#121
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Je dois bien dire que je me suis ennuyé ferme sur ce deuxième n°. Il n'y a même pas grand chose à rajouter à ce qu'il s'est passé dans le n°1, si ce n'est un certain été dont l'héroïne n'a plus aucun souvenir... ?? Ou une séance de spiritisme ? Une "révélation" sur le fait que l'héroïne a sûrement une maman spéciale ? Ou bien qu'elle a toujours peur des chauve souris ? J'ai eu du mal à finir ce n°, mais j'irais quand même jusqu'au n°3, rien que pour le cliff qui laisse, enfin, espérer au moins une révélation !! Une révélation en 3 numéros, ce serait un peu le minimum syndical non ? Sinon, je me fais au dessin, mais il ne me fera pas rester sur la série si ça ne bouge pas au n°3 ! |
#122
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C.o.w.l. #6
C.O.W.L. #6 (Kyle HIGGINS Alec SIEGEL / Elsa CHARRETIER)
Un numéro étonnant , à la narration largement moins compliquée que les 5 qui le précède. Calé entre deux arc Kyle HIGGINS et Alec SIEGEL nous racontent les origines de Grey Raven. Rien d'extraordinaire malgré un bon retournement de situation assez imprévisible et le rapport au père est loin d'être du Aaron. Alors pourquoi cela m'a plu ? Tout simplement car comme les scénaristes on prend beaucoup de plaisir à lire une histoire qui n'a pas d'autre ambition que de distraire le lecteur. Le trait de Elsa CHARRETIER est génial car le comics est dessiné dans le style art book des année 60 et il y a des fausses pages de pub qui sont intégrés (pour les comics Image ou les COWL sessions). La colorisation pop de Rob REIS est à l'unisson. C'est fun, très esthétique, rythmé et on tourne les pages avec à chaque fois un gros plaisir. |
#123
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revue de pile de mes lectures VO du mois :
THE DELINQUENTS #4 (James ASMUS Fred VAN LENTE / KANO), VALIANT : un final à la hauteur pour une des meilleurs LS de l'année.Il y a de l'amour, de l'amitié et des OGM et surtout beaucoup d'humour PUNK MAMBO #0 (Peter MILLIGAN / Robert GILL), VALIANT : one shot assez décevant qui revient sur les origines de Punk Mambo, personnage que Peter Milligan a crée dans ses épisodes de Shadowman. C'est assez convenue et sans réelles surprises. On ne retrouve pas la verve de Milligan sur un sujet qu'il affectionne pourtant. ROT & RUIN #3 (Jonathan MABERRY / Tony VARGAS), IDW : La série suit son court et s'éloigne de ce qu'à pu proposer Walking Dead. Maberry continue à démontrer que l'on peut faire du neuf avec du vieux. Nos 4 ados vont vite déchanter dans ce qu'il pensait être l'eldorado. Toujours de bons dialogues et des situations très intéressantes. LAZARUS #13 (Greg RUCKA / Mikael LARK / Tyler BOSS), IMAGE : Cette série suit son bonhomme de chemin et a su devenir une des préférées. Forever saute enfin le pas avec un des ses prétendant et reste tiraillée entre son émancipation que l'on sent pas loi et sa fidélité sans faille à sa famille, encore plus retord que prévu. Ce conclave va mal finir. Rucka continue de bien mener sa barque et l'aspect politique et stratégie entre les famille devient très intéressant. G.I. ZOMBIES #4 ( Jimmy PALMIOTTI Justin GRAY / Scott HAMPTON), DC : La série a pris son envol et elle est désormais mené à un train d'enfer. Je vois bien un arc en 6 au vu de la narration . Beaucoup d'action, de zombies et les scénaristes n'oublie pas de traiter l'agent King ce qui est appréciable. Une de mes séries DC du moment. INFINITY MAN AND FOREVER PEOPLE #5 (Dan DIDIO Keith GIFFEN / Tom GRUMMETT / Scott HANNA), DC : Cette série n'en finit pas décevoir. En plus elle est tie in à GodHead (voir les titres Green Lantern) ce qui n'arrange pas les choses. On cherche toujours l'Infinity Man. On s'ennuie et le manque de fil conducteur est flagrant. Les deux scénaristes ne retrouvent pas l'inspiration qu'ils ont eu sur O.M.A.C. Reste les beaux dessins de Tom Grummett. COLDER, THE BAD SEED #4 (Paul TOBIN / Juan FERREYRA), DARK HORSE : Un numéro peu verbeux qui laisse la place aux superbes dessins et compositions de pages d'un Juan Ferreyra très inspiré. SWIVEL, le nouveau freak est très inquiétant et l'imaginaire fantastique déployé par Paul Tobin est une réussite. On reste également dans la continuité de la première série. LETTER 44 #12 (Charles SOULE / Alberto ALBURQUERQUE), ONI PRESS : aucune baisse de régime pour cette série surprenante. L'équilibre entre les séquences sur Terre et dans l'espace est toujours aussi bien dosée. Cela sent le paté pour le président en fonction et les extra terrestre sont passés à l'offensive dans l'espace. Je réserve un billet sur Fire and Stone et Annihilator #3 de Morrison et Irving Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 30/03/2015 à 17h12. |
#124
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Wytches #2
Chiant, pas le meilleur Jock. le coup de la fille différente des autres, c'est vu et ultra-vu. Ne fout pas du tout la pétoche. A voir si le #3 exploite le cliffhanger sinon je m'arrêterai là. Sinon, les pages de la preview du #1 ne sont toujours pas apparue. Un futur probable loser ce titre....
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#125
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Red lanterns #36
RED LANTERNS #36 (Charles SOULE / Jim CALAFIORE)
Godhead act 2, part 4 Le cross over avance mais pas tant trop. Charles SOULE s'attache plus à donner de l'humanité à Guy Gardner. Ce dernier va essayer de trouver avec l'aide de Simon Baz un moyen de pourchasser les New Gods. C'est bien écrit et très correctement dessiné (j'aime bien Jim CALAFIORE). Par contre cet épisode (et Charles Soule n'y est pour rien) symbolise tout ce que je n'aime pas avec cette pseudo continuité du New 52. La rencontre (leur première !!!) entre Cyborg et Guy Gardner m'a exaspéré au plus haut point. Cela sonne tellement faux et on se demande quel est le passé de Gardner au sein de l'univers DC après cela. Et puis je dois dire que je suis pas friand de Simon Baz, que je n'ai pas encore beaucoup vu mais qui ne plait guère, à cause d'un manque de charisme évident et surtout d'un costume affreux. La fin est intrigante car elle replace les deux principaux protagonistes au centre du cross over pour et du coup ils seront aux premières loges pour la suite. |
#126
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Je sais, j'ai un retard de folie dans mes lectures mais bon, mieux vaut tard que jamais ! Sur cette série, rien que le nom de Kurt Busiek m’avait attiré et induit une pré commande et après lecture de ce 1er n°, je suis un peu mitigé mais pas déçu. L’univers animalier semble bien géré, une partie de ce monde bizarre a été décrit, avec des castes, des injustices flagrantes. Ceux qui vivent « en haut », ceux qui vivent « en bas », c’est un principe pas très original et j’ai un peu tout vu venir, je dois dire. Pour autant, le bestiaire (^^) de cet univers semble tellement riche qu’à la fin, je me suis retrouvé impatient de lire la suite (pas avant ce weekend malheureusement). Et puis, bien que le scénario soit quelque peu « téléphoné », il est efficace et servis par un dessin de Benjamin Dewey qui ne l’est pas moins. Les couleurs de Jordie Bellaire achèvent de donner une atmosphère propre à l’univers de cette série qui devrait être pas mal du tout sur la longueur. Pour moi donc, c'est à lire et au moins, j'ai mis plus de 5 minute à finir ce 1er n°. |
#127
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Punk Mambo #0 est une tuerie et pourtant le récit en soit est très classique. J'attendais beaucoup de ce numéro et je ne fus pas une seule seconde déçue, déjà détail tout simple, mais on sent que Peter Milligan a fait des recherches sur son sujet, comme pour Shadowman d'ailleurs et l'univers du Voodoo. Il y a déjà dans la représentation graphique de cette religion, rien que la couverture possède plusieurs symboles faisant directement références aux divinités de la terre par exemple. Dans le contenu aussi, on retrouve à plusieurs reprises des passages très graphiques qui font directement références à des moments de l'histoire du Voodoo comme le passage par le gourou avec le portrait très décadent et proche des peintures des colons des pêchés dans l'univers du Voodoo, ce passage d'ailleurs m'a fait penser au récit All His Engines de l'univers Hellblazer, il y a un passage similaire, en moins érotisé certes ou la scène est décrit comme l'Enfer sur Terre. Il y a aussi d'autres détails comme la gestuelle de notre Punkette ou même sa manière d'utiliser la magie, bref c'est vraiment plaisant sur cet aspect. La représentation de la Louisiane est fidèle également, elle n'apparait que sur quelques pages, mais même sous forme de dessins, c'est toujours un plaisir de voir cet endroit qui reste le plus beau des USA je vous l'ai déjà dit ^^. Pour ce qui est du récit, il est amusant par moment (les réactions des jeunes ou des victimes) et il est aussi vraiment glauque sur d'autres passages (tout le passage ou notre héroïne se fait "utiliser" par le cinglé, on ne nous montre rien, c'est juste suggéré, mais moi je fus triste pour elle. En tout cas toute la découverte de son univers d'origine est plaisant et c'est un véritable plaisir de la retrouver dans cette lecture. J'adore les pages ou elle parle de Sid Vicious, c'est très graphique comme passage et je dois dire que c'est assez amusant en même temps, et le final ou elle régle sa quête donne directement le sourire... personnellement, un coup dans les parties en plus serait plaisant, mais bon on ne peut pas tout avoir. ^^ Les dessins sont sublimes également, toutes les planches sont un plaisir pour les yeux, que ce soit dans les décors, les représentations de la magie ou même les expressions sur les visages. Il y a un côté très old school période 90 dans les dessins qui font vraiment plaisir et le découpage du dessinateur est parfait. C'est vraiment un excellente one-short en ce qui me concerne et je ne peux que recommander la lecture de ce numéro qui fait la part belle au surnaturel façon Valiant.
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"Si tous tiraient dans la même direction, le monde basculerait." ---------- "my feminism will be intersectional, or it will be bullshit." Kelly Sue Deconnick “Conscience. Conscience is the ultimate measure of a man.” G. Willow Wilson "Magneto would be all, "Mutants shall rule all" and Sex Giraffe would be all, "One second there, broski." Gail Simone |
#128
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Un petit Milligan pour moi ce Punk Mambo. Agréable à lire mais sans réelle ambition au vu de ce que le scénariste aurait pu sortir (un peu comme ses épisodes de Shadowman, End Of Times est meilleur). Robert Gill est un peu lisse également.
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#129
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Tu trouves? Après ce n'est pas aussi incroyable que ses Shade, the Changing Man j'en conviens ^^ mais bon toi tu mélanges punk/voodoo/Louisiane/Londres/ambiance creepy tu as le top du top... ce qui en faite que je ne suis pas objective ^^ il ne manque plus que la présence du S.H.I.E.L.D, de Spawn, de Catwoman, que ce soit scénarisé par Grant Morrison et dessinée par Todd McFarlane et tu as un chef d'oeuvre ^^.
Après je suis d'accord, c'est classique.
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#130
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Le Milligan de The Names est couillu (oups cela m'a échappé) et excellent (un peu mais bien fourni également celui de Terminal Hero). Le Milligan qui œuvre chez Valiant est un pale reflet de celui de Vertigo (son Eternal Warrior est mauvais pas exemple). Doctor Peter et Mister Milligan en quelque sorte.
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#131
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Je n'ai pas encore eu l'occasion de lire son Eternal Warrior, il est dans ma pile ^^. J'aime bien ton "Doctor Peter et Mister Milligan", c'est cela en faite ^^ . Après je t'avoue que j'aime bien ses Shadowman si on doit rester dans l'univers Valiant, mais pour Shadowman c'est la même chose en faite, personnage venant de la culture Voodoo/Louisiane/Surnaturel... je n'arrive pas à être objective je suppose ^^. J'aime bien en tout cas.
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