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#961
19/12/2023, 16h04
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Hawkgirl #6
Oula, oula, oula. Jadzia Axelrod achève sa mini-série avec un numéro fort surprenant, pas forcément dans le meilleur sens. L'avantage est que Hawkgirl est relancée, mais... pff. Le chemin pour y arriver est un peu difficile. Ici, on a une plongée WTF dans un Nth World fantaisiste, grandiloquent, avec Vulpecula qui essaye de tout dominer, d'autres qui orientent Kendra et une Galaxy soumise à Vulpecula puis libérée. Hawkgirl sacrifie l'esprit de ses vies passées pour rétablir l'équilibre entre les dimensions, Galaxy la sauve et... Kendra va de l'avant, proche d'assumer des penchants envers une ancienne amie. C'est un peu lourd, en fait. Jadzia Axelrod a réservé de bons moments ici, notamment dans l'écriture d'une Kendra hantée par son passé, l'image des autres et le statut de la femme. Mais Vulpecula est une ennemie en carton, son Nth World est naze, et tout le sous-texte homosexuel ne me gêne pas, mais est très lourd quand même. Graphiquement, Amancay Nahuelpan livre de belles planches mais son Nth World n'est pas fou. Irrégulier, maladroit, pas mauvais en soi, mais lourd. Jay Garrick: The Flash #3 Lent mais bon. Jeremy Adams avance doucement sa saga, qui pourrait aller plus vite mais fonctionne bien. Ici, un nouveau flashback montre un affrontement passé de la JSA avec Dr Elemental, et Judy qui vient du futur pour aider ; mais l'ennemi s'enfuie et récupère un peu de son ADN. Au présent, Judy et Jay s'engueulent gentiment, le premier admettant qu'il ne devrait pas la suivre mais qu'il s'inquiète. Mr Terrific explique que leurs souvenirs se recalibrent après l'absence de Judy, qui a vu le visage de l'ennemi. Michael les amène chez lui, voir les "garçons" : à savoir Fairyplay (son fils, arraché de l'utérus de sa femme par Granny Goodness et qu'il a sauvé dans The Flash) et Quiz Kid (le sidekick du premier Mr Terrific, disparu longtemps), qui collaborent et vivent ensemble leurs absences en étant super-géniaux. Tous deux ont créé une machine capable de matérialiser en film les souvenirs de quelqu'un, et l'on voit dans la mémoire de Judy que Dr Elemental est... C'est bien, oui. Jeremy Adams prend un peu trop de temps sur son flashback, mais il s'en sort bien quand même. Sa Judy est agréable et sympathique, la saga est plutôt bonne même si elle est très classique, et ses références à ses oeuvres passées sont assez cool. L'ensemble a un goût joyeux et positif, fort agréable. Graphiquement, Diego Olortegui flirte régulièrement avec Scott Kolins, ce qui me plaît assez, et ses planches sont colorées et dynamiques. Ca pourrait avancer plus, mais c'est agréable. Nightwing #109 Sympathique. Tom Taylor achève sa saga de pirates sans surprendre, mais efficacement. Ici, Dick lutte contre sa peur du vide (venue d'où, d'ailleurs ?) pour sauver Bea, blessée par le fils légitime de Captain Blud. Parce qu'Alfred l'a formé aux soins d'urgence jadis, il peut soigner Bea et l'emmène empêcher Dirk de s'emparer du coeur de l'empire des pirates. Il apprend au passage l'origine de ceci (plutôt sympathique, qui donne un sens au nom Blüdhaven), et organise la défaite de Dirk avec Bea. Il accède alors à son mystérieux coffre, où il découvre un CD : C'est bien, oui. Sans surprise, mais Tom Taylor suit bien sa dynamique. J'apprécie cette plongée dans l'univers des pirates, avec également une bonne gestion de Blüdhaven. Ce n'est pas foufou, mais c'est positif, bondissant et agréable. La fin laisse envisager des avancées sur Zucco, ce qui risque de ramener la soeur de Dick. Du bon. Graphiquement, Stephen Byrne livre des planches un peu figées, mais plutôt agréables. C'est solide, pas brillant mais correct. Une back-up montre une mystérieuse Beast Woman infecter Damian durant Beast World. Tom Taylor écrit bien Damian, et Sami Basri livre de belles planches, mais c'est mineur. Bondissant et joyeux. Espérons que la suite continue bien. 
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#962
20/12/2023, 14h43
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Titans: Beast World Tour - Central City #1
L'événement Beast World passe cette semaine à Central City, pour un gros one-shot réussi et bien mené. Si Spurrier, scénariste actuel de The Flash qui cependant ne m'a pas convaincu là-bas, et Scott Koblish livrent la trame principale, qui réapparaît entre les segments. On y suit Barry, en semi-retraite et petite dépression après Dark Crisis et le fait que Wally soit définitivement plus rapide. Il intervient quand la jeune Irey l'appelle à l'aide face à Beast World, et il prend la tête de la FlashFam en ayant de bonnes idées et un gros coeur. C'est assez sympa', bien mené, touchant et prenant, avec de beaux rôles pour Barry et Iris (notamment la fin où Jarrett Williams et George Kambadis enchaînent avec Wallace et Avery, un segment guère intéressant ni joli. Je ne suis pas passionné par ce duo un peu lourd. Alex Paknadel et Serg Acuna gèrent le jeune Jai en sortie avec Maxine, un petit moment de flirt mal maîtrisé puis Jai qui gère la menace et dépasse ses forces pour s'en sortir. Sympathique, bien fait et bien dessiné. Enfin, Al Kaplan s'occupe de Pied Piper mais surtout de Circuit Breaker, nouveau héros gérant la Still Force. Ca ne m'a pas emballé. Un bon one-shot, surtout pour la trame principale qui rythme l'ensemble. Wonder Woman #4 Toujours lent, toujours un peu poseur, mais intense et intelligent. Tom King déroule lentement, étape par étape, son plan. Ici, il montre les conséquences du #3, où le Roi des USA a utilisé le Lasso de Mensonge pour pousser un soldat (qui a affronté Diana peu avant) à se suicider et à laisser un mot disant qu'elle est responsable, en l'ayant en gros émasculé en le battant ainsi. Les médias s'emballent, les gens se polarisent, et le Roi corrige un discours du Président qui ordonne la guerre contre les Amazones. En parallèle, Diana passe la journée avec un enfant condamné par la maladie, qui est fan d'elle ; elle accède à sa demande d'aller sur Themyscira, malgré le refus initial des gardes, et elle le conforte quand il s'en "veut" de ne pas aimer les super-héros hommes ou le baseball. C'est bien, oui. Tom King gère bien les deux récits, même si la voix-off du Roi qui raconte tout ça à Trinity dans le futur est toujours lourde et trop bavarde. L'aspect gouvernemental est bien fichu, car cohérent et crédible, de manière flippante en soi, et très en phase (hélas) avec notre époque. L'aspect Diana et le gamin est bon, touchant et juste. Graphiquement, Daniel Sampere propose de très belles planches, un peu figées mais belles. Une back-up continue de montrer l'éducation de Trinity avec Jon et Damian, qui ici ne font pas attention à elle quand elle a treize ans : elle chope une Black Mercy dans la Forteresse, ils veulent la libérer mais elle rêve qu'elle les bat en arène et se réveille car elle "sait" qu'ils n'abandonneraient pas et qu'elle n'est pas (encore) à leur hauteur. Jon et Damian font certes neuneu, mais c'est cool, joyeux, drôle et bien dessiné par Elen Ortega. C'est bien, en fait. Cool. Batman / Superman: World's Finest #22 Un peu facile mais sympathique. Mark Waid enchaîne, livre quelques clés et prépare la suite. Ici, nos Superman & Batman sont vaincus par les super-héros de cette copie de Kingdom Come, présentés à Gog qui les condamne à être prisonniers dans les Catacombes, où sont tous les super-vilains. Gog échange avec David/Thunderman, et le transforme en Magog pour la suite. Le Batman local est suspicieux (car les visiteurs connaissent le prénom de Thunderman et il ne trouve rien sur sa famille), convainc le Superman d'ici, et tous deux vont libérer les "nôtres", qui découvrent Metron en prison. Metron explique Gog (un dieu du 3e Monde exilé, qui a échappé au Ragnarok et semble vouloir ici mener une mission suicide contre le 4e Monde), et tous se préparent à la bagarre. C'est bien, oui. Un peu facile sur le fait que les Superman & Batman locaux reviennent sur leur dévotion à Gog, qui semblait très forte, mais ça passe. Mark Waid valide des éléments de Geoff Johns & Alex Ross sur Gog, lie ça à son récit, et l'ensemble fonctionne bien. C'est fluide et divertissant. Dan Mora, lui, assure aux dessins et propose des planches dynamiques et très belles. Imparfait mais réjouissant. Justice League vs. Godzilla vs. King Kong #3 Pas mal, pas mal. Brian Buccellato enchaîne dans cet Elseworld sympathique, guère brillant mais efficace. Ici, on voit que Godzilla a frappé salement Superman avec son feu atomique et C'est bien, oui. Je suis surpris du côté direct et brutal de certains choix, je me doute que ça va changer en cours de récit mais ça donne du rythme. Les divers Titans me sont "anonymes", mais les super-héros galèrent et c'est plutôt bien fait. Rien de fou mais du bon divertissement. Graphiquement, Christian Duce assure sur les monstres mais dessine moyennement les humains. Ca passe. Divertissant, c'est déjà ça. Superman #9 Très cool. Joshua Williamson enchaîne et me plaît beaucoup. Déjà, on a droit à quelques beaux moments où Superman récupère d'une infection à la Kryptonite, avec Perry qui suspend sa candidature à la Mairie pour aider la ville en hommage à Clark, et Lois qui lit des lettres de citoyens à Superman pour le ranimer. Elle laisse Jimmy gérer le Daily Planet, mais Clark se réveille. Les retrouvailles sont agréables, mais ses pouvoirs sont faibles : il prend une armure de Lex afin d'enquêter sur une autre victime de Lex... à savoir Marylin Moonlight. De son côté, Lex parle avec sa mère, qui le pique, alors que sa fille Lena travaille désormais à Supercorp. Mr Graft attaque Marylin Moonlight après lui avoir proposé de collaborer, en vain, et Superman arrive pour stopper ça. Ca se bagarre, Clark échange avec Lex, bat Graft qui tire sur Marylin et... elle disparaît avec Superman ! Finalement, on plonge dans le passé, le farwest, où Nighthawk & Cinnamon discutent avec une dame distinguée et ses deux enfants géniaux C'est top, oui. Joshua Williamson me convainc totalement, avec plein de très bons petits moments. Déjà, l'attente de la guérison de Superman est classique mais très bien faite, il est cool de revoir Lena, et tout le background qui se construit sur Metropolis est top. Bon, Clark en armure, ça fait redondant avec Action Comics, mais la fin surprend et intrigue. Graphiquement, Bruno Redondo passe par là. Surprenant mais agréable. Moins ébouriffant que sur Nightwing mais fort joli. Vivement la suite !
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#963
20/12/2023, 15h05
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Avengers 8
C est laid et vide Ils kordeyse villa … Pauvre nightmare Captain America 4 Bon.. oui.. ca se lit mais c est quand meme pas genial. On a du mal à se passionner pour l intrigue qui est au ralenti en plus et avec un démon un peu lambda... mais en plus Ian Medina n est pas au mieux. Alors déjà passer en 2 numeros de Saiz à Medina c etait decevant mais là clairement Medina n est pas à son top... Ca ressemble un peu à la série avengers en cours.. plus ca va plus ca baisse et ca part pas non plus de genial mais de pas mal...
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#964
20/12/2023, 15h33
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Spider-man 40
Revoir Shootgun dessiné par john Romita Jr dans une nouvelle guerre des gangs... regarder autour de soit pour vérifier qu on est pas en 1999 .... Une expérience hors du temps vraiment.
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice.
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#966
20/12/2023, 17h53
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#967
20/12/2023, 17h57
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Le pauvre Villa doit être dégoûté de devoir rendre ces pages qui sont grossières et pas finies.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#969
20/12/2023, 21h52
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Il l a cree
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#971
21/12/2023, 11h10
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The Incredible Hulk #7
Toujours bon, mais toujours lent. Phillip Kennedy Johnson avance doucement son intrigue, avec Hulk qui se bagarre avec ce Ghost Rider différent, qui protège ces immigrants paumés et notamment un gamin. Ils s’allient cependant face à la vraie menace, un Monstre qui s’en prend à Hulk. Ce dernier le bat, tous se retrouvent au coin du feu, mais… la créature a infecté Hulk, qui perd pied et devient une menace globale. C’est bien, oui. Phillip Kennedy Johnson continue son intrigue en poursuivant la très bonne ambiance de son titre, mais… c’est quand même lent. J’aime bien cet autre Ghost Rider, protecteur d’immigrants, et le focus sur les Monstres est cool, mais ça avance très peu. M’enfin, à lire, c’est bien. Notamment parce que, graphiquement, Nic Klein assure. Il participe énormément à l’ambiance générale, avec des planches envoûtantes et très réussies. Très lent mais bon. G.O.D.S. #3 Tiens, ça s'emballe. Très déçu des deux premiers numéros, pas mauvais mais trop lents et poseurs, j'ai abordé ce #3 quasiment dans l'optique d'arrêter là - mais Jonathan Hickman m'intrigue, me happe plus ici. Les deux premiers ont fait une (trop) lente mise en place, voici ici une nouvelle réunion de chaque camp dans la Bibliothèque des Mondes. Si Wyn amène Stephen Strange (comme "boussole morale"), Aiko vient avec son chef pour échanger dans une simulation basée sur les Black Swans. Tous évoquent les troubles liés au Babylone Event et à l'Intermédiaire, alors que Dimitri discute au bar avec la nouvelle apprentie d'Aiko ; et le fait qu'elle en ait une, venue de la magie, le trouble. En parallèle, une précog', une "Cassandra", voit un futur terrible, vient le stopper en C'est pas mal, oui. Disons que ça s'emballe, que les éléments se lient et qu'il y a des choses qui se passent, c'est cool. Je reste circonspect devant l'ensemble, l'ampleur de ces "révélations marquantes" promises et qui n'en sont pas, mais... ça se lit bien. Ca se lit mieux, et c'est déjà ça. Graphiquement, Valerio Schiti et c'est vraiment très agréable à l'oeil. Ca bouge un peu, c'est déjà ça. Doctor Strange #10 Un bon moment. Jed McKay achève sa première grosse saga, avec l'affrontement contre le Général Strange, d'une façon fort poétique et sympathique. Alors que Stephen a mobilisé les forces de The Trinity of Ashes contre son doppelgänger revenu de la guerre, en vain car le Général est trop fort, et alors que la nouvelle version de l'organisation W.A.N.D. arrive en étant menée par Wong, le même Stephen l'emporte... non pas en frappant plus fort le Général, mais en le soignant. Il utilise les éléments du W.A.N.D. pour intervenir dans l'esprit du Général et y remettre, y raviver les émotions et bons côtés éteints par mille années de guerre. Le Général demeure, alors, vit, et veut tenter de se remettre, de se soigner. Stephen salue ceux du W.A.N.D., apaise Clea qui décide de nommer sa demi-soeur en C'est bien, oui. Jed McKay s'en sort avec une pirouette efficace et poétique, qui correspond bien à l'esprit de Stephen. Il continue de bien gérer l'ensemble, même si je regrette que Clea soit tellement en retrait, alors que je l'ai tant appréciée en personnage principal du volume précédent. Graphiquement, Pasqual Ferry est moins bon, moins fin, moins emballant, mais ça reste correct. Une lecture qui donne le sourire.
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#972
21/12/2023, 16h13
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Original X-Men #1
Quel machin bizarre. Comme me l'a dit un copain, après lecture : mais pour qui c'est, ça ? Qui a bien pu demander ça ? Ici, ce one-shot montre les X-Men originaux retirés de leur époque (encore) par quelqu'un qui veut les utiliser pour rappeler à d'autres leur âge d'innocence (encore). Cette fois-ci, c'est une Quel machin, hein. Bon, déjà, je tiens à le dire : le méchant est une bonne idée. Si, si. Plutôt que de partir sur Graphiquement, Greg Land livre son style. Ca ne me plaît pas, mais c'est ainsi qu'il fait, et il s'y tient. Un machin qui interpelle, même si l'idée du méchant est bonne. Astonishing Iceman #5 Zéro surprise, zéro emballement, zéro intérêt... mais, au fond, zéro faute non plus, hormis de n'avoir pas su provoquer un intérêt. Steve Orlando achève sa (trop) longue mini-série pour le (si) peu qu'il avait à dire. Ici, Bobby se bagarre avec Mr Propre (c'est lui, hein ; c'est Mr Clean, il est chauve, etc.), qui a envahi son palais de glace et tabassé Roméo. Grosse, grosse bagarre, finalement Mr Clean se fait exploser pour tuer Bobby, qui a fait partir Roméo, même si cela peut mettre en danger sa reconstruction, vu ce qui a été présenté avant. Roméo est sauvé, Mr Propre est vaincu, on pense Iceman mort, mais... Ca se lit, hein. Ca se lit, la bagarre n'est pas honteuse, le discours final de Bobby est un (tout petit) peu inspirant, et Mr Propre reste une idée un (tout petit) peu rigolote. Mais bon... trop de numéros pour trop peu à raconter. Dommage, car cet ultime épisode passe, avec même la relation moins lourde avec Roméo. Graphiquement, Vincenzo Carratu propose des planches lisibles, pas emballantes mais correctes. Trop long pour trop peu à dire. Uncanny Avengers #5 Un bon final. Gerry Duggan achève avec sérieux sa mini-série, en déroulant ce qu'il a préparé. Le Cap' Hydra, qui se fait appeler Grant (deuxième prénom de Cap') Rogers, provoque les Uncanny Avengers, alors que Rogue emmène la bombe vers la Zone-51 (le chemin de l'espace est gêné par l'ISS). Cap' bat Grant, vaincu définitivement par M et Psylocke télépathiquement. Quicksilver emmène Deadpool blessé sur l'explosion, pour qu'il touche Rogue et qu'elle survive ; confirmant son crush pour elle. Plus tard, Fisk témoigne sur le Hellfire Gala, Orchis perd de sa superbe mais garde la main pour le procès de Cyclope à Paris, France (ils voulaient Paris, Texas pour la peine de mort). Grant Rogers est libéré après procès, apparaît en costume blanc et devient C'est bien, oui. Rien de bien neuf ou surprenant, hormis le destin de Cap' Hydra, et il faudra voir ce qui en est fait, et qui s'en occupera. L'ensemble est plutôt fluide, même si beaucoup de personnages font tapisserie et ont eu des caractérisations précipitées (M et Pietro, c'est spécial quand même). Le moment Wade/Rogue est mignon, et le discours final est crispant mais bien écrit. Graphiquement, Javier Garron revient et propose de belles et bonnes planches. Dommage qu'il n'ait pas pu tout faire. Une conclusion sérieuse. Star Wars: The High Republic #2 Prenant et sympathique. Cavan Scott continue sa reprise de ses intrigues, après le saut temporel et le gap de quelques mois ; et c'est cool. Ici, Keeve est aux mains d'un Hutt qui s'avère être le frère de celle décédée devant Trennis, jadis, et des mains d'une Nihil... désormais exécutrice du Hutt actuel. Keeve alterne entre souvenirs de sa période de Padawan et présent, et un psychique "montre" que l'ex Nihil a commis le meurtre. Bagarre, elle s'échappe, Trennis sauve le Hutt et forme une alliance. En parallèle, l'un des jumeaux affronte les Nihil dont The Child of the Storm, créature qui hait les Jedi et qui révèle, après avoir été vaincu, qu'il a été mutilé par un Jedi qui s'avère être C'est bien, oui. J'apprécie Keeve, j'aime bien les jumeaux, et l'ensemble fonctionne bien. C'est assez entraînant et prenant, je reste réservé sur l'allure graphique des Nihil et de leurs créatures, mais ça fonctionne bien. Graphiquement, James Towe livre des planches solides, correctes. Un bon petit plaisir de space-opera.
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#974
24/12/2023, 11h21
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#975
26/12/2023, 13h21
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Green Arrow #7
Sympathique. Joshua Williamson livre un épisode de retrouvailles bienvenues entre Ollie et ses copains super-héros, alors qu'il est tout surpris qu'ils aient dissous la Justice League. On apprend finalement qu'il les a aussi espionnés, avec Connor, pour être sûr qu'ils sont bien chez eux, alors qu'ils vont chercher Roy en s'inquiétant de Waller... sous la surveillance d'Onomatopeia. C'est gentil. Joshua Williamson gère bien ces contacts avec les anciens de la JL, Ollie est bien écrit notamment avec Hal. Rien de fou, mais de bons moments à chaque fois, avec Queen pas parano mais prudent. Graphiquement, Trevor Hairsine et Carmine Di Giandomenico sont en petite forme mais livrent des planches correctes. Un bon numéro de transition.
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