3
Dessins - Sublime, j'ai beaucoup aimé. Willa et sa maman sont juste superbe. 3/3
Sentiment - J'ai juste peur du mois en mois de Image. Je veux faire la suite, mais ça mérite le TPB a garder dans ma collection. 1/2
9/10
J'avais envie de l'essayer, celui-ci, mais tu m'as convaincu. Je vais le choper et voir ce que ça vaut.
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  #94  
Vieux 20/04/2018, 19h25
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Rassures-toi, ce n'est pas le cas
Ah bah j'avais bon alors. J'ai cru au départ que c'était jon et Lois en survolant, puis j'ai vu la plaque et compris que c'était lui et ses parrent. Et en lecture j'ai vu qu'il parler de jon. Mais j'étais un peu user par les autres histoire du coup je m'y suis pas vraiment intéressé.
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  #95  
Vieux 20/04/2018, 21h37
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GIDEON FALLS #2

W : Jeff Lemire
P, I : Andre Sorrentino
C : Dave Steward


Après un premier numéro double mais un peu cryptique Jeff Lemire passe à la vitesse supérieure avec la suite des aventures de Norton et du père Quinn.
Un deuxième numéro bien fourni donc qui démontre que le premier était surtout là pour installer des atmosphères (mystérieuse et surnaturelle), des personnages (Norton et sa psychologue Xu, le père Quinn) et deux lieux différents. Mine de rien on se rend compte avec la lecture de cet épisode que Lemire nous a beaucoup donné d'élément surtout sur le contexte présent et le passé des personnages, troublés. Ce sont des personnages Lemirien dans le sens où on reconnait des écorchés vifs et des hommes ordinaires qui se sont mis en marge de la société par leur action. Pas besoin de revenir dessus et on attaque direct avec les répercussions de l'apparition de la grange noire au père Quinn et ses répercussions auprès de la police locale qui a du mal à croire aux élucubrations d'un berger de dieu surtout quand il prêtent que les morts n'en sont pas. Là où Lemire fait fort, dans le sens où sa narration semble moins dilué que sur d'autre de ces comics qu'il écrit, c'est que l'histoire avance en laissant encore plein de lien manquant : cela se passe t-il à la même époque ? la grange est elle la même ? Et je remets une pièce dans le flipper avec un autre personnage qui voit également la vision de la grange noire... donc une nouvelle piste tient comme un personnage qui ré apparait enlevant là également de nouvelles certitudes à des hommes cartésiens.

On a l'air parti pour un comics plus complexe qui n'y parait mais qui me rappelle Outcast de Kirkman mais en plus développé. Graphiquement Dave Stewart fait un bien fou aux dessins d'Andrea Sorrentino, solide et rapide dessinateur et surtout complice de Jeff Lemire (Green Arrow, Old Man Logan) qui a abandonné les effets de style dans la composition de ces planches pour adopter une relative sobriété qui sied bien à l'histoire me rappelant les New Mutants ou Moon Knight de Bill Sienkiewicz.

Bref une excellente lecture qui m'emballe littéralement et me donne surtout envie de lire la suite sur un genre qui n'est pas forcément ma tasse de thé pourtant. Lemire a haussé son niveau, j'espère qu'il maintiendra la qualité de cette entrée en matière pour la suite.
Tant mieux car du coup le 1 m'a laissé hyper dubitatif
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  #96  
Vieux 21/04/2018, 16h12
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Voici un titre auquel je n'aurais pas prêté attention si un collègue critique (Slobo) n'avait écrit une critique louangeuse à son sujet. Mais, comme ma consommation de comics Marvel se réduit, je deviens à nouveau curieux de ce que produisent des éditeurs comme Dark Horse (avec Black Hammer et ses dérivés) ou, en l'occurrence, Image. Et le n° 1 de Skyward est vraiment accrocheur, avec son argument simple et original.


Ne cherchez pas ce qu'a pu écrire Joe Henderson auparavant : Skyward est sa première production et elle le savoir-faire avec laquelle il la mène donne un aperçu très prometteur de ce dont il est capable. On comprend sans mal pourquoi Image Comics a accepté son projet, qui ne s'inscrit pas dans le registre des super-héros, mais mixe du fantastique et de l'étude de caractère.

Le moins qu'on puisse dire, c'est que là où beaucoup d'auteurs, jeunes ou moins jeunes, démarrent doucement et ne dévoile leur jeu que très progressivement, histoire de faire mousser leur intrigue, Henderson, lui, part pied au plancher, il n'a pas de temps à perdre et refuse que le lecteur se pose des questions qui risqueraient de l'égarer.

On ignore bien sûr pourquoi la gravité a été si subitement altérée mais au bout de vingt pages, le père de l'héroïne affirme déjà avoir trouvé un moyen de la rétablir ! Entre temps, Willa, la protagoniste, est présentée avec tonus dans une succession de scènes dont le rythme colle à son tempérament à la fois enthousiaste, hardie et rebelle. Elle rigole de la bizarrerie d'un panneau de signalisation trouvée par son amie Joan, devenu obsolète désormais ; puis surgit chez Edison (beau garçon handicapé pour qui elle en pince mais avec qui elle communique en commettant impair sur impair) et le remplace pour livrer un colis. Celui-ci est rapidement convoité par deux voyous dont elle se débarrasse avec audace et adresse. Et, enfin, donc elle débarque chez son père.

Mais, en vérité, quoi de plus naturel que cette narration aérienne pour une histoire où désormais tout le monde se déplace dans les nuages, en devant manoeuvrer avec délicatesse pour ne pas s'envoler ? Le brio du scénariste, ici, c'est de coller sa manière de raconter à la condition du monde qu'il décrit, avec légèreté mais sans insouciance excessive. Il se dégage de ces pages quelque chose de grisant et de dangereux qui fait tout le sel de l'épisode.

En filigrane, se dessine aussi l'histoire d'une famille décimée : on assiste avec Billy Fowler à la disparition insensée de sa femme pour le retrouver, vingt ans après, hanté par cette scène et voulant à tout prix protéger sa fille pour ne pas la perdre. L'absence de gravité physique compensée par la gravité du passé. Habile.

Lee Garbett a un C.V. plus fourni que son scénariste mais, jusqu'à présent, j'étais sévère avec lui. Très influencé par Olivier Coipel, son style n'en avait ni la puissance ni l'intensité. Il y avait quelque chose de lisse chez lui, d'inabouti, qui semblait le condamner à n'être qu'un de ces seconds couteaux de plus, appelé pour remplacer ponctuellement un artiste plus doué mais fâché avec les cadences mensuelles, ou désignés pour dessiner une série dont on ne donnait pas cher du futur (comme en témoigna sa prestation sur une version de Ghost Rider).

Et puis Garbett a relancé avec la scénariste Holly Black le titre de Mike Carey, Lucifer, chez Vertigo en 2016, et a entamé sa mue. Son coup de crayon s'est comme libéré, s'affranchissant des influences, s'éloignant d'un réalisme classique, s'adaptant au sujet. Il a enchaîné une vingtaine d'épisodes avant l'arrêt de la série, prouvant sa régularité.

Et cette métamorphose trouve son accomplissement avec Skyward où son enthousiasme est visible et communicatif. Tout est bon, à sa place, dosé idéalement avec un découpage nerveux, une lisibilité impeccable, une inventivité vivifiante. Lui aussi semble planer sur ses planches avec des personnages dont il n'hésite pas à pousser l'expressivité ou des compositions qui font ressentir l'anormalité grisante de l'environnement.

Indéniablement, c'est une réussite, qui ne demande qu'à être confirmée. Mais tout porte à croire que Joe Henderson et Lee Garbett en ont gardé sous le pied...
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  #97  
Vieux 21/04/2018, 16h14
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Avec son titre menaçant et épique, Fall of the House of Kane, le nouvel arc narratif développé par Marguerite Bennett depuis le mois dernier a des allures de baroud d'honneur, de climax après un an d'écriture qui ont confirmé le talent de la scénariste. Cette deuxième partie ne déçoit pas, au contraire, montant encore d'un degré, avec la contribution toujours épatante de Fernando Blanco au dessin : Batwoman vaut plus que jamais qu'on s'y engage.


Avec le recul dont le lecteur dispose désormais sur la série, on peut clairement décrire la construction narrative de Marguerite Bennett : c'est un jeu de dominos où la chute de chaque pièce entraîne celle de la suivante et, in fine, dévoile un motif plus global, général, le plan machiavélique, ourdi de longue date, patiemment, cruellement, davantage par Tahani que par Alice. L'objectif n'est pas tant Batwoman que Gotham car en attaquant Gotham, c'est de toute façon Batwoman qu'on dépasse et terrasse.

Le mobile de tout cela est moins la vengeance, dans sa forme classique, que le dépit, ou la revanche, car Tahani considère explicitement que Kate Kane lui a pris ce que lui appartenait et elle riposte en faisant de même. Tahani était la maîtresse de Safiyha Sohail, résidente de l'île de Coryana, membre d'une organisation florissante de pirates : tout cela a été compromis, détruit et subtilisé par Kate devenue l'amante de Safiyha, sa remplaçante au sein du cartel, l'invitée sur l'île. En étant préférée par Safiyha à Tahani, Kate est devenue, sans le vouloir, sans en mesurer les conséquences, son ennemie.

Finalement, les amours saphiques des trois femmes au coeur de cette saga deviennent presque secondaires car Marguerite Bennett les traite sans avoir besoin d'insister : la haine, sans retour, a pris place et a présidé à un règlement de comptes qui trouve ici sa scène finale, son apothéose. Mais avec une dose de perversité et de cruauté supplémentaire puisque Alice est devenue l'ultime pièce du dispositif imaginé par Tahani : quoi de plus savoureux pour une méchante que d'utiliser la soeur de son adversaire pour justement la châtier ?

Fernando Blanco aura été l'autre grande révélation de la série, qui, après le départ de Steve Epting, aurait pu sombrer visuellement. Mais ce dessinateur a su relever le défi de passer après un confrère plus expérimenté, connu et impressionnant, et s'approprier l'héroïne et ses aventures en lui consacrant autant de soin.

La régularité de Blanco est d'autant plus saisissante que l'artiste épate par l'allure de ses planches. C'est un esthète complet, qui sait installer une ambiance forte, détaille ses décors sans étouffer ses compositions, insuffle du mouvement avec un découpage toujours intelligent et varié, maîtrise les designs, et profite de sa complicité avec le coloriste John Rauch.

Quand il cède à des effets plus convenus, comme l'usage de doubles-pages, il le fait avec à-propos pour servir une idée, un tournant dramatique, dynamiser une scène, et non pour se reposer un effet spectaculaire. C'est vraiment jubilatoire de lire un comic-book aussi bien fait : classique peut-être, mais avec classe.

Le cliffhanger est palpitant à souhait et on va compter les jours pour savoir si la "chute de la maison Kane" est effective ou pas.
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  #98  
Vieux 21/04/2018, 18h20
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Indéniablement, c'est une réussite, qui ne demande qu'à être confirmée. Mais tout porte à croire que Joe Henderson et Lee Garbett en ont gardé sous le pied...
contant que tu es aimé autant que moi. Perso je vais attendre le TPB.
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  #99  
Vieux 21/04/2018, 20h39
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Vieux 22/04/2018, 16h29
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En ce beau Dimanche d'Avril, je consacre cette entrée au millième numéro de la revue Action Comics qui célèbre aussi les 80 ans de Superman. Et pour l'occasion DC Comics a mis les petits plats dans les grands en publiant à la fois un gros album retraçant la carrière du Man of tomorrow et ce fascicule de 80 pages (qui ne figure cependant pas au sommaire du recueil précité !) avec onze histoires par quelques grands noms au générique (mais aussi quelques absents notables). Il y a du très bon, du moyen et du passable dans cet hommage historique.

- From the city that has everything (Ecrit et dessiné par Dan Jurgens.)

On commence les festivités par ce segment signé Dan Jurgens, auteur dont le nom est associé à Superman depuis plus de vingt ans (il écrivait encore récemment la série Action Comics). Hélas ! l'auteur se montre bien peu inspiré : son histoire traîne en longueur et s'achève sur une note bien mièvre (tous fans de Supe !), et les dessins ont cet aspect vieillot qui a toujours caractérisé l'artiste.
Tout cela ressemble plus à un pot de départ pour remercier Jurgens qu'à un effort digne de figurer dans ce numéro historique.

- Never ending battle (Ecrit par Peter J. Tomasi et dessiné par Patrick Gleason.)

Heureusement, on redresse la barre rapidement avec cette dizaine de pages par le duo Tomasi-Gleason, à l'oeuvre sur la série Superman dernièrement. Ils retracent de manière habile et dynamique les temps forts de la longue carrière de l'homme d'acier, en voix off et au moyen de pleines pages somptueuses. Rien n'est oublié - pas même Kingdom Come (conçu comme une mini-série "Elseworlds" avant d'intégrer la continuité).
C'est impeccable, magnifiquement mis en images, et écrit avec verve.

- An enemy within (Ecrit par Marv Wolman et dessiné par Curt Swan, avec la participation de Butch Guice.)

Voilà une curiosité : sachant que Curt Swan est mort il y a 22 ans, le voir crédité ici interroge (un peu à la manière dont Marvel pour Captain America #700 a ajouté un bonus par Jack Kirby en montant diverses planches pour coller à un script de Mark Waid). Le crime ne paie pas car le résultat est piteux : l'histoire de Marv Wolfman est quelconque, et la contribution de Butch Guice comme encreur-finisseur ne ressemble à rien.
A tout prendre, n'aurait-il pas été plus indiqué, pour créer le buzz, de réunir Wolfman et son dessinateur mythique (et bien vivant lui) George Perez ?

- The game (Ecrit par Paul Levitz et dessiné par Neal Adams.)

On continue de visiter le quartier des vétérans avec ces pages du tandem Paul Levitz-Neal Adams... Et décidément, les seniors ne sont pas en forme. On a un peu pitié de la platitude, pour ne pas être plus sévère, de l'argument employé ici, et les illustrations sont majoritairement laides.
Là encore, à choisir, j'aurai préféré que des pin-ups remplacent ces récits qui entachent la réputation de ces légendes un peu décaties.


- The car (Ecrit par Geoff Johns et dessiné par Olivier Coipel.)

La petite histoire après la Grande : fan ou pas de Superman (et de super-héros en général), tout le monde connaît l'image de couverture du n°1 d'Action Comics montrant Superman soulevant la voiture d'une bande de fripouilles. Geoff Johns raconte ce qui suit cette représentation iconique de façon magistrale et concise, avec une forme d'humour et de tendresse mêlés. Il réussit à capter l'essence du mythe par la marge. Et avec le concours d'Olivier Coipel, en très grande forme, qu'on découvre taillé pour dessiné Superman, auquel il donne une majesté incroyable.
Une pépite.

- The fifth season (Ecrit par Scott Snyder et dessiné par Rafael Albuquerque.)

L'excellence est aussi au rendez-vous du segment élaboré par les partners-in-crime Snyder-Albuquerque (American Vampire), qui mettent en scène Superman et Lex Luthor avec bien plus d'allure que Levitz et Adams. D'une certaine manière, le scénariste attribue la victoire au vil chauve dans ce récit qui revient sur l'enfance de Clark Kent et la sienne à Smallville.
Les dessins sont superbes, rehaussés par les couleurs de Dave McCaig.


- Of tomorrow (Ecrit par Tom King et dessiné par Clay Mann.)

Et voici LE chef d'oeuvre de la collection : cinq pages suffisent à Tom King pour dire l'essentiel du passé et du futur de Superman dans un adieu à la Terre (qui s'apprête à être consumée par le soleil mourant) poignant et étonnamment serein. La profondeur tranquille de ce moment possède une poésie authentique que les dessins de Clay Mann et la mise en couleurs exceptionnelle de Jordie Bellaire transforment en spectacle grandiose, incandescent.
Vraiment somptueux.

- Five minutes (Ecrit par Louise Simonson et dessiné par Jerry Ordway.)

Seule femme à participer à cet hommage, Louise Simonson a l'honneur de bénéficier du talent du trop rare Jerry Ordway pour cette histoire pleine de vivacité et de malice qui s'amuse de la double vie menée par Superman et Clark Kent. La morale est savoureuse et souligne qu'il s'agit d'une fable bien troussée.
Graphiquement, chaque plan rappelle à quel point Ordway sait composer une image bien remplie tout en les enchaînant avec une fluidité de grand pro. Un régal.

- Actionland ! (Ecrit par Paul Dini et dessiné par José-Luis Garcia-Lopez.)

C'est l'autre effort méritoire de la part de deux "anciens" (et même trois en comptant Kevin Nowlan, encreur de luxe pour l'occasion). Le pitch est du pur Paul Dini, plein d'esprit, de tonus et de second degré, une manière d'écrire rafraîchissante comme on aimerait en lire plus souvent.
Quant à la contribution de José-Luis Garcia-Lopez, elle est juste splendide : la précision du trait, son expressivité, la luxuriance des plans, leur composition, tutoient la perfection dans un registre classique. Quelle classe !

- Faster than a speeding bullet (Ecrit par Brad Meltzer et dessiné par John Cassaday.)

Sur une idée minimaliste au possible, Brad Meltzer développe quelques pages d'une énergie rare, au suspense indéniable, avec, c'est notable, un Superman qui doute. L'enjeu ajouté à cette crise de confiance passagère aboutit à une tension très efficace.
Et, pour ne rien gâcher, John Cassaday dessine cela avec beaucoup de dynamisme. L'artiste est très rare ces temps-ci et il faut donc en profiter, mais le retrouver en si bonne condition (et compagnie) fait plaisir.

- The truth (Ecrit par Brian Michael Bendis et dessiné par Jim Lee.)

Pour finir, on a droit à une sorte d'amuse-bouche à la mini-série hebdomadaire en six parties Man of Steel qui commencera le mois prochain et marquera les débuts de Brian Michael Bendis chez DC et sur le personnage (avant d'en rédiger les aventures dans sa série-titre et Action Comics). Le scénariste ne perd pas de temps avec cette baston intense et une pointe de révisionnisme qui va sûrement faire causer ses détracteurs (même s'il n'est pas le premier à retoucher aux origines de Superman).
Je n'ai jamais aimé le dessin de Jim Lee mais je comprends qu'il signe ces planches car cela leur donne un retentissement particulier (et puis, bon, c'est un des big boss de DC, difficile de l'écarter).

Pour les segments signés Tomasi-Gleason, Johns-Coipel, Snyder-Albuquerque, King-Mann, Simonson-Ordway, Dini-Garcia-Lopez, Meltzer-Cassaday, soit 7 sur 11 histoires, ce millième épisode vaut largement qu'on dépense 7,99 $ pour l'acquérir (si vous trouvez ça encore trop cher, essayer de trouver un album cartonné franco-belge de 48 pages à ce prix et on en reparle, ou comparez cet hommage avec celui des 80 ans du "Journal de Spirou" d'une platitude indigne). Longue vie à l'Homme de Demain !
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  #101  
Vieux 23/04/2018, 00h03
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C'est quoi l'histoire The Game ? J'ai l'impression de ne pas l'avoir dans mon numéro ...
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Vieux 23/04/2018, 11h16
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C'est quoi l'histoire The Game ? J'ai l'impression de ne pas l'avoir dans mon numéro ...
De même j'ai pas the game non plus !
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  #103  
Vieux 23/04/2018, 16h07
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Ce huitième épisode nous permet d'atteindre les 2/3 de la série, mais ne comptez pas sur Tom King et Mitch Gerads pour vous livrer des clés décisives sur Mister Miracle. Des morts reviennent, le couple du héros avec Big Barda est séparé, leur fils Jacob grandit, la guerre fait rage à Apokolips... Cette BD est toujours aussi folle, imprévisible, déjouant les attentes et s'en amusant avec un humour pince-sans-rire. Et si le lecteur était aussi désorienté que Scott Free, progressant à tâtons, au bord de l'abîme ?


J'émettais l'hypothèse que la série pouvait rendre un peu fou son lecteur à mesure que son héros semblait recouvrer, lui, la raison, et cet épisode illustre cette possibilité. Tom King lui-même ne nous a-t-il pas diaboliquement roulé dans la farine en annonçant que le second acte de Mister Miracle (à partir du n°6 donc) allait être plus sombre que le premier, alors qu'il raconte ses nouvelles péripéties en semblant s'amuser à déstabiliser ses fans en entretenant une narration dont l'humour nous cueille.

Souvenez-vous de l'épisode 6 justement : Mister Miracle et Big Barda revenaient à New Genesis non pas pour se rendre à Orion qui avait condamné à mort Scott Free mais pour l'en dissuader. En franchissant une série d'obstacles, le couple discutait de façon décalée du futur réaménagement de leur appartement en prévision de l'arrivée de leur premier enfant (aveu fait par Barda dans le feu de l'action).


Ce huitième épisode fonctionne sur le même ressort narratif. L'action se concentre uniquement sur Scott Free chez lui, sur Terre, avec son fils et Mister Miracle en pleine manoeuvre militaire à Apokolips. Qu'il profite des joies (et des affres) de la paternité ou lutte pour la victoire de New Genesis, il reste en contact avec Big Barda qui le remplace sur le terrain à la tête de l'armée ou à la maison. Ils échangent non seulement leurs rôles de parents et de guerriers mais dialoguent sur leur situation parentale, les menus soucis de santé de leur fils, leurs stratégies militaires, leurs victoires et leurs défaites.

L'effet est imparable : quoi de plus savoureux que de parler de banalités alors qu'on risque sa vie ou de tactique quand on se détend ? Et tout ça avec un flegme irrésistible. Pourtant il flotte au-dessus de tout cela une angoisse diffuse, un sentiment oppressant, une inquiétude sur laquelle on n'arrive pas à mettre un nom.

Cela prend la forme d'interrogations auxquelles King se garde bien de répondre pour entretenir savamment la confusion.

La première scène montre l'assassinat "en direct" commis par Mister Miracle dans le rôle d'un sniper sur un notable d'Apokolips. Cette image détone par rapport au rôle qu'on lui connaissait jusqu'à présent et en même temps donne le ton aux scènes se déroulant sur Apokolips, baignées dans des couleurs criardes, dominées par le rouge, le mauve, le jaune, comme si toute cette planète était une fournaise.

Puis Scott Free prépare le lait du biberon de bébé Jacob en compagnie de... "Funky" Flashman ! Pourtant celui-ci avait été tué et même incinéré par les soins de Big Barda. Est-ce une hallucination de Scott (et donc le signe d'une rechute de sa condition mentale) ? Non, comme le prouvera la suite où le personnage exubérant continue d'apparaître (et d'être mentionné par Barda) dans un improbable rôle de baby-sitter, d'ailleurs très à son aise.

De retour à Apokolips où il remplace une semaine sur deux Barda, Mister Miracle est désormais nommé comme le nouveau Haut-Père, titre appartenant jusque-là à Orion. Cela signifie-t-il que l'explication que les deux néo-dieux ont eue a abouti à la mort d'Orion, tué par Miracle ? Encore un mystère. Ce qui n'en est pas un en revanche, même si Lightray, désormais aux ordres de Scott Free quoiqu'il ait l'audace de considérer son comportement de chef comme celle d'un homme de représentation privé de public et d'ovations, c'est le caractère impitoyable du nouveau leader de New Genesis, tuant sans hésiter quiconque se dresse devant lui ("No escape !", qui revient à dire "pas de quartier !" dans ce contexte) et sacrifie ses soldats pour la cause (image saisissante d'un amas de cadavres tombés au champ d'honneur).

Par ces va-et-vient, King souligne habilement le changement subtil d'attitude de son héros qui, en même temps qu'il devient père, se fait plus de souci pour sa progéniture et son aptitude à en prendre soin qu'il abandonne toute retenue dans son rôle de chef de guerre. Mais un chef qui veut continuer à suivre ce qui se passe sur Terre quand il n'y est pas, veillant sur sa femme et leur enfant, même quand il est blessé ou corrigé par un adversaire (le duel expéditif contre Kanto, pourtant initialement défié par Barda).

La paternité récente et qui évolue rapidement car Jacob (surnommé "Jack" par "Funky" Flashman, comme un rappel supplémentaire à Jack Kirby/Jacob Krutzberg) passe de bébé dormant avec un doudou en forme de Batman (ce qui déplaît à Scott, convaincu que "Batman kills babies" - il l'a lu dans un article !) à petit homme accomplissant ses premiers pas en une vingtaine de pages (manière discrète mais efficace de montrer que les faits se déroulent sur plusieurs mois sans l'indiquer visiblement), cette paternité est pourtant la raison de cette angoisse qui parcourt cet épisode. Scott confie à une amie à quel point il déteste devoir quitter son fils une semaine sur deux, puis quand il est Mister Miracle à Apokolips il se soucie constamment en parlant via une boîte-mère à Barda de leur santé, à elle et à leur fils.

L'ombre de Darkseid continue de hanter la série, avec le retour de l'inscription en caractères blancs sur fond noir de la phrase "Darkseid is". Et les images se brouillent parfois dans le découpage en "gaufrier" de Mitch Gerads, notamment quand Jacob y figure, suggérant que le petit a des pouvoirs - à moins qu'il ne s'agisse de l'influence de l'équation d'anti-vie détenue par Darkseid. Cette altération visuelle sème le doute et suscite des questions nouvelles chez le lecteur (et si tout cela était une vaste manipulation ? Jacob a-t-il les pouvoirs d'un bon ou d'un mauvais génie ?).

La série aime toujours, donc, autant souffler le chaud et le froid. En témoigne sa fidélité à sa grille graphique d'une rigueur indéfectible : Gerads y puise toujours de nouvelles idées, transformant la contrainte de ces neuf cases identiques en matière narrative stimulante. Ici, une simulation de la notion de progression, dans le temps pour figurer les mois qui s'écoulent aussi bien sur Terre en compagnie de "Funky" Flashman et du bébé que sur Apokolips contre les hordes de Para-démons (scène glaçante où Lightray désintègre un bébé d'une de ces créatures alors que Mr. Miracle ne le lui avait pas commandé), que dans l'espace où les déplacements miniatures dans l'appartement de Scott et Barda alternent avec les manoeuvres de l'armée de New Genesis, dans des territoires désolés, comme déjà consumés depuis une éternité par l'environnement hostile d'Apokolips.

Quelle production décidément singulière qui déroute, épate, impressionne, questionne, ne laisse aucun répit, sollicite le lecteur comme pour mieux l'immerger dans la psyché de son héros et de ses folles aventures.
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  #104  
Vieux 23/04/2018, 16h11
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Hawkguy
 
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wildcard pisse du haut de la Tour Starkwildcard pisse du haut de la Tour Starkwildcard pisse du haut de la Tour Starkwildcard pisse du haut de la Tour Starkwildcard pisse du haut de la Tour Starkwildcard pisse du haut de la Tour Starkwildcard pisse du haut de la Tour Starkwildcard pisse du haut de la Tour Starkwildcard pisse du haut de la Tour Starkwildcard pisse du haut de la Tour Starkwildcard pisse du haut de la Tour Stark
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Posté par archerhawke
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C'est quoi l'histoire The Game ? J'ai l'impression de ne pas l'avoir dans mon numéro ...
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Posté par Slobo
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De même j'ai pas the game non plus !
Elle ne figure pas dans l'édition papier mais peut se lire en digital.
L'histoire est très simple :

C'est d'une médiocrité rare, et les dessins sont affreux. Bien avisé celui qui a décidé de ne pas faire figurer ça au sommaire de l'édition papier.
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  #105  
Vieux 23/04/2018, 16h15
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EsseJi EsseJi est déconnecté
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Immortal Men #1 : ça faisait longtemps que je n'avais pas lu Divine Right, et ça ne me manquait pas. Si Jim Lee pouvait aussi laisser tomber l'écriture et laisser Tynion seul on pourra juger à ce moment.
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