#931
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Action Comics #1059
Épisode réussi. Phillip Kennedy Johnson poursuit sa saga Blue Earth, avec des Humains extrémistes qui agissent brutalement contre des criminels avec les pouvoirs volés à Superman. Celui-ci compense avec une armure de Steel (et une grosse épée), et la SupFam. Mais d'autres membres s'affaiblissent, la jeune jumelle de Warworld est tentée puis enlevée par la dirigeante de Blue Earth. Que l'on connaît, en fait : elle vient de Efficace. Johnson continue à bien gérer sa barque, la révélation finale est bonne et me plait. Rien de trop neuf mais un bon rythme, des personnages bien animés et de jolis dessins d'un Eddy Barrows en forme. En parallèle, Gene Luen Yang et Viktor Bogdanovic finissent leur diptyque sur Super-Man qui espionne puis intègre la SupFam. Kenan a été touché car il a compris que Clark est Superman, et le virus mental de Lex attaque ; il y survit, mais pas le journaliste chinois. Bat-Man le pense en danger et vient l'aider, mais Kenan le rejette pour éviter qu'il comprenne et meurt. Un passage réussi qui anime bien Kenan, avec une certaine amertume. Comme si Yang mettait fin à la JL de Chine ici. Les dessins sont corrects. Enfin, Dan Parent livre des moments intimes de flirt et romance de Jon et Jay. Mignon mais un peu lourd, avec des dessins jolis de Marguerite Sauvage qui fait quand même trop "poser" les gars. Un bon ensemble, oui. Amazons Attack #2 Efficace. Josie Campbell poursuit la construction de son équipe en surfant sur le contexte posé par Tom King et les éléments de ses personnages. Les quatre sont poursuivies par les Américains, le monde les rejette et elles doivent gérer leurs propres caractères. Mary identifie la fille Sivana comme ennemies, alors qu'elles rejoignent l'Amérique du Sud et un étonnant Asymum caché des Amazones. Ça fonctionne. Josie Campbell anime efficacement des personnages solides, avec de bons moments. Rien de trop brillant, mais un récit fluide et efficace, bien mené. Graphiquement, Vasco Georgiev livre des planches classiques mais solides. Propre. Du bon boulot. Alan Scott: The Green Lantern #2 Intense. Tim Sheridan livre un épisode fort, qui coupe l'action et l'enquête du présent d'alors pour un flash-back narré par un Alan troublé. Quatre ans, donc après l'explosion mystérieuse qui a tué Johnny, Alan s'est fait interner de lui-même à l'asile Arkham pour "soigner" son homosexualité. Il y est avec plusieurs patients, dont un transexuel, qui subissent hélas la barbarie de méthodes horribles. Il s'enfuie avec d'autres, a quelques aventures mais y a surtout eu l'étonnante lanterne forgée par son ami en transition. Une théorie est forgée sur son énergie verte et l'énergie rouge, alors que le nouveau Red Lantern semble rôder. C'est fort, oui. Tim Sheridan coupe le dynamisme de son récit principal mais livre un épisode intense, marquant sur le traitement d'alors de l'homosexualité. C'est juste, pertinent et fort, et ça interpelle. Je suis un peu gêné d'un Alan (avec explication ici de son nom Ladd d'ailleurs) pleinement homosexuel, alors que son coming out à ses enfants est récent au présent, mais ça peut se corriger. Graphiquement, Cian Tormey assure avec des planches réussies au style clair. Intense, oui. City Boy #6 Bon final. Greg Pak achève bien son récit, avec un Cameron happé par la douleur de découvrir sa mère morte et manipulé pour libérer la violence des villes pour servir Darkseid. Swamp Thing le calme finalement, en lien avec Nightwing, Superman et Batman, et Cameron repousse l'ennemi, amené sur Apokolips pour être châtié. City Boy part alors, en essayant d'aider malgré tout. C'est efficace. Greg Pak finit bien, la saga est un peu longue mais fonctionne bien. City Boy n'est pas pleinement gentil mais il est attachant, intéressant et l'intrigue est bonne. Graphiquement, Minkyu Jung a son style asiatique, qui ne m'emballe pas. Final cohérent et maîtrisé. |
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X'Men Blue Origin. Signalons que c est beau (ce qui n est pas automatique ces derniers temps chez Marvel), que c est bien écrit (il y a plus de contenu que dans 6 numéros d Avengers de McKay), on y voit Mystique sous un autre jour, Xavier comme l ordure qu il est depuis quelques années et Destiny comme un pendant à Xavier quu fait le sale boulot par nécessité.
Après l on peut s interroger sur cet exercice un peu vain qui consiste à clarifier quelques points de continuité (entre les idées de Claremont et les conneries d Austen) qui remontent à des décennies. Ça me fait penser à Pencer sur ASM : who cares, man ? Mais bon, ça se cabtonbe à un oneshot... à 6 euros. La question n est donc pas de savoir si ce comics est bon (il l est), mais si son existence se justifie. Et là, je suis moins catégorique. |
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Steelworks #6
Fin sans surprise, attendue, mais sympathique, bien que vite oubliable. Grosse bagarre finale, donc, avec l’immense robot de Charles Walker III qui affaiblit la SupFam. Steel attaque, s’en prend plein la tronche, puis recule quand même Nat’ semble usée. L’énergie touche en fait les plus jeunes, mais Kerry revient sur son action, vient aider en se sacrifiant pour stopper le gros robot, après que Lana l’ait occupé. Steel gagne, Kerry meurt héroïquement, Walker est arrêté et… tout va bien. Steel repart sur une reconstruction avec une autre énergie, et prépare définitivement son mariage avec Lana. Sympathique, donc. Michael Dorn assure, sans surprise, mais avec une dynamique classique et agréable. Rien de notable, la mini-série est un rien trop longue, mais ça reste une p’tite aventure gentillette. Ca se lit bien, ça se passe bien, mais ça sera quand même vite oublié. Idem pour le graphisme : Sami Basri propose des planches solides, correctes, mais qui ne marquent pas. Un bon final, d’une mini-série un rien trop anodine. Power Girl #3 Très fort. Leah Williams fait une pause dans son intrigue, mais livre un épisode extrêmement intense, émotionnellement. Power Girl se pose dans la Forteresse des Bermudes, pour faire le point et raisonner sur le virus kryptonien. Superman vient la voir, parler… mais repart, un peu sèchement, sans aider PG qui cogite et psychose en pensant que ça vient du symbioship. Elle projette sa solitude sur le lion kryptonien mourant, car elle se voit en lui : dernier représentant de son monde, son espèce, son Univers. PG se rend finalement compte que c’est plus qu’un virus, mais une possession, et accompagne le lion dans la mort. Elle capte cependant quelque chose, alors qu’Omen entend la rejoindre pour aider, mais… PG est finalement corrompue aussi par le virus ! C’est fort, oui. Leah Williams écrit très bien les sentiments, la mélancolie et l’isolement de PG, littéralement « lâchée » par Superman et perdue. C’est très juste, très sobre, très prenant, et ça laisse songeur après lecture. Vraiment top. Graphiquement, Eduardo Pansica assure solidement, ce qui est déjà bien. Gros choc émotionnel. Green Arrow #6 Solide et sympathique, malgré quelques facilités et le "sentiment" que ça devait bien finir au #6. Joshua Williamson achève la première partie de la maxi-série, avec Ollie qui "chute" dans le Temps et est confronté par Old Ollie, qui se révèle être... C'est bien, oui. Joshua Williamson livre un épisode solide, efficace. Ca reste facile sur l'identité de l'ennemi, ses motivations, mais ça fonctionne. Le scénariste gère bien ses personnages, notamment les troubles d'Ollie, et les retrouvailles sont mignonnes. Le final demeure redondant concernant Roy, mais... bon, il y a un plan global sur Waller. Attendons de voir; Graphiquement, Sean Izaakse, Phil Hester et Trevor Hairsine assurent dans leurs styles. C'est joli. Bon, mais un peu facile. Titans: Beast World #1 Sans surprise, à cause de la promo' de l'événement, mais efficace. Tom Taylor lance son gros événement, basé sur les Titans. L'Eglise de l'Eternité, ex Eglise du Sang mais pas sympathique pour autant, envoie des Forevernauts sur une Titan, Lune de Saturne, pour envisager une terraformation et abandonner la Terre, exsangue. Les Forevernauts, qu'on suit à la TV, découvrent un temple oublié - et le Frère Eternité active quelque chose dans une langue ancienne de... Tamaran. Quelques Titans y vont, la Lune se brise et révèle un monstre proche dans le design de Starro. Starfire connaît et présente ensuite, après avoir fui : c'est Necrostar, un monstre qui possède les consciences, et a été vaincu jadis par... Starro, sur demande de Tamaran. Et enfermé ici. Beast Boy propose, difficilement, un plan qui est accepté. Les héros stoppent Necrostar qui débarque, Beast Boy se transforme en Starro pour le stopper et l'envoyer dans une région reculée de l'Espace. Ca fonctionne, mais... le Docteur Hate, vu dans les productions de Taylor & Williamson, perturbe tout ça, semble supprimer l'esprit de Gar, qui renvoie ses mini-Garro (surnom venant de lui) dans des héros, qui se transforment en humanoïdes animaux (pourquoi ?). C'est efficace. Sans surprise, vraiment, car la promo' a pillé l'essentiel des rebondissements de ce numéro. Mais... bon, ça se lit bien. C'est un gros numéro d'action, hein, il n'y a guère de vraie caractérisation, hormis quelques bons et beaux moments de Gar, notamment avec Raven. C'est bien fait, fluide et sympathique. Deux bémols, cependant : d'une, Necrostar est une copie assez pâle et basique de Starro, et je me demande clairement l'intérêt de le créer, là ; de l'autre, je ne comprends pas la transformation animale, qui me laisse un peu de côté. Mais soit. Graphiquement, Ivan Reis assure, livre des planches superbes. Top, top, top. Bon, mais vidé de toute surprise, et avec des bémols. |
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Moon Knight #29
Efficace. Jed McKay continue son grand final, en jouant avec les pièces bien installées. En mauvaise posture, les alliés de Moon Knight se remettent : Hunter's Moon traque le super-vilain sonique, et obtient de quoi stopper la menace ; Tigra est aidée, avec la mine qui l'a piégée, par Soldier, formé à l'anti-bombe ; Reese, à la Midnight Mission, réplique brutalement à Zodiac. Oui, mais... MK, lui, morfle face à Black Spectre - aux Black Spectres, en fait. Il est piégé par l'un, Ryan Trent, qui n'est pas son vrai ennemi. Ce dernier tabasse MK et se révèle être... C'est bien, oui. Jed McKay déroule, mais déroule bien. Il est agréable de voir les alliés tenir seuls, et de voir MK prendre cher, un peu. Je ne connais pas le personnage de base de Black Spectre, mais la révélation fonctionne. A voir la fin. Graphiquement, Federico Sabbatini assure, dans son style nerveux. Solide. Predator vs. Wolverine #3 Efficace, toujours. Benjamin Percy, en se concentrant essentiellement sur une période. Si, au présent, on voit Logan se saigner (!) dans l’eau où il est bloqué par des gravats, pour troubler le Predator et s’enfuir, on se pose longtemps sur la période Arme-X. Le Predator trouve Logan après la greffe d’Adamantium, et l’emmène en voyant son crâne métallique. Il le veut comme trophée dans son vaisseau, mais l’armée canadienne l’attaque et gêne. Logan s’éveille, s’enfuie alors que l’appareil vole, et se crashe en emmenant le casque ennemi. Le Professeur le récupère et l’utilisera alors pour créer le fameux casque de l’Arme-X, et Logan retrouvera l’original récemment, ce qui pousse au combat au présent. Enfin, à l’époque où Wolverine s’entraîne avec Muramasa, tous deux doivent affronter le Predator. Ca se lit bien, oui. La voix-off est un peu longue et lourde, quand même, et le passage Arme-X n’est pas le plus réussi, mais Benjamin Percy intègre intelligemment le Predator à toutes les périodes. Les petits ajouts sont rigolos, et les bagarres sont bonnes. Graphiquement, c’est déséquilibré. Ken Lashley, au présent, est un Liefeld Bis désagréable. Hayden Sherman illustre la période Arme-X, sans briller. Kei Zama gère la dernière partie, dans un style nerveux mais sans emballer. Solide, là aussi, et sérieux. Captain America #3 Je m’arrête là. J.M. Straczynski ne m’intéresse pas, ici. Sa façon d’écrire Steve Rogers n’est pas désagréable, c’est même plutôt efficace et pertinent, notamment dans la façon de caractériser le jeune Steve. Mais… l’intrigue sur le démon ne m’intéresse pas, le serial-killer recruté pour le servir ne m’intéresse pas, et cet épisode est en outre super long et bavard. Avec Steve sollicité par Misty Knight pour un étrange meurtre rituel, du serial-killer, avec Dr Strange contacté via une Action Figure confiée à des proches et où il s’incarne via projection astrale (idée cool). On a une narration basée sur des échanges au présent et en flashback. Et j’ai trouvé ça chiant. J.M. Straczynski m’a ennuyé ici, et m’ennuie essentiellement sur toute la série. Je trouve que la narration est particulièrement maladroite et désagréable, et je n’ai rien pour m’attacher. D’autant que Jesus Saiz, qui est bon, ne fait pas tout, et Lan Medina est bien, bien en dessous. Allez, c’est fini pour moi. X-Men Blue: Origins #1 Attendu, réussi et émouvant. Simon Spurrier livre un gros one-shot pour aborder en profondeur un sacré point de continuité : la naissance et la "vérité" autour de Nightcrawler. Cela s'intercale durant la mini-série (fort sympathique) d'Uncanny Spider-Man, et il faut le dire directement : C'est bien, oui. Simon Spurrier ne m'emballe pas avec le blabla du Bamf, et il faut admettre que c'est très didactique, une grosse présentation remplie de tunnels de dialogues et de flashbacks. Mais... bon, déjà, avancer ainsi sur la situation, ça a du sens, ça boucle la boucle, et c'est sympa'. Surtout, Simon Spurrier trouve de bonnes solutions aux difficultés liées aux apports précédents, et ça passe bien. Le final est particulièrement émouvant et réussi, et ça laisse une bonne impression. Graphiquement, Wilson Santos et Marcus To se partagent les dessins. C'est pro', propre, mais pas emballant ou marquant. Un apport, une petite révolution, l'impression que tout revient à la place prévue, via un épisode un rien trop dans la présentation, mais émouvant. Ms. Marvel: The New Mutant #4 Ah, c'est sympathique. Iman Vellani et Sabir Pirzada achèvent solidement leur mini-série ; sans briller, mais avec une Ms. Marvel franchement sympathique. Une grosse bagarre se lance entre elle et la Stark Sentinel, alors que Bruno parvient à changer l'avis d'étudiants sur elle. Ils l'aident, s'entraident, et elle parvient à détruire la Sentinelle, qui s'écroule et révèle le labo' Orchis sous la fac'. Les X-Men la félicitent, Emma l'aide à se refaire un costume, indique que sa mutation est "bloquée" mais pourrait grandir et même remplacer ses pouvoirs d'Inhumaine. Kamala refuse, obtient un bracelet donné par les X-Men (tiens, tiens...), et confirme vouloir rester Ms. Marvel. C'est cool, oui. Les deux scénaristes livrent un épisode classique, convenu, mais efficace, avec des moments réussis. Surtout, je trouve qu'elles gèrent bien l'impératif du pouvoir mutant, et livrent un ensemble pertinent. Ca passe bien. Graphiquement, ce n'est pas fou-fou. Carlos Gomez et Adam Gorham livrent des planches propres, correctes, mais sans plus. Une bonne histoire, si on ne rejette pas pleinement le concept du perso' changé brutalement, avec une tentative plutôt réussie ici de dérapage contrôlé. Realm of X #4 C'est fini, et ça fait du bien. Torunn Gronbekk ne m'a pas intéressé, dans cette saga, et le final ne change rien. La bagarre contre Saturnyne arrive, Curse a enfin ouvert les yeux et perturbe ainsi la sorcellerie. Sif "voit" enfin tout ça, Magik a absorbé la magie locale et gère, alors que Typhoid Mary embrasse un Vanir... qui meurt dans la bataille. Thor et Freja viennent aider l'ensemble, Saturnyne perd et fuit, Magik rend le pouvoir à Vanaheim... et voilà. Thor les ramène, tous et toutes. Pour être honnête, je trouve ça chiant ; vraiment. La scénariste n'a pas réussi à m'intéresser, je trouve les personnages mal animés, mal caractérisés. C'est lourd, maladroit, pataud et franchement pas prenant. C'est bien que ça soit enfin fini. Graphiquement, Diogene Neves n'est pas bon et doit être aidé. C'est vraiment pas top. Pas loin d'être une p'tite purge, ça. |
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Bon, alors que le special Halloween marvel est plus que nul ...
il y a de bonnes petites choses dans celui des Ghouls !!! DC's Ghouls just wanna have fun - Ellen Trementi et Tyler Crook amènent Renée Montoya à la rencontre des fantomes de la mode. (pas la meilleure histoire de l'anthologie mais agréable). - Kenny Porter et Riley Rossmo font se rencontrer (de façon explosive) Hal Jordan et Etrigan. - Michael W. Conrad et Christophe Mitten entrent dans la psyché et les traumas de Maxine Baker... tandis que son père garde un oeil sur elle (belle histoire). - Christophe Sean et Laneya au scenar , aidé par Dexter Soy , lancent une histoire ouDick Grayson et Jason Todd vont devoir mettre leurs différents de coté pour affronter des VampireS.. mais on n'a qu'une introduction à l'histoire. - Greg Burnham et Javier Rodriguez amènent Clark dans une prison désaffectée Hantée... - Alex Galer et Fabio Veras montrent qu'aucun des morts de la Doom Patrol n'est oublié ... belle histoire. - Hans Rodionof et Adam Goldbertg au scenar, avec Danny earls au dessin... mettent en situation Crush, Lobo et Hugh Jackman (drôle !!!) - Les vétéranrs JOhn Arcudi et Shawn McManus font se rencontrer une infirmière scolaire à la retraite et Man-Bat. 10$ mais suffisamment de bons moments pour le prix.
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Shoot Shoot don't talk |
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J attend aussi de voir la fin de l arc… Le clin d oeil a dr manhatan est un peu bizarre au debut Le vrai souci est que saiz est deja partiellement remplacé par medina. C est sumpa medina mais c est pas le meme niveau… Les editor sont pas foutu d arriver a faire un arc … ils s y prennent trop tard? G.O.D.S 2 Bon ben c est le charabia habituel pour faire croire que le scenar est complexe alors qu il est structurellement binaire. Wong WTF? j espere que ce sera expliqué et que c est pas une nouvelle non comprehesion totale du perso qu un editor laisse passer par mégarde ou .. Bon ca se lit mais c est le hickmann habituel faussement complexe, un peu arrogant qui semble pour l instant être assez binaire (manicheen?) et donc qui laisse sur sa fin avec des persos assez intechangeable.. |
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Quand je vois vos avis sur GODS, je le dis que Ultimate Spidey va être imbuvable.
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Pas forcement...
Là le concept est en gros d avoir une opposition entre deux grands ordres. Hickmann a toujours du mal a nuancer donc tu reste sur deux grands blocs mais comme il veut "construire" il baragouine pas mal mais pour l instant on sort pas de cette binarité donc la construction parait surtout là pour etre de facade comme ca a pu l etre sur d autres projets à lui. S il est plus simple sur spidey genre FF (la foundation) qui sait? Là GODS ca part quand meme pour etre un peu trop baratin.. et j avoue que perso.. les constructions autour de la magie ca m ennuie... j aimais déjà assez peu l idée de Aaron autour de Strange.. tout ca.. La magie c est justement le possible.. c est pas un truc administratif Pour moi l enjeu des séries surnaturelles magiques.. c est pas la magie ou le surnaturel en soi Les meilleures periodes de Strange c est quand il est puissant.. (Englehart, Stern, Ditko).. la magie n est pas la question.. C est un peu comme Thor.. c est le cosmique, le mythologique... C est pas Thor en danger face a un gangster lambda car il a pas som marteau et il va redevenir Don Blake et potentiellement mourrir sus un coup de feu.. pour moi ca au contraire c est s enferemr dans des scenas scenaristiques "faciles" comme le triangle amoureux.. blabla.. Je dis pas qu il faut pas du triangle amoureux ou des faiblesses.. mais il faut pas que ce soit une recette et pour moi les séries surnaturelles ou de dieu ont d autres interets que ceux que tu vas chercher avec Spiderman, Xmen, Captain America ou Punisher et Daredevil... |
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Shazam! #6
Très fin et prenant. Mark Waid enchaîne de manière fluide, avec Freddy qui fait semblant de se proposer aux dieux pour remplacer Billy. Ils se battent pour de faux, pour laisser le reste de la fratrie (hormis Mary) et le dinosaure parlant arriver, armés d'artefacts des trophées de The Captain. Ca se bagarre avec les dieux, ces derniers sont surpris mais se reprennent. Billy discute avec Solomon, demande à recevoir toute sa sagesse et accepte le prix d'une approche plus dramatique des choses. Billy raisonne alors les dieux, qui laissent tout le monde partir... et le dinosaure rêve de ranger la salle des trophées. Mais ses employeurs sont dans l'espace et menacent - et visent hélas le Kahndaq, avec un Black Adam énervé qui les rejoint ! C'est bien, oui. Mark Waid gère bien l'opposition aux dieux, assez fun et étonnante, et la discussion avec Solomon est bonne. Le dinosaure fonctionne bien, le final est bien vu, et l'ensemble est fin et efficace, avec de bonnes petites piques humoristiques. Graphiquement, Dan Mora assure même si les couleurs un peu plus sombres ici ne rendent pas honneur à son travail. Top, vraiment. |
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Toutes les réserves partent en un numéro C est beau.. chouette Quel cliff Je suis joie |
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Birds of Prey #4
Intense. Kelly Thompson enchaîne avec la bagarre attendue entre les Birds of Prey et Wonder Woman, particulièrement résistante et intense. Elle les tabasse, les bat, mais il est révélé quelle entité veut Sin et surtout qu'elle possède déjà Perséphone. Les BoP se libèrent, Diana leur envoie Sin mais est vaincue par la créature... que les BoP doivent affronter. C'est bien, oui. Kelly Thompson gère bien les affrontements, l'échec des BoP, et dresse en creux un beau portrait de Diana. Mais... ça se lit vite, quand même, et je trouve que la narration n'est pas simple et agréable concernant l'entité. J'ai toujours l'impression d'avoir loupé des pages d'explication. Frustrant. Graphiquement, Leonardo Romero continue de proposer des planches travaillées et jolies, malgré des couleurs trop délavées. Bon moment mais frustrant. Titans: Beast World - Waller Rising #1 Quel bordel. Chuck Brown livre un récit massif, touffus, et dont le rendu est amplifié dans la confusion par des planches léchées mais difficiles à suivre de Keron Grant. Ici, un agent Deadeye est sollicité par Amanda Waller (spoiler : on apprend que C'est intriguant, en soi. Chuck Brown semble préparer une super-équipe noire, ce qui est intéressant en soi et peut surfer sur l'ancienne équipe The Kingdom, qui a peu duré. Mais... quel bordel, pour en arriver là. Le scénariste livre beaucoup de dialogues pour finalement une intrigue simple, et le numéro est en soi trop long. Dommage. Surtout, graphiquement, j'ai du mal à lire. Keron Grant livre de belles images, mais la narration est bordélique et chaotique. Un repoussoir, pour moi. Intriguant mais trop flou pour moi. Titans: Beast World Tour - Metropolis #1 Pas mal, pas mal. Ce gros one-shot évoquant les conséquences de Beast World commence par un segment important sur Dreamer. Ici, Nia est perturbée encore par Lazarus Planet, et a des visions de la destruction de Metropolis. Elle veut agir, va dans le futur, sollicite Jon, le convainc d'évacuer la ville et elle parvient à stopper une Livewire transformée en semi-animale. La ville est sauve, mais Amanda Waller s'intéresse désormais à elle. Pas mal, oui. Nicole Maines, qui incarnait Dreamer à la TV, continue son petit bonhomme de chemin comme scénariste du perso', associée ici à Steve Orlando. Le scénario est basique, mais dynamique, et ça se lit bien. Fico Ossio a un style nerveux, pas "beau" mais correct. On enchaîne avec un segment sur Bibbo Bibbowski, qui doit stopper un Jimmy Olsen en géant mi-homme, mi-tortue. Un chapitre un peu humoristique, mais je passe à côté : Dan Jurgens ne m'emballe pas, ne me fait pas sourire, et cette transformation de Jimmy est déjà-vue. Dommage, les dessins d'Anthony Marques ont un joli côté cartoon, dignes de Superman Adventures. Enfin, on suit Lois & Clark. Lois est dans la Forteresse de Solitude, et suit à distance Superman en intervention. Finalement, des possédés attaquent, Clark vient aider, semble contrôlé mais s'en sort, grâce à Kelex et une aide mystérieuse... de Brainiac, qui refuse qu'un autre s'empare de lui. Suspense. Sympathique. Zipporah Smith & Joshua Williamson gèrent bien ce petit moment, avec de beaux dialogues entre les deux époux. C'est mignon, pas marquant mais bien réussi. Edwin Galmon propose des planches correctes, sans briller mais solides. Un one-shot dispensable, mais sympathique. |
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Avengers 8 J’ai pas le 7 mais j’ai pas trouvé ça ouf. Par contre surprise sur les cases ou Wanda est vraiment amoché (dents en moins et sang en bouche). Et puis le pact entre Thor et nightmare ça m’a soûler. Thunderbolt 1 Mitigé. Plutôt pas mal mais pourtant pas convaincu |
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C est du Hickmann classique quoi… Ca part dans des trucs compliqués alors que ce st simple… ca parle. Bon aprés ac se lit mais que de disgression, que ca pourrait etre raconté plus simplement sans faire semblant de construire un trucs trés complexes pour initiés… Sinon un bon moment |
#944
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Avengers #8
Ca avance peu, et ça emballe peu aussi. Jed McKay enchaîne avec une micro-présentation des membres de The Twilight Court, les sbires de Myrddin inspirés de la Table Ronde. Ceux-ci s'en prennent bien à Wanda et Vision, alors que les Avengers sont happés par Nightmare dans leurs rêves car... Nightmare est vexé d'avoir été tourné en bourrique récemment, et veut une "victoire". Thor en rit, lui concède la réussite du jour, et les Avengers viennent aider Vision et Wanda, sur le point de céder à l'ennemi. Bof, bof, hein. J'aime bien quelques aspects, comme la vexation de Nightmare, l'attitude de Thor, mais le reste... The Twilight Court a objectivement peu de classe (pff, ces costumes) et d'aura, et le rythme est lent. Je reste intéressé, sans savoir pourquoi, mais c'est long et lent pour pas grand-chose. Graphiquement, C.F. Villa est en petite forme. C'est faible, ça reste lisible, mais ce n'est vraiment pas brillant. Grosse stagnation, quand même. Fantastic Four #14 Sympathique épisode, toujours dans la super-science, toujours bavard, mais agréable. Ici, les Fantastiques viennent à New York car c'est aujourd'hui que le délai d'un an pour l'absence du Baxter Building et du quartier est levé, avec le retour des enfants. Mais... des gens travaillent et construisent quelque chose, à l'endroit prévu ! Les Fantastiques découvrent que ces gens sont embauchés via une appli', Metamind, qui leur donne des récompenses pour des taches sans explication. Ils remontent la piste, trouve le créateur qui révèle avoir développé les principes de précognition scientifique d'Asimov, et assume "manipuler" le monde via les probabilités pour forger le futur qu'il veut, en orientant les actions de gens anonymes via l'appli'. Sauf que... quelqu'un l'a piratée, là, pour le chantier, et Reed règle la situation en supprimant le logiciel et le codage. Le fondateur est enragé, mais les Fantastiques vont voir leurs enfants au moment prévu, et... C'est bien, oui. Ryan North continue son principe d'aventures courtes basées sur la science, voire la super-science, et ça me plaît. Son numéro est un peu bavard, très pédagogue en soi, mais ça m'a plu car les principes sont bons et intéressants. C'est prenant, fluide, positif et bien mené. Le final est prévisible mais passe bien. Graphiquement, Ivan Fiorelli livre des planches classiques, claires. Solide. J'aime bien ce p'tit run rafraîchissant. Daredevil #4 Je m'arrête là. Saladin Ahmed m'ennuie, en proposant des épisodes que je trouve creux et peu emballants. Son Matt en prêtre me paraît être une très mauvaise idée, le voir ne pas être reconnu par un Ben Urich possédé par un démon est une nouvelle étape dans les principes foirés et mal amenés. La confrontation avec Bullseye est proche du pathétique, et je trouve que rien ne fonctionne. Encore moins le graphisme, avec un German Peralta appliqué, qui travaille bien, mais remplace déjà Aaron Kuder, ce qui est risible. Vivement le prochain volume. Sentry #1 Un épisode ni bon, ni mauvais... qui propose son pitch de départ ; ni plus, ni moins. Jason Loo utilise ainsi Jessica Jones (qui veut toujours aider des gens avec son business, même si son mari est Maire d'une New York qui refuse les super-héros) et Misty Knight (chargée de la protection de la ville contre les surhumains), qui enquêtent sur des anonymes qui bénéficient soudain de pouvoirs de Sentry. On suit ainsi essentiellement une jeune fille en situation de handicap, mais aussi un Inhumain plutôt bien intégré jusque-là, avant les explosions et surtout Ca se lit. Ni plus, ni moins, aussi. Jason Loo livre un épisode correct, qui n'emballe pas mais n'a aucun faux pas. Il est un peu frustrant de n'avoir ni surprise, ni suspense en soi, mais ça reste correct et cohérent, avec ici un portrait plutôt fin de cette jeune fille handicapée. Mais bon, c'est quand même pas foufou. Idem pour le graphisme, qui se suit sans devoir chercher ce qu'il se passe, mais ce n'est ni beau, ni dynamique pour les dessins de Luigi Zagaria. Un pitch illustré. A voir la suite. Thunderbolts #1 Agréable à lire, mais un rien too much et surtout l'ensemble paraît peu crédible. Ici, à la sortie de la lutte contre l'Outer Circle, Bucky veut en finir avec certaines menaces anciennes, et met sur pied des Thunderbolts (pourquoi ce nom ? ce n'est pas dit) qui osent taper fort et aller très loin. Il recrute Valentina Fontaine (et on apprend en cours de route C'est bien, oui. Collin Kelly & Jackson Lanzing surfent sur leur run récent, en se concentrant sur Bucky et une mission pour stopper des menaces. Ca a du sens, c'est peut-être un rien rapide dans la démarche extrême, et on croit objectivement peu à la conclusion de ces dangers publics. Mais ça fonctionne, ça se lit bien, hormis peut-être cette Sharon Carter "facile" dans la violence. M'enfin, c'est prenant. Graphiquement, Geraldo Borges propose des planches solides, pas "belles" mais dynamiques et fluides. Un bon début, même si tout ça sera court. |
#945
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Alpha Flight #5
Final prévisible mais intense, et dur. Alors que la base secrète des Alphans est attaquée, les Mutants viennent aider... et les Humains aussi, quitte à faire comprendre au Département H de quel côté ils sont. Argent se sacrifie et meurt face aux Box Sentinels, Heather donne trop d'elle pour téléporter les Alphans mutants et les autres Mutants sur un vaisseau... où les attendent Walt, Marrina et Claire, la fille des Hudson. Les Alphans humains sont arrêtés et emprisonnés, avec Heather dans le coma. Le Département H continue... Dur, oui. Ed Brisson ne surprend guère dans ce final fait d'action basique mais efficace, et de choix difficiles mais prévisibles. Guère de surprise, donc, mais une conclusion vraiment âpre, avec certes le départ de Mutants innocents vers Chandilar - mais l'arrestation de héros humains, littéralement emprisonnés pour aider des gens dans le besoin. Le scénariste n'en fait pas trop, mais le bilan est rude. Graphiquement, Scott Godlewski est bon, mais doit être aidé de Dan Cutler pour quelques pages. Ca manque de décors (bon, c'est essentiellement en forêt...), mais l'ensemble reste très solide. Prévisible mais rude. |
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Sorties Singles et Collections 2023 (semaines du 27/12/2023) | FA | Singles | 179 | 25/12/2023 20h32 |
DC mars 2023 | scarletneedle | Sollicitations éditeurs | 14 | 19/12/2022 16h57 |
DC février 2023 | Dhargo | Sollicitations éditeurs | 2 | 19/11/2022 21h33 |