#1321
|
||||
|
||||
Pour le moment, je lis :
BD : -La Trilogie Nikopol de Bilal Comic : - Toute la série des Sin City, je suis arrivée à "Cet enfant de salaud" Roman : - L'affaire Henri Québert de Joel Dicker Web : - Je m'intéresse un peu à Javascript en ce moment, et je lis pas mal d'articles du Web comme celui-ci qui m'intéressent, car j'aimerais un peu m'améliorer en matière de code et de programmation : https://www.1and1.fr/digitalguide/si...pt-populaires/ - Magazines : Geo
__________________
Vers l'infini et l'au-dela ! |
#1322
|
||||
|
||||
Quelques Defenders inédits en VF, par DeMatteis et Perlin. Alors que Devil Slayer fait la paix avec les démons de son passé, les Défenseurs et quelques Vengeurs sont emportés dans le monde de l'Escadron Supreme qui, sous l'influence d'Overmind, s'apprête à détruire l'univers.
Euh... Mauvais timing. Devil Slayer emprunte les chemins de la rédemption (thème cher à l'auteur) et doit pour cela toucher le fond. Il le fait en giflant son épouse, avec un revers digne de Hank Pym. Quelques numéros plus loin, le Fils de Satan déclare sa flamme à Patsy Walker qui le rejette, et la repousse violemment. Je ne suis même pas particulièrement attentif à ce genre de truc, mais cela faisait beaucoup en peu de temps... Sinon, pour l'histoire elle-même, c'est étrange. L'histoire est suffisamment épique et DeMatteis étend les rangs de l'Escadron Supreme avec l'équivalent de Firestorm, la magicienne Arcanna et un ersatz de Wonder Woman. En revanche, pour une raison qui m'échappe, le chemin du retour passe par un voyage chez Docteur Seuss et s'achève avec Namor claquant les talons de ses chaussures de rubis. Dernière modification par JB ; 12/09/2017 à 14h12. |
#1323
|
|||
|
|||
Une référence à Wizard of Oz pour Namor ? C'est quelles numéros pour les defenders avec le Squadron ? (je pense les avoir en essentiel et lu il y a une paye...)
|
#1324
|
||||
|
||||
112-114 + 115 pour Namorothy. L'histoire prend ses racines dans les derniers épisodes parus dans Strange, avec le retour surprise de Nightawhk (supposé mort) et de Mindy (itou)
|
#1325
|
||||
|
||||
J'ai tenté plusieurs New 52 ce week end
The Fury of Firestorm: The Nuclear Men d'Ethan Van Sciver et Gail Simone : une organisation secrète et un Firestorm russe traquent les personnes transformées par les protocoles Firestorm. Premier point négatif : j'en ai marre de ce cliché des héros harcelés par des organisations secrètes, que ce soit dans les titres New52 ou dans chacune des séries Valiant. Au delà de cet a priori négatif, les auteurs changent le principe de Firestorm qui, au lieu d'être la fusion de deux personnes, est ici toute personne touchée par l'invention du professeur Stein. Du coup, la série perd la dynamique habituelle : lorsqu'une fusion se fait entre personnages, c'est une créature à la Hulk qui émerge. Bof, circulez, y a rien à voir à par quelques références aux runs précédents, notamment le nom du russe qui est celui d'un personnage introduit par Ostrander sans en retenir la personnalité. Demon Knights de Cornell (pour les premiers) : Madame Xanadu, Etrigan, le Shining Knight, Vandal Savage et quelques autres forment bon gré mal gré une équipe opposées aux ennemis de Camelot - lorsqu'ils ne se trahissent pas mutuellement. La série est un peu l'héritière du ShadowPact et du Demon de Grant et accumule les morceaux de bravoure pour chaque personnage (même si Savage a tendance à les concentrer comme un Hercule dépravé). La construction en 6 numéros calibrés pour TPB se fait sentir mais chaque numéro est assez dense pour ne pas pénaliser le lecteur. Le dernier numéro est cependant un beau foutage de gueule en matière de graphisme. Série néanmoins réjouissante. Stormwatch de Cornell, Milligan et le début du run de Starlin. L'organisation Stormwatch est un groupe constitué des siècles auparavant (tirant son origine des Demon Knights sus-mentionnés). Le groupe du 21e siècle est constitué de The Engineer, Jack Hawksmoor, Jenny Quantum, Adam-One alias Merlin, Martian Manhunter et quelques inconnus : une femme capable de manipuler les médias et un maître épéiste prince du mensonge. Alors que le groupe tente de recruter Apollo et Midnighter, l'épéiste met en route une conspiration pour s’accaparer le pouvoir de Stormwatch. M'en fous. The Authority n'a pas marché pour moi au delà du run de Warren Ellis, et cette version n'apporte rien de neuf. Le run de Cornell est lisible, Milligan se disperse avec pour objectif ultime de détruire l'équipe, et les débuts de Starlin sont... comment dire... mystifiants. Des personnages qui s'entretuaient dans le numéro précédent reviennent frais comme des fleurs sans explication. Je n'ai pas la fin et Starlin commence à parler de modifier le passé, mais m'en fous. |
#1326
|
||||
|
||||
Quel échec que ces séries Demon Knights/Stormwatch.
Pourtant, le principe de base d'organisation secrète protégeant le monde de ses menaces mystiques et trop extrêmes pour les super-héros était une bonne idée, surtout avec cet aspect "origines" et "présent" dans deux séries. Hélas, très vite, trop vite, les auteurs se perdent dans des méandres incompréhensibles, particulièrement dans Stormwatch, où l'impact des trahisons et des révélations est limité pour des personnages inconnus. Le potentiel était énorme, ça aurait pu nourrir et justifier le New52 et la nouvelle continuité DC ; ça n'en rend que l'échec plus terrible. |
#1327
|
|||
|
|||
Je les ai bien dans mon Essential (le 5) mais je me suis arrêté (le marque page faisant foi) juste avant Namorothy. Tu m'as donné envie de m'y remettre (ou pas vu ton billet)
|
#1328
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
La serie Demon Knights a plutot eu de jolis moments même si la fin est bâclée parceque bon il fallait s' arreter la. Une bonne lecture et les auteurs eux font une relecture interressantes de series comme Mme Xanadu.
|
#1329
|
||||
|
||||
Enfin j'ai l'intégrale de Mind MGMT, c'est donc parti pour le premier des six tomes de la collection.
La recette Matt Kindt c'est une écriture solide, sans faille, avec ce qu'il faut de temps pour passionner au récit. En l'occurrence pour ce premier arc on l'entame par un mystère, de l'action où il s'épaissi, une énorme révélation qui relance la machine et donne une vision de la tapisserie, on enchaîne sur la conclusion où on se dit que le scénariste est un vicelard avec ses personnages. Très vite cet univers de Mind MGMT est le notre, la lecture en collection est addictive tant le traitement est tendu. Au dessin, comme à son habitude Kindt donne l'impression d'aller juste à l'essentiel pour servir l'histoire alors que c'est plus complexe que ça. Il y a ces utilisations du champ de vision, du large au gros plan, du flashback sous un autre angle et des encres de chines diluées pour donner sa touche pesante au récit. Un très bon début, le lecteur sait qu'il vient d'effleurer un univers qui ne demande qu'à s'étoffer. Immortels, dauphins qui parlent et autres manipulateurs de masse, rendez-vous dans le tome 2. |
#1330
|
|||
|
|||
Je suis bloqué au tome 4 pour ma part (que je n'ai pas encore lu d'ailleurs)
|
#1331
|
||||
|
||||
Je viens de finir Klaus et grosse deception. Ca ne sonne pas comme du Morrison contrairement à Nameless
Dernière modification par mrcitrouille ; 29/11/2016 à 20h14. |
#1332
|
||||
|
||||
J'ai repris la lecture du volumineux Stray Bullets Über Alles Edition et je trouve que ca se bonifie au fil des numéros. Des ambiances à couper au couteau, et des histoires qui varient d'un numéro à l'autre... Bon dieu, je suis à nouveau accro...
__________________
Mon site (qui date ) |
#1333
|
||||
|
||||
Le tome 2 de Mind MGMT utilise toutes les infos en possession par le lecteur pour développer l'univers construit par Matt Kindt. Alors c'est toujours aussi prenant, les pièces s'installent pour donner encore plus de volume aux menaces...mais, car il faut un mais, on se demande parfois sil il est bien utile de creuser autant et de revenir sur des faits qui sont connus. Par exemple après avoir eu en partie les origines du Futurist dans le premier tome était-il utile de les répéter une deuxième et une troisième fois dans le même arc? N'y a-t-il pas une volonté de la part de Kindt de rallonger la sauce artificiellement? Alors oui, légère déception sur ce deuxième volet, qui espérons-le sera balayée sur le tome 3 qui lui promet des situations inédites suite au statu quo de la fin du deuxième arc.
|
#1334
|
||||
|
||||
Il ne me semble pas qu'on ait beaucoup parlé de la mini-série House of penance de Tomasi et Bertram sortie il y a quelques mois chez Dark Horse.
C'est bien dommage car elle est vraiment excellente. La mini revient sur l'histoire de la construction de la célèbre maison Winchester en Californie (Alan Moore y avait situé un épisode lors de son run sur Swamp Thing). Après la mort de son fils et de son mari, Sarah Winchester sombre dans la dépression et, sous les conseils d'un voyant, s'engage dans la construction d'une immense maison pour apaiser les souffrances de leurs âmes ainsi que de toutes celles des victimes des fusils Winchester. La seule condition pour assurer la réussite de l'entreprise : les travaux ne doivent jamais s'arrêter. La mini montre le basculement dans la folie de cette femme inconsolable. Ce qui la hisse bien au-dessus du tout venant, c'est le traitement graphique somptueux de Ian Bertram. Je ne connaissais pas ce dessinateur et c'est une vraie révélation. Il parvient à rendre les affres dans lesquelles se débat la perso principale avec un très grand brio. La folie, le sentiment d'enfermement, le désespoir sont palpables et donnent à cette mini une ambiance étrange et réellement unique. Grande réussite. Lu aussi Joe Golem, occult detective de Mignola / Golden au scénario et Patric Reynolds au dessin. L'idée de situer l'action dans les années 1960 mais dans un Manhattan submergé par les eaux est intéressante et donne lieu à de très belles choses visuellement. Mais c'est là bien tout ce qui est à sauver de cette mini-série médiocre, aux antagonistes génériques et aux enjeux que l'on peine à discerner. Déception.
__________________
"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
#1335
|
||||
|
||||
Oui, le House of Penance me fait de l’œil depuis sa sortie en singles, une des premières collections que je vais acheter en 2017.
|
|
|
Discussions similaires | ||||
Discussion | Auteur | Forum | Réponses | Dernier message |
Que RE-lisez vous en ce moment? | EsseJi | Critiques VO et VF des forumers | 2649 | 19/09/2024 09h07 |
Que lisez vous en ce moment? (part II) | PSYCHO PIRATE | Critiques VO et VF des forumers | 11839 | 07/06/2015 09h30 |