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Surtout si on en dit du mal, ça va aller vite.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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Ses "Avengers : EMH" n'étaient pas mal...
"Omega Flight" par contre... Assez irrégulier comme dessinateur. |
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Bof, moi je le trouve régulièrement... mauvais.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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Pour OF c ' est sûrement du a l'absence d'encrage et le passage direct a la couleur
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Daenerys à Tyrion: Je suis venue ici pour boire du Cacolac et casser des gueules. Et je viens de finir mon Cacolac ! Les recap' rigolotes |
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Je me souviens de Prologue d'Annihilation, première du nom.
Ça commençait avec quelques pages d'Olivetti sans ordinateur (donc très regardable) et ça basculait ensuite sur du Kolins. C'est resté un traumatisme.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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Je n'ai jamais aimé Kolins, qu'il soit encré ou pas, bien colorisé ou non.
Je trouve son trait grossier et maladroit. Le summum de la pénibilité étant Marvel Team-Up mais il n'en est pas le seul responsable... |
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j'ai adoré Marvel Team Up de kirkman, ne pense pas que c'est une série que personne aimait!!
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http:\\espritludique.fr Ce à quoi le grand Timonier de la pensée post-moderne débarque, Nicoalk13 toujours à poser les bonnes questions, au bon moment. C'est la marque de ces gens dont on dit sans pudeur "qu'ils dérangent". |
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En général, je parle pour moi et pour moi seul... |
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Merci pour ta critique de The Dark knight returns Wildcard, je l'ai lue avec beaucoup d'intérêt.
Un avis peut éveiller la curiosité, mais j’apprécie particulièrement les analyses bien développées après la lecture d’un bouquin. Confronter ses impressions à d’autres réflexions aide toujours à mieux percevoir son potentiel, quitte à nuancer des enthousiasmes excessifs ou rectifier des jugements trop hâtifs. Je ne vais pas revenir sur l’importance historique de TDKR dans le domaine des comics. Lui et Watchmen sont deux titres qui ont clairement marqué leur époque, même si je suis persuadée qu’ils ne sont pas sortis de nulle part. Ce sont de beaux gros fruits d’une société qui évolue sans cesse, arrivés à maturation ils sont tombés comme des pavés dans la mare. D’ailleurs le bouleversement ne s’est pas fait qu’au niveau du contenu si j’ai bien compris, il était déjà amorcé par l’apparition d’un nouveau format de contenant comme les graphic novels, les TPB, etc. Maintenant si on juge l’œuvre hors de son contexte que reste t-il ? Ben, une très bonne histoire de super héros qui ont perdu leur innocence mais pas leur magie. Miller casse leur image (avec une satisfaction tellement provocatrice qu’elle fait sourire), mais c’est pour leur donner une nouvelle existence qui les oblige sans plus aucune bienveillance à pousser leur logique jusqu’au bout. Batman n’est qu’un vieil anar capitaliste qui se laisse aller à ses obsessions de vengeance en mettant son costume de Dracula pour aller casser des os et des dents avec ses poings. Il pourrait utiliser sa fortune pour financer l’enseignement ou assainir la politique mais non, il préfère se payer du matos de ouf comme sa battankmobile. (En fait Batman c’est qu’un goddamn’Jacky ) Et Superman perd son temps à sauver le monde des conséquences de ses erreurs en fermant les yeux sur leurs causes, un peu comme vouloir remplir une passoire d'eau. Transformé en bouffon (Mygod, la case ou on le voit chemise ouverte au milieu des fleurs et des papillons est tout simplement…ridicule !) il se retrouve, à force de compromis et par peur d’être rejeté, à agiter la queue devant ses maîtres comme un bon chienchien bien dressé. Supes, good boy! Tout ça va plus loin que le simple plaisir de l’auteur à foutre le boxon dans le monde super-héroïque très propre sur lui bien sûr, il y a du sarcasme sur la société, la politique, les médias, toussa. (Sans ça on l’aurait classé depuis longtemps avec les trucs rigolos mais vides comme le All star Batman). Si ces accusations ne vont pas bien loin, c’est toujours mieux que le rien du tout lénifiant qui prévalait jusque là. On a surtout droit à une vision personnelle unique et orientée, celle de Miller, mais elle a le mérite d’offrir une opportunité de réflexion ne serait-ce que pour la contrer. Et puis j’ai apprécié que la relation particulière entre Clark et Bruce soit suggérée avec finesse dans toute sa complexité (contrairement à la présentation de leur personnage). Leur amitié qui n’en est pas une, est un des éléments qui me séduit le plus dans l’univers DC. Je l’avais lu il y a quelques années mais j’ai été très satisfaite de la nouvelle édition de Panini avec tous ses bonus de fin. Ce serait bien qu’ils rééditent aussi le très moche DK2 que j’avais beaucoup aimé aussi. Quelqu’un sait si c’est en projet ? |
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Ca avait été réédité chez Florent Panini dans l'Absolute DK, épuisé depuis et revendu à prix d'or. Mais j'ai quand même du mal avec la nouvelle trad' du DKR. Je reste amateur de la version traduite par Doug Headline (en même temps, c'est avec celle là que j'avais découvert le titre) Y avait une chouette promo pour l'Absolute en v.o. ces derniers temps chez Amazon (à moins de 11 euros !!!) mais je crois que c'est fini depuis. Si tu veux te faire plaisir, DK2 est souvent trouvable d'occaz' en Editions USA chez de nombreux bouquinistes.
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La boutique de Louis la Brocante : http://www.buzzcomics.net/showthread.php?t=30218 |
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Ah dommage! J'avais espéré l'avoir dans le même format. Je connais une librairie qui possède un exemplaire ancien mais neuf à presque 60 € (argh! T_T)
Bon ben il me reste plus qu'à écumer ebay ou les bouquineries. Merci godzilla |
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Si tu es proche de Paris, chez Apoum Kapoum, tu peux trouver l'intégrale en trois albums pour 22 euros je crois.
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La boutique de Louis la Brocante : http://www.buzzcomics.net/showthread.php?t=30218 |
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Personnellement, je trouve très dommage de "salir" la période Silver Age de la JLA en créant de tels événements. Je ne parle pas des lavages de cerveaux et des modifications de Light : comme Metzler l'explique très bien par l'intermédiaire de Green Arrow, les héros n'ont pas le choix et doivent faire ce qu'il faut. Non, je parle du viol de Sue (je fais "spoiler free" vu que ça fait quand même longtemps que c'est sorti...) que je trouve déplacé et mal amené. J'ai vraiment l'impression d'une "salissure" de la période et je trouve ça dommage : ça n'amène pas quelque chose véritablement, ça ne rend que la chose plus glauque et gore. Le scénariste aurait pu raconter son histoire avec un autre événement, j'ai trouvé ça gratuit et mal amené. Ensuite, ce qui me dérange surtout, c'est la fin. Si la mini-série est globalement bien menée, les personnages assez bien compris et menés, la fin de l'histoire ne se tient tout simplement pas. Je trouve qu'absolument rien sur Jean Loring ne tient, en fait : ni ses objectifs (retrouver son mec...vu comment Atom tombe dans ses bras et pense dans ses bulles auparavant, un strip tease aurait suffit), ni ses moyens (faire du mal à une amie ?!), ni ses actes (elle sait utiliser le costume d'Atom, Atom le laisse chez son ex, il y a des armes chez eux, elle sait les rapetisser, elle sait s'en servir...) ne me semblent crédibles. Certes, elle est folle ; mais ça n'excuse pas matériellement les erreurs que je trouve flagrantes et surtout dommages (car Metzler n'en commettait pas avant dans le récit et semblait vouloir du "réalisme"). Surtout que la mettre à Arkham est plus un acte de sadisme que de volonté de guérison. Oui, j'ai trouvé ça foiré à cause de cette fin et de cette révélation qui ne se tient pas. Ca m'a fait penser à la mini-série Spider-Man/Black Cat où Kevin Smith a mis des mois à rendre un scénario parce qu'il avait mis ses personnages dans une telle situation qu'il ne savait pas comment les en sortir dignement (et il n'y est pas parvenu, le moyen a été pathétique). Là, j'ai aussi eu l'impression que Metzler a essayé de créer une fin mais que ça n'a pas pris ; ou alors, il l'avait prévu mais c'est nul. Surtout qu'en plus l'auteur foire aussi à mon sens la mort de Firestorm (trop rapide, trop facile, trop gratuite) et que je n'ai toujours pas compris pourquoi Robin se déshabille pour aller voir son père mort. C'est dommage que cette mini-série pourtant bien menée et pas trop mauvaise se foire autant sur la fin et quelques détails. Je n'ai pas voulu réanimer le débat, hein, juste placer quelques conclusions à ma relecture. Je trouve dommage que ça se finisse ainsi car c'était vraiment bon avant cette fin. Bon, je m'en vais retourner dans les limbes de l'économie internationale. |
#419
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Tu mérites Edith Cresson.
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Du moment que je ne mérite pas Bérégovoy en Black Lantern...
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