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Quelqu'un a déjà essayé Toriko en manga ou en animé?
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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En manga oui ( pas vu l'animé), et c'est vraiment un bon shonen avec un univers offrant un sacré nombre d'opportunités.
( et je ne suis pas avare en shonen: DB, OP, HXH Jojo et Gintama) Regardes quelques épisodes de l'animé pour te donner une idée. Sinon l'attente la plus longue en ce moment c'est pour l'attaque des titans perso. Dernière modification par Rust ; 15/02/2015 à 19h04. |
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Si tu aimes One Piece commence par l'épisode spécial Toriko One Piece pour te faire une idée.
Pour le manga, le début est lent après c'est un mélange de petit chef et de dragon ball ! |
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Ah pas vu celui ci, juste le special OP/DB/Toriko.
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Je valide le manga.
C'est un peu Ken le survivant pour le héros invincible (au début) et très 80's dans le look. One Piece pour l'amour de la bouffe et la création de lieux et animaux improbables mais géniaux. Et ouais des manga de cuisine. C'est jamais absolument génial mais c'est passionnant, rigolo et plein de bonnes idées et de moments épiques. C'est limite à lire que pour les animaux à la con. Qui n'était pas fameux, soyons honnête.
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Mes ventes de Comics VO ! |
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Non j'ai bien marqué one piece toriko qui commence d'ailleurs l'anime toriko
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j'ai que le 1er de Kamui Den.
Je suis une merde... |
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La fille de la plage tome 1
La fille de la plage (tome 1/2) de Inio Asano
Asano m'avait perdu avec son Bonne nuit Punpun que je n'ai pas terminé d'ailleurs. Le mangaka revient à certains de ces thèmes de prédilection avec La fille de la plage, à savoir les adolescents, la solitude, les émois, le sexe et le temps qui passe nonchalamment (mais les personnages grandissent changeant de classe comme ses autres mangas). Ce nouveau titre se rapproche de Solanin jusqu'à la dernière page qui vous laisse en haleine (second et dernier tome à paraitre cette semaine). c'est encré dans le réel et comme d'habitude Asano jette un regard froid et lucide sur des adolescents qui ont l'air de s'ennuyer tout en se posant des questions plus ou moins existentielles. Ils semblent à chaque fois en rupture avec une société qui ne les rejette pas pourtant les ados de Asano ont envie de paraitre différents pour se faire reconnaitre. C'est de la différence normal, un concept très particulier. Le sexe sans sentiment (en apparence) continue d'avoir son importance chez Asano mais on ne tombe jamais dans la vulgarité ou le porno malgré quelques scènes un peu provocatrices. C'est très mélancolique, poétique et c'est limite si on a l'impression qu'il ne se passe rien (parfois les scènes décrites sont crus de réalisme, comme si on y était) alors que c'est très vivant. Un grand Asano, un auteur qui ne cesse de dépeindre avec lucidité la jeune société japonaise qu'il arrive à magnifiquement capter. |
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J'aime beaucoup cet auteur, faut que je me penche là dessus!
Sing "Yesterday" for me 9 (Delcourt) Quel plaisir de lire régulièrement ce manga qui parait de manière très irrégulière depuis que je l'ai débuté en 2003! Nous suivons les états d'âme et atermoiements très réalistes d'une petite dizaine de personnages dans la vingtaine. Pour faire simple, ils sont à la fac ou vivotent de petits boulots (des freeters, quoi) et chacun cherche son chat...sauf que celui-ci court après un autre. Pour compliquer le tout, ils ne se connaissent pas tous mais se rencontrent peu à peu car ils habitent la même ville et fréquentent les mêmes quartiers. Loin des clichés passionnels, ce manga reste toujours simple et réaliste, prenant son temps pour faire évoluer les choses. Si vous aimez les coups de théâtre tumultueux et l'action, passez votre chemin : ici, on vit, on rit, on pleure et on avance vaille que vaille en essayant d'arriver à ses fins avec l'être aimé tout en gagnant sa croûte, en se rendant service...en vivant. Scénario : 14/20 Somme toute, ce tranche de vie est ultra classique Personnages : 18/20 ...mais les personnages font toute la différence. Dialogues : 17/20 Les dialogues sont parmi les plus crédibles et réalistes que j'ai lus dans un manga Dessins, encrage, couleur : 17/20 Le style de Kei Toume est toujours aussi sobre et classe Fun : 16/20 Faut aimer voir des gens cogiter et se planter Note finale : 18/20 Un excellent volume avec le retour d'un de mes persos favoris, pas apparu depuis le tome 4. Tomes lus : 9/? Taux de moe : 0% Réaliste malgré la beauté des personnages Taux de harem : 40% Euh...Ils arrivent déjà pas à former un couple, leur en demandez pas trop! Ceci dit, il y'a quelques triangles amoureux. minuscule/ Hakumei to Mikochi (Komikku) Eh oui! Le titre Français de l'oeuvre, "minuscule", ne prend pas de majuscule! Soucis du détail bien vu, le titre japonais étant seulement le nom des héroïnes. Dans une forêt, en un temps et sur un monde inconnus, deux petites bonnes femmes de 9 cm de haut, sortes de lutins, vivent un quotidien très occupé. Hakumei est réparatrice de tout et n'importe quoi, travaillant pour un furet bougon. Mikochi est la fée du logis, préparant les repas, lavant le linge et bien d'autres choses. Nous suivons ces deux personnages dans leur petit monde, plein d'animaux parlants et d'autres êtres comme elles, entre lutte contre la nature, beuveries au clair de lune et travail assidu, avec moults tâches oubliées et décrites avec un luxe de détail sans jamais être ennuyeux. Les décors somptueux et un humour simple et efficace font de ce très beau manga un genre de Touhou tranche de vie (Hakumei/Hakurei!) vraiment réussi. Conseillé! Scénario : 15/20 La vie quotidienne de deux "lutins" travailleuses Personnages : 15/20 Les deux persos principaux sont bien brossés et attachants Dialogues : 16/20 Quel soin apporté aux dialogues! Dessins, encrage, couleur : 16/20 ça claque bien, surtout les décors Fun : 16/20 Le côté tranche de vie peut rebuter Note finale : 16/20 Un excellent début Tomes lus : 1/? Taux de moe : 30% C'est meugnon tout plein Taux de harem : 0% Que dalle Saint Seiya Saintia shô 1 (Kurokawa) En même temps que le manga originel, Shô recherche sa soeur, que la fondation Graad de Saori Kido a "enlévée" pour suivre un programme destiné à former de futures élites. Elle fait d'horribles cauchemars dans lesquels une femme inquiétante la désigne comme son "réceptacle". Par un concours de circonstances déclenché par elle, elle va faire la rencontre de Saori et découvrir que sa soeur est une de ses saintia, des saints (chevaliers) qui sont toutes des jeunes filles constituant sa garde rapprochée à l'insu de tous, même de Seiya et compagnie. La menace est enfin nommée : Eris, déesse de la discorde... Ce nouveau spin off de Saint Seiya est loin d'être le premier et on pouvait craindre le pire. Il emploie des éléments shoujo qui le distinguent des autres et son dessin est très convaincant. Pour le reste, on a un peu l'impression, pour l'instant, d'un manga doublon et assez dispensable, inférieur, par exemple, au très bon Lost canvas. A voir sur le long terme. Scénario : 14/20 On prend les mêmes et on recommence! En moins bien Personnages : 13/20 Pour l'instant, que des archétypes peu attachants Dialogues : 14/20 Efficaces Dessins, encrage, couleur : 15/20 Le point fort de ce manga, dans la lignée de qualité d'un Lost canvas Fun : 13/20 ça met du temps à démarrer Note finale : 14/20 Un bon petit début pas folichon mais qui divertit Tomes lus : 1/? Taux de moe : 20% Les saintias sont plus sexy que la moyenne des saints mais ça reste très sage Taux de harem : 0% Nyet
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"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18 |
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Elle s'appelait Tomoji de Jiro Taniguchi (Illustrations) et Miwako Ogihara (scénario).
C'est publié chez Rue de Sèvres qui a réalisé un très beau travail d’édition avec des pages en couleurs et un entretien avec Tanigushi (aout 2014) présent à la fin de l'album. |
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Vraiment excellent le 12è tome de l'Attaque des titans. C'est simple, dès que j'entame la lecture d'un tome, je ne peux m'empêcher de le lâcher avant la fin.
J'ai hâte d'en savoir plus sur l'intrigue ( qui me fait beaucoup penser à Lost sur ce tome!) |
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Tome 1 de Revenge Classroom.
Le quotidien de la collégienne Ayana est fait de racket, coups, brimades et insultes de ses camarades de classe et il y a longtemps qu'elle s'est résigné à son sort. Jusqu'au jour où un élève, dont elle n'a pas le temps de voir le visage, la pousse sous une voiture et qu'elle n'en réchappe que de justesse. Dès lors, la victime se mue en bourreau manipulatrice et calculatrice dont le seul but sera de se venger un par un de tous les élèves de sa classe, aussi bien ses tourmenteurs que ceux qui sont restés indifférents à ses malheurs. Chaque chapitre du manga est consacré à la punition d'une de ses victimes, qu'elle soit directe... ou indirecte, car sa vengeance va rapidement échapper à son contrôle et avoir des conséquences dépassant ses attentes. N'allez d'ailleurs pas croire que l'histoire cède à la facilité du manichéisme. On a beau comprendre les motivations de l'héroïne et compatir à ses tourments (à fortiori si, comme moi, on a connu ce genre de situation), on est horrifié par sa froideur et sa cruauté (le sourire sadique qu'elle arbore sur certaines cases hantera vos cauchemars), même si elle connaît parfois de brèves périodes de remords. De même, si certaines de ses victimes méritent leur sort (sa première cible l'avait carrément violée!), d'autres ne lui avaient rien fait de mal et la soutenaient même à leur manière. Enfin, cette histoire de vengeance implacable est aussi l'occasion pour les auteurs de dénoncer les aspects les moins glorieux de la société japonaise: harcèlement scolaire, élitisme excessif des parents d'élèves, prostitution adolescente... Un premier tome prometteur, d'autant plus qu'il met en place des mystères récurrents (L'héroïne ira-t-elle au bout de sa vengeance? Qui l'a poussé sous cette voiture? Qui est l'instigateur du harcèlement dont elle est victime?) mais que sa dureté réserve à des lecteurs avertis. |
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Inspecteur Kurokôchi tome 1 & 2 de Kono Koji et Takashi Nagasaki
Un sujet original, des personnages intéressants, une bonne histoire, des bons dessins, qu'est ce que je peux demander de plus? Rien en faite car c'est totalement, mais alors totalement incroyable comme manga, enfin moi j'adore cette série déjà. C'est un polar qui nous plonge dans l'univers très particulier de la corruption, de la politique et de la lutte de pouvoirs entre les différents organisations au Japon. On a donc deux héros, un anti-héros et un jeune cadet, tous deux travaillant pour la police. Ici on nous présente un monde sombre, réaliste et ou l'honneur, la folie et la violence sont la manière simple de communiquer entre les hommes de pouvoir et leurs sbires. Ici on a toutes les thématiques classiques de ce type de récit comme le trafics d'influence, la corruption à tous les niveaux, les alliances étranges, les faux suicides ou les meurtres afin d'effacer les preuves d'un quelconque crime.... et ma foi cela fait plaisir car même si le mangaka ne nous évite rien, il le fait avec talent en ce qui me concerne et ce n'est jamais, mais alors jamais ennuyant, car on est toujours à se demander d’où pourra venir la prochaine affaire, quel moment sera le plus glauque et surtout qui est le plus horrible entre nos héros et les gens qu'ils combattent. Le héros principal n'est pas un cinglé de la gâchette, un monstre sans cœur, c'est un justicier aux méthodes controversées, il est corrompu, il est violent et il a une manière de s'exprimer digne des films d'action, mais c'est ce qui nous accroche. Les autres personnages sont très bons aussi et digne des meilleurs polars ou Yakuza Eiga, que ce soit Seike ou par exemple Kurokôchi. C'est vraiment intéressant et même quand on connait le type de protagoniste que nous propose le scénariste, on reste surpris sincèrement. Tous nos personnages sont embrigadés dans un complot à grande échelle et on va de surprise en surprise. J'aime beaucoup les différents dialogues qui eux aussi sont très réalistes, en effet on sent que le mangaka se fait plaisir et ne veut pas nous épater, il veut juste écrire une histoire vraiment proche des faits divers que l'on voit dans les journaux. Le récit présente des moments complexes, mais qui ne nécessitent pas non plus de grandes connaissances et surtout c'est très bien écrit, donc on comprend tous les évènements et on peut dire que quand on termine un tome, on veut la suite de toute urgence pour voir toutes les ramifications du complot présent dans l'histoire. Kono Koji est brillant et propose une série de planches magnifiques et souvent surprenantes, on est dans le récit à chaque instants et il arrive à nous présenter toutes les subtilités des personnages et à les rendre vraiment réels, c'est prodigieux et même si le titre est sombre et réaliste, il donne une touche très différente et se rapprochant par moment des planches que peut proposer par exemple monsieur Urasawa ou Sakurai. Bref c'est beau, c'est bien écrit et on veut d'autres récits du duo.
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"Si tous tiraient dans la même direction, le monde basculerait." ---------- "my feminism will be intersectional, or it will be bullshit." Kelly Sue Deconnick “Conscience. Conscience is the ultimate measure of a man.” G. Willow Wilson "Magneto would be all, "Mutants shall rule all" and Sex Giraffe would be all, "One second there, broski." Gail Simone |
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