Critiques Doopiennes 173 :wolverine, prophet, birthright, identity crisis, the shade

[doop]

CRITIQUES DOOPIENNES N°173 (31-01-2013)

	Citation:
	Quelques précisions : ces critiques sont la plupart du temps des critiques "à chaud". Aussitôt lu, aussitôt critiqué, ce qui peut expliquer un certain manque de recul ou des réactions parfois un peu trop passionnées. Je vais essayer néanmoins de rester le plus impartial possible et surtout, expliquer au maximum mes idées et mes impressions. Je ne détiens pas, loin de là, la vérité sur les comics que je critique. C'est juste une impression de quelqu'un qui lit des comics depuis…pfiouuu….presque trente cinq ans ! Ce n'est pas parce que je trouve un truc génial ou mauvais qu'il faut absolument le croire sur parole. Le mieux c'est encore de le lire si on a envie, ou de le défendre si on trouve l'avis trop négatif. Le but premier est toujours le même: proposer un échange et un débat sur les séries chroniquées. Dans un souci de bien faire, j'essaye toujours autant que faire se peut d'éviter les spoilers, ce qui fait que des gens qui sont en retard, ou qui suivent en VF peuvent tout à fait lire ces critiques sans aucune hésitation.

ESSENTIAL WOLVERINE


Contient WOLVERINE vol 1 #1-23
(Claremont-David-Goodwin/ John Buscema-Bill Sienkiewicz-Al Williamson-Gene Colan-John Byrne-Klaus Janson)

Trouvé cet ESSENTIAL il n'y a pas si longtemps chez GOURVY et ca m'intriguait de voir en VO des épisodes que je n'avais véritablement plus lu depuis plus de vingt ans. Pris un peu par nostalgie et en me disant que la partie graphique au moins aurait du chien. Et quelle surprise : j'ai trouvé ca tout simplement excellent!
Niveau graphique tout d'abord, puisque c'est John Buscema qui réalise plus de la moitié de l'album et que celui est accompagné à l'encrage de deux ténors, à savoir Al Williamson et Bill Sienkiewicz. Autant vous dire que c'est du tout bon et que c'est un réel plaisir pour les yeux. La partie où Williamson encre et où Wolverine est sur une île confronté à des pirates nous ait immédiatement revenir 60 ans en arrière, à l'époque des strips d'aventure. C'est drôle, plein d'idées et c'est maîtrisé à la perfection. John Buscema prouve dans ces quelques épisodes qu'il est tout simplement une légende et il enterre n'importe lequel (je dis bien n'importe lequel) des dessinateurs actuels à évoluer sur le griffu. Le scénario de Claremont en plus est pas pénible du tout, il alterne les aventures et le rire (les épisodes avec Mr Fixit) et commence à développer un cast qu'il n'aura malheureusement pas le temps d'amener au bout puisqu'il quitte le navire assez rapidement pour cause de dissensions avec Marvel. Juste le temps d'un épisode où Williamson est remplacé par Bill Sienkiewicz sur les crayonnées de Buscema et Claremont s'en va, laissant la place à un jeune scénariste qui officiait à l'époque sur Hulk : Peter David. David nous offre deux épisodes, un dessiné par un autre seigneur du dessin, à savoir Gene Colan plutôt sympathique et une grosse aventure en six partie, The gehenna Stone Affair, pas exceptionnel mais plutôt bien rythmé. On retrouve le combo Buscema/Sienkiewicz aux dessins. S'en suit un arfc de sept épisodes signé Archie Goodwin et John Byrne, encré par Klaus Janson. Je pensais que ca allait être le meilleur arc du volume et j'en avais gardé un bon souvenir, eh bien après relecture c'est peut être le plus faible en terme d'histoire, avec des batailles et des personnages un peu superficiels. En revanche le combiné Byrne aux crayons et Janson aux finitions donne un petit côté assez crado aux dessins de l'artiste Canadien qui colle parfaitement avec le personnage. En plus le noir et blanc fonctionne parfaitement.
Du coup, je ne me suis pas ennuyé une seule seconde et je pense que je vais rapidement me mettre à la suite , car SILVESTRI pointe le bout de son nez.
pris un peu pour la nostalgie, mais clairement un essential qui est un pur chef d'œuvre en terme de dessins. Tout le monde devrait l'avoir dans sa bibliothèque celui-là. Un des meilleurs de la collection du coup.

PROPHET tome 1 : REMISSION



Contient les épisodes #21 à 26 de PROPHET
(Brandon Graham-Simon Roy-Farel Dalrymple-Giannis Milogiannis)

Beaucoup de gens en parlaient de ce reboot total d'une des pires créations de LIEFELD et STEPHEN PLATT, et je dois avouer que je me suis jeté sur ce TPB avec beaucoup d'enthousiasme. Une bonne BD de Science Fiction, pourquoi pas. Un petit côté indé aussi et l'occasion de voir ce que IMAGE peut produire qui sorte des sentiers battus.
Ma déception est malheureusement à la hauteur de mes attentes. On commence par un premier arc où un gars sort de terre, rencontre des créatures bizarres dans un monde bizarre (la terre plein d'années plus tard) et doit escalader une montagne. Durant ses péripéties il rencontre plein de créatures bizarres issues de l'imagination vraisemblablement débordante des auteurs de la série, le tue, se bat, fait alliance ou couche avec. Pourquoi pas. Lorsqu'il arrive en haut de la montagne, il accomplit ce qu'il a à accomplir (je ne veux pas en dévoiler plus) et c'est plutôt bien amené. Sauf que, à mon humble avis, la série aurait du s'arrêter là. C'était une jolie fin plutôt ouverte et assez sympathique. Les trois épisodes qui suivent sont en revanche assez éprouvants voire pénibles. LE quatrième épisode nous transporte ainsi encore dans un autre monde, où Prophet se réveille, rencontre des créatures toutes les plus bizarres les unes que les autres, sauf que, ben, on ne sait absolument pas pourquoi. Cinquième épisode, on change encore complètement de monde, de point de vue et les créatures continuent à s'enchaîner. Sixième épisode, ca pend un peu de corps, mais je dois vous avouer que mon cerveau a lâché complètement.
Que les auteurs essayent de mettre tout ce qui leur passe par la tête en créatures bizarres, pourquoi pas, mais là on assiste en exagérant un peu au concours de la créature la plus bizarre ou la plus dérangeante. Ca s'enchaîne page après page, avec des placards de descriptions qui décrivent le dessin avec des tonnes de détails. Les créatures sont plus gluglu les unes que les autres (par exemple une caravane de créatures recyclant le caca des créatures de devant à la manière de the human centipede), ce qui n'empêche pas le héros de coucher avec certaines d'entre elles, dont une sorte de femme escargot bien humide. Mouais….. Avoir de l'imagination c'est bien, en revanche ca donne un truc complètement foutraque et on n'a strictement aucune idée de là où les auteurs veulent nous emmener. Du coup, comme on ne peut pas se raccrocher à une intrigue, les descriptions et les accumulations d'idées ont déclenché chez moi une impression d'"effet catalogue" qui m'a passablement ennuyé.
Après que dire, les dessins alternent le bon mais aussi le très mauvais (surtout sur la fin) et si visuellement ca invente tout le temps, c'est très très lourd sur la page et surtout, il y a du mal sur les actions. En clair, ca n'aide pas non plus à l'intrigue.
Mais une question se pose, même si le bouquin m'a laissé de côté dés le milieu du volume, est-ce que c'est mauvais ? Clairement non et c'est bien là tout le paradoxe. Oui, il y a de la qualité, c'est une évidence, mais le ton et le style me sont juste totalement passés au dessus.
Alors la question qui se pose quand même, c'est est-ce-que ca vaut le coup de s'accrocher ? Pour moi non, je passe mon tour. C'est définitivement trop barré pour moi, et en plus je n'ai rien compris.
impossible de mettre une note quelconque, l'histoire, en dehors des trois premiers numéros qui fonctionne excellemment bien , m'est totalement hermétique. Un bouquin qu'il faut véritablement lire pour s'ne faire un avis en tout cas.

SUPERMAN LES ORIGINES


(Mark Waid / Leinil Yu)
Contient les épisodes de la maxi série BIRTHRIGHT ainsi que quelques bonus.

Acheté un petit peu sur une envie subite. Je me suis dit : tiens, pourquoi pas? Il faut dire qu'URBAN a le mérite de sortir des volumes particulièrement beaux et fournis en bonus et compléments, ce qui ne gâche rien à l'affaire. Et grand bien m'en a pris. Au fil des pages j'étais particulièrement impressionné (mes souvenirs m'en avaient laissé un goût de très quelconque à l'époque) par la qualité du scénario de Waid. Les huit premiers épisodes sont particulièrement bien foutus, et sont clairement ce qu'on aurait pu attendre d'un reboot . En effet, Morrison a grand renfort de publicité disait qu'il était revenu à la définition première du personnage, un héros social. Et il l'oppose à…des politiciens véreux (nudge, nudge, wink,wink) pendant six pages lors du premier épisode. Là Waid envoie carrément un jeune Clark faire le tour du monde et le fait atterrir en Afrique, où il se retrouve en plein milieu d'une guerre tribale. C'est nettement plus fin et ca n'en rajoute absolument pas des caisses. Il le fait ensuite revenir à Metropolis et développe une histoire plutôt honnête, semblable à ce qu'on a l'habitude de voir dans des origines, mais en les réactualisant. Sa Loïs est tout à fait conforme au personnage, et c'est véritablement une modernisation réussie, contrairement à Superman Earth One ou le relaunch new 52. En revanche, le récit explose complètement en vol sur son dernier tiers. En fait, Waid a eu certainement du mal avec la confrontation Superman/Luthor et n'a pas su quoi en faire. Il sort doc une menace complètement grand guignolesque qui frise le ridicule, avec une sorte de pseudo invasion qui n'est pas crédible une seule seconde, sauf si on la lit après le Superman de Perez ou Giffen. Et c'est vraiment dommage, car ca fout tout le reste en l'air. Ca m'a totalement sorti de ma lecture et Waid s'embourbe un peu avec les origines de Luthor , voulant mêler certains aspects de la série SMALVILLE à la chronologie officielle. Donc c'est totalement raté sur sa fin.
Niveau dessins c'est bizarre, car je ne suis pas le plus grand fan au monde de Leinil Yu, et son dessin possède tous les défauts du dessinateur (regardez la couverture pour vous faire une idée). Sauf que du coup, c'est tellement stylisé que ca en prend une dimension toute nouvelle et du coup, ses portraits à la limite de la caricature (volontaires ou pas) voire du raté donnent une véritable âme aux dessins, faisant de cette mini série certainement son meilleur travail. Bon après il est passé chez Marvel où on a dû lui refiler Danny Miki à l'encrage et son style a évolué pour du passable/moche mais là, y'a véritablement quelque chose. Mais peut-être que j'hallucine! En tout cas, c'est intéressant.
et demi . Allez, je suis un peu généreux mais la caractérisation moderne de Clark et de Superman est nettement plus réussie que tous les autres reboot du style year one ou new52 (et nettement plus innovante que le secret origins de johns) .En revanche la fin est toute pourrie. Et bizarrement, Yu donne un style très particulier que j'aime bien (c'est peut être l'encreur).

JUSTICE LEAGUE : CRISE D'IDENTITÉ



Contient les sept épisodes de la mini série, un épisode de la JSA et trois vieux épisodes de la justice league des années 7 0 qui ont un rapport avec le pâté.
(Meltzer-Johns/Morales-Bair-Gibbons)

Pourquoi ?
Je ne sais pas.
Moi-même je ne suis pas fan de cette mini série, mais c'est surtout ce qu'elle a déclenché (une surenchère dans le gore et le glauque) qui m'énerve plus qu'autre chose. On ne peut pas le nier, cette série a fait changer l'univers DC non pas pour son histoire, mais pour son ton. Ce qui est très drôle c'est que IDENTITY CRISIS est l'une de mes toutes premières critiques doopiennes il y a presque sept ans. Et à l'époque j'avais trouvé ca vraiment très bon ! Pourtant j'en ai un mauvais souvenir, comme quoi….
(si vous êtes curieux, c'est ici : http://www.buzzcomics.net/showthread...eltzer+morales )
Il fallait donc le relire et comme URBAN propose vraiment des éditions de très grande qualité (je me répète mais quand c'est bien il faut le dire) je l'ai acheté et lu.
Alors oui, le départ fonctionne plutôt pas mal. Je dirais que jusqu'à l'épisode trois/quatre c'est même plutôt bon. Il y a de très bonnes idées, comme le pourquoi de la nullité de dr Light, les choix moraux des héros, la dissension entre les personnes, le personnage d'elongated man. C'est vraiment bien fichu. La technique d'écriture est un peu spéciale, voire un peu casse bonbons à la fin mais c'est franchement pas mal et prouve en tout cas que MELTZER connaît les personnages (même si voir DEATHSTROKE anticiper les réactions de FLASH peut être considéré comme une erreur fatale). Non MALTZERF avait clairement quelque chose à raconter. Tout du moins au départ, car dés la mort du père d'un de nos héros, ca part en vrille et ca bascule dans el n'importe quoi. La fin est superficielle, assez bâtarde et les explications ne me convainquent plus du tout (alors que ca ne 'm'avait pas gêné il y a sept ans). DU coup, c'est dommage et encore une fois, on a quelque chose qui part vraiment bien pour s'écrouler comme un gros pâté tout mou et surtout , pas du tout maîtrisé.
Les dessins de Morales, mouais… C'est assez quelconque. Il y a du style, mais il y a encore beaucoup de défauts ou de tics que je n'apprécie pas vraiment. C'est loin d'être moche, mais pas exceptionnel non plus.
Les trois épisodes issus de la JLA et qui datent des années 70 sont corrects, mais n'apportent rien. Ca se lit quand même avec nostalgie.
Une belle édition tout de même, pour une histoire qui n'est pas nulle mais qui ne tient pas sur la durée. De bonnes idées, mais qui se retrouvent un peu mal exploitées. C'est dommage. Ce qui est surtout dommage, c'est que cette série a inconsciemment déclenché chez l'éditeur un virage qui ne me plaît pas mais qui a l'air de fonctionner. Tant pis pour moi.
Ah, pour finir, la grosse faute de goût c'est la couverture de Michael Turner qui est limite un repoussoir direct.

THE SHADE #1-12


(James Robinson / Cully Hamner-Darwyn Cooke-Javier Pulido-Jill Thompson-Frazer Irving-Gene Ha)

J'étais vraiment impatient de lire cette maxi série. Car comme beaucoup d'entre nous j'attends toujours désespérément le retour de James Robinson, le scénariste de Starman ou encore de JSA , pas celui qu'on a pu voir dernièrement (même si NEW KRYPTON était plutôt pas mal). Du coup on se dit qu'avec une histoire centrée sur son personnage fétiche, ca va fonctionner. Et effectivement c'est pas mal, mais on est loin du chef d'œuvre.
THE SHADE est parti plus ou moins à la recherche de ses origines et de ses descendants. Il va se retrouver au beau milieu d'une histoire magique, pleine de dieux égyptiens, de vampires et autres démons. La structure est assez bizarre puisque elle alterne trois fois trois épisodes situés dans le présent et dessinés par un même artiste suivi d'un épisode situé dans le passé et dessiné par un autre. Au niveau des dessins, le casting fait envie (voir la liste au dessus) mais là aussi, ce n'est pas au niveau que j'espérais. Il faut dire que ca commence plutôt mal, puisque c'est Cully Hamner qui signe les trois premiers épisodes, et que tout simplement je n'adhère pas. Je ne trouve pas ca très joli ni très lisible. Heureusement Darwyn Cooke puis Javier Pulido relèvent le niveau d'une excellente manière , avant de laisser la place à une Jill Thompson totalement méconnaissable et donc décevante, de Frazer Irving que j'aime beaucoup et de Gene HA quelconque. L'histoire est assez classique, on en apprend beaucoup plus sur le personnage mais ca manque encore un peu de corps. La partie se situant en Espagne est parfaitement réussie, mais els origines de THE SHADE sont un peu fadasses.
Clairement, c'est une bonne maxi série, je vous la conseille, même si vous n'avez jamais lu STARMAN, mais bon, les amateurs risquent d'être un peu déçus. Disons que ca ne décolle vraiment jamais.
et demi parce que c'est loin d'être mauvais et que la partie graphique, même si elle n'attient pas les sommets espérés, est largement au dessus de la moyenne.

	Citation:			Posté par prochainement
	FF, NEW KRYPTON, WOLVERINE AND THE X-MEN, STAR WARS LEGACY, NO MAN'S LAND, CREEPY, NEXUS OMNIBUS, MANHATTAN PROJECTS et plein d'autre choses

[PSYCHO PIRATE]

Halala ça rappelle des souvenirs au vieux connard vintage de Psycho Pirate les Wolverine. Je me souviens précisément du jour où j'ai acheté le Serval 1. C’était en novembre 1989. A l’époque j’étais encore un jeune connard innocent. Watchmen et DKR étaient encore très jeunes.
J'ai jamais relu ces épisodes mais cet Essential me tente bien.

[wildcard]

Le Essential Wolverine fait très envie avec cette bande de dessinateurs (Buscema + Williamson ! Byrne + Janson !).
Sur son blog, Phil C. montrait déjà des planches de Byrne avec Janson et le résultat était magnifique. Je crois me souvenir qu'ils avaient aussi collaboré sur quelques pages d'Avengers, un épisode écrit par David Michelinie.

Malgré tes réserves, The Shade me fait aussi de l'oeil. Gilles C. m'a fourni le #4, dessiné par Darwyn Cooke : je ne l'ai pas encore lu, juste feuilleté, mais c'est superbe comme d'hab'. Et les autres épisodes sont bien gâtés avec Pulido, Irving...

[greeneyes]

Totalement d'accord sur Prophet.. m'a laissé complètement froid ..de grand moments d'incompréhension et de solitude
Pourtant de bonnes critiques sur le forum..
Je passe en tout cas sur cette série ..

[doop]

	Citation:			Posté par wildcard
	Malgré tes réserves, The Shade me fait aussi de l'oeil. Gilles C. m'a fourni le #4, dessiné par Darwyn Cooke : je ne l'ai pas encore lu, juste feuilleté, mais c'est superbe comme d'hab'. Et les autres épisodes sont bien gâtés avec Pulido, Irving...

The Shade est une bonne série, si tu ne t'attends pas à du Starman et pour le coup je trouve pulido meilleur que cooke sur ce coup là.

[aegnor]

	Citation:			Posté par wildcard
	Le Essential Wolverine fait très envie avec cette bande de dessinateurs (Buscema + Williamson ! Byrne + Janson !). Sur son blog, Phil C. montrait déjà des planches de Byrne avec Janson et le résultat était magnifique. Je crois me souvenir qu'ils avaient aussi collaboré sur quelques pages d'Avengers, un épisode écrit par David Michelinie.

Yep, ils avaient déjà collaboré sur un # des Avengers mais le résultat étaint quand même bien différent car Byrne avait livré à l'époque de vrais crayonné alors que pour les Wolverine, il s'est contenté de ne livré que des lay out, laissant à Janson le soin de finalement dessiner!

[michel]

C'est dommage que Marvel n'ait pas mis les Marvel Comics Presents #1-10 au début de l'Essential, avec les débuts de O'Donnell et de Tyger Tyger, par Claremont et Buscema. Ca aurait permis d'avoir la période Madripoor depuis le début.

[aegnor]

Tient c'est ce que je me demandais. C'est un peu bête en effet car c'est vraient ce qui pose les rails de la série.

[Mandrill]

En tout cas, la doop case avec Buscema en N&B est superbe!
J'ai ces épisodes en VI, et je suis pas très VO, mais ce volume pourrait me tenter rien que pour les avoir en N&B

[doop]

Le noir et blanc fonctionne parfaitement sur ce titre.

[bukowski]

Pour le Wolverine, tu peux donner les n° des épisodes stp ? Entre Claremont et Goodwin, il y a quand même des épisodes plutôt imbuvables je trouve. Ils sont aussi dans cet album ?
Quant au run Goodwin et Byrne, je le trouve magnifique. Il donnait une origine au pouvoir de Wolvie jamais explorée depuis qui paraissait logique alors...

[doop]

J'avais gardé les références de la dernière fois. Ce sont les épisodes #1 à 23 et non, les épisodes dont tu parles (the gehenna stone affair par DAVID et BUSCEMA) sont vraiment au niveau. J'avais la même réaction que toi au départ , mais finalement, je toruve après relecture que le Goodwin/Byrne est en dessous des autres récits.

[Mil K]

J'avais beaucoup aimé Crise d'Identité à l'époque, mais à la relecture une fois la fin connue j'ai trouvé ça très mal foutu, avec des évènements qui s'enchainent bizarrement et qui ne mènent à rien du tout...

Je ne savais pas que c'était cette série qui avait lancé le ton violent des histoires DC. Du coup je l'apprécie encore moins...

[mellencamp]

J'apprécie Identity Crisis. Par contre, ce qui est véritablement à chier c'est le traitement de la mort de

Firestorm. Expédié en 2 cases, et puis tout le monde s'en fout.

Tiens, est-ce que cette édition contient aussi l'épisode de JSA dessiné par Snejbjerg?

[Ugo]

Vous pouvez me rappeler comment il meurt s'il vous plait? Je ne m'en rappele pas du tout! ><