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Mon magasin a reçu hier la VO du 17 février. Donc une semaine de retard. Avec dans le lot, 4 titres qu'il manquait la semaine précédente.
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Olala, mais Phillip Kennedy Johnson me donne tellement envie de lire ses futures séries Superman & Action Comics.
Son Future State : Superman : Worlds of War était très bon, mais son Future State : Superman : House of El est une claque terrible. Il est d'une justesse absolue pour décrire ce qui fonde le mythe de Superman. C'est exactement ce que j'aime dans le personnage, complètement ce que je veux lire, totalement comment je définis Superman. Quelle claque. Ca fait plaisir. |
#93
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Donc confiance?
J'ai trouvé Future State : Superman : Worlds of War #1 assez sage (enfin très bonne caractérisation de Clark Kent pourtant jamais montré), plus bluffé par le dessin (et pourtant seules les dernières pages sont raccord avec la couverture Gladiator )
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Oui, confiance.
En fait, Phillip Kennedy Johnson montre très peu son Superman. J'ai l'impression qu'il utilise ses trois épisodes Future State comme des manifestes de sa pensée, de son approche du personnage. Comme des préludes pour acter son orientation, comment il voit le mythe, via les visions des "mortels" qui en parlent. |
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Bon quelques Critiques rapides ...
Return of the Valkyries bien moins bon que la série précédente.. le dessin est déjà en deça de Cafu et Pere Perez.. Mais surtout méler 2 histoires lourdes: le retour des Valkyries et le X-Over KiB ou il faut donner des raisons à ce que les valkyries et leur retour ai lieux avec Knull .. ca en deviens indigeste .. I walk with Monsters Cornell continue de construire son monde, et developper son histoire, les msyteres, passés continuent de se dévoiler.. du bon Rorschach (bientôt moitié du chemin) et pour moi c'est le meilleur truc de King (et Fornes est vraiement bon) on est dans du polar noir, matiné de SH, de mysteres, mais bien tenu, et King déroule son intrigue, et nous découvre la noirceur des différents intervenants... On n'est qu' à (presque) mi-parcours de l'histoire, mais pour moi c'est au dessus du reste de ses écrits (ou en tout cas ca me parle bien plus)
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Shoot Shoot don't talk |
#96
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Ah content de voir que je ne suis pas le seul à suivre I Walk with Monsters, j'espère avoir le #3 dans mon prochain arrivage.
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Infinite Frontier #0
C'est toujours le risque, avec les gros épisodes qui font office de catalogue pour les relances, et qui doivent aussi "acter" ou conclure des sagas, que ça donne un ensemble chaotique et désagréable. Ce n'est heureusement pas le cas ici. Déjà, Infinite Frontier #0 a la politesse d'évacuer rapidement Dark Nights : Death Metal, en faisant le minimum sur ses conséquences. On voit beaucoup de références à Future State, mais ça n'est pas lourd. L'ensemble est plutôt intriguant, prenant, avec un bon niveau graphique et des approches on peut dire positives, entraînantes. J'en ressors avec le sourire, et pas seulement parce que C'est bien, ça m'a plu. Vivement les séries. |
#98
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Concernant Alan Scott
est ce réellement utile? celui de Terre 2 l'est , aucun souci aucune trace que celui de T1 ou 0 l'ai été ou le soit ce qui me dérange ce n'est pas qu'il le soit, mais que ce ne soit qu'un coup de pub histoire de faire une page dans le NY post, ou avoir 2 3 sites de lecteurices Queers en parler. Plutôt que d'avoir un multivers avec des monde et personne (Personnalité) entièrement différentes on tends vers un affadissments des diversité Alan T1 rencontre Alan T2 ils auraient des choses a parler et comparer , sur leurs évolutions, vies, choix, combats .. la Alan 1 et Alan 2, mis à part l'age, sont le reflet du mirroir. Cela me semblait naturel dans T2, car héro débutant , on voit s ses débuts sa jeunesse, son évolution, sa façon de gérer les choses, (affronter la différences, exposer ses différences) Alan 0 en parle a ses enfants et tout passe en 2 secondes , charmant peut être, mais dans une réalité idyllique , combien de personnes sont passées par la, avec les douleurs, la difficulté, les mensonges et humiliations qu'ils ont du affronter durant leur vie avant de pouvoir être eux même? donc, moi ca me choque ca reste du gimmick
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Shoot Shoot don't talk |
#99
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Alan c était vraiment petit joueur de faire ça et très mal amené....
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
#100
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Je ne trouve pas.
Ni que ça soit choquant, ni que ça soit mal amené. Ca ne me choque pas, parce que "mon esprit" est habitué à l'idée d'un Alan Scott homosexuel depuis dix ans. "On voit aussi que" plusieurs hommes qui ont de nombreuses compagnes se révèlent à eux-mêmes être homosexuels tard dans leurs vies, a fortiori s'ils ont grandi dans une époque où être homosexuel était (encore) plus difficile que maintenant. En outre, on n'a pas vraiment connu de compagne à Alan Scott depuis vingt à trente ans, donc on ne "perd" rien de ce côté-là. Je trouve plutôt que ça enrichit le perso', et le principe que celui qui incarne le leader des super-héros de son époque soit homosexuel, ça me semble une bonne avancée. Après, est-ce que c'est mal amené... Déjà, Infinite Frontier #0 est un catalogue, on survole tout. Nul doute qu'on en verra plus dès qu'une série sortira. Mais sur le dialogue, je trouve ça mignon et réussi. Ca fonctionne sur moi. |
#101
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Le souci n'est pas vraiment qu'un perso soit gay, mais d'en faire un petit évènement sans avoir préparé ça un peu sur la durée.
On a un perso qui pendant des dizaines d'années n'a jamais questionné sa sexualité (bon, là il dit qu'en fait oui il se posait des questions, mais on l'a jamais vu), si tu veux que ça ait de l’impact ou de l'importance tu montres ça en filigrane sur plusieurs épisodes. Là on a des violons et des larmes sur quelques pages, c'est pas forcément mal amené pour le format imposé mais ça reste facile. Alan Scott avait bien une femme mais qui faisait plutôt tapisserie, Scott lui-même étant peu exposé individuellement (pas comme Jay Garrick qu'on voyait beaucoup dans Flash avec sa femme). Si le personnage ne devient pas plus protagoniste, son changement d'orientation ne sera qu'un coming-out de plus... |
#102
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Il ne manquerait plus qu'une certaine passe muraille de chez l'autre big two en face soit bisexuelle .... oh wait
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#103
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le jour ou ils réussiront à me faire tilter sur un changemetn de ce genre (surtout que le mariage avec Harlequin , pour Alan Scott ca avait été une histoire pensée et forte de Roy Thomas)
Si demain ils font de Wolvie ou de Frank Castle des personnages Gay et qu'ils les font perdurer .. le je me dirais que il y a une réelle évolution. en attendant c'est du gimmick (et coté Green Lantern, Guy Gardner Gay, aurait été difficile à amener, mais tellement plus enrichissant sur le développement du personnage, sur son combat contre lui même , contre ses opinions, son éducation ... il y aurait eu des choses à faire et dire.. (se rapprocher des centres d'assistance pour ne pas raconter de connerie) )
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Shoot Shoot don't talk |
#104
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C'est certes le Alan Scott de la série Earth-2, mais le Alan Scott de la période 1985-2011 n'existe plus, alors. La JSA ne cesse de manquer de revenir, ces dernières années, et on ne sait encore rien de "quelle JSA" c'est vraiment. Maintenant, Infinite Frontier #0 vise ici à ramener Alan Scott, et à "marquer" en synthétisant la version qu'on pense historique et la version récente.
A voir où et quand.
Je ne suis même pas sûr d'être déjà né (1987). On peut faire différemment, maintenant.
Je le vois comme un changement qui ne trahit pas le personnage de base, peu connu sur les vingt à trente dernières années pour sa vie sentimentale, et qui synthétise la version récente et la version antérieure. Je pense même que ça l'enrichit, car cela peut évoquer les difficultés d'un homosexuel refoulé "âgé" à s'assumer devant ses proches et enfants. |
#105
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En quoi la sexualité d'Alan Scott sert l'histoire? Si c'est un élément d'un plot, qu'on le mette en avant. Sinon c'est inutile, aussi inutile que de tuer un personnage juste pour le buzz. Le souci n'est pas d'avoir une idée, mais de savoir s'en servir.
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