Critiques VO janvier 2015

[Magda]

Premiers comics de cette nouvelle année.

Operation: S.I.N. #1 était une de mes attentes et puis bon, il faut se mettre dans l'ambiance pour le premier épisode de la série ce soir, Kathryn Immonen a écrit des récits intéressants par le passé et donc de la voir parler de l'univers Marvel des années 50, c'est tout de suite bazoom et c'est vraiment le top du top, alors tout n'est pas parfait dans le numéro, mais il y a assez pour qu'on soit content en fermant le numéro. On entre tout de suite dans le vif du sujet avec une Peggy toujours aussi cool, on n'en fait pas une simple caricature de l'agent ou de la femme de l'époque, bien au contraire, il y a un vrai travail et on reconnait tout de suite la Peggy de notre univers Marvel. Après ça va assez vite et les lecteurs ne la connaissant pas peuvent vite se dire "what?" Pour moi au contraire c'est ce qui permet de s'intéresser au personnage et d'en redemander. Howard Stark est lui aussi très classe comme toujours, ce n'est pas Tony ce qui pouvait arriver avec d'autres scénaristes par le passé... d'ailleurs j'ai hâte de revoir le Stark version Hickman dans la mini-série S.H.I.E.L.D. . L'histoire utilise des éléments de Original Sin donc pour ceux qui n'ont pas encore eu l'occasion de lire le récit, même si ce n'est pas du gros spoiler, vous devez éviter de lire ce premier numéro je pense. La présence de Woodrow en tout cas est intriguante, et j'ai hâte d'en savoir plus. C'est plaisant en tout cas de se retrouver dans les années 50 et en Russie en plus, c'est vraiment du tout bon. La scénariste retranscrit parfaitement la pensée des années 50 et le dessinateur Rick Ellis également, le fond comme la forme sont parfaitement liés et on croit en ce que l'on voit. Il y a une sensation de lire du pulp des années 50/60 et c'est plaisant avec de l'espionnage, des idées de SF, des dessins magnifiques et un scénario qui tient la route pour le moment, le tout ancré dans l'univers Marvel, bref c'est bien.

Ant-Man #1 est très différent de mes attentes, mais ce n'est pas un mal car même en faisant du classique, le scénariste me surprend avec le personnage et nous propose un très bon récit ou on nous présente notre amusant héros, sa situation, ses liens familiaux (élément très important chez le personnage avec notamment ses droits concernant Stature et ses liens avec Peggy, son ex-femme.) Il y a aussi sa volonté d'avoir un véritable emploi, ce qui nous change de ses moments nawaks de ses autres aventures... c'était bien, mais on pouvait craindre un côté répétitif, et ici il n'en est rien, je trouve le récit bien plus mature sans sombrer dans le glauque ou le trop sérieux indigeste. On reste dans un univers de comic-book avec et on peut dire que ça fait plaisir de voir, même mentionné certains personnages (Beetle...) Le scénariste prend le temps de poser les bases de sa série, je le répète c'est classique, mais efficace et ce n'est pas du ennuyant. J'aime beaucoup le personnage et ici on sent que le scénariste veut faire plaisir aux fans comme aux nouveaux lecteurs et on lit le tout avec un réel plaisir. C'est carré et efficace. Les dessins de Ramon Rosanas sont très efficaces également et son sens du rythme donne des planches plus qu'efficace, on sent quand même plus à l'aise avec les moments héroïques que les phases plus humaines, plus terre à terre, mais ce n'est pas dérangeant, bref c'est bien.

[Magda]

Spawn #248 & 249 Mes critiques arrivent seulement maintenant, désolé. On sent que Todd McFarlane prend plaisir à nous raconter ce qui arrive vraiment, et on peut dire que c'est bazoom. Pour ceux qui lisent Spawn, on sait pas mal de choses depuis quelques temps, la relation avec Sara est très particulière et c'est ce qui est intéressant, il y a déjà eu de nombreuses femmes avec Spawn version Al, mais la relation était très différente, ici vraiment cela développe et depuis quelques temps, on peut dire qu'on peut s’inquiéter, surtout que sachant ce qu'est Jim (un ange en faite qui a tenté de tuer Dieu... j'avoue on ne va pas lui en vouloir quand on sait que Dieu est ce qu'il est dans l'univers Spawn. Bref Sara est à l’hôpital et on peut dire que vu les autres personnages dans la place, c'est étonnant que ce soit si calme par moment. ^^ Bon après quand on voit la confrontation entre Jim et le symbiote, on se dit que ça va être la guerre totale dans le prochain numéro, et vu qu'il y a Al on en doute pas une seule seconde. Les différentes confrontations du récit sont intéressantes car elles développent les facettes de Jim et même du symbiote, de ce qu'il est avec ou sans porteur, c'est très intéressant à lire car ça ne fait pas redite dans le traitement, dans les thématiques par moment oui, mais le traitement du scénariste sont bien différentes. La guerre avec le mal en tout cas se développe, Sam, Twitch et notre surprise constatent l'invasion des nuisibles en ville. J'aime bien le retrait des personnages dans la scène même si on comprend que ça va bouger très vite par la suite. Le Violator quand à lui continue d'avancer en quelque sorte et il est toujours aussi inquiétant, en tout cas le lien avec Hel est logique et je me demande comment cela va évoluer. Le plus intéressant reste la confrontation violente mentalement et physiquement entre Spawn (surpuissant d'ailleurs, il n'y a qu'à voir ce qu'il fait dans le numéro #248) et Jim, on a l'impression d'avancer et en même temps on voit bien que monsieur McFarlane retient des éléments.... Argh il va me rendre folle vraiment. Le scénario est très bon en tout cas, on sent que la guerre est proche, certes ce n'est pas la même montée en puissance que durant l'Armageddon, bien entendu c'est un peu plus restreint, enfin je ne sais pas comment le dire, on a l'impression de voir que le sommet de l'iceberg avant que tout n'explose. Je ne sais pas encore comment tout cela va se conclure et je sens qu'on va avoir des surprises et cela me plait réellement, c'est vraiment glauque car on sent qu'on va prendre du plaisir et en même temps on va souffrir, c'est évident par avance, en tout cas j'aime le côté intime des récits de Spawn, le côté légende urbaine, mais j'aime aussi quand il y a ce crescendo, ce côté blockbuster, impressionnant, énorme, bref Todd McFarlane sait toujours autant écrire ses personnages et on ne peut que se tortiller sur son siège en attendant le numéro 250.
Les dessins de Szymon Kudranski sont parfaits, il y a vraiment quelque chose de particulier dans ses planches, un mélange de glauque et de superbe et rien que la confrontation entre le Spawn et Jim montre la beauté de ses êtres et en même temps le côté horrible, c'est vraiment particulier, mais top. Son style me rappelle par moment les planches de Alex Maleev sur le titre Sam & Twitch . Il y a un côté épuré que j'appréice et en même temps c'est réellement dynamique par les quelques traits. Bref c'est somptueux.
Vivement le numéro 250, je ne peux plus attendre.

[Slobo]

Bienvenue en cette nouvelle année. Nouvelle année signifie pour moi tenter de vous donner de meilleurs avis (J'aime pas le mot critique ^^)
Aussi si le barème ne change pas, ni le squelette de mes avis, j'apporte un nouveau éclairage justement à l'espace Avis. N'hésitez pas à me faire des retour.
Pour ce début de mois, 1 seul numéro à faire donc ça va pas trop être difficile (Même si je viens de clore décembre et l'année 2014).
Bonne lecture à toutes et tous.

Number 1 (Normal vu qu'il est tout seul)
Titre de la série : Lady Killer
Titre en couverture : The perfect solution to those perfect stains !
Numéro : 1
Editeurs : Dark Horse

Auteur :
Illustrateur & encrage : Joelle Jones
Scénariste : Joelle Jones & Jamie S.Rich
Pourquoi je l'ai pris :
Après être tombé sous le charme de la preview.
Pitch :
Josie Schuller est bien plus que la mère au foyé tranquille. En effet, elle est tueuse à gage. Mais ça belle mère n'est-elle pas un risque pour Josie ?
Phrase qui fait écho à ma lecture : "Got any leaks that need plugged ?"
Avis :
Les personnages -
Pour l'instant très peu est dévoilé. Le mari est à des millions d'années de découvrir qui est sa femme. Mais pas la belle mère qui peut compliquer les choses et être un atout pour cette série. Le soucis c'est qu'on a très peu de chose sur Josie aussi. Par contre son contact nous fait rire directement.
L'histoire -
Pour l'instant j'en ait trop peu pour me décider sur le réel intérêt. C'est pas ce à quoi je m'attendais après les première preview, mais bien mieux que ce que les suivantes m'ont fait craindre.
Le graphisme -
Principal atout phare du titre. Il est comique ce qui permet de lever une chape de plomb qui aurait pu alourdir l'atmosphère. Belle dynamique dans le découpage.
L'atmosphère -
On se trouve plus face à une Sitcom américaine qu'à une version mature creator orwned à la Vertigo/Image. Pourtant y'a du gore sanglant et des promesse de sexy.
Conclusion -
A voir avec le numéro 2 si je continue ou non.
Couverture : 2/2 (Excellent)
Dessin & encrage : 9/10 (Quelque détail à perfectionner)
Scénario : 7/10 (Pour l'instant trop limité et prévisible)
Intérêt : 3/6 (Grace à la belle mère)
Originality : 3/6 (Faut pas pousser on s'en que Dexter est passé par là.)
Plaisir de lecture : 4/6 (Passé un bon moment)
Note : 7/10

[Fletcher Arrowsmith]

BIRTHRIGHT #4 (Joshua WILLIAMSON / Andrei BRESSAN)



La fantasy s'invite sur Terre dans ce quatrième numéro et cela fonctionne (c'est la grande nouveauté de cet épisode).
Sans esbroufe Joshua WILLIAMSON continue de faire un travail intéressant sur les personnages de cette série et pour l'instant il arrive à ne laisser personne de côté (reproche que l'on fait souvent à d'autre récits). J'ai particulièrement apprécié l'échange un peu musclé entre la mère et son nouveau copain flic qui en dit long sur son rôle dans l'ex cercle familiale (que l'on peut même élargir à surement bien des familles ). Autre protagoniste qui est bien mis en lumière, Brennan le frère de Mickey qui se comporte comme un adolescent voulant le bien de tous et qui rêve secrètement leur réunification.

Graphiquement j'ai noté une légère baisse de Andrei BRESSAN sans pour autant que cela soit flagrant. Il est très à l'aise sur le côté fantasy et spécialement les monstres et autres êtres imaginaires et fantastiques, la dernière page le confirmant.

BIRTHRIGHT continue son sans faute en étant une série accessible, intéressante et plus intelligente que son pitch initial ne pouvait le laisser deviner.

[Slobo]

Cette semaine je m'attendais à lire le Mortal Kombat 1 mais en définitive j'ai du le retirer de ma prés-commande car il ne m'attendait pas. De plus Album et Pulp avait vendu tout leur exemplaire. Par contre je m'attendait pas a voir du Silver Surfer que j'ai arrêter en octobre me semble, ni le Avengers. Mais je vais revenir sur ces deux dernier ci-dessous.
Du coups c'est un spécial Marvel cette semaine mes lectures ^^

Number 4
Titre de la série : Miles Morales : The Ultimate Spider-man
Numéro : 9

Auteur :
Illustrateur & encrage : David Marquez
Scénariste : Brian Michael Bendis
Pourquoi je l'ai pris :
Parce que je continue à le commandé mais jusqu'à quand ?
Pitch :
Le papa de Miles continue à lui raconter son passé.
Phrase qui fait écho à ma lecture : "Did it sound like one ?"
Avis :
Les personnages -
Peu de spider-man, mais on nous montre un Caid/Kingpin impressionnant. Le père de Miles m'enthousiasme pas par contre.
L'histoire -
Bendis est bavard. Parfois trop sur le père de Miles. Après l'histoire est intéressante, pas exceptionnel et on sent que c'est pour lier le Caid qui va surement venir en ennemi sur le titre.
Le graphisme -
Enorme sur la partie passé, avec un Caid qui en impose. Par contre 1 siège et les deux protagoniste dans le présent dessiné correcte, mais diable je préfère se style plus noir à la deodato.
L'atmosphère -
Ennuyeuse malgré une très bonne utilisation de Toad et de Kingpin
Conclusion -
Il n'est dernier parce que j'ai lu mieux sur les autres titres. Mais il ne démérite pas pour autant. En espérant que le titre se bouge un peu sur la suite. Dernier titre Utlimate à partir de ce mois-ci me semble en plus.
Couverture : 1/2 (Rien a voir)
Dessin & encrage : 9/10
Scénario : 7/10
Intérêt : 3/6
Originality : 3/6
Plaisir de lecture : 3/6
Note : 6,5/10

Number 3
Titre de la série : Deathlok
Numéro : 4

Auteur :
Illustrateur & encrage : Mike Perkins
Scénariste : Nathan Edmondson
Pourquoi je l'ai pris :
Parce que j'aime depuis le départ cette série.
Pitch :
Deathlok est pris en chasse. Mais c'est sous son identité civil qu'il est le plus en danger.
Phrase qui fait écho à ma lecture : "Get me Mariah Hill !"
Avis :
Les personnages -
J'ai pas trouver Hayes aussi sympathique que dans les 3 précédents numéros
L'histoire -
Soit je commence à me laser, soit j'ai pas trop suivit. Voir Hayes passé à tabac m'est passé au dessus, tout comme voir l'agent du shield interroger par Steve Rogers. Un sentiment de perte du temps.
Le graphisme -
Parfois grossier dans le trait (Par exemple qu'en l'agent du shield lève les yeux au ciel). Trop de zone d'ombre parfois qui rend l'image moins forte pour certain visage. Un manque de reconnaissance des personnages. J'ai cru que la fille au bar était l'agent du shield et non celle en charge de Hayes pour son mystérieux patron.
L'atmosphère -
Ennuyeuse. J'attends toujours le retour de Black Tarantula (Trop Absent). Au moins Domino fait avancer les choses, bien qu'on ne croit pas au cliffanger.
Conclusion -
Moins convaincu que précédemment
Couverture : 2/2
Dessin & encrage : 9/10
Scénario : 7/10
Intérêt : 3/6
Originality : 4/6
Plaisir de lecture : 3/6
Note : 7/10

Number 2
Titre de la série : Avengers
Titre en couverture : In 4 month ... Time Run Out !
Numéro : 40

Titre du numéro : We Three Kings
Auteur :
Illustrateur & encrage : Stefano Caselli
Scénariste : Jonathan Hickman
Pourquoi je l'ai pris :
Je me rappeler plus l'avoir commander à cause de la présence de la cabal.
Pitch :
Suite directe de Avengers 39 et New Avengers 28.
Le plan de Reed a en fait comme but de régler le problème de la Cabal.
Phrase qui fait écho à ma lecture : "Now, we both talked about it, and we agreed ... You looked cooler as a cat."
Avis :
Les personnages -
Les Illuminatis sont à l'honneur. Que se soit Reed, Black Panther via son passé, ou Susan Storm. Après j'ai trouver Steve plus calme et ne suis pas certain qu'il a encore les mauvais coté d'Axis. Ca fait du bien de voir les 3 équipes (4 avec les Mighty) mettre de coté leurs problèmes pour s'allier une fois de plus (Même si on a pas droit à un Avengers Assemble - Pas encore du moins).
Celui qui reste le pilier du numéro n'est autre que Namor. C'est marrant quand on regarde la couverture du numéro 40 de la première série. ^^

Après faut-il croire que Marvel va oser ce qui est esquisser ici ? (Non au vu de certain pitch futur)

Tuer la cabal j'y crois pas (A cause/Grace à Tchalla ils ont le temps de filer). Et je vois pas Marvel tuer Thanos comme ça et maintenant.
Même pour Namor si tout indique qu'il ne peut s'en sortir j'ai un doute.

L'histoire -
Intéressante mais faut avoir lu les deux numéros que j'ai indiqué ci-dessus, ou on doit y perdre. Par contre je n'apprécie pas ce yoyo a avoir des persos que j'aime suivre dans New Avengers Ailleurs, et des perso que je veux pas suivre dans mon titre (L'équipe de Thor ... Même si leur rencontre était lié au illuminati).
Le graphisme -
J'ai aimer. C'est pas extraordinaire mais ça fait le travail. Caselli ici se rapproche pour moi du travail d'Henry sur Exiles.
L'atmosphère -
Intriguante. On décroche pas du début à la fin malgré les flashback qui aurait pu alourdir le propos.
Conclusion -
Un numéro important au vu du final.
Couverture : 2/2 (Thanos )
Dessin & encrage : 8/10
Scénario : 10/10
Intérêt : 5/6
Originality : 5/6
Plaisir de lecture : 6/6
Note : 9/10

Number 1
Titre de la série : Silver Surfer
Numéro : 3

Titre du numéro : World Appart
Auteur :
Illustrateur & Encrage : Michael Allred
Scénariste : Dan Slott
Pourquoi je l'ai pris :
Parce que l'ayant commandé j'ai pas oser le laisser.
Pitch :
Le Surfer décide de laisser Dawn conduire son surf. Mauvaise idée puisqu'il s'écrase. Mais si sur la planètes les habitants sont particulièrement bienveillant, il prenne peur et chasse Norrin en se rendant compte de qui il est. Pour une bonne raison.
Phrase qui fait écho à ma lecture : "We went out for ice cream."
Avis :
Les personnages -
Le surfer et Tobby sont toujours représenté de manière absolument génial. Dawn aussi fait plaisir à lire. Et tout les habitant d'Unknow sont bien travaillé.
L'histoire -
Original de mettre Norrin face à son passé et au passé d'autre Hérald. Ici face à des survivant il ne peut que s'effacer. Et Dawn réalise pour la première fois qui est son partenaire. La aussi on pourrait voir beaucoup de lien à Dr Who.
Le graphisme -
Alread enchante ce titre.
L'atmosphère -
Triste, mais très belle.
Conclusion -
J'ai laisser le titre car malgré de bonne histoire, ça restait pas inoubliable. Ici l'histoire est sympa et je pourrais en tirer la même conclusion. Le cliffanger cependant laisse rêveur. Peu être les auteurs vont-il faire quelque chose de marquant. Mais je ne crois pas avoir commander les suivants et je me suis débarrasser du titre donc je me vois pas le continuer de nouveau. Mais en TPB tout cela risque de changer. Et l'ironie veut que je le mettent en premier malgré tout dans mes critiques.
Couverture : 1/2
Dessin & encrage : 10/10
Scénario : 10/10
Intérêt : 6/6
Originality : 5/6
Plaisir de lecture : 6/6
Note : 9,5/10

[Magda]

Deadly Class #10 c'était l'une de mes nouvelles séries préférées de l'année 2014. Je le dis donc d'office, vous devez lire cette série qui recèle tous ce qui fait un bon comic-book chez Image et pour moi. Notre personnage principal, Marcus Lopez, n'est pas le personnage le plus doué du monde en ce qui concerne les filles et on s'en rend encore compte avec ce numéro, d'ailleurs j'aime bien la différence entre ce numéro et le précédent, on pourrait avoir l'impression de lire deux séries différentes et pourtant le ton est le même, ce sont juste les situations qui changent et ça fait plaisir car l'approche est vraiment intéressant. Il y a un sentiment rafraîchissant de voir Marcus tentait de passer sa journée de travail le plus simplement possible et pourtant quand on voit l'univers de violence dans lequel notre personnage évolue. On peut penser pendant une grande partie du récit qu'il manque quelque chose vraiment et en faite les choses évoluent rapidement donc on peut conserve le sourire, c'est vraiment top et on reconnait très vite l'univers qui est exploité depuis le début. Je le dis, nos personnages ne sont pas parfaits, ce sont encore des élèves et cela se ressent pendant la lecture, on se dit que tout va partir en live rapidement et cela ne manque pas ^^. Ce sont des assassins, mais les choses peuvent encore évoluer quand on voit comment le plan avance. Enfin bref c'est vraiment bien écrit on ne peut pas dire le contraire. Les planches de Wes Craig sont sublimes en tout cas, il a un réel sens du détail qui fait plaisir à voir et toutes les planches sont des œuvres-d'art à mes yeux. Rick Remender maitrise son univers de manière remarquable, Wes Craig donne vie à tout cela de manière plus que remarquabl et Lee Loughridge arrive à parfaire le tout. Bref c'est bien écrit, c'est beau et j'en veux encore et encore.

[Fletcher Arrowsmith]

En clair tu t'es régalé (pas encore lu, surement ce we)

[Fletcher Arrowsmith]

ALL-NEW X-FACTOR #19 (Peter DAVID / Carmine DI GIANDOMENICO)



Comme c'est l'avant dernier numéro d'une des meilleures séries mutante actuel, on profite. Mais ce numéro n'est malheureusement pas le meilleur de ce trop court run. Le combat mené par X-Factor est agréable à lire, bien fait, bien dialogué mais à ce stade (19 numéro quand même) il y a un gout de trop peu.
Paradoxalement je reste surpris de savoir qu'il n'y aura plus qu'un seul numéro pour conclure tant Peter DAVID en donne peu sur Serval industries et Harrison Snow (seulement des bribes dans la première et dernière page). Le scénariste va t il nous éblouir la prochaine fois ? Ou bien va t il rapatrier une partie de son intrigue dans une autre de ses séries (Spider-Man 2099) ? En tout cas cela ne rend que plus excitant l'attente du numéro #20.

Autre grief, c'est la première fois que la colorisation de Lee LOUGHRIDGE sur les dessins de Carmine DI GIANDOMENICO (impeccable) m'a gêné. J'ai apprécié depuis le début ce partie pris sur les couleurs qui donne une identité propre à la série. Mais là je ne suis pas rentré dedans.

Un numéro sympathique à lire mais sans plus cette fois ci. Cela reste quand même largement au dessus de la moyenne des séries X.

[Adinaieros]

Oui, c'est prévu le transfert de certaines intrigues dans SM99

[EsseJi]

Lady Killer #1 : parfois il faut gratter la surface pour découvrir ce qui se cache derrière la première couche, surtout si la première couche est aussi dure à enlever qu'une tâche de sang. Ce titre se présente comme un mélange de l'image de la femme dans les années 50 et de violence décalée qui ne serait pas sans déplaire à un Tarantino. Ça c'est le constat de départ, mais on découvre vite fait grace à un récit bien géré que derrière tout ça se dissimule des motivations et un double jeu. Ainsi on peut se rassurer que Lady Killer n'est pas seulement ce que l'impression de départ pouvait donner, il y a bien un fond sous la violence, superbement exécuté cela dit, on y trouve ce que l'on est venu chercher et comme une agréable surprise il y a bien plus. Même si c'est sur l'ensemble que le jugement de ce titre sera le plus légitime on peut assurément déjà miser une petite pièce sur la suite après avoir lu le premier numéro.

[Fletcher Arrowsmith]

TREES #8 (Warren ELLIS / Jason HOWARD)



Coup de balaie sur les trois intrigues principales et Warren ELLIS n'y va pas avec le dos de la cuillère. Eliminé la cité de Shu, changement sanglant de direction à Cefalu et destruction fantastique au Svalbard. Le scénariste nous surprend encore même si on a encore du mal à comprendre où on va. Cette série reste un mystère totale bien que les évènements narrés soient très compréhensifs. Elle est également un véritable champs d'expérimentation pour Jason HOWARD qui s'éloigne de plus en plus de sa prestation sur Super Dinosaur.

Série très mystérieuse mais par contre trop vite lu. Il y a quand même un gout de trop peu à chaque numéro.

[Baltazared]

	Citation:			Posté par arrowsmith
	TREES #8 (Warren ELLIS / Jason HOWARD) Coup de balaie sur les trois intrigues principales et Warren ELLIS n'y va pas avec le dos de la cuillère. Eliminé la cité de Shu, changement sanglant de direction à Cefalu et destruction fantastique au Svalbard. Le scénariste nous surprend encore même si on a encore du mal à comprendre où on va. Cette série reste un mystère totale bien que les évènements narrés soient très compréhensifs. Elle est également un véritable champs d'expérimentation pour Jason HOWARD qui s'éloigne de plus en plus de sa prestation sur Super Dinosaur. Série très mystérieuse mais par contre trop vite lu. Il y a quand même un gout de trop peu à chaque numéro.

Je viens de le terminer et j'ai eu la bonne idée de relire les septs numéros juste avant. D'accord sur le vite lu, même si il reste du contenu. La fin de l'arc, les différentes morts m'ont vraiment intriguées et ont redoublées la curiosité qui me faisait suivre cette série. Même si on ne sait pas trop où l'on va au niveau de ces arbres, on a quand même de bonnes pistes pour les intrigues "terrestres". On sent que Warren Ellis a prévu d'immenses choses et qu'il se permet grâce à son nom de développer en profondeur l'introduction et la mise en place de ses idées et personnages. La relecture sert grandement.

Hâte de lire la suite. Mystérieuse, ambitieuse, belle, bien écrite, Trees s'installe lentement comme une des séries Image les plus agréables à suivre.

[Fletcher Arrowsmith]

S.H.I.E.L.D. #2 (Mark WAID / Hunberto RAMOS / Victor OLAZABA)



Excellent. Beaucoup de rythme et d'humour dans ce deuxième numéro de S.H.I.E.L.D. (inspired by the hit TV series, c'est écrit) qui met en scène Phil Coulson (de mieux en mieux sous la plume de Mark WAID) et Jemma Simmons (intéressante surtout la partie sur ses relations avec sa famille). Subtilement le scénariste place ces deux personnages au centre du récit qui reçoivent ici l'aide de Ms Marvel vu que l'enquête se situe dans l'école de Kamala. Beaucoup d'humour dans le traitement, encore plein de références sur l'univers Marvel et surtout des relations humaines très bien décrites (celle entre Kamala et Coulson est magnifique). Autre point appréciable, le fait que Mark Waid est capable de virage à 180° dans sa narration. Autant le premier numéro était tourné vers le fantastique avec la présence de Dieux autant ici c'est très à terre. Et cela fonctionne. Au passage il écrit très bien Kamala/Ms Marvel en tant qu'adolescente, cette dernière étant croquée à merveille par un Humberto RAMOS très inspiré surtout sur ce personnage.

Allez, je revois mon jugement à la hausse sur le premier numéro avec celui là qui est tout simplement excellent. En voilà du Marvel que j'aime.

[Al Pennyworth]

	Citation:			Posté par SJ
	Lady Killer #1 : parfois il faut gratter la surface pour découvrir ce qui se cache derrière la première couche, surtout si la première couche est aussi dure à enlever qu'une tâche de sang. Ce titre se présente comme un mélange de l'image de la femme dans les années 50 et de violence décalée qui ne serait pas sans déplaire à un Tarantino. Ça c'est le constat de départ, mais on découvre vite fait grace à un récit bien géré que derrière tout ça se dissimule des motivations et un double jeu. Ainsi on peut se rassurer que Lady Killer n'est pas seulement ce que l'impression de départ pouvait donner, il y a bien un fond sous la violence, superbement exécuté cela dit, on y trouve ce que l'on est venu chercher et comme une agréable surprise il y a bien plus. Même si c'est sur l'ensemble que le jugement de ce titre sera le plus légitime on peut assurément déjà miser une petite pièce sur la suite après avoir lu le premier numéro.

Tu résumes parfaitement ma première impression sur ce titre. La première couche est agréable, bien mise en valeur par des dessins de qualité. Mais, plus que cela, les enjeux, les regards portés sur cette femme, apparaissent comme prometteurs pour la suite.
Et puis, elle est pleine de charme cette Jackie K killeuse.

[EsseJi]

Names #5 : ce numéro marque le passage au moitié de la mini, et c'est bien d'en prendre conscience car rien ne transpire dans le récit. On peut parler de rebondissements, ou alors d'intrigue à tiroir, le fait est qu'on est comme les personnages du comics, on avance à tâtons sans connaître la destination et on est bien obligé de franchir les obstacles sur notre route. Plus ça avance plus la conclusion risque d'être rude, non pas qu'on se dise que Milligan et Fernandez vont la louper, mais plutôt que quand ça sera fini il n'y aura plus de The Names. On aura droit à des explications, plus de cliffhanger qui tient en haleine ni de rebondissements, une conclusion et un adieu jusque la relecture, qui est déjà programmée.