#91
|
||||
|
||||
vu que personne n'en a parlé (en tout cas pas vu)
Saga 55 48 pages de comics, 2.99$ on retrouve Hazel et le gang quelques temps après la fin du 54 Hazel, Sa mère, Squire, le nouveau venu Bombazine mais aussi Will et Gwendolyn Une course dans les rues, de la vente seins nus de lait maternel, Gwendolyn et will qui se font le Kama sutra, Une grosse explosion, des soucis d'argent, des pirates et de la drogue avec bien sur de l'humour , Vaughan sait mener son histoire, et Staples est en forme ca fait grand plaisir, comme quand tu retrouves ta famille après des vacances loin d'eux... Les pièces sont à leur place, et les quelques changement sont expliqués et permettent d lancer cette seconde parti de la saga Saga.. un titre qui va vote revenir sur le haut de ma pile
__________________
Shoot Shoot don't talk |
#92
|
|||
|
|||
SAGA chapter 55
par Brian K.Vaughan et Fiona Staples. Le retour de SAGA est à la hauteur de la frustration de l'attente. On rempile dans cet univers comme si on l'avait quitté la veille. Pas besoin de relire les 54 chapitres qui ont précédé. Comme pour le vélo cela ne s'oublie pas. J'aime bien l'énumération, les flashs d'Ollieno. Le gros plus de ce comics reste l'écriture de BKV, notamment la caractérisation des personnages sur des familles ou ce qui y ressemblent complètement dysfonctionnelles. Graphiquement Fiona Staples, continue de s'approprier un univers nouveau en apportant une personnalité et une fraicheur que l'on voit peu ailleurs. Elle ne cesse de d'innover en ré inventant comme un vaisseau pirate génial ou une simple montre Un numéro clairement SEX, DRUGS AND ROCK'N ROLL au sens propre et figuré. |
#93
|
|||
|
|||
BATMAN CATWOMAN SPECIAL
DC Black Label Par Tom KING (W) et John Paul LEON (P) avec la participation de Bernard Chang, Shawn Crystal, Mitch Gerald et Dave Steward. J'achète peu de DC voire plus du tout. Depuis quelques temps j'aime me prendre des numéros spéciaux pour un scénariste, un personnage ou un dessinateur. C'est donc pour le dernier travail de John Paul LEON, qui nous a quitté trop tôt en mai dernier, que j'ai rempilé. Beaucoup de chose très intéressante dans ce one shot. Le récit principal égrène la vie de Selina Kyle, dans un univers alternatif, à raison d'une page par année marquante. Tom King n'épargne pas celle qui deviendra Catwoman : orpheline, fugueuse, exploitée, reprise de justice, prostituée, épouse, mère, veuve, voleuse, héroine ... le tout à travers le spectre de la famille Wayne et à la recherche de ce tableau familiale idéal au propre comme au figuré. Beau récit dans un contexte elseworld qui me convient et m'a convaincu ayant lâché le run de Tom King sur Batman et Catwoman depuis un moment. D'ailleurs c'est clairement une histoire sur Catwoman, le titre citant Batman me semble qu'une histoire de marketing. John Paul Leon dessine les 13 premières planches (les breakout sont disponibles) et avait laissé des breakouts sur les 6 suivantes. Il revient Bernard Chang, Shawn Crystal, Mitch Gerald et Dave Steward de terminer en étant très respectueux du style de JP Leon, signalant bien qu'ils sont là pour rendre hommage à leur ami, en faisant attention à ne pas tirer la couverture à eux. C'est très beau, surprenant avec beaucoup d'émotion. DC n'a pas failli dans cet hommage. Car ce numéro comporte beaucoup plus que les 38 pages du récit principal. Deux superbes textes de Michael Davis (qui revient sur Static) et Kurt Busiel (Creature of the night) viennent nous rappeler l'artiste et l'homme d'exception que fut John Paul Leon. Puis 18 dessins rendent hommage à John Paul Leon. Des hommages surement un peu dirigé par DC (après tout on est sur un numéro Batman Catwoman) avec souvent la figure de Batman mis en image mais aussi Rorchach (Dave Gibbons), Static (Denis Cowan) ou Jon Bogdanove qui se met lui même en scène. Des pin up par Walter Simonson,Tula Lotay, Khary Randolph, Joelle Jones, Shawn Martinbrought, Dave Jonhson, Vanesa Del Rey, Ibrahim MMoustafa, Clay Mann, Dani, Chris Batista, Rick Leonardi, Klaus Janson, Becky Cloonan, Lee Bermejo. Enfin deux récits dessinés par John Paul LEON complètent ce numéro : The Riddle (extrait de Batman Black and White) sur un scénario de Walter Simonson et une histoire mettant en scène The Question écrite par Ram V (from DC Vault). Un beau numéro, copieux et à la hauteur de l'artiste. |
#94
|
||||
|
||||
Superman : Son of Kal-El #8
Efficace. Tom Taylor livre un épisode très prévisible mais efficace, avec une bonne gestion de l'aura de Jon désormais Superman. On a ici la suite et la fin de l'attaque du Léviathan sur Metropolis, téléguidée par Bendix depuis Gamorra, bien qu'il envoie son Gamorra Corps pour le stopper, officiellement. Le Gamorra Corps multiplie les attaques, alors que Jon et Jackson / Aquaman tentent de tout gérer. Cela provoque un gigantesque tsunami, stoppé essentiellement par Jon... mais beaucoup de gens meurent. Le Gamorra Corps accuse publiquement Jon de n'avoir pas fait "ce qu'il fallait", en tuant la créature, et Bendix surfe après dessus en proposant les services de ses surhumains, qui sont en fait C'est bien, oui. Tom Taylor parvient à donner une aura de grandeur et de noblesse à Jon, dans une approche très influencée par son père, mais avec une humilité, une gêne, une timidité qui correspondent à cet héritier qui ne s'assume pas encore pleinement. Bendix est une bonne menace, l'utilisation de Gamorra est efficace et les liens avec les Aquamen sont cool. Bon, ça ne reste pas non plus révolutionnaire, mais ça fonctionne, notamment via le charisme de Jon et cette aura qui s'améliorent. Je ne suis pas fan des dessins de Cian Tormey, mais ça fait le job, sans me passionner. Un numéro efficace et une bonne construction de l'aura de Jon. The Joker #12 Haha, bien joué ! James Tynion IV approche de la fin de son passage (au #14), et révèle ainsi un gros élément via une surprise que l'on devine au cours de cette lecture, mais qui fonctionne très bien. On a en effet la réunion de plusieurs éléments. Vengeance, la clone de Bane créée pour tuer le Joker, arrive au Texas. Gordon et Bullock y arrivent en avion. Cressida et un mystérieux allié piègent Barbara, alors qu'un Ergot a stoppé Julia Pennyworth. Mais Gordon appelle Cressida et exige une rencontre, pour un échange : Barbara et Julia... contre l'info' de Gordon sur qui a organisé l'explosion du A-Day. Cressida accepte, Cassandra abat l'Ergot qui accompagnait Bullock, Barbara et Julia. Alors que Jim confirme qui est le responsable du A-Day : Révélations au prochain épisode, donc, mais ce numéro est bon sur une dynamisme de seuls dialogues. C'est cool, Jim Gordon a un sacré charisme, et je trouve que si la révélation est finalement peu étonnante, elle fonctionne très bien dans le récit général. Tout est fluide, pertinent, et ça donne follement envie d'en savoir plus, de comprendre. J'ai aussi hâte de voir le final sur la famille de serial-killers, ce qui confirme que James Tynion IV maîtrise vraiment bien sa série, et sa saga d'horreur super-héroïque. Giuseppe Camuncoli livre de très bonnes planches, très maîtrisée finalement, avec peu de ses effets habituels. J'apprécie, et je trouve que ça fonctionne très bien. Vivement la suite, vivement la fin ! |
#95
|
||||
|
||||
Moon Knight #8
Très agréable. Jed McKay profite de Devil's Reign, et d'un Moon Knight emprisonné par le Caïd, pour montrer comment Dr Moon / Hunter's Moon, le "poing gauche de Khonshu" avec qui les premiers contacts ont été difficiles, reprend la Midnight Mission. Et la tâche de protéger la ville de menaces surnaturelles, notamment ici Scarlet, l'esprit d'une ancienne super-vilaine devenue légendaire. Une "histoire" renforcée par plusieurs croyants, via son symbole, qui s'en prend à ceux que Scarlet juge dangereux. Dr Moon l'attaque et, pour la vaincre, sollicite Bon, c'est clairement un épisode passe-plat, mais ça fonctionne très bien. Le Dr Moon ne diverge pas énormément de Moon Knight, c'en est un peu dommage, mais la gestion de Scarlet comme histoire vivante et la solution pour la vaincre, tout ça a une belle poésie. Mais c'est aussi une très bonne p'tite histoire d'histoire surnaturelle urbaine, et c'est cool. Alessandro Capuccio continue de livrer de très, très belles planches, avec beaucoup de fluidité, une belle gestion des ombres et un ensemble maîtrisé. Un épisode de transition à cause d'un crossover naze, mais un très beau moment. Secret X-Men #1 Pas mal, mais maladroit. Tini Howard livre quelques bons moments de caractérisation, mais se perd dans une histoire inutilement compliquée, avec des rebondissements mal organisés et un ensemble pas forcément efficace. Dommage. On a en effet ici Deathbird qui vient solliciter Solar, qui se présente dans les fêtes de Chandilar comme leader des X-Men, afin de protéger Chandra, nouvelle Impératrice menacée. Mais la Garde Impériale relève ensuite la disparition de Chandra et de Deathbird, et Izzy (épouse de Sam) pense que les Mutants rassemblés par Roberto sont là pour aider. Ce qui est vrai, mais pas forcément ainsi. Roberto a en effet réuni des Mutants qui avaient candidaté pour être des X-Men au Hellfire Gala, et n'ont pas été pris : Strong Guy, Armor, Banshee, Forge, Tempo, Boom-Boom, Marrow, et donc Sam et lui. Ils agissent pour retrouver Deathbird et Chandra, y arrivent et comprennent que Bon, ça se lit mais ça reste maladroit. Tini Howard a de bonnes idées pour animer ses personnages, bien que Roberto soit beaucoup mis en avant, mais les rebondissements et l'intrigue pâtine beaucoup. Tout ça a du sens, hein, mais c'est quand même assez long, sans qu'il ne se passe forcément "trop" de choses. Francesco Mobili participe à cette impression mièvre, en alternant très belles planches et images moins réussies. Ca fait le job, mais ça ne va jamais au bout du potentiel. Un one-shot sympathique mais littéralement un coup d'épée dans l'eau, et maladroit. Bof, quoi. |
#96
|
||||
|
||||
X Deaths of Wolverine #2
Boah, c'est pas brillant. On est toujours sur la fuite de Moira-X, qui tente d'échapper à Mystique ; wouhou. Elle comprend, via Jane Foster, que sa biologie a des éléments de Krakoa, et en vient à Bon, ce n'est vraiment pas passionnant, en fait. J'ai l'impression que Benjamin Percy détricote entièrement tout ce que Jonathan Hickman a finalisé dans Inferno #4, et c'est autant trop tôt qu'impoli, en fait. Le tout étant dans un numéro trop rapide, trop facile, pas intéressant en soi, avec un Federico Vicentini qui livre des planches correctes mais sans que je les aime... Ouais, ça ne me plaît pas. Tout ça paraît bien vain et creux. Déjà. Avengers #53 Efficace. Pas brillant, pas révolutionnaire ; assez classique, voire automatique. Mais efficace. Jason Aaron poursuit sa saga où les Maîtres du Mal Multiversels attaquent les Avengers. Voici donc le Doom Above-All et Kid Thanos qui s'en prennent à l'Avengers Mountain. T'Challa, acculé, sollicite Valkyrie et Namor. Jane Foster est maltraitée par ce Doom super-magicien, alors qu'un Deathlok tente d'éveiller le Céleste mort qui forme la montagne. Et Namor est salement touché par Kid Thanos, alors que T'Challa injecte à son armure le sang du Céleste pour devenir "Red Panther". Mais le Deathlok semble échouer, alors que les Maîtres partent parce que Bon, ça ne révolutionne rien, mais ça fonctionne. Je suis un peu déçu car Namor est en sous-régime, alors que Valkyrie brille et est bien animée ; mais ce n'est pas choquant, vu comment Jason Aaron l'a forgée. Là, elle est valorisée, T'Challa a un ajout un peu cosmétique, mais bon... tout ça se lit agréablement, mais sans emporter forcément. Tout ça est efficace, bien dessiné par Juan Frigeri. La saga est bonne, les Maîtres Multiversels sont un peu bourrins et limités, mais restent de bons adversaires. Espérons que Jason Aaron réussisse une bonne saga, du début à la fin ! Ca changerait... |
#97
|
||||
|
||||
Là dernière fois on j ai apprécié la série Wolverine ? Avec Aaron aux commandes, avant cela Rucka et avant cela Ellis. Bref ça ne date pass d hier
Percy ne m à jamais convaincu sur rien mais le peu que j ai lu de son passage sur Wolverine ne m à guère enthousiasmé |
#98
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
#99
|
||||
|
||||
Crossover #11
Et pourtant Esseji me l'avait bien vendu hier soir. Alors oui la dernière peut faire causer mais alors tout ce qui précède, pas eu l'impression de lire du neuf par rapport au #10. Donny Cates se met en abîme mais bof quoi.
__________________
Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
|
#100
|
||||
|
||||
Il y a tout de même un nouveau subplot avec l'arrivée de Cates et le destin de Shaw et sa compagne qui viennent alimenter l'intrigue.
|
#101
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
Juste simplement passable. Et oubliable, rapidement. Elle ne le sait pas. Seule Chandra et les télépathes de la Garde décident cela. |
#102
|
||||
|
||||
Moi qui trouvais Chandra sympathique. Tel père telle fille.
|
#103
|
||||
|
||||
Elle le fait de contrecoeur.
|
#104
|
||||
|
||||
Saga #55
Ah les enfoirés... Avec ce genre de reprise aux petits oignons, ça prend le lecteur par les sentiments comme si de rien n'était avec le coup de grâce de la lettre de Brian Vaughan qui annonce que Fiona Staples est devenue maman pendant le hiatus.
C'est à la fois culpabilisant pour avoir râlé devant l'attente de 2 ans et demi et non 1 comme promis mais aussi réconfortant comme si tu retrouvais un membre de ta famille après une longue absence qui revient avec une excuse imparable... Ils parviennent à faire de cette reprise quelque chose de très accessible tout en montrant l'évolution des personnages depuis le drame (et la dernière page pour le coup arrache un sourire en écho inversé du dernier numéro). De la magie, de l'action, de la rigolade, du sexe, de l'innocence, les ingrédients sont toujours là et ne sont pas périmés en 2022. La série reprend et j'ai déjà hâte d'être au #56. Sinon, toujours #TeamMarko
__________________
Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
|
#105
|
||||
|
||||
Green Lantern #11
Wahou. Geoffrey Thorne livre un épisode en format grand spectacle, ici. Ca décoiffe, et ça fonctionne ! On a en effet Koyos, un Gardien de l'Univers renégat (encore), corrompu (encore), enragé contre son peuple et leurs erreurs (encore) et allié à des ennemis (encore), qui déborde d'énergie magique. Son plan ? Littéralement attaquer tous les Maltusiens et leurs progénitures dans le Temps, pour en libérer l'Univers. Bon, Hal Jordan a ramené la Justice League, The United Order est là donc grosse bagarre ; mais Koyos et ses sbires les repoussent. L'anneau d'Hal est détruit, celui de Jo est vidé. Une communication de The United Planets pousse Jo à récupérer le gant de Keli pour attaquer Koyos... avec John Stewart, désormais "élevé" après contact avec la Source, et qui vient aider. Déluge cosmique, et il semble que tout soit fini... mais est-ce bien le cas ? Beau et efficace. Geoffrey Thorne, Tom Raney et Marco Santucci livrent un épisode "classique" de bagarre cosmique "énaurme", mais ça fonctionne et, surtout, ça me plaît beaucoup. Il est lassant de voir encore un sale plan d'un Gardien, mais je trouve que le lier aux adversaires magiques a au moins un peu de sens. Je reste circonspect devant un John "élevé", d'autant que ça a déjà été fait il y a bien trente ans, mais j'admets que son intervention rend bien et l'ensemble est fluide. La réunion des personnages du titre fait plaisir, les interactions sont bonnes, notamment via une Jo toujours sympathique et agréable. Les dessins eux-mêmes sont jolis et réussis, avec de belles planches et de belles perspectives cosmiques. Un vrai bon p'tit plaisir, même si rien dans le récit n'est original en soi ! Aquaman : The Becoming #6 Efficace, bien que très classique. Brandon Thomas livre un final réussi, mais ô combien attendu. Il utilise un peu grossièrement un procédé de narration sympathique (une action vive au présent, quelques pages de flashback pour expliquer pourquoi tel personnage en est là), ce qui est une bonne idée ; mais il le fait trop souvent, hélas. Il en vient aussi à Bon, que dire ? La mini-série est agréable, l'épisode aussi. Serg Acuna et Diego Olortegui livrent de très jolies planches, très claires et réussies. Brandon Thomas propose un scénario très classique ; trop, sûrement. Mais il fait un bon travail sur Jackson Hyde, finalement très "vide" jusque-là. Bon, les ajouts ne sont pas formidables, hein, mais ça a le mérite d'exister. Le final montre bien Jackson devenu "Aquaman", avec un bon dialogue antérieur entre Arthur et Jackson. Avec aussi des avancées sur Xebel et Atlantis, et une conclusion où Une bonne p'tite lecture, qui aurait sûrement mérité d'être plus courte. Brandon Thomas a quelques bonnes idées, mais demeure maladroit dans la narration et finalement peu original sur le fond. M'enfin, au moins, il a envie de raconter quelque chose. |
|
|
Discussions similaires | ||||
Discussion | Auteur | Forum | Réponses | Dernier message |
Sorties Singles et Collections 2022 (semaine du 28/12/2022) | scarletneedle | Singles | 219 | 13/01/2023 01h25 |
DC mars 2022 | scarletneedle | Sollicitations éditeurs | 9 | 18/12/2021 13h17 |