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  #256  
Vieux 24/06/2016, 19h55
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Un long Dimanche de fiançailles ?

Sinon, quelqu'un a vu Deep End et 4 nuits avec Anna de Skolimowski ? Je ne l' ai pas mis dans ma liste parceque j'avais un énorme trou de mémoire. Je n'arrivais à trouver ni les titres ni le nom du réalisateur. Ce sont 2 très beaux films.
Pas vus.
Skolimowski est dans ma short list de trucs à découvrir en priorité mais je ne m'y suis pas encore attelé.
Je n'ai vu que Essential killing, celui avec Vincent Gallo.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère."
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  #257  
Vieux 24/06/2016, 20h09
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Posté par Zen arcade
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Pas vus.
Skolimowski est dans ma short list de trucs à découvrir en priorité mais je ne m'y suis pas encore attelé.
Je n'ai vu que Essential killing, celui avec Vincent Gallo.
Celui-ci, je ne l'ai pas vu. En parlant de Vincent Gallo, quelqu'un a vu son THE BROWN BUNNY ? C'est vrai ce qu'on dit ou pas ? Perso, j'ai eu le poster de BUFFALO 66 affiché pendant des années ! Donnez-moi un WC, vite !
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  #258  
Vieux 24/06/2016, 23h37
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Pas prévu d'aller si vite mais ça s'active tellement que j'ai bossé plus tôt que prévu sur mon nouveau paquet de 20.
Attention, on rentre dans le vif du sujet, il y a du très très lourd.

041 KANEVSKI, Vitali – Bouge pas, meurs, ressuscite (1990)
Kanevski, alors complètement inconnu au bataillon, déboule au début des années 90 avec un premier film d’une puissance incroyable. C’est tourné à l’arrache avec des petits moyens mais le noir et blanc charbonneux donne une atmosphère unique au film. Le héros est un garçon délinquant qui se fourre dans les pires ennuis, une espèce d’Antoine Doinel mais version boueuse en plein milieu d’une ville miséreuse de Sibérie.
Ce gars est le personnage d’enfant qui m’a le plus marqué au cinéma (notamment lors d’une scène inoubliable dans laquelle il fait dérailler un train).

042 KAWASE, Naomi – Suzaku (1997)
Un village perdu dans les montagnes japonaises. Le temps s’écoule lentement, c’est contemplatif, le rapport à la nature est profondément imprégné par la culture ancestrale japonaise.
Ca ne raconte pas grand choses mais c’est juste beau. Mais beau du genre vraiment beau.

043 KEATON, Buster – Sherlock Jr (1924)
C’est mon Keaton préféré. Il a un rythme et une pêche incroyable (aussi dû au fait qu’il ne dure qu’un peu plus de 45 minutes).

044 KIAROSTAMI, Abbas – Où est la maison de mon ami ? (1987)
Le scénario tient sur un confetti mais on s’en fout, les tribulations de ce petit garçon qui cherche à rendre son cahier de devoirs à son compagnon de classe sont juste touchées par la grâce.

045 KITANO, Takeshi – Hana-bi (1997)
Découvert Kitano comme beaucoup avec Sonatine et vu ensuite le reste de ses premiers films dans la foulée, mais j'ai choisi Hana-bi parce qu'il est l’aboutissement parfait de tout cela. C’est le film qui vient couronner et clore une période de créativité exceptionnelle pendant laquelle Kitano a juste été le meilleur cinéaste au monde.
Malheureusement, c’est son dernier grand film. Mais quel film !

046 KLIMOV, Elem – Requiem pour un massacre (1985)
On entend parfois certains dire d’un film qu’ils n’en sont pas sortis indemnes. J’ai tendance à me méfier de ce genre d’affirmations.
Mais si je devais le dire pour un seul film, ce serait pour celui-ci.
Requiem pour un massacre, c’est l’histoire d’un ado qui plonge progressivement dans l’horreur dans la campagne biélorusse occupée par les nazis et leurs einsatzgruppen (commandos de la mort) qui massacrent des villages entiers.
Un film de guerre sans combats, où il n'y a que des victimes et des bourreaux.
Le titre en VO se traduit littéralement par « Va et regarde »



Film de chevet de Madame Zen.

047 KOBAYASHI, Masaki – Hara kiri (1962)
Attention, chef d’œuvre ultime.
Sous ses dehors de chambara (film de sabre japonais), Hara Kiri est surtout l’occasion pour Kobayashi d’exposer avec beaucoup de finesse les rouages du fonctionnement de la société féodale japonaise et de copieusement critiquer le code du bushido qui la régit. Le film est porté par un humanisme et des préoccupations sociales qui le rendent toujours pertinent dans le monde contemporain.
Formellement, c’est extraordinaire. Et y a le génial Tatsuya Nakadai dans le rôle principal.
Le film est centré autour d’une des scènes les plus inoubliables et épouvantables que j’aie jamais vu, celle où un samouraï est obligé de se faire seppuku avec un sabre en bambou.

048 KUROSAWA, Akira – Les sept samouraïs (1954)
Ici aussi, le film de sabre est transcendé par un réel questionnement sur le fonctionnement de la société japonaise. Ici aussi, c’est formellement extraordinaire (le combat final sous la pluie est inoubliable). Pas de Tatsuya Nakadai ici, mais on a Toshiro Mifune à la place, autant dire que l’on ne perd pas grand-chose au change.
Chef d’œuvre, of course.

049 KUROSAWA Kiyoshi – Charisma (1999)
Découvert Kurosawa avec Cure au Festival du film fantastique de Bruxelles et ça m’avait scotché. Mais c’est vraiment avec ce Charisma que je me suis dit qu’il se passait vraiment quelque chose avec cet homonyme du grand Akira.
Je ne suis pas certain d’avoir tout compris à ce film dans lequel un policier déphasé se retrouve en plein dans une forêt où des communautés bizarres s’affrontent autour d’un arbre maléfique. C’est passablement opaque mais complètement fascinant.
Depuis, Kiyoshi Kurosawa s’est installé à une très belle place dans le paysage de la cinéphilie mondiale.

050 KUSTURICA - Le temps des gitans (1988)
Je crois que c’est mon film préféré. C’est du début à la fin un rollercoaster émotionnel incroyable, dont le climax est une fameuse scène onirique.
En règle générale, j’ai plutôt tendance à préférer des films secs et peu démonstratifs, ce que Le temps des gitans n’est à l’évidence pas du tout, mais ici rien à faire, la puissance du film emporte tout sur son passage.

051 KWAN, Stanley – Center stage (1992)
Biopic consacré à l’actrice chinoise Ruan Lingyu, première star du cinéma chinois à l’époque du muet. Ruan Lingyu s’est suicidée en 1935 à l’âge de 25 ans.
D’habitude, je n’aime pas les biopics. Déjà parce que souvent, ça donne des films pas terribles et ensuite parce que plus il s’attachent à sonner réaliste plus j’ai vraiment du mal à y croire.
Mais celui-ci est un peu particulier : il est constitué d’interviews, de discussions entre le réalisateur et son actrice principale Maggie Cheung, de séquences d’archives restaurées de films avec Ruan Lingyu et enfin de scènes « classiques » évoquant la vie de Ruan Lingyu.
Ce dispositif de distanciation a le double avantage dans le même temps de couper court à tout souci de vraisemblance dans la reconstitution (on voit très bien par exemple que Maggie Cheung ne ressemble pas physiquement Ruan Lingyu mais ça n’a pas d’importance) et de ne pas freiner l’irruption de l’émotion parce qu’on n’y croit pas.
Maggie Cheung trouve ici le plus beau rôle de sa carrière.

052 LANG, Fritz – Les contrebandiers de Moonfleet (1956)
J’ai une nette préférence pour la carrière américaine de Fritz Lang que pour ses films allemands (hormis M) et parmi ses films américains, je ne peux résister à Moonfleet.
L’histoire de cet enfant projeté dans la noirceur du monde des hommes est très émouvante.

053 LEE-THOMPSON, Jack – La conquête de la planète des singes (1972)
J’ai une passion coupable pour les singes qui parlent. C'est con, je sais, mais c'est comme ça. Même quand c’est nul (enfin bon, pas le Burton quand même).
Celui-ci, qui voit la révolte des singes contre leurs maîtres humains, est mon préféré. Ce n’est certes pas un grand film, comparé au premier, mais c’est celui qui ressemble le plus à une série B violente et âpre.
Préférer la fin originale, à présent disponible et écartée à l’époque en raison de screen tests très négatifs. Elle va jusqu'au bout de la logique désespérée du film, sans le final édulcoré de la version qui sortit à l’époque et qui fut longtemps la seule disponible.

054 LEONE, Sergio – Il était une fois dans l’Ouest (1968)
Longtemps hésité avec Il était une fois en Amérique, mais la scène de l’arrivée en ville de Claudia Cardinale a fait la différence. Cette scène est juste sublime, avec la musique de Morricone.

055 LEWIS, Joseph H. – Le démon des armes (Gun crazy) (1950)
J’ai ramé des années avant d’avoir l’occasion de voir cette série B mythique. On était alors loin du temps où à peu près tout était disponible en DVD ou téléchargeable (légalement ou pas) sur le net. C’était une cinéphilie différente. On fantasmait sur des films dont on attendait fiévreusement une improbable occasion d’enfin pouvoir les voir.
Parfois, on était déçu. Parfois, le film rencontrait les attentes. Mais toujours, il y avait ce frisson d’excitation.
Gun crazy fait partie de ceux qui ne m’ont pas déçu.
En quelques mots, Gun crazy, c’est comme si c’était Bonnie and Clyde mais au lieu d’être pas terrible, c’est très bien.

056 LUBITSCH, Ernst – La folle ingénue (1946)
Pas le plus connu ni le plus célébré de Lubitsch. Loin de là, même. Mais son charme agit sur moi autant que pour ses chefs d’œuvre consacrés.
Jennifer Jones et Charles Boyer sont juste irrésistibles.
Nuts to the squirrels.

057 LVOVSKY, Noémie – Petites (1997)
Les films sur l’adolescence sont une spécialité du cinéma d’auteur français. Rarement le thème aura été abordé avec autant de punch et de fraîcheur que dans ce merveilleux petit téléfilm réalisé pour Arte.
Lvovsky présentera plus tard avec La vie ne me fait pas peur une version longue de Petites (mais en en retirant pas mal de séquences) qui fonctionne moins bien.

058 LYNCH, David - Twin Peaks : fire walk with me (1992)
Twin Peaks, la série, a changé ma vie, à une époque où franchement j’en avais pas grand-chose à foutre (de ma vie). Et puis, Laura Palmer m’a touché au plus profond.
Ce film, sur ses derniers jours, c’est très personnel mais c’est émotionnellement le film le plus fort que je connaisse. Laura Palmer est pour moi le plus beau personnage de l’histoire de la télévision et du cinéma.
Sa mort, sur la musique du Requiem de Cherubini, est d’une tristesse insondable.

059 MALICK, Terrence – La balade sauvage (1973)
Premier Malick et tout est déjà là.
Martin Sheen et Sissy Spacek sont merveilleux.

060 MANKIEWICZ, Joseph – L’aventure de Madame Muir (1947)
Mankiewicz, c’est des scénarios parfaitement construits, des dialogues plein de finesse, une mise en scène d’une élégance rare et une direction d’acteurs sans faille.
Ce gars, c’est le cinéma hollywoodien classique porté à son plus haut point de perfection.
Ici, Gene Tierney est merveilleuse (pléonasme) et son personnage est infiniment émouvant. La musique de Bernard Herrmann (une de ses meilleures) sublime le film.
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  #259  
Vieux 24/06/2016, 23h52
hannah hannah est déconnecté
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057 LVOVSKY, Noémie – Petites (1997)
Les films sur l’adolescence sont une spécialité du cinéma d’auteur français. Rarement le thème aura été abordé avec autant de punch et de fraîcheur que dans ce merveilleux petit téléfilm réalisé pour Arte.
Lvovsky présentera plus tard avec La vie ne me fait pas peur une version longue de Petites (mais en en retirant pas mal de séquences) qui fonctionne moins bien.
Oui mais elle avait rajouté presque 25 mn si je me souviens bien.
Dans cette série de téléfilms en 1994, il y avait aussi le formidable Travolta et moi, de Patricia Mazuy, pas sorti en salles pour des problèmes de droits musicaux si je me souviens bien.
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  #260  
Vieux 25/06/2016, 00h04
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Oui mais elle avait rajouté presque 25 mn si je me souviens bien.
Il y a un nouveau segment que j'aime moins et qui se passe quelques années plus tard par rapport à Petites. Et plusieurs séquences de Petites ont disparu dans La vie ne me fait pas peur.

Petites est de 1997 et n'appartient pas à la série Tous les garçons et les filles de leur âge de 1994.
Avec en effet entre autres le très beau Mazuy, La page blanche d'Assayas et la version courte de Les roseaux sauvages de Téchiné.
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  #261  
Vieux 25/06/2016, 00h14
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Merci beaucoup Zen pour ces retours. En effet de bien belles choses, qu'il me tarde de découvrir un jour.

Je me suis permis de faire un modeste commentaire.

041 KANEVSKI, Vitali – Bouge pas, meurs, ressuscite (1990)
Il me sembla l'avoir vu. Mais il fadra donc que je m'en assure.

042 KAWASE, Naomi – Suzaku (1997)
Je ne connais pas

043 KEATON, Buster – Sherlock Jr (1924)
Je n'ai jamais accroché avec Keaton. C'est comme pour les Beatles vs Les Stones, dans la cour de récré on était Chaplin ou Keaton. Si j'avais été intelligent j'aurais répondu les deux mon général.

044 KIAROSTAMI, Abbas – Où est la maison de mon ami ? (1987)
J'étais sur que tu aurais ce cinéaste qui me fascine sans avoir vu aucun de ses films. Je sais ce qui me reste à faire.

045 KITANO, Takeshi – Hana-bi (1997)
Un grand manque de ma part. Je n'ai vu que L'Été de Kikujiro, Kids Returns et Sonatine.

046 KLIMOV, Elem – Requiem pour un massacre (1985)
le sujet m'intéresse. Cela à l'air exceptionnel.

047 KOBAYASHI, Masaki – Hara kiri (1962)
? noté

048 KUROSAWA, Akira – Les sept samouraïs (1954)
C'est le seul que j'ai vu. je dois encore visionner Ran que j'ai récupéré récemment. Le problème c'est que j'ai l'ai vu il y a tellement longtemps et qu'à l'époque, comme un ado attardé, je l'ai comparé avec les 7 mercenaires (donc pas en sa faveur). Donc rayé de ma liste par honnêteté.

049 KUROSAWA Kiyoshi – Charisma (1999)
? check

050 KUSTURICA - Le temps des gitans (1988)
C'est le seul que Kusturica qui me manque à voir Du coup j'en ai choisi un autre.

051 KWAN, Stanley – Center stage (1992)
? je note

052 LANG, Fritz – Les contrebandiers de Moonfleet (1956)
J'ai déjà été ridicule de pas retenir un Fritz Lang. Mais là encore j'ai donc du rattrapage à faire.

053 LEE-THOMPSON, Jack – La conquête de la planète des singes (1972)
Je n'ai pas aimé les suites.

054 LEONE, Sergio – Il était une fois dans l’Ouest (1968)
Je ne suis pas très western, mais celui là vaut effectivement plus que le détour.

055 LEWIS, Joseph H. – Le démon des armes (Gun crazy) (1950)
?

056 LUBITSCH, Ernst – La folle ingénue (1946)
je n'ai vu que Jeux dangereux de Lubitsch. Je note encore ce manque

057 LVOVSKY, Noémie – Petites (1997)
Tu sais ce que je pense des films pour ados (il y en aura au moins encore un de la série d'Arte dans ma liste, peut être deux) Bien plus tard avec Camille redouble elle fera une synthèse de ce thème. Actrice qui a beaucoup de charme et de présence en plus.

058 LYNCH, David - Twin Peaks : fire walk with me (1992)
Pas vu. Je n'avais pas accès à la série plus jeune. Je suis passé à côté de Twin Peaks. J'en ai choisi un autre

059 MALICK, Terrence – La balade sauvage (1973)
comme une évidence.

060 MANKIEWICZ, Joseph – L’aventure de Madame Muir (1947)
connait pas. J'en ai choisi un autre.
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  #262  
Vieux 25/06/2016, 00h49
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Papich change la caisse du Fauve
Opaque ce Charisma en effet, cryptique même. J'ai un autre film dans ma liste de Kiyoshi Kurosawa, beaucoup plus accessible, je posterai une moitié ce samedi. Ce réalisateur est fascinant et son prochain film me fait envie avec un joli casting.
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  #263  
Vieux 25/06/2016, 00h52
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Posté par Papich
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Opaque ce Charisma en effet, cryptique même. J'ai un autre film dans ma liste de Kiyoshi Kurosawa, beaucoup plus accessible, je posterai une moitié ce samedi. Ce réalisateur est fascinant et son prochain film me fait envie avec un joli casting.
Pour débuter, je conseillerais plutôt Kairo.
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Vieux 25/06/2016, 00h54
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058 LYNCH, David - Twin Peaks : fire walk with me (1992)
Pas vu. Je n'avais pas accès à la série plus jeune. Je suis passé à côté de Twin Peaks. J'en ai choisi un autre
Je viens de revoir le dernier quart d'heure et ce final me donne toujours autant de frissons.
Jamais plus je n'aimerai un personnage de fiction autant que j'ai aimé Laura Palmer.
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  #265  
Vieux 25/06/2016, 00h55
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Kani change la caisse du Fauve
Bon allez c'est mon tour !


J'essaye un truc un peu différent pour faire ma liste : je ne m'impose pas de véritable règle, ni de nombre défini de films à citer. Le but pour moi c'est de me faire plaisir en abordant des films que j'aime, que ce soit des chefs d'oeuvres reconnus, des métrages un peu obscurs ou même des trucs un peu mauvais, l'important c'est que comme le dit l'intitulé du topic, ces films m'aient marqué et que j'en ai tiré une grande satisfaction et inspiration.

L'exercice va être de faire des paquets de films les plus variés possibles, 10 par 10, en mélangeant les genres, les auteurs, les époques, les madeleines de Proust, les découvertes récentes, distillant mes films essentiels parmi les autres que j'adore et pas tous en même temps (genre ne pas faire un paquet avec mes dix premiers films mais de les entre tous les paquets que je ferais). Malgré mon amour du cinéma, je suis plutôt jeune (23 piges) et je sais que j'ai des grosses lacunes dans ma culture ciné qui ne demandent qu'à être comblés (par exemple je m'y connais très peu en films français, je n'ai quasiment jamais vu de western et seulement une poignée du Nouvel Hollywood), mais en l'occurrence ce topic tombe à pic puisqu'il me permettra de m'enrichir par vos conseils !

Ca me permettra du coup d'essayer de faire les paquets les plus plaisants à lire possibles et de pouvoir réagir directement en mettant des films dont vous avez débattu juste avant ou d'autres que je n'avais pas vu jusque là.


Donc je ne me limiterais pas à un film par réalisateur, bien que j'essaierais de limiter mes choix à une poignée (parce que y en a dont j'aime quasiment toute la filmo mais faudrait pas qu'ils trustent ma liste ), j'inclus les films d'animation mais pas les documentaires (surtout parce que j'en connais pas vraiment qui pourraient figurer dans ma liste), j'inclus des films post-2000 (et pas mal à mon avis), j'ai déjà préparé une liste mais elle est pas définie et peut s'agrandir avec le temps (majoritairement parce que j'ai une mémoire pourrave dès fois) et je n'ai pas de rythme de sortie des paquets, le prochain pourra arriver demain ou dans un mois, j'y vais vraiment selon mes envies.

J'espère que mon explication a été assez claire (parce que même moi je m'y suis perdu) et qu'elle vous a pas endormi, maintenant c'est parti avec un premier paquet de dix films !





-Robocop (1987) de Paul Verhoeven : J'avais pas vu de Verhoeven d'abordés jusqu'à ce qu'en parle l'ami Eddy (bon ça vient aussi du fait que pas mal en sont même pas au milieu de l'alphabet dans leur liste ), du coup il me semblait importer d'en parler en passant par un de mes films cultes de toujours et mon préféré du réal' : Robocop. Un film que j'ai vu gamin et qui m'a marqué de façon indélébile, un film violent et engagé à l'imagerie marquée et iconique, sans concession et satirique avec une maîtrise parfaite du rythme et de l'action. C'est l'exemple emblématique du film que j'aime d'amour et il me semblait opportun de commencer par celui-ci.



-Gremlins (1984) de Joe Dante : Autre grand oublié à mon sens jusqu'à présent, Joe Dante est porteur d'un type de cinéma que j'adore, généreux et référencé, subtil tout en état accessible à tous. Gremlins est probablement le second film que j'ai le plus regardé étant petit et que je regarde toujours avec autant de plaisir. Bijou d'humour noir, une écriture limpide, un rythme béton et des marionnettes sublimes et expressives pour donner cette ambiance horrifiquement lyrique inimitable. Mais surtout et avant tout, Gremlins c'est un joyeux délire, bouillonnant, jouissif, grotesque, suintant et absurde, un film irrévérencieux qui renverse tout sur son passage. Encore mon film de Noël à moi pour lequel j'éprouve une fascination sans limite, le fameux thème de Goldsmith a jamais gravé dans ma tête.



-Terminator 2 : Le Jugement Dernier (1992) de James Cameron : Vous avez pas mal débattu de qui entre le premier et le second opus était le plus marquant, et malgré que j'adore l'original qui apparaitra dans ma liste, ma préférence va à sa suite. Si Cameron a prouvé dans le premier qu'il pouvait rendre un chef d'oeuvre avec un budget restreint, il montre qu'il peut en faire autant si ce n'est mieux avec des moyens illimités. En plus d'être le film d'action parfait et de comporter des séquences toutes plus cultes les unes que les autres, T2 est un magnifique éloge à l'être humain.



-Alien (1979) de Ridley Scott : Etant donné que je viens de parler d'un Cameron, je ne pouvais pas mettre Aliens dans ce paquet, du coup autant parler du premier film, dont je n'arrive jamais à déterminer lequel des deux premiers Alien je préfère le plus. Dans tous les cas, l'admiration que j'ai pour le film de Scott, portée par une sublime troupe d'acteurs et les efforts conjoints de toute l'équipe du film, de la fascination de la belle image qu'à Scott aux décors de Ron Cobb et Ian Whittaker sans oublier forcément l'immense participation de Giger, qui vont tous signer l'un des films les plus oppressants et passionnant à mon sens de l'histoire du cinéma. Un film que j'aime tellement que j'ai pas hésiter à lui (et sa suite) accorder tout un travail d'un semestre de fac, ouaip.



-La Mort aux Trousses (1959) d'Alfred Hitchcock : Bon ben je me joins à tous pour dire que la Mort aux Trousses est mon Hitchcock favori. Ca vient aussi d'une histoire particulière que j'ai avec ce film que j'ai vu avec le collège dans un cinéma indé de quartier. A l'époque on était jeune et con et on estimait que les vieux films et ceux qu'on voit dans le cadre scolaire ne valaient rien et qu'on s'y faisait chier, avant de me retrouver bouche-bée et absorbé devant la Mort aux Trousses. Ce n'est qu'avec les années que j'ai pu mesurer la claquasse de cinéma et de mise en scène que je m'étais prise, mais c'est un souvenir que je garderais longtemps.



-The Dark Knight Rises (2012) de Christopher Nolan : Choix militant ! J'aime déjà beaucoup Christopher Nolan, visiblement contrairement à pas mal ici, et j'ai en plus une relation particulière avec son Batman 3. Un film que j'ai attendu comme le messie avant sa sortie, mais aussi comme un Dark Knight Bis que j'encense de la même manière. Le résultat au ciné fut bien différent et m'a totalement décontenancé, pour ne pas dire déçu (d'autant plus qu'on m'avait malheureusement spoilé une partie de la fin). Pour autant j'ai appris à aimer au fil des visionnages son ambiance singulière, son envie clôturer la trilogie par une note profondément humaine et optimiste et pour moi l'oeuvre de Christopher Nolan est montée comme une déclaration d'amour au chevalier noir et possède peut-être le plus important : une âme (j'ai repris les mots que j'avais employé il y a quelques temps dans un article que je viens de retrouver, et qui résument toujours aussi parfaitement ma pensée). Honnêtement je ne sais pas lequel je préfère de la trilogie (ça dépend souvent des jours ), mais TDKR étant souvent mal aimé comparé à ses grands frères, je prend très à coeur de le défendre corps et âme.



-Gamera 2 : Advent of Legion (1996) de Shusuke Kaneko : Certains ici connaissant peut-être déjà mon amour inconditionnel du Kaiju Eiga. Si bien évidemment le Godzilla original de 54 reste (et restera) celui que je considère comme le plus grand chef d'oeuvre du genre (dont je reparlerais un autre jour), je voulais aborder un film moins connu hormis chez les amateurs et peut-être le faire découvrir. La trilogie Gamera est probablement ce que le Kaiju a produit de meilleur en terme d'action et de mise en scène de monstres, et le deuxième en est le plus formel exemple. Un film survitaminé, un bonbon acide où les affrontements de types costumés en monstres géants n'ont jamais été aussi intenses face à un ennemi étonnant s'inspirant d'insectes donnant des idées de réal' ouf. Les personnages humains sans être inoubliables, servent bien le film grâce à de bons acteurs et le film comporte des séquences d'anthologie de bastons de streums. Un film jouissif et jusqu'au-boutiste qui fait plaisir.



-Le Géant de Fer (1999) de Brad Bird : Coup d'essai pour Bird dont c'est le premier long-métrage, qui se transforme en coup de maitre, Le Géant de Fer est un sublime mélange d'aventure et d'émotion avec l'une des plus belles histoires d'amitié qu'il m'ait été donné de voir. Un film qui me touche toujours autant, je pleure autant devant aujourd'hui que quand j'avais 7 ans.



-Vol au dessus d'un Nid de Coucou (1975) de Milos Forman : Que je m'étonne de pas avoir vu cité jusqu'à maintenant. Un des premiers films que j'ai vu quand j'ai commencé à m'intéresser plus sérieusement au cinéma aux alentours de 16/17 ans, et une belle claque à l'époque. Nicholson au firmament, des scènes intimistes et dures qui résonnent longtemps après visionnage. J'ai eu aussi la chance de le revoir assez récemment au cinéma, belle expérience.



-Mad Max (1979) de Georges Miller : Bien que je lui préfère légèrement le virtuose The Road Warrior (qui reviendra aussi), la saga s'est pour moi pendant des années résumée simplement à son premier épisode qui est comme le film au-dessus, l'un des instigateurs de ma passion du cinéma. Moins apocalyptique, grandiose et intemporel que son successeur mais un peu plus intime et marqué dans son époque, Mad Max reste un film racé et plein de la frénésie d'un Georges Miller à la jeune carrière qui tatonne et essaye de nouvelles idées malgré ses restrictions pour rendre un premier essai certes imparfait mais marqué de son ambiance violente et dangereuse, un esprit furieux qu'il sublimera par la suite.



Hop fait ! Bon la deuxième salve sera plus concise parce que ça prend un temps fou en fait !
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  #266  
Vieux 25/06/2016, 01h04
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J'ai bien mis Vol au dessus d'un Nid de Coucou mais dans les films que j'ai écarté au dernier moment (il est en spoiler ; car au départ c'était HAIR que je prenais). Comme toi, c'est réellement un bon souvenir, le genre de film avec lequel tu découvres que le cinéma peut véhiculer des émotions et te faire réfléchir.
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Vieux 25/06/2016, 01h15
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Posté par Kani
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Bon allez c'est mon tour !
Super.
Et très chouette liste.

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-Gamera 2 : Advent of Legion (1996) de Shusuke Kaneko : Certains ici connaissant peut-être déjà mon amour inconditionnel du Kaiju Eiga. Si bien évidemment le Godzilla original de 54 reste (et restera) celui que je considère comme le plus grand chef d'oeuvre du genre (dont je reparlerais un autre jour), je voulais aborder un film moins connu hormis chez les amateurs et peut-être le faire découvrir. La trilogie Gamera est probablement ce que le Kaiju a produit de meilleur en terme d'action et de mise en scène de monstres, et le deuxième en est le plus formel exemple. Un film survitaminé, un bonbon acide où les affrontements de types costumés en monstres géants n'ont jamais été aussi intenses face à un ennemi étonnant s'inspirant d'insectes donnant des idées de réal' ouf. Les personnages humains sans être inoubliables, servent bien le film grâce à de bons acteurs et le film comporte des séquences d'anthologie de bastons de streums. Un film jouissif et jusqu'au-boutiste qui fait plaisir.
Je reviendrai plus tard sur certains de tes choix mais là juste en vitesse, je plussoie ton choix de Gamera 2.
Le premier de la trilogie est assez enfantin mais dès ce deuxième volet, le propos devient franchement intéressant (le scénario est signé Kazunori Ito - scénariste par ailleurs du Ghost in the shell de Mamoru Oshii).
Ces Gamera sont les seuls films de kaiju contemporains que j'aime, mais je les aime beaucoup.
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  #269  
Vieux 25/06/2016, 01h20
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Posté par arrowsmith
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J'ai bien mis Vol au dessus d'un Nid de Coucou mais dans les films que j'ai écarté au dernier moment (il est en spoiler ; car au départ c'était HAIR que je prenais). Comme toi, c'est réellement un bon souvenir, le genre de film avec lequel tu découvres que le cinéma peut véhiculer des émotions et te faire réfléchir.
Je trouve que Jack Nicholson a fait beaucoup mieux à cette période.
C'était quand même un putain de bon acteur avant que The Shining ne le transforme en catalogue de grimaces.
Je recommande particulièrement Five easy pieces et The king of Marvin gardens de Bob Rafelson pour découvrir une facette beaucoup plus sobre de son jeu.
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  #270  
Vieux 25/06/2016, 02h15
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Quand on connait la filmo après coup de Nicholson, évidemment qu'il a fait mieux. Je relance de Profession : reporter ou encore Chinatown.

Ce n'est pas la faute de Kubrick si d'autres réalisateurs l'on mal employé par la suite. Il est parfait dans Shining. Dans le Facteur sonne toujours deux fois ou encore Tendre passion (quel mélo) il ne cabotine pas encore.

Cela reste un acteur fascinant.
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