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#1
05/12/2007, 18h39
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Critiques DC VO Décembre 2007
Countdown To Final Crisis 21
 Down And Out… And Beyond Writer : Paul Dini & Sean McKeever Breakdowns & Story Consultant : Keith Giffen Penciller : Jamal Igle Inker : Mark McKenna Colorist : Pete Pantazis On prend les mêmes et on recommence, il n’y a pas de raison que cela soit moins bon que la dernière production qui se finissait sur un (un vrai de vrai !) cliffhanger de feu !!!  Pour garder la ligne de flottaison, la série continue les révélations (Yes !!!!!!!!!!) en alignant les bonnes prestations graphiques (même Carlos Magno s’y met) : c’est avec un réel plaisir que je retrouve les Rogues (même si…), les Challengers Of The Beyond, Karate Kid et ses troupes mais surtout le retour de Holly !!!!!!! La petite chatte revient : pour miauler de plaisir ?  Un autre retour : Jamal Igle qui commence à faire son nid au sein de la série ! La back-up : il suffit de regarder la jolie couverture de Karl Kerschl pour avoir un indice sur l’identité du Bad Guy de la semaine, sachant que Desaad y a déjà eu droit avec Walter Simonson !  Si en refermant ce Countdown To Final Crisis, le palpitant est moins intense, il n’en reste pas moins important quant à la finalité de ce qui arrive d’autant plus que cela rappelle à la fois la dernière crise passée avec Infinite Crisis mais aussi qu’il y a du Great Disaster dans l’air.  Il faut dire qu’en terme de cliffhanger, le dernier avait mis la barre assez haute quant aux Rogues : qu’à ne cela tienne, il faut battre le fer tant qu’il est chaud pour en faire profiter la série. Evidemment, la série reprend dessus et il y a de la confirmation dans l’air… Dans l’immédiat, il y a un autre rebondissement qui annonce un retour assez rapide de cette intrigue : j’espère (logiquement) la semaine prochaine.  Si le fun risque de ne plus être présent dans cette intrigue, j’attends maintenant son impact direct sur la Crise à venir : une future rencontre qui n’aura rien d’inopiné ? Toujours mon péché mignon. Si les Rogues devaient immanquablement revenir, il y a une intrigue qui ne manquait pas trop car elle en racontait autant qu’elle soit présente ou absente : Holly et ses vacances à la plage… Au moins, pour se rappeler à mon bon souvenir, l’intrigue révèle enfin ce que je sais depuis…Août et Amazons Attack 6. Si ce n’est pas de la valeur ajoutée galvaudée par une telle attente, je ne vois pas…  Maintenant, cela a le mérite d’être officiel au sein de la série-mère. Qu’en est-il de Holly ? J’avoue d’ailleurs être à la fois intéressé car ce retour s’opère alors qu’une annonce de série basée sur Holly et Harley pourrait se faire mettant à mal quelques projections faites au sujet de cette histoire et à la fois perplexe car, objectivement, elle n’a pas mis à profit cette mise entre parenthèses pour avancer plus que de raison.  La prochaine fois peut-être vu ce qui s’annonce. Une intrigue qui a avancé sans l’annoncer clairement sauf en lisant entre les lignes, c’est celle de Donna et de ses troupes du Multiverse dans la quête de Ray Palmer : encore heureux car les retrouvailles sont annoncées pour ce mois-ci dans les sollicitations. Reste à voir où il sera retrouvé : je continue de miser sur une certaine Terre…  De l’avancée certes doucement mais cela se rapproche. Reste Karate Kid qui décidément est impayable : seuls qui le côtoient progressent. Alors qu’il devrait être la « star » de son histoire le plus souvent, il joue surtout les seconds couteaux laissant les protagonistes progresser de Firestorm à Brother Eye.  Si le 1er a fait ce qu’il avait à faire dans la série sans toutefois se pencher sur le cas du Professeur Stein (pour plus tard ou dans Death Of The Gods ?), le 2ème revient du diable vauvert montrant bien qu’aucune histoire n’est finie malgré de nombreux claps de fin. Cela peut lasser mais il faut y voir aussi la volonté de vraiment intégrer les différentes facettes d’une entité dans la série que ce soit pré-Crisis On Infinite Earths (d’où le futur Countdown Special – O.M.A.C) ou Infinite Crisis (avec Project O.M.A.C et O.M.A.C justement) : cela culmine avec un cliffhanger qui devrait faire la lumière sur le (ou un ?) Great Disaster dans un futur proche.  En effet, les intrigues continuent d’avancer chacune dans leur optique : il y a parfois des croisements entre certaines avec des personnages charnière pour lier le tout comme Desaad, Granny Goodness, Darkseid. Que ce soit des New Gods est un indice certain sur l’approche de Final Crisis même Death Of The New Gods peut changer la donne. D’un autre côté, il y a des intrigues plus New Earth à New Earth comme les Rogues tout aussi intéressantes mais en électron libre (seulement en apparence vu la 3ème page).  Je n’oublie pas Superman-Prime ou Mr Mxyzptlk et encore moins Mary Marvel qui revient la semaine prochaine vu la couverture de Karl Kerschl. D’ailleurs, un comic qui commence par une couverture (induisant en erreur sur le contenu, coquin !) Karl Kerschl annonce du bon logiquement. Quid de la prestation de Jamal Igle ?  Tout aussi bon que sur Teen Titans, c’est toutefois différent principalement pour cause d’encrage : Mark McKenna est seul en course au contraire de Teen Titans où la flopée d’encreurs (Marlo Alquiza, Jesse Delperdang et Rob Hunter) atténuait la sensation d’unité graphique. Ici, il n’en est rien.  Peut-être pas un grand dessinateur en comparaison de grands noms mais un boulot honnête : rien à signaler sauf la dernière page s’intéressant aux Challengers Of The Beyond où Kyle et Bob sont ridicules (l’un est méconnaissable, l’autre est singe échappé du zoo). Donc, la back-up de Scott Beatty gère le cas… Granny Goodness ! Mise à l’honneur pour des raisons évidentes, la vieille harpie d’Apokolips voit ses origines racontées exactement comme dans Secret Origins Of Super-Villains 80-page Giant 1 : cela tombe bien, c’est cité en Essential Storylines. Ce qui est encore plus cool est que c’était déjà dessiné par Jon Bogdanove !!!! Le Bog qui se fait rare est toujours aussi sympathique à regarder, son trait particulier s’exprime bien avec les rides de la boss des Females Furies !  Juste un reproche, les derniers développements quant à sa position actuelle sur l’échiquier DC ne sont pas clairement expliqués… Les semaines se suivent et se ressemblent : Countdown To Final Crisis est en passe de faire oublier son début calamiteux !!  Bilan :  Countdown To Final Crisis #20 Countdown To Final Crisis #19 Countdown To Final Crisis #18 Flash, The Fastest Man Alive 235 Green Lantern 25 Justice League Of America 15 Justice League Of America 16
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#3
09/12/2007, 10h38
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Justice League Of America 15
 Unlimited – Chapter 4 : Unleashed Writer : Dwayne McDuffie Penciller : Ed Benes Inker : Sandra Hope Colorist : Pete Pantazis Pour la fin de son 1er run, Dwayne McDuffie s’offre déjà un petit retard de 2 semaines pour boucler son œuvre qui avait commencé sur les chapeaux de roue dans Justice League Of America – Wedding Special 1 en montrant une (nouvelle) force implacable pour les Big Guns DC : l’Injustice League. Arc en 4 numéros (one-shot + ongoing), sa 3ème partie avait montré un certain essoufflement sur le fond avec des vilains juste vilains et une utilisation des héros parfois à côté de la plaque. Aussi dans cette conclusion qui s’annonce musclée, j’attends autre chose.  Je suis partagé devant cette conclusion qui me laisse une impression mitigée : il y a du bon et du moins bon. Oh, c’est meilleur que la dernière fois mais cela n’atteint pas le niveau magistral des 2 premières parties.  En positif, il faut d’abord retenir le rythme effréné que Dwayne McDuffie aura imprimé sur la série restituant l’ambiance de la grande époque de l’équipe d’avant Crisis On Infinite Earths avec de multiples touches héritées de son passage sur Justice League Unlimited. Il a axé ses débuts sur ce qui aura été la grande absente du run de Brad Meltzer : l’action et cet épisode en est garni !!! Sans atteindre le niveau de Sinestro War, ce run aura apporté le « fun » (les héros ont quand même douillé) et son quota de moments jubilatoires (même si cela aurait pu être plus poussé). Après, un début de relaunch plus cérémonial qu’actif, la série montre ce que cela peut donner dans le feu de l’action. L’autre grande force de l’auteur est qu’il n’aura pas sabré le travail initial de Brad Meltzer comme je l’ai crû à tort au début : il s’en sert et permet quelques allusions dans le comportement un poil moins manichéen de certains personnages hérite de Identity Crisis, pierre fondatrice du DC Universe actuel. D’ailleurs, l’auteur ne regarde pas que derrière, il sème des graines pour de futures intrigues liées de près ou de loin au Multiverse dont 1 sûre prometteuse d’une belle empoignade d’après les sollicitations de Février. Après, il faut bien dire que l’histoire actuelle souffre de quelques ratés que le début réussi ne peut masquer complètement…  Si la trame d’origine se basait sur une coalition de vilains annonciatrice de lourdes retombées pour les héros comme le prouvaient les défaites initiales du run, la conclusion s’apparente parfois à une simple remontée de bretelles expédiée par les héros avec une certaine facilité. Il est dommage que l’intégralité des vilains du début ne soit pas présente pour équilibrer les débats, seul le noyau dur ayant décidé de rester pour se faire torcher par les héros. J’aurai aimé plus d’interaction ou de suivi de la chose. En plus, ces vilains auront un effet quasi-nul sur l’équipe alors que cela avait bien commencé mais il a fallu que le héros latté se la joue effet Scooby-Doo pour revenir dès le début avec pour conséquence de dégonfler l’impact de la menace. Même si cela s’explique par une volonté d’intégration de ce héros dans l’équipe parce que Dwayne McDuffie a des choses à raconter, c’est facile. Bon, j’aime le héros donc l’irritation est atténuée. D’autant plus, qu’il y a un autre héros qui débarque comme un cheveu sur la soupe alors que je pensais que l’auteur s’en était débarrassé a priori : ce genre de twist scénaristique m’horripile au plus haut point : contrainte éditoriale ? Le plus énervant est que Flash n’apparaît même pas : à se demander à quoi il sert actuellement, sa série étant quasiment hermétique aux autres titres DC ? Un peu de connexion via son appartenance à l’équipe pourrait augmenter son exposition vu qu’il doit jouer un grand rôle dans Final Crisis… Le pire est qu’il est présent la même semaine dans Justice Society Of America 11 dans son rôle de Scarlet Speedster : avec un peu de chance, il sera là pour l’épisode 16 de la série car un autre Flash se pointe. Pour en revenir à l’intrigue, si elle est simple (ou simpliste, c’est selon), elle a l’avantage d’être accessible : seulement, je vais être tatillon. Elle se fait piloter par la continuité Countdown dans sa finalité (mais c’était prévisible depuis Salvation Run 1) mais a parfois du mal à bien se situer notamment avec le mariage de Black Canary et de Green Arrow. Ce n’est pas la mention indiquant que l’histoire se passe avant la cérémonie qui va me contenter : d’abord c’était logique mais surtout j’ai la bizarre impression que des vilains souffrent de dichotomie spatiale… Heureusement, il y a le dessin de Ed Benes qui a du temps supplémentaire pour fignoler l’emballage final de l’histoire (avant un nouveau break made in Joe Benitez…) : ce qui avait été esquissé sous Brad Meltzer prend tout son sens, il sait dessiner plusieurs héros en action tout en étant et restant clair et lisible.  Il ne se trompe pas dans l’interprétation des héros, il les rend crédibles dans l’action défilant à toute vitesse : il jongle avec plusieurs combats expédiés de main de maître, ma préférence allant au « duel » Giganta – Black Canary… Même s’il n’a pas sa femme Mariah Benes à l’encrage, il peut compter Sandra Hope. Pour les couleurs, c’est un habitué de Countdown To Final Crisis qui apporte la touche finale, Pete Panazis. Le fond du comic l’emporte largement sur les déceptions causées par l’épilogue de l’histoire. C’est le genre d’épisode qui montre bien quel niveau de puissance ont les héros et, pis, il y a la Babe Touch de Ed Benes : toujours le bon angle même si cela flirte parfois avec le déboîtage de hanches… Après un début qui tranchait bien avec le run de Brad Meltzer, la version de Dwayne McDuffie s’est endormie pour offrir une fin « conventionnelle » sur fond de Final Crisis. Si le plaisir est bien présent pour cause d’intensité et d’un dessin plus que sympathique, j’attends un mix de psychologie à la Brad Meltzer pour le développement des personnages et de vitesse à la Dwayne McDuffie : associer les points forts, c’est possible ?  Avec Final Crisis qui approche, la série va se focaliser sur certains points comme le Tangent Universe ou Salvation Run (ce qui risque d’être très bien !) : est-ce que le « salut » du côté de l’identité propre à la série viendra de Vixen qui lui donne une touche personnelle par moments ? En attendant, la série est toujours plaisante à lire surtout quand Ed Benes est dans le coin. Bilan : (et demi)
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#4
09/12/2007, 20h44
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Je te rejoinds sur l'histoire en général (même si j'avais beaucoup aimé la 3eme partie ) mais pas sur les dessins de Benes .
Il a eu 15 jours de rab mais il donne l'impression de ne pas avoir été prévenu , ses dernieres pages sont baclées , les décors pratiquement inexistants , c'est dommage , ça gache un peu , certes , il avait une tonne de perso à dessiner mais quand même . Chouettes critiques en tout cas
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Daenerys à Tyrion: Je suis venue ici pour boire du Cacolac et casser des gueules. Et je viens de finir mon Cacolac ! Les recap' rigolotes
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#5
10/12/2007, 14h19
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moi je la trouve dégueulasse cette couverture de Kerschl que j'aime bien d'habitude.
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johnkeats.space-blogs.com
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#6
10/12/2007, 14h22
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je trouve que le ridicule de Granny est bien rendu
enfin, celle de la semaine prochaine est encore mieux
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#7
12/12/2007, 18h13
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Countdown To Final Crisis 20
 Loneliest Member Writer : Paul Dini & Adam Beechen Breakdowns & Story Consultant : Keith Giffen Penciller : Howard Porter Inker : Art Thibert Colorist : Tom Chu Noël approche et la série continue son enrobage en vue de Final Crisis : la barre des 20 numéros restants va être passée et il y a plus qu’un frémissement… La série remplit son office ! Qui aura la vedette cette semaine dans la course à la révélation ? Karate Kid ou Brother Eye ? Les Challengers Of The Beyond ou Ray Palmer ? Jimmy Olsen ou Forager ? Monarch ou Batman – Red Rain ? Pied Piper ou Pied Piper (ah bin là…) ? Eclipso ou Mary Marvel ? Au moins, il y en a 1 qui débarque : Howard Porter !!! Pour la fin, c’est le vert dans le fruit qui est croqué : Mr Mind !!!! D’office, je précise que j’écris sous le coup de l’émotion née de Green Lantern 25 qui m’a littéralement estomaqué !!!! Après une telle lecture, tout paraît fade même le plus que sympathique Countdown To Final Crisis qui ne boxe pas dans la même catégorie poids lourds même si cela a tendance à se confirmer au fil des semaines. Pourtant, il faut dire que ce numéro retombe dans quelques travers en additionnant les intrigues et en multipliant les (nouveaux) intervenants sans avoir exploité à fond les 1ers intervenants (Holly, Mary notamment) : l’impression de fouilli et de stagnation sur certaines intrigues n’en est que plus fort surtout quand le peu de pages qui leur dévolu n’est là que pour ressasser un élément qui avait su surprendre la dernière fois. A commencer par les Rogues toujours en duo forcé qui meublent 3 pages pour « désamorcer » le coup de théâtre né du cliffhanger d’il y a 2 semaines : ce qui devait être haletant n’a pas encore vraiment débuté. Un comble quand il y a la notion inéluctable d’un compte à rebours… Si je me réfère à la prochaine couverture, Paul Dini envisage de revenir dessus et il peut y avoir du glauque, enfin ce n’est pas comme si l’atmosphère était joyeuse non plus… Suivent les Challengers Of The Beyond qui ont droit à 1 page non pas d’avancée mais « d’approfondissement » d’une phrase de la semaine dernière sans en dire plus : qu’est-ce que cela coûte de donner le numéro de la Terre visée ? Là, c’est vraiment limite, il manque juste cela pour en avoir pour son argent sur cette intrigue.  Enfin, Décembre est le mois théorique des retrouvailles avec Ray Palmer : la semaine prochaine, ils atterrissent sur la fameuse Terre et le cliffhanger du dernier numéro de l’année montre Ray Palmer dans toute sa splendeur ? Le jeu de pistes de Supernova dans 52 était autrement plus prenant…  Jimmy Olsen ? Il redécouvre un pouvoir ce qui ne lui était pas arrivé depuis un moment, preuve qu’il a vraiment frôlé la mort… Après ? Son aspect physique n’est pas celui escompté. Au moins, il se pose des questions et a presque un coup de foudre visible à des kilomètres. Cette énigme ne voulant presque rien dévoiler, j’en suis réduit à assister à du prévisible sauf la dernière case et j’en viendrai quasiment à souhaiter que son opposante parvienne à ses fins…  Monarch ? Il n’y a pas d’entourloupe : c’est à destination de ceux qui ne lisent pas Countdown – Arena. 2 pages donnant le résultat du combat de Countdown – Arena 1 et montrant 1 scène du 2ème numéro mais il n’est pas sûr que le prochain numéro de Countdown To Final Crisis fasse la liaison directement avec la dernière case de la semaine qui renvoie plutôt à la mini-série. Alors la semaine prochaine, est-ce qu’il y aura le résultat du combat principal teinté de vert ? Eclipso et Mary Marvel en finissent avec leur crêpage de chignons qui s’étale sur 4 pages : 2 de trop. Tout ça pour ça ? Il y a des baffes qui se perdent : si mon hypothèse s’avère juste, je tiens l’intrigue de la lose éternelle et profonde…  Au moins, la couverture de Karl Kerschl est en adéquation avec le contenu. Le gros morceau de la semaine s’intéresse à Karate Kid et à Brother Eye. Si le 1er est confronté à l’ouverture d’une malle (nan je ne rigole même pas, Naheulbeuk arrive à être drôle avec l’ouverture d’une simple porte) qui finit en épisode des Feux de l’Amour ou de Plus Belle La Vie c’est-à-dire ridiculement.  Il reste Brother Eye qui n’explique pas ses agissements : il manque les sous-titres. La scène est joliment montrée mais je sens un cruel manque de fond. Dommage. Loneliest Member est le titre de l’épisode : s’il s’applique à certains protagonistes qui se retrouvent tout seul à ce moment de l’intrigue, je me suis aussi senti abandonné devant le manque de liant aux diverses intrigues qui s’enchaînent sous mon nez sans que l’Histoire n’en profite réellement… Ce numéro est plus une pause qu’autre chose, c’est tout. Au dessin, je tiens la preuve que Howard Porter n’a pas disparu de la face de la Terre. Débarqué de Trials Of Shazam pour cause de lenteur chronique (la maxi-série va s’étaler sur 24 mois pour 12 numéros) due à son nouveau style graphique, si cela est joli et adapté à l’ambiance magique, j’étais frustré d’attendre la conclusion d’une histoire sensée être finie avant le tiers de Countdown… Là, Howard Porter reprend son ancien style que j’avais découvert et apprécié sur JLA avec Grant Morrison. Bon, l’encrage de Art Thibert n’est pas celui de John Livesay sur Flash qui donnait un trait tranchant ou celui de John Dell sur justement JLA qui affinait le trait lui donnant un peu de courbes. Ici, c’est un mix des 2, c’est d’autant plus visible sur les bustes et les visages mis à part Vixen qui est décharnue, un comble pour la bombasse… Heureusement, Forager, Una et Mary réajustent la mire !!! Je ne sais pas si le dessinateur idéal ou si DC le classe dans la catégorie gros bras mais je suis content de le voir débarquer ! Pour la back-up, j’avoue être surpris : Mr Mind… A la limite, DC aurait dû la placer dans les 1ères car il avait une réelle actualité avec la fin de 52 mais là il est un peu (beaucoup ?) tombé en désuétude… Pour les retardataires de 52 qui voudraient savoir pourquoi il y a 52 univers différents ? Il y a bien eu History Of The Multiverse… Cela donne la version post-Crisis On Infinite Earths et parlera plus aux fans de Power Of Shazam. Joe Bennett s’occupe de la présentation et retrouve son acolyte Jack Jadson : c’est sans (mauvaise) surprise et cela se regarde plus que bien. Un épisode un peu calme alors que les événements ne demandent qu’à se déchaîner… Pendant ce temps-là, Green Lantern 25 atteint les étoiles. Bilan :
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#8
12/12/2007, 19h26
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bravo scarlett pour continuer a lire countown une vrai coquille vide ( tu devrait arreter
 ) et lire seulement les 5 dernier numeros 22 numeros ou 9 aurait largement suffit ......sinon est ce que tu vas critiquer le green lentern 25
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#9
12/12/2007, 22h40
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#11
13/12/2007, 11h02
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oh que oui!
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#12
14/12/2007, 00h39
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Green Lantern 25
 Sinestro War – Birth Of The Black Lantern Writer : Geoff Johns Penciller : Ivan Reis & Ethan Van Sciver Inker : Oclair Albert, Julio Ferreira & Ivan Reis Colorist : Moose Baumann & Rod Reis Après avoir fort joliment meublé l’attente de ce numéro (9 semaines…) avec des titres contenant des vrais morceaux de Superman-Prime comme Green Lantern Corps 18 et Tales Of The Sinestro Corps Presents Superman-Prime, voici venir la conclusion de l’événement majeur de 2007. Cela avait commencé très fort avec le prologue Green Lantern – Sinestro Corps Special 1 pour prendre son envol au fur et à mesure que les numéros se suivaient notamment avec Green Lantern Corps (que Dave Gibbons abandonne, le méchant). En fait, si ce Green Lantern 25 est la conclusion de la saga, il y a encore 2-3 titres servant d’épilogue qui sortent cette semaine : c’est cool pour le tiroir-caisse de Dan la menace !!! Pour marquer le coup, ce numéro offre pas moins de 64 pages où le talent de Ivan Reis est mis à contribution mais il n’est pas seul : pour boucler la boucle, il reçoit le renfort de Ethan van Sciver responsable du superbe prologue pour poser les bases de futurs événements pour la série. En effet, si cet épisode est une conclusion, il doit poser les bases de la dernière partie du triptyque commencé avec Green Lantern – Rebirth !!! Oh que oui !!!!!!!!!!!!!!!!!! Je tiens le grand gagnant de mes meilleures lectures de l’année dans le style héros en collants : du fond à la forme, de la qualité à la quantité, je n’ai point été déçu. A la limite, je ne vois que 2 défauts : le prix (mais au fond complètement justifié) et la couverture non rigide tellement j’ai peur que ma sueur n’imbibe trop le papier tellement j’ai été fébrile à tourner les pages de ce sommet qui place la barre très haut !!!! Si Annihilation avait été ma bouée de sauvetage à côté du ratage Civil War, Sinestro War risque d’être l’éclipse (fatale ?) à Countdown To Final Crisis (qui démérite de moins en moins mais qui n’atteint pas l’excellence du cross-over arc-en-ciel) : Final Crisis remettra t’elle tout cela d’équerre ?  En effet, cette histoire a débuté de façon cloisonnée dans l’univers Green Lantern pour finir par supplanter l’ordre de priorité de mes lectures et par chambouler le DC Universe. Pourquoi ? Au-delà de l’histoire classique au départ (2 camps qui se tapent dessus si on regarde cela de loin), elle aura su se démarquer par un rythme haletant et une exploitation des personnages quasi-parfaite. Cela est à mettre au crédit de Geoff Johns qui a su faire fructifier son travail de fond depuis Green Lantern – Rebirth en ramenant Hal Jordan à la vie. Ensuite, il a utilisé tout le background de leur histoire (hormis Krona mais cela viendra bien un jour connaissant le bougre) avec des inventions de Alan Moore comme la prophétie, Sodam Yat ou Mogo (oui, Spider, tu as raison) et de Marv Wolfman comme l’Anti-Monitor, sans oublier les Zamarons. Il a su condenser tout l’héritage de la franchise pour en faire un feu d’artifice qui marque 2007 de son sceau, ni plus, ni moins. Ce, d’autant plus, que dans sa volonté de faire de Hal Jordan le 4ème mousquetaire, DC a fait mieux : il a dépassé la Trinité qui a pataugé la majeure partie de l’année. Wonder Woman ? A part Amazons Attack qui n’a été sauvée que par le dessin de Pete Woods et sa fin, il faut regarder du côté de Gail Simone pour une vraie lueur d’espoir… Superman ? Avec des arcs qui ne finissent pas, le lecteur a été vite perdu ; au moins, Geoff Johns (tiens, tiens) et Gary Frank ont redressé la barre sur Action Comics. Batman ? Il y a bien le cross-over The Resurrection Of Ra’s Al Ghul mais c’est tout. La série Green Lantern (et sa géniale consoeur Green Lantern Corps) a été d’une formidable constance et l’apothéose de la saga est grandement à la hauteur, au contraire par exemple du dernier run de Justice League Of America par Dwayne McDuffie qui n’avait su maintenir la qualité de l’ouverture. Plus que de traiter de bravoure, l’histoire est homérique, c’est le genre de comic à lire pour aimer DC (ou alors vous êtes hermétique et n’aimerez jamais). Elle a un début, un milieu et une fin (certes ouverte) et l’univers se porte mieux qu’au départ ! Pour arriver à cela, l’auteur a offert un concentré d’adrénaline pure mélangé à de la dynamite qui m’a laissé épuisé la dernière page tournée mais quel pied à avoir lu cela ! A commencer par le dénouement de certaines intrigues liées à Superman-Prime ou l’Anti-Monitor : si le 1er était destiné à rôder du côté de Countdown To Final Crisis, cela s’inscrit de façon plausible tout en montrant toute la folie du personnage ; le second a droit à un vrai traitement de faveur qui renvoie à quelques passages de Crisis On Infinite Earths (qui m’ont émoustillé évidemment). La saga devait mener en partie à Final Crisis, cela montre aussi ce qui n’en sera pas… La rumeur sous-entendait le début de Red Lanterns ? Geoff Johns en a joué : mieux, il a manoeuvré son monde en présentant, au lieu de cela, l’étendue de l’arc-en-ciel, promesse d’événements jubilatoires en sachant qu’il a planifié cela jusqu’au numéro 50 avec la dernière partie de son triptyque (après Rebirth et Sinestro War) !!!! Le cerveau machiavélique de l’histoire ? Bien loin de l’archétype du méchant de base (coucou Dwayne !), les motivations de Sinestro continuent d’être assez ambiguës pour se demander qui a gagné ou perdu au final… D’ailleurs, ce numéro devait être bâti sur la confrontation ultime entre Hal et le garçon de garçon mauve : là encore, Geoff Johns prend le lecteur à contre-pied entre présentant les choses de façon plus « terre-à-terre » et ce n’est même pas un vrai duel…. Toutefois, quelle bataille ! Le dernier membre du Sinestro Corps ? Eh bien, le Cyborg arriverait presque à m’émouvoir avec ses reliquats d’humanité mais il y a le contentieux Coast City datant de 1993… Il reste Hal et sa clique verte : les 4 Green Lanterns terriens ont tous leur moment de gloire et c’est à chaque fois dans leur domaine de compétences. Evidemment, c’est Hal le héros mais il ne truste pas la place donnant autant d’importance au trio : j’ai préféré les scènes avec Guy Gardner. Il en va de même pour l’ensemble du Green Lantern Corps pour qui plus rien ne sera comme avant : 1ers éléments de réponse dans Green Lantern Corps 19 ! 9 lois doivent suivre et je ‘en peux plus d’attendre pour en savoir plus sur le futur de la milice et non plus police (vu le statut de l’anneau désormais) galactique ! Tout cela a mijoté et explosé dans un tourbillon de fantastiques dessins offerts de main de maîtres par Ivan Reis et Ethan Van Sciver. Bon, avec 64 pages, il était évident que les splash pages simples ou doubles seraient de la partie : mes aïeux, des splash comme cela regorgeant de détails, j’en veux !!! Dès le début de l’épisode, il y a 2 doubles pages qui feraient applaudir un George Pérez tant la netteté et la précision sont présentes : Ivan Reis peut être fier et il n’y a rien à redire sur le report du bouquin quand je vois cela. Son compère n’a pas à rougir dans la présentation des différents Corps et la suggestion de la Blackest Night : si c’est l’un des 2 qui dessine cette future merveille, l’attente va être longue !!!! Le reste est un torrent de bonheur et c’est avec délectation que je suis les combats multiples du numéro : les fronts explosent de tous les côtés et de toutes les couleurs (Big Up pour Moose Baumann aidé en plus par Rod Reis). Mon dessinateur de l’année a encore frappé un grand coup ! Pour finir, à l’instar de Booster Gold et de Justice Society Of America (2 réussites aussi), Geoff Johns offre en fin d’épisode un teaser de fou sur la dernière partie du triptyque faisant écho au titre de l’épisode (révélé en fin de lecture pour garder tout le suspense) : je me répète, l’attente va être longue. Franchement que j’aime cet auteur qui quand il aime un personnage comme Flash ou Green Lantern et quand il a le temps d’installer les graines de ses histoires, il s’éclate et m’en fait profiter. Il a la chance d’être entouré de magnifiques dessinateurs : il n’y a qu’à espérer que Ivan Reis revienne vite après l’arc Alpha Lanterns géré par Mike McKone (lui aussi très bon) pour que la Dream Team se reforme ! Bilan : (j’en mettrai bien un 6ème mais je crois que cela se voit que j’ai exulté )Countdown To The Blackest Night….
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#13
14/12/2007, 01h12
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Du bon slip comme on les aime, effectivement. A lire surtout pour la fin, j'ai trouve les combats particulierement n'importe-quoi-t-esques (meme si jouissifs, mais surtout grace a Reis).
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When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better.
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#14
14/12/2007, 04h31
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Putain, j'ai craqué , j'ai lu la critique en entier
ça va etre encore plus dur d'attendre tte la journée avant d'avoir le bouquin 
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Daenerys à Tyrion: Je suis venue ici pour boire du Cacolac et casser des gueules. Et je viens de finir mon Cacolac ! Les recap' rigolotes
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#15
14/12/2007, 06h18
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Il y aura donc aussi une mode zombie chez DC, des black panthers zombie.
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Mode linéaire
