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Pas de problèmes.
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En ce qui me concerne, j'aurais demandé une lapidation publique pour gorlab, puis une éviscération, un écartèlement, une immolation par le feu, finie par une sympathique décapitation.
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#18
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Me tirer les oreilles aurait pi être suffit aussi...
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C'est en voyant un moustique se poser sur ses testicules qu'on réalise qu'on ne peut pas régler tout les problèmes par la violence. Mes planches originales de comics à vendre.http://xanadu-art.eklablog.com/accueil-c17038922 |
#19
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Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, hein?
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#20
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Nonobstant, je te trouve étonnamment peu loquace sur ce film Gorlab. Car je trouve qu'il y a pas mal à en dire. En positif comme en négatif.
Sur le fond, c'est l'un des films de SF les plus étonnants et novateurs que j'ai vu depuis un bail. Et qu'il contient tout un tas de propositions très intéressantes. Le pitch, le cadre, le héros par ex apportent un vrai souffle d'air frais au genre. Mais, mais, sur la forme, je trouve qu'il souffre d'un GROS problème de point de vue qui l'empêche de totalement fonctionner. Et c'est vraiment dommage. |
#21
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J'ai bien aimé aussi,
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La liste des comics sur lesquels j'ai bossé chez MARVEL. |
#22
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Cela aurait donné une bonne série, j'en suis persuadé, histoire d'aller au fond des choses. Juste un bof, sur les intervenants extérieurs de l'histoire, qui sont pas franchement utiles, ou du moins on aurait souhaité les entendre moins, même si ils contribuent à l'aspect doc. du film.
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C'est en voyant un moustique se poser sur ses testicules qu'on réalise qu'on ne peut pas régler tout les problèmes par la violence. Mes planches originales de comics à vendre.http://xanadu-art.eklablog.com/accueil-c17038922 |
#23
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Ah j'ai pas été bien clair donc. Alors, pas la peine de me raconter la fin...je l'ai vu le flim...
Juste, je m'étonnais que ça te laisse aussi froid. Mais on va pas en faire un fromage ni de la pâté pour chat... |
#24
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Je viens de le voir. Excellent film de SF, un déroulement qui n'est pas prévisible. Je conseille, c'est original.
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Vous avez pris la Renault 5 pour aller au ciné tous ou quoi ?
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Ça resitue les merguez dans un contexte littéraire et intellectuel qui est le bienvenu. Viens découvrir la saison des animes qui fleurissent. |
#26
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District 9 fait référence aux camps de concentration de japonais aux USA pendant la WWII, je crois.
C'est aussi un témoignage sur l'Apartheid, sujet sur lequel le réalisateur, Sud-Africain, avait basé son premier court-métrage. J'aime bien les histoires d'extra-terrestre très terrestres, genre "Alien nation", qui parlait déjà du racisme contre les extra-terrestre ou "Ennemy mine" ou "Hidden"... Par contre, une critique des Inrocks le compare à "Cloverfield", et là, mon estomac a peur... |
#27
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C'est vrai que c'est filmé à la façon d'un reportage amateur, et pendant les scènes d'actions, ca bouge pas mal, mais ca reste très visible.
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C'est en voyant un moustique se poser sur ses testicules qu'on réalise qu'on ne peut pas régler tout les problèmes par la violence. Mes planches originales de comics à vendre.http://xanadu-art.eklablog.com/accueil-c17038922 Dernière modification par gorlab ; 12/09/2009 à 13h45. |
#28
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Ouai juste pour la caméra quelque fois mais bon c'est différent quand même et mieux je trouve. (District 9)
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#29
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Ah ben non, c'est pire parce que justement le parti-pris reportage n'est pas assumé jusqu'au bout, à la différence d'un cloverfield (qui a au moins ce mérite là, rester un faux docu du début jusqu'à la fin avec les limites que ça comporte: un nombre de points de vue restreint parce que dépendant de la place du caméraman dans l'action en cours). District 9, ça part comme un reportage/docu, la caméra et le caméraman font donc partie intégrante de l'action. Mais très vite, le film n'arrive pas à tenir cette position (difficile, certes, car ce principe narratif ne permet donc pas de rendre compte d'événements qui se dérouleraient en l'absence de la caméra-témoin) pour repasser en mode fiction pure. Et ensuite, ça reste le cul entre deux chaises et ça n'arrête pas de naviguer en une série d'allers-retours, faux docu subjectif/fiction objective. Ce qui donne un truc totalement batard à l'arrivée. Deux principes antagonistes de narration (retranscription de la réalité/construction d'une réalité) s'affrontent sans que le mélange des deux ne soit justifié dans la conduite du récit. Pour moi, ça n'a pas du tout marché et si j'ai été emballé par le premier quart d'heure et la promesse justement d'un faux docu, le retour au format fictionnel classique (au moment des premiers huis clos avec les ET) m'a éjecté du film. |
#30
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Une prise et on est tranquille à vie. |
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