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Ce sont 2 prologues qui introduisaient tous les concepts qui seront développés dans la mini-série principale.
Logique quelque part de ne rien régler plus que cela.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#62
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Néanmoins cela aurait pu mieux être raconté (je parle surtout pour The Casting).
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Bien aimé la partie Hawkman , la partie avec Batman ne sent pas bon , je sens que cela va faire pshiit ! |
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Saga #45
SAGA #45 ou pourquoi SAGA et son équipe a encore gagné un Eisner Award
W : Brian K. Vaughan P : Fiona Staples Quelle idée de donner encore un Eisner Award à SAGA ? Award qui récompense normalement (d'après un jury, forcément subjectif) ce qui se fait de mieux. J'attends toujours avec impatience les mois où SAGA est publié (9 à 10 mois par ans en général). Je ne lacherais pour rien au monde sa lecture en single tant cette série est prenante et surtout bien écrite. Elle est en permanence dans mon TOP 3 de mes lectures mensuelles. C'est dire si j'attendais donc de lire les suites des péripéties de la famille de Marko et Alana qui s'est subitement agrandi le mois dernier. Outre le rythme imposé par Vaughan (pas le temps de s'ennuyer) ce numéro (comme depuis le début de cet arc) aborde frontalement des thèmes que l'on voit peu dans les autres séries qui peuvent rivaliser avec SAGA : le deuil et l'avortement. Car SAGA propose le plus souvent plusieurs niveau de lecture et va au delà de la simple relecture de Romeo et Juliette en space opéra. C'est surement pour cela que SAGA a encore gagné, pour ce côté adulte dans l'écriture, reflet de préoccupations contemporaines tout en se passant dans un monde imaginaire et improbable. Bref j'ai lu une série ayant gagné des Eisner Award, j'ai lu SAGA #45. |
#65
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Royal City #5
Spécial Jeff LEMIRE :
ROYAL CITY #5 W, P : Jeff Lemire Fin du premier arc où Tommy va accompagner la seule personne dont il n'avait pas encore été en contact : son père. C'est l'occasion de découvrir encore des secrets de famille et d'entrevoir les conséquences de certains choix. Rien n'est simple à Royal City et forcement ce que chacun semble être devenu est en relation avec Tommy. Mais sont ils tout avec une case en moins ou bien sont ils les reflets des névroses de notre époque ? On referme le numéro avec potentiellement trois nouveaux inconnus dans l'équation complexe de la vie à Royal City. Graphiquement Lemire maitrise sa série se permettant quelques effets (comme dans l'excellent Trillium) : les maisons de Royal City en forme de radio. Le prochain arc va nous emmener en 1993 avec l'accent mis sur la musique de l'époque et des variant covers au thème '90s Indie Rock par Jeffrey Brown, Emi Lenox, Nate Powell, Ray Fawkes et Dustin Nguyen. Il y aura même des playlists |
#66
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Descender #22
DESCENDER #22
Rise of The Robots part 1 W : Jeff Lemire P : Dustin Nguyen Bon on y est. Humanité contre Robotité. Coup bas, stratégie et élimination des faibles (pas le bon numéro ). Lemire avait annoncé la couleur avec cette arc qui se veut le plus ambitieux depuis le début et cela part bien. On est même surpris pas le rythme imposé et le cliffhanger final. Je ne sais pas si la suite sera du même acabit mais je signe de suite le cas échéant. En tout cas cette série de science fiction ne déçoit toujours pas avec un scénario un poil convenu mais lisible et compréhensible (ce qui est loin d'être le cas de beaucoup d'autres séries SF actuelles), dessiné par Dustin Nguyen très à l'aise au style parfois froid (comme du METAL :joke et surtout pas de retard dans la publication annoncée. C'est une lecture très agréable. |
#67
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Black Hammer #11
BLACK HAMMER #11
W : Jeff Lemire P : Dean Ormston C : Dave Stewart (qui mérite d'être cité vu l'excellent travail fourni) Le bijoux actuel de Jeff Lemire. Au programme de ce onzième (déjà) numéro : les préférences sexuelles de Barbalien et ses déboires (dans les deux mondes), Abraham Slam est inquiété par la police, Golden Gail prête à en finir et la fille de Black Hammer enquête sur ce monde mystérieux. Grâce à cette dernière on peut dire que l'histoire avance car Lucy va nous permettre de s'orienter sur des pistes sur la consistance du monde où sont coincés nos protagonistes. J'ai lu que Black Hammer n'était qu'une énième série reprenant les codes des équipes de super héros (Avengers ou Justice League). Peut être mais quand je vois ce que Lemire fait du Martian Manhunter (Barbalien) en travaillant sa duplicité du ses pouvoirs de camouflage je me dis que cela bien au delà de l'hommage grossier. Non Lemire n'y va pas avec ses gros sabots et n'a pas de moufles au mains quand il est écrit. C'est plus subtil et c'est pour cela, et pour les dessins de Dean Ormston (joie, c'est David Rubin le mois prochain), que Black Hammer n'est pas une série comme les autres et mérite d'être lu. |
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Green arrow #27
GREEN ARROW #27
W : Benjamin Percy P : Jamal Cambell Hard-Travelling Hero part 2 ou bien Green Arrow team-up with Wonder Woman Oliver s'est mis en tête de faire tomber le ninth Circle et les traques à travers les états-Unis. C'est surtout un prétexte pour Benjamin Percy de remettre au centre de l'univers DC l'archer vert. Bon point pour le scénariste, il s'est souvenu de la position de GA. Cela donne quelques répliques savoureuses comme avec Flash dans le #26 et encore mieux avec Wonder Woman dans la #27. L'histoire se laisse lire (un peu ennuyeuse quand même) mais pour les dessins il vaut mieux attendre le retour de Juan Ferreyra et Otto Schmidt. |
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Rough riders : Rider on the storm #5
ROUGH RIDERS : RIDER ON THE STORM #5
W : Adam Glass P : Patrick Olliffe Oh le bon gros délire de Adam Glass sur l'imminence grise dernière l'assassinat de POTUS. Et Pat Olliffe s'y associe pleinement dans le dessin. Rien que pour les trois dernières pages ce comics mérite le coup d'oeil. Pour le reste du numéro c'est du classique avec l'équipe de Roosevelt qui prend en chasse un navire où s'est réfugié vous savez qui après sa la trahison. Annie Oakley met également les points sur les i avec ses camarades suite à sa condition exceptionnelle (voir la fin de la première LS) et va tomber le masque. |
#70
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Secret Empire #6 & 7
J’apprécie toujours autant cet event entre ambiance anxiogène et complots à tous les étages.
Le #6 m'a rudement fait plaisir dans la gestion du traître (et non un beau mirage au #6, chapeau dans la révélation) car elle est plus logique et ne ressort pas un squelette du placard ou fait dans l'OOC. C'est d'autant plus savoureux que Nick Spencer exploite au mieux la nullité de Civil War II avec Hawkeye et sa victime. Il remet d'ailleurs cela au #7 avec la fameuse prémonition enfin exploitée et, si la chute est attendue (vu la couverture), j'ai du mal à croire que, vu la scène et son organisation, le Vengeur qui y passe (oups spoiler) arrive sur place sans croiser un quelconque service d'ordre pour l'arrêter. Comme Andrea Sorrentino fait dans le cadrage (res)serré, rien n'est montré et c'est dommage. Oh, la tension est palpable, surtout vu les réactions des héros mais c'est comme vouloir assassiner Hitler lors d'un discours devant des milliers de personnes et que tu as juste à t'avancer sur l'estrade... Ah oui, le fameux gars dans le coma, sincèrement, celui l'a vu venir, je dis chapeau. (non ce n'est pas celui auquel je pensais) Sinon, ces 2 épisodes font avancer la trame avec les différents champs de bataille (un cliffhanger certes attendu mais qui fait toujours son petit effet) mais parfois c'est succinct comme pour donner envie d'aller lire certains ties-in (ce que je ne ferai pas hormis Amazing Spider-Man pas du tout synchronisé). A la vue de la preview du #8, ça va commencer à tatanner sévère!
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Moi j'ai toujours pas compris qui s'était ce personnage vieux dans le coma ...
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Spider-Men II #1
Pouah, tous les clichés du comic Bendisien au service du néant...
Quand un comic commence par un dialogue typique de Bendis (bon il y en a qui doivent aimer) où les 2 protagonistes s’échangent la même phrase pour ne RIEN dire, ça part très, très mal. S'enchainent alors 5 pages frustrantes meublant une situation déjà installée mais inconnue du lecteur (pas grave, ça permettra de décompresser jusqu'au numéro idoine où ça se passe) puis rideau. Arrivent les clichés concernant les 2 héros pendant 12 pages pas du tout mais alors pas du tout au service de l'histoire qui n'a toujours pas démarré. Enfin, à la 18ème page, les 2 héros se re-rencontrent enfin (non les 5 pages du début ne comptent pas) avec la fameuse tirade où Bendis tire dans le pied de la continuité qu'il se fait un plaisir de massacrer en chiant sur le taf de ses collègues (pas la 1ère fois malheureusement et désespérément pas al dernière à coup sûr). Incompréhensible que Nick Lowe éditeur de tous les titres du Spiderverse ait pu accepter cela ou alors il n'ose pas dire non. Est-ce le délai entre les 2 mini-séries qui a plombé l'histoire?? Pour finir, un double cliffhanger, 1 qui permettra de l'action sans explication et l'autre pour revenir sur la raison d'être de la mini-série vu le cliffhanger de la 1ère, c'est un peu mince et à la limite du foutage de gueule... Putain, après avoir apprécié un tant soit peu la 1ère mini-série, je m'étais que je pouvais retenter vu que c'était la même équipe aux commandes, bin comme sur All-New X-Men, je suis vraiment bête d'avoir remis une pièce sur un comic de Bendis. Si la preview du #2 ne réhausse pas le niveau, j'arrête là, tant pis pour la fresque dessinée par Jesus Saiz sur les Variant Covers... Tiens, graphiquement, je suis incapable de dire désormais qui est le clone de qui entre Sara Pichelli et David Marquez tant ils se sont bouffé le trait à travailler pour Bendis et à uniformiser leur taf sur Spider-Man version Ultimate, enfin il paraît que selon Bendis, c'est le même ici... (et j'ai été soft tant je suis colère en refermant ce comic plus que vide)
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Ah oui j'avais oublié. Mais j'ai pas compris à quoi ça a servit de le libérer.
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Jeu, Set et Match pour les avis de juin. | Slobo | Critiques VO | 71 | 04/08/2017 19h12 |