#76
|
||||
|
||||
Spider-force 2
Alors que l'équipe de Jessica & Kaine font face à un spider-man qui les prends pour des ennemis, dans l'espace Vera cherche la pierre renfermant l'âme de son père et tue les humain qu'elle rencontre. Avis : Couverture - Très belle mais pas vraiment lié 1.5/2 Scénariste - J'ai pas compris comment Vera avait survécu à l'explosion dans les sous sol et surtout comment elle s'était retrouvé dans l'espace. Ni pourquoi le second spider-man de ce monde pense faire face à des ennemis. 1/3 Dessins - Les dessins sont bon et font le travail représentant bien les pouvoirs de ce spider-man. 3/3 Sentiment - J'ai pas autant aimé que le 1. 1/2 6.5/10 |
#77
|
||||
|
||||
The Last Space Race 2
On fait la connaissance d'un génie qui a découvert la vérité sur le program spatial et veux participer. Pour se faire il va à une audience close pour forcer la main de l'armée. Avis : Couverture - Très belle couv mais pas en lien. 1/2 Scénario - J'ai trouvé l'histoire de ce 2 bien mieux mener que celle du premier. 2/3 Dessins - Les dessins sont un peu juste parfois sur les visages mais c'est un bon travail. 2/3 Sentiments - Même si ce numéro était meilleurs que ce que j'ai crains. Pour autant c'est pas ce que je voulais et pas pour moi. 1/2 6/10 |
#78
|
||||
|
||||
Uncanny X-men 2
Alors que la terre est soumise à des apparitions de races disparu, les X-men se demandent s'il faut aller aider les héros déjà en services ou chercher les deux disparu. Hank précise que les événements semblent liés. Alors qu'ils vont partir aidé sur un lieu ou aucun héros n'a pu aller encore, jean divise l'équipe pour chercher Madrox dont elle à un écho avec Cerebro. Avis : Couverture - Très sympa et un peu en lien ^^ 1.5/2 Scénario - Personnellement j'ai trouvé le début plutôt bon (On montre bien ou site plusieurs équipe au prise ailleurs avec les mêmes phénomène). Par contre la suite est basique. Les mutants sont encore ceux qui subissent la colère et la haine. Si les jeunes sont laissé de coté, ils avouent eux même avoir échouer contre le Front de libération Mutant. Je tique plus quand ils disent que tout les X-men sont sur le pont. Loin de là, nombre de héros mutant sont manquant. J'ai peu aimé le truc autour de Madrox incompréhensible pour l'instant et je trouve pas les discours aussi bon que ça. 1/3 Dessins - J'ai trouvé les dessins agréables. Ca fait le travail mais donne peu de personnalité au personnage. A un moment j'ai cru que Betsy était X-23 et a un autre elle à une pause qui rappel la version Asiatique. 2/3 Sentiments - J'ai pas aimé plus que le premier. 0/2 4.5/10 |
#79
|
||||
|
||||
West Coast Avengers 4
Les vengeurs cote ouest font face à une Hawkeye géante et au look animal. America et Clint ont du mal à faire face au ondes mental Brodock forçant America a ramener Quentin. Ca va permettre à Clint de trouvé un appareil pour rendre à Modock sa vraie apparence. Ce qui va couper son lien à Kate qui va pouvoir aider les héros contre les autres femme-monstre gigantesque. Avis : Couverture - J'aime beaucoup la couv même si elle n'est pas lire, mais y'a au moins le bisou que j'avais pas vu ^^ 1.5/2 Scénario - J'ai adoré le scénario très drole et assez malin. Bonne gestion de Quentin et gwen. Ou de America et de la soeurs du copain à Kate. Ou de Tigra même si je la trouve un peu pêteuse à refuser de faire équipe avec eux. Et puis j'ai aimé la fin avec la dragonne géante ^^ Dessins - J'adore vraiment ce style drole et dynamique. 3/3 Sentiment - Un pure plaisir de lecture. Vivement la suite ^^ 2/2 9.5/10 |
#80
|
||||
|
||||
Cerise remercie Gladiator déjà parce qu'il a essayé, aussi, d'étouffer l'existence publique de Xandra, pour éviter que l'Univers lui court après ; ensuite, parce que Opale devra dire à Gladiator ce qu'il s'est passé. En le "remerciant", Cerise demande implicitement que Gladiator garde aussi le secret de la survie de Xandra ; ce qui l'arrange, car il demeure alors Majestor. Enfin, Rogue & Gambit laissent Xandra & Cerise partir, car les ramener est un risque que l'Univers découvre que Xandra a survécu ; et, donc, que tout le monde lui court après. |
#81
|
||||
|
||||
Justice League Dark #5
Après sa première saga, suivie d'un crossover finalement fort correct et étonnamment pertinent aussi vite après le lancement du titre, James Tynion IV gère les conséquences des événements - mais pas uniquement les siens. L'auteur s'acharne à réutiliser les éléments évoqués dans No Justice (le Three of Wonder) et même dans Dark Nights : Metal (la mort de Nightmaster). C'est autant agréable (toujours sympathique d'avoir une continuité utilisée) que fort intelligent (car l'auteur peut utiliser ces étapes-là pour faire avancer ses personnages), et ça fonctionne très bien. Je l'ai déjà dit, je connais fort mal la magie de DC, et il est agréable que le scénariste utilise énormément d'éléments et de personnages, mais qui ne paraissent pas trop obscurs ; le novice ou quasi novice a assez d'indices pour comprendre, et ça lui donne surtout l'envie d'en apprendre plus... la meilleure façon de faire, à mon avis. Surtout, Tynion continue à creuser ses personnages, et son portrait de Chimp me plaît énormément. J'ai hâte de voir la suite, je demeure très, très fan de ce titre, qui fonctionne complètement, et dispose même d'un véritable équilibre entre la "star" Wonder Woman et ses coéquipiers. Bénéficiant des traits fort agréables, propres et beaux de Daniel Sampere, qui s'intègre complètement dans le style graphique de la série (comme tous les dessinateurs s'intégraient aussi dans le style de Detective Comics ; je ne sais pas si c'est une exigence de Tynion, mais c'est très agréable), voici encore un numéro réussi. Vivement la suite... je le répète, mais c'est une évidence ! |
#82
|
||||
|
||||
James Tynion IV, quoi...
Qui est à Paris en ce moment s'il faut croire son Twitter....
__________________
Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
|
#83
|
||||
|
||||
Tony Stark : Iron Man #6
Après plusieurs numéros "one-shots" de présentation des concepts, des personnages et surtout de l'ambiance, Dan Slott embraye avec sa première saga... et tout fonctionne à la perfection. Tout est fluide, bien écrit, et tout s'avance aisément ; nul besoin de présenter des éléments, tout a déjà été fait, et le scénariste peut complètement démarrer directement en seconde, pour aller droit au but et taper dur, dès ce commencement. Les personnages sont extrêmement bien caractérisés, les dialogues sonnent justes, et l'auteur a encore le courage de se confronter à la relation entre Tony et sa mère biologique. Pas grand-chose à dire, en fait : tout est bien, tout est bon, et tout est beau grâce à un Valerio Schiti en forme, même si les couleurs sont moins éclatantes et punchy qu'au début. Vite, la suite ! |
#84
|
|||
|
|||
Un des meilleurs scénaristes de comics actuellement. En tout cas ses productions indés sont excellentes et dans le mainstream (chez DC) il se défend plus que bien en alliant classicisme et modernité comme un trait d'union entre plusieurs générations de fan.
|
#85
|
||||
|
||||
The Immortal Hulk #9
Al Ewing continue sa maîtrise absolue du titre, en enchaînant sur les étonnantes et terribles révélations sur l'entité ayant possédé Sasquatch ; mais pas uniquement, car l'auteur s'amuse à redonner du coffre et une âme à rien moins que l'Homme-Absorbant ! En creusant parfaitement le Vilain, le scénariste démontre son immense talent à plonger au coeur des personnages. S'il démontre, depuis plus de huit numéros, son contrôle total sur Banner mais surtout sa version cruelle et monstrueuse de Hulk, il commence à construire tout un casting secondaire, étonnant et troublant. Même si Gamma Flight n'apparaît plus dans ce numéro, ses membres rôdent - et, surtout, l'intégration de Crusher Creel a autant de sens que de pertinence dans la dramaturgie. Ewing gère donc ça très bien, et creuse aussi intelligemment la menace ennemie, bien éloignée a priori de la science-fiction si liée à Hulk, mais bien proche du mystique d'Alpha Flight et de Sasquatch. Cela n'en demeure pas moins fort bien fait, et le final, s'il demeure prévisible, fait son effet. Joe Bennett, complètement impérial depuis le début de la série, est aidé ici par Martin Simmonds. Si j'espérais que les deux artistes se compléteraient, chacun gérant pendant les trois quarts du récit un personnage (Creel pour Simmonds, Hulk pour Bennett), la réunion des combattants correspond aux échanges entre dessinateurs - et si ça fonctionne, grosso-modo, ça n'en est pas parfait, et encore moins idéal. Dommage, car tous deux sont très bons, chacun dans ce qu'il doit raconter. Cela ne gêne cependant pas le plaisir de la lecture, pour tout simplement l'une des meilleures séries actuelles ! Du grand art, messieurs ! |
#86
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
J'espère le mien pour cette semaine, j'ai pas eu celui commandé
Et toujours en attente du Heroes in Crisis 1
Autant je l'ai adoré sur detective comics autant je n'arrive pas à le lire sur JLD Dernière modification par Slobo ; 26/11/2018 à 10h54. |
#87
|
||||
|
||||
|
#88
|
||||
|
||||
Oui Creel n'est pas "mort" longtemps. J'ai bien aimé aussi le pont avec Weapon H, concernant le fait que Titania a un boulot légal, ce qui motive son compagnon a en chercher un similaire.
|
#89
|
||||
|
||||
J'ignorais le lien, mais j'apprécie.
|
#90
|
||||
|
||||
Justice League #12
Bon, ce n'est quand même pas passionnant, ce Drowned Earth. Passons les liens très forts entre cette saga et Dark Nights : Metal (ce n'est plus de l'inspiration, et ça dépasse l'hommage), passons aussi les designs et caractérisations passe-partout des Sea Gods que la Justice League affronte - et passons, enfin, que tout paraisse lent, sans grande inspiration, avec un focus qui devient gênant sur Batman ; passons, donc. Car, au-delà de cela, au-delà de ces défauts... ben il n'y a rien, ou quasiment rien. Et, en définitive, ça ne vaut pas la peine de s'épuiser pour parler... de rien. James Tynion IV est un auteur formidable, mais il n'arrive pas à s'élever dans ce pur travail de commande ; il fait ce qu'on lui demande, il assure le minimum - mais le rythme est lent, le tout est emprunté et long, et il n'y a rien d'original ou même d'amusant ou de fun. C'est juste... pas intéressant, ou si peu. Bruno Redondo et Frazer Irving font au mieux, chacun d'abord sur un aspect de l'histoire, avant que le second vienne aider le premier dans le coeur de l'action ; dommage, le propos artistique fluctue, et c'est gênant, car ça n'a rien à voir. Ils assurent tous deux, mais leurs styles sont tellement éloignés que, lors de la réunion, ça ne "cadre" pas. Bref. Vivement la fin de ce machin, clairement un coup d'épée dans l'eau. |
|
|