#106
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Petite question j ai feuillette le champion 24 a album ! C est le dernier de la série ?
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
#107
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Thor #5
Jason Aaron / Christian Ward Avec ce numéro, Aaron revient sur l'intrigue concernant le All-Father Thor, et c'est du grand n'importe quoi cosmique; on est dans le toujours plus, comme le laisse deviner la cover. Le cliff peut être casse-gueule, à voir le mois prochain comment l'auteur s'en sort. Ward remplace Del Mundo le temps de cet interlude cosmique et c'est plutôt chouette, d'autant que le style de l'artiste sied bien à l'affrontement dantesque qui a lieu dans le numéro. Dernière modification par Butters ; 24/09/2018 à 14h36. |
#109
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Immortal Hulk #6
Al Ewing / Lee Garbett
Ce numéro marque une pause dans l''ambiance horrifique du titre depuis la reprise d'Ewing, et ce dernier en profite pour développer son casting, effectivement un poil restreint jusque-là (ce qui n'était en rien gênant). On revient vers du super-héros plus classique (surtout la fin, oui), mais c'est toujours aussi plaisant à lire. Dernière modification par Butters ; 24/09/2018 à 14h36. |
#110
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Doctor Strange #5
Mark Waid / Jesus Saiz Waid termine son premier arc, et confirme la très bonne impression que j'ai depuis la reprise. Malgré un pitch de base convenu et déjà précédemment exploité (la magie va mal mazette!), l'auteur arrive à nous pondre une histoire originale et intéressante, et nous surprend même avec ce cliff inattendu. Et Saiz rend une nouvelle fois une copie superbe, son style se mariant, en plus, très bien avec le côté conte de la narration. Dernière modification par Butters ; 24/09/2018 à 14h42. |
#111
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J'avais détesté la narration du #1. C'est mieux ?
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#112
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Mais j'espère qu'on va revenir à l'ambiance de départ, bien pertinente. |
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On est dans la continuité du premier numéro en terme de narration, donc pas sûr que tu accroches. Par contre la fin laisse à penser que ce ne sera plus le cas pour les numéros suivants (à confirmer avec les previews). |
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- Pearl #2 : suite des aventures de la tatoueuse chez les yakusas.
Bendis, après nous avoir mis dans le bain sans formalités le mois dernier, nous en dit un peu plus sur le passé de son héroïne. On découvre une jeune femme qui, depuis toujours, a été prise en étau entre un père attentionné et une mère autoritaire, mais surtout à la merci d'un puissant caïd. Aujourd'hui l'heure des comptes a sonné... Le récit est plaisant, mais c'est surtout l'atmosphère à la fois oppressante et étrange qui captive. Gaydos continue à expérimenter dans cet univers pour lequel il s'est beaucoup documenté (il est même devenu adepte des tatouages, sans réussir à convertir Bendis). L'épisode abonde en doubles pages dont la construction est très fluide et ressemble à des plans-séquences. Le trait change sensiblement entre les flash-backs et le présent. Mais la colorisation surtout donne sa vraie dimension envoûtante au récit. Une mini visuellement impressionnante (comme toutes celles du Jinxworld) portée par un scénario à la fois sobre et intense. - Black Hammer : Age of Doom #5 : la série se pause le temps de quelques explications après le fabuleux coup de théâtre du mois dernier. Lemire fait très, très fort en levant le voile sur le sort des héros depuis dix ans. Certains éléments laissaient deviner cette machination au regard de ceux qui en étaient les auteurs, mais la justification de leur tour et ses conséquences est superbement traitée. Avant un nouveau rebondissement spectaculaire... Ormston est un artiste très particulier, aux influences manifestes (Mignola), mais avec des effets dont la maladresse apparente servent l'histoire. La simplicité de son découpage est idéale pour ne pas en rajouter dans ce cas précis. Le lecteur a tout loisir de savourer la détresse, le chagrin, la colère, le désarroi qui affectent les personnages. Une très grande série, imprévisible, maîtrisée, captivante. |
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- The Life of Captain Marvel #3 : la purge continue...
Commençons par les bons points : cette mini-série ne tient que par son graphisme. Les flash-backs par Marguerite Sauvage sont superbes (j'espère qu'elle va hériter d'un bon projet avec plus d'espace pour s'exprimer) et Pacheco est en excellente forme. Mais le scénario est vraiment exaspérant : c'est affreusement mou, geignard, mal caractérisé, mal construit. On en apprend plus sur les parents Danvers que sur Carol, mais à coup de scènes grotesques ("oh, oui, je me souviens de papa qui embrassait une autre femme", "oh, oui, je m'étais surnommée Captain shooting star", "oh, maman, tu as une armure kree"). Niveau action, c'est le néant. Et pour ne rien nous épargner, Carol tombe dans les bras de son ami d'enfance... C'est affligeant, mais, et c'est la seule bonne nouvelle, c'est bientôt fini. Par contre si Marvel confie la prochaine série Captain Marvel à Stohl, je n'y comprends rien. - Doctor Strange #5 : voilà un travail de scénariste bien plus remarquable. Waid, c'est le vétéran qui n'alimente pas les conversations et c'est bien dommage car il accomplit un boulot très solide et efficace sur cette série. Le cliffhanger de cet épisode est formidable, vraiment imprévisible, et oblige à tout reconsidérer depuis le début. Saiz continue aussi d'impressionner avec des épisodes d'une beauté bluffante, servant le récit en couleurs directes sans l'étouffer sous les effets. Classique certes, mais ô combien précieux. |
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Batman Damned #1
Dieu que c'est beau. Mais dieu que c'est creux, aussi. Lee Bermejo livre des planches superbes, magnifiques, à tomber ; sa narration est bonne, son trait est d'une beauté terrible, et son Batman est à tomber. C'est superbe, je le répète. Mais Brian Azzarello n'a, déjà, pas grand-chose à raconter. Passé le principe de base (le Joker est mort, Batman ne se rappelle plus de sa nuit, les indices mènent au meurtre de ses mains, mais il se sent hanté, et les créatures magiques DC rôdent autour de lui), il n'y a rien, ou presque. Rien, hormis une écriture alourdie à l'extrême par une voix off insupportable (que j'ai fini par ne plus lire), le (petit) fun de voir la JLD se découvrir, et le pathétisme de voir le retcon sur les Wayne. C'est magnifique, oui. Mais c'est complètement creux, et mal écrit. Un artbook par Bermejo m'aurait plu d'avantage ; ou autre chose comme son Noel, plus direct et simple. (ha, et la polémique sur le pénis est complètement naze : le buzz est exagéré, et l'idée de base oscille entre la provocation pour buzzer [et c'est petit] et la blague potache [et c'est con]) |
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Comme leur Before Watchwen - Rorschach !
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Je ne l'ai pas lu. Il y avait quoi ?
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Heroes in Crisis #1
Tom King lance sa saga Heroes in Crisis, finalement plus longue que prévue, mais ne me convainc pas sur ce début. Ho, c'est beau : Clay Mann livre des planches superbes, et le scénariste utilise une nouvelle fois sa science des dialogues et des émotions à merveille (les pages où les "invités" du fameux Sanctuaire, une zone de repos construite par la Trinité pour aider les Héros à trouver la paix et à la rédemption, se livrent sur leurs raisons d'être ici sont fines et bien pensées), mais... ça ne va pas loin ; ça ne vole pas haut. Un peu comme Batman Damned #1, Heroes in Crisis #1 n'offre rien de plus que son résumé initial, l'accroche de la saga. La Trinité a créé un Sanctuaire, des Héros sont morts, Harley Quinn & Booster Gold sont liés à ça ; voilà. Rien d'autre. Ho, Tom King joue bien sa partie, il alterne les moments intimistes avec le combat Harley/Booster et la révélation du massacre (et des Héros tombés... j'attends le twist, car il y en aura, mais c'est quasiment une douche froide vu le "jeu" autour des disparus, tant les cadavres sont balancés en bouts de case [et ça charcute dans les "connus"]), mais... ça ne décolle pas ; ça n'a pas encore décollé. Attendons, alors. Attendons d'en voir plus, même si je suis lassé que des mini ou maxi séries mettent de plus en plus du temps à se lancer - surtout quand, comme ici, elles sont rallongées à la dernière minute. Bref. Avis mitigé, c'est bien mais trop peu ; bien que joli. A voir la suite, qui elle ne devra pas se louper, et en dire plus sur l'événement mais le Sanctuaire (qu'on entrevoit à peine). |
#120
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Doomsday Clock #7
Le vrai drame de Doomsday Clock #7, c'est que j'avais oublié que ça sortait. Et, au fond, je m'en fiche pas mal, de ce qu'il y a dedans. Lancée il y a quasiment un an, la maxi-série se traîne abominablement, tant du point de vue éditorial que de l'histoire ; ça n'avance pas, ça sort à peine, et le soufflé est clairement retombé. Je pense que le buzz aussi et, au fond, j'ai l'impression que "tout le monde" a hâte que ça se termine, enfin. Qu'on récupère la JSA et la Legion, et qu'on oublie les Watchmen. Mais, en attendant, Johns & Frank continuent leur histoire et... même si on a le droit à la réunion des personnages vus jusque-là (Ozymandias, Rorschach II, Mime & Marionnette, Batman, Joker, Johnny, Saturn Girl, le Comédien), même si on a le droit à des révélations, même si on a le droit au "grand" retour, ben c'est pas excitant. C'est long, c'est lent, les informations sont balancées à la truelle, l'intrigue se redresse pour s'écraser encore, et tout semble emprunté, fatigué, fatiguant. C'est chiant, en fait, et l'effet est retombé. Hormis une curiosité morbide, rien ne me donne envie de continuer à lire ça (oui, Gary Frank livre des planches superbes, mais je ne sais pas regarder sans lire ce qu'il y a dans les bulles, et passionne si peu). |
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