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Moi j'ai aimé tous les Tarantino. Mon préféré est sans doute les kill Bill
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King, Springsteen, Guardiola, Brubaker et tous les autres |
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C'est en effet en général LE Tarantino qu'aiment ceux qui n'aiment pas Tarantino.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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Ah mais j'aime énormément Tarantino. Mais celui là particulièrement
Et pour Stone : oui c'est sûrement très mauvais mais ce film me donne la pêche. Là je rage car j'ai 101 films (et donc le Stone aurait pu sauter). Donc j'aurais dû mettre L'arnaque de G. Roy Hill. (Newman - Redford). |
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Et comme d'habitude, une playlist qui vient magnifier tout ça. Lorsque je veux me mettre bien pour la journée, je mets dans la voiture Across 110th street. Plusieurs fois, sinon ça passe trop vite. Et puis merde, ça a été mon avatar ici pendant quelques temps. . Enregistrer</span>Enregistrer</span>
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- Oh, là mon pote je t'arrête, tu déconnes. Être complétiste et aimer les variantes, ça fait deux. - Qui a dit le contraire ! Je te dis que c'est du même ordre ! |
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Cela dit, suis pas sûr qu'un bon Besson ne soit pas moins atroce que DD... |
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Un bon Besson n’existe pas dans mon référentiel.
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Dans ma liste aussi.
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- Oh, là mon pote je t'arrête, tu déconnes. Être complétiste et aimer les variantes, ça fait deux. - Qui a dit le contraire ! Je te dis que c'est du même ordre ! |
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Par contre, c'est 1968 le film. 1963, c'est le livre
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- Oh, là mon pote je t'arrête, tu déconnes. Être complétiste et aimer les variantes, ça fait deux. - Qui a dit le contraire ! Je te dis que c'est du même ordre ! |
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Je crois que tu entends par là "un bon film de Besson". Ce n'est pas ce que je veux dire.
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Bon, aller, je me lance. Beaucoup de films présents dans ma liste ont déjà été cités, d'autres sont des plaisirs coupables.
Je suis encore relativement (mais plus assez, mon Dieu...) jeune, du coup il y a une grande quantité de films plus anciens et moins cultes que les grands classiques que je n'ai pas forcément vu. J'ai aussi décidé de présenter ma liste différemment, avec un "terme introducteur" qui définit en quelque sorte ce que je ressens pour le film. Ce ne sont pas forcément des chefs d’œuvre mais ce sont des films qui m'ont marqué d'une façon ou d'une autre, en bien ou en mal. Je suis aussi désolé, je n'ai pas classé par ordre chronologique de sortie des films, mais par ordre chronologique de visionnage! L'avant 1 / L'enfance : Porco Rosso - Hayao Miyazaki : Un des premiers films que j'ai vu qui m'a plus que marqué, et du coup, à cause de cela, surement mon préfére de Miyazaki (malgré Princesse Mononoké que j'adore et Le vent se lève que j'ai trouvé parfait). Je connais le film par coeur, je me rappelle de tout. 2 / L'aventure : Star Wars - Georges Lucas : J'ai du mal à regarder à nouveau Star Wars maintenant, je trouve même que ça a un peu mal vieilli. Mais j'étais typiquement le coeur de cible quand j'étais môme. Et j'ai passé de longues heures devant la VHS. Alors je garde ce film dans mon coeur ouais. 3 / Le spoiler : L'empire contre attaque - Irvin Kershner : Vous savez, avec internet, c'est ultra difficile de ne pas se faire spoiler un film / une série. Et moi, quand j'étais gamin, c'est mon père qui m'a ruiné l'un des plus grand twist de l'époque : "Hey fiston, tu vois Dark Vador dans Star Wars? - Oui, je l'adore! - Ben c'est le père de Luke". Ni plus ni moins. Pas d'éclat, pas de retentissement. Juste ça. Bon, le film en lui même est un super souvenir aussi, j'ai juste pas eu LA surprise. 4 / Le souvenir: Les 400 coups - François Truffaut : "Les enfants, on va au cinéma aujourd'hui, on va voir les 400 coups". Le cinéma, avec l'école, c'était pas ouf. On allait voir des films dont on n'avait rien à foutre. Tout ce qu'on voulait c'était se rouler des patins. Mais Les 400 coups, déjà, il m'avait interpellé. Et j'ai longtemps eu en tête la course de Jean Pierre Léaud de la fin du film. Je l'ai revu, quelques années plus tard, avec plus de bouteille. Et je ne m'étais pas trompé à l'époque : c'est une révolution. 5 / Les références : La cité de la peur : Qui n'a pas utilisé à tort et à travers TOUTES les expressions du film des Nuls dans la cour de récrée? En tous cas, moi je l'ai fait. Et j'ai revu le film récemment: j'ai un peu souri. C'est à peu près tout. 6 / L'émerveillement : Edward aux mains d'argent - Tim Burton : Tim Burton et moi c'est un peu chaotique. J'adorais, c'était même mon réalisateur fétiche. Mais dernièrement, j'ai détesté quasiment tous ses films. Et du coup, je ne peux plus vraiment dire que j'ai de l'affection pour ce réalisateur. Néanmoins, alors que je ne connaissais quasiment rien, que j'étais encore vierge de cinéma, j'ai vu Edward, et j'ai été émerveillé, du début à la fin. Encore maintenant, je le regarde avec un plaisir non dissimulé. Et quand j'aurais des enfants, c'est l'un des premiers que je leur montrerais. Pour sur. J'aime la poésie. Et ce film en est bourré! 7 / L'école : The Truman show - Peter Weir : Ce doit être le film que j'ai le plus vu en anglais à l'école: au moins 4 fois durant toute ma scolarité. Alors, oui, pendant les premières séances (en 6ème, sans sous-titres. Vraiment?) je dormais profondément. Mais finalement, cela ne m'a pas dégouté, et j'ai revu ce film bien après, le trouvant très bon. Et surtout, en avance sur son temps, à un moment où la télé réalité n'existait pas. 8 / Le début : Les infiltrés - Martin Scorsese : Le début où j'ai commencé à m'intéresser au cinéma. Ce n'est pas le film de Scorsese que je préfère, loin de là, mais c'est à ce moment là, dans mon adolescente, que j'ai pris conscience que je voulais voir plus de film, c'est Les Infiltrés qui m'a fait comprendre que le cinéma ce n'était pas juste aller d'un point A à un point B de ma vie. 9 / L'idole : Matchpoint - Woody Allen : L'adulescence, les hormones, tout ça, vous connaissez hein? Ben Scarlett, dans Matchpoint, elle m'a retourner le coeur. Alors, après coup, c'est l'un des moins bons films de Woody Allen que j'ai vu, mais pendant longtemps je l'ai adoré, juste pour Scarlett. Et surtout, ce film m'a donné envie de lire Dostoïevski. 10 / Le twist de la jeunesse : Usual Suspects - Brian Singer : Quand j'ai vu Usual Suspect pour la première fois, j'ai pris une grosse claque du genre "MMMAAAIIISSSS NNNOOONNNN, c'est lui???". Après plusieurs années d'expérience, je trouve ça assez facile. Pas nul, pas désagréable à mater, mais vraiment facile. 11 / La phase sombre : Seven - David Fincher : Je rejoins pas mal ce qui a été dit sur Fincher ces dernières pages, je l'aime beaucoup maintenant, je le trouve bien moins "tapageur" qu'avant et plus en maitrise. Mais alors Seven? C'était l'une des premières fois qu'un film me mettait dans cet état. J'ai adoré l'esthétique glauque du film, l'ambiance oppressante... Je l'ai revu, et j'ai encore bien apprécié. Mais loin du moment où je le considérais comme "le meilleur thriller de tous les temps!" 12/ Le cinéma : Juno - Jason Reitman : Le début de mes visites hebdomadaires dans les salles obscures. Le jour où je me suis pris une carte d'abonnement au cinéma à coté de chez moi. Le film en lui même? Je l'ai bien apprécié, c'est indépendant, frais, marrant, sans prise de tête. C'est pas fou quoi. Mais ça a marqué le début de mon aventure dans les cinémas. 13 / Le plaisir coupable : 500 jours ensemble - Marc Webb : Pas étonnant de ne pas avoir vu ce film dans vos listes. C'est une comédie romantique classique, pas spécialement drôle, pas spécialement originale (mais un tantinet tout de même). Mais je l'ai vu au moins 20 fois. Voire 30. Je suis allé le voir 5 ou 6 fois au cinéma, je l'ai en Blu-ray, en DVD... J'ai une putain d'addiction à ce film comme on peut être accroc aux cigarettes. Je suis capable de réciter le film sans aide par coeur. Tous les dialogues, tous les plans. Pourquoi? Le moment où je l'ai vu (une fille, un amour, un temps...)? L'alchimie des acteurs? La transposition à la vie réelle, à MA vie réelle? Franchement je ne sais pas trop. C'est juste un coup de coeur de dingue. 14 / L'erreur : Sweeney Todd - Tim Burton : Un assez mauvais film de Burton. Et pourtant je l'ai beaucoup (trop) aimé à sa sortie, débattant avec des amis, leur imposant mon avis, disant que c'était un super film magistral. Je l'ai revu. C'est mauvais, très mauvais. Et je me suis rendu compte du chemin parcouru depuis le temps. Et du connard arrogant et prétentieux que j'étais. Et cette prise de conscience m'a encore permis d'avancer plus loin. Alors merci film. 15 / L'incompréhension : Orange Mécanique - Stanley Kubrick : J'ai regardé ce film en terminale je crois, et c'est lui qui a commencé à me faire basculer du coté du "vrai" cinéma. C'est à parti de ce point que j'ai débuté mon apprentissage en quelque sorte. Tout m'a troublé / choqué / bouleversé dans ce film. Je voyais quelque chose de nouveau, d'osé, avec une vraie identité, une vraie empreinte. C'est cette empreinte que j'essaye de retrouver, plus que tout, chez les réalisateurs. Une touche, quelque chose bien propre à chacun. Et quelle surprise lorsque je le montrais à des amis qui ne trouvaient rien de mieux à dire que "Pfiiooouu, bien de la merde ton film, elles sont où les scènes d'actions? Et les explosions?". Incompréhension totale. Comment pouvait-on ne pas voir les bonnes choses de ce film? Voilà la première fournée, qui correspond grosso-modo aux films que j'ai vu avant de me lancer vraiment dans la consommation massive de films. Des films qui m'ont marqué, même si je les regarde dorénavant pour la plupart de loin avec un sourire tendre plutôt qu'avec sérieux. |
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Mais moi aussi j'ai un vrai kif sur ce film. Et pas besoin de parler de plaisir coupable. C'est peut être pas The Graduate, mais y'a dedans une excellente déconstruction de la "romcom" telle qu'on la conçoit de nos jours. Et y'a finalement dedans un très très bon guide de vie sur l'amour ou en tout cas les relations amoureuses. Un retour à la réalité assez brutal et une moralité finalement totalement positive. J'ai envie d'en dire beaucoup plus mais je vais pas spoiler. C'est un film qu'on devrait faire mater à tous les mecs (ou nanas hein) qui sont dans une phase "mais c'était elle, THE ONE !" Mention spéciale au marketing du fil, très en phase. EDIT : Ca me fait penser que Gordon-Levitt semble très attaché aux films visant à la déconstruction de la vision des films de ce qu'est "l'amour", quand je repense à Don Jon à coté. Comment l'influence du ciné peut nous pousser à concevoir de manière totalement tordue le fonctionnement des relations humaines. (ou du sexe entre 2 adultes mais c'est une autre question)
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Chuuutttt, The Graduate arrive plus loin (On commence à cerner mon "type" de cinéma? ^^) Exactement d'accord avec tout ton propos d'ailleurs. C'est exactement comme ça que j'ai vu / vécu le film. Et du coup, c'est un peu dur de voir que ma copine actuelle est très centré sur ça justement (le "THE ONE". Par contre j'suis en train de me dire que ça fait de moi une belle salope de dire ça haha.) Exactement, encore, ce que je pense sur Joseph Gordon-Levitt (que j'aime beaucoup d'ailleurs). Et son Don Jon, malgré ses gros défauts, m'avait beaucoup parlé grâce à ça. (Et j'avais beaucoup aimé l'utilisation de Scarlett également). |
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Scarlett est formidable dans Don Jon. C'est une très bonne variation sur son rôle habituel de bombe sexuelle ultra-désirable.
Bah tu sais quoi, j'ai un peu la même vision sur le one-itis etc. C'est parfois pas pareil du coté de l'autre. Mais c'est pas grave, tant que c'est à peu près établi. C'est un peu ce que fait Summer dans le film et que son mec ne comprend pas (ou ne veut pas comprendre), d'ailleurs.
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This is the End 91 à 100 (car il faut bien finir un jour cette liste imparfaite) Téchiné André Rendez vous – (France -1985) J’aime beaucoup le cinéma de Téchiné, dont la qualité de ces films ne faiblit pas de décennie en décennie. Pour les plans sur Juliette Binoche, la sublime Juliette Binoche, femme objet de tous les désirs dans ce film. Pas loin (mais il fallait choisir) il y avait les roseaux sauvages (très belle peinture de l’adolescence et de la découverte de l’identité sexuelle et des sentiments) ou les Voleurs (Laurence Côte, Daniel Auteuil, Catherine Deneuve). Truffaut François Jules et Jim (France – 1962) Pourquoi faire simple quand on peut faire compliquer. Une histoire d’amour de référence et qui reste la mienne cinématographiquement. J’ai parfois du mal avec les films de Truffaut, trouvant selon mon humeur que cela vieilli mal ou au contraire restant admiratif. Si j’avais dû en choisir deux autres j’aurais hésité entre ces deux derniers Vivement dimanche ! et surtout le superbe La femme d’à côté (bel écho sur le couple et l’amour à Jules et Jim). Van Sant Gus Will Hunting (USA -1997) C’est le premier de Gus Van Sant que j’ai vu. J’apprécie l’alternance entre films dit « indépendant » et de « commande » même si le cinéaste est plus subtil dans son approche. Énorme coup de cœur à sa sortie, surtout car j’étais en pleine préparation de mes concours (donc les maths cela me parlait en plus). Et puis découverte du songwriter Elliot Smith. Indispensable dans mon parcours. Dans le même style j’ai une affection particulière pour A la rencontre de Forrester. Paranoid Park reste mon GVS préféré. Verhoven Paul Starship Troopers (USA – 1997) Série B ? Nanar pour certains. Grand film surtout. Acteurs choisis dans des sitcoms, violence dénonçant la guerre pour faire la guerre. Xénophobie, régime limite totalitaire, torture, et SFX, il y a énormément de chose dans ce film. La filmographie de Verhoven est très intéressante mais ce choix s’imposait. Visconti Luchino Les Damnées (Italie – Allemagne -1969) J’ai longuement hésité avec Mort à Venise mais c’est les Damnées qui m’a toujours fait la plus forte impression (alors que Mort à Venise met mal à l’aise et est extrêmement subtile). Grandeur et décadence des généraux allemands qui se termine en orgie avec une représentation de la nuit des longs couteaux implacable et froide. Un film qui m’a fait aimer le cinéma. Welles Orson Citizen Kane (USA – 1946) A la hauteur du mythe. J’avais très peur d’être déçu quand je l’ai vu et puis finalement non. Clairement un des meilleurs films que le cinéma est produit. Comprendre l’époque et la révolution que ce fut donne encore plus de gout à ce chef d’œuvre. Sinon je reste assez classique dans mon approche de Welles : La dame de Shanghai et la soif du mal. Wilder Billy Certains l'aiment chaud (USA – 1959) Marilyn Monroe, Tony Curtis et Jack Lemmon. Une comédie indémodable avec un duo d’acteurs haut de gamme donnant la réplique à LA star. Well. Nobody is perfect! Wise Robert West Side Story Très académique dans sa réalisation mais j’ai fait mes armes de jeune danseur avec (en fait ce film fut le lien entre la danse et le cinéma quand j’étais plus jeune). Avec le temps je me rends compte que j’écoute plus la BO que je ne revois le film. Et puis il y a la très belle Nathalie Woods. Wyler William Vacances romaines (USA -1953) Comme Audrey Hepburn était étrangement absente de ma liste je me suis rabattu sur Vacances romaines pour en choisir quand même un. Je suis séduit par Audrey Hepburn mais également par le couple qu’elle forme avec Gregory Peck. Très bonne comédie sentimentale, les plans sur Rome (en Vespa) sont des moments magiques surtout que le noir et blanc est superbe. Très bon réalisateur, à la filmo éclectique. Zemeckis Robert Retour vers le futur (USA – 1985) Le second est un chef d’oeuvre technique et scénaristique, le troisième est du n’importe nawak maitrisé mais le premier Back to the Future est celui par lequel tout commence. Vu avec ma grand-mère à l’époque. Au passage je soule ma femme avec Forrest Gump à la maison (qui était en balance avec BTTF) Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 06/07/2016 à 16h48. |
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