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Les séries de King..
Mais oui on est même loin de MK et max donc vraiment trés loin de vertigo ou epic.. |
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Le Suicide Squad : Blaze de Spurrier et Campbell me semble sortir du lot. Après, des trucs comme le Rogues de Williamson et Leomacs, le Catwoman de Chiang ainsi que quelques autres, ça reste des lectures agréables. Mais on est en droit de demander plus. J'ai le Riddler : Year one dans ma pile de lectures, je vais voir ce que ça donne.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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Children of the Vault #2
Efficace et réussi. Après un #1 sympathique mais avec des éléments déjà vus ailleurs, Deniz Camp enchaîne avec un #2 réussi et intelligent. Bishop et Cable battent et enlèvent l'un des Enfants de la Voûte, pour l'interroger physiquement et mentalement, afin de comprendre comment le "Message" agit télépathiquement. L'on apprend en parallèle plus sur le mode de décision dans la Voûte, avec notamment des débats homériques, des mises à mort, résurrection, etc. Il y a eu 200 ans entre maintenant, pour eux, et la libération des Enfants de la prison des X-Men, au début du #1, et les Enfants sont une génération préparée. En parallèle, Bishop récupère des armes de Cable dans l'Institut, alors que les Enfants agissent comme super-protecteurs du monde. Ca va taper bientôt. C'est bien, oui. Deniz Camp gère bien son approche, avec une description pertinente et fluide de la Voûte. Cela reste des choses déjà vues, mais il plonge bien dans le fonctionnement et dans l'organisation, et c'est particulièrement intéressant. Cable et Bishop sont bien écrits, c'est une SF divertissante et prenante. Graphiquement, Luca Maresca propose des planches très réussies, fort jolies et efficaces. Très agréable à l'oeil. Un bon épisode, vraiment. Astonishing Iceman #2 Pas mauvais, pas bon, pas intéressant en soi. Steve Orlando enchaîne avec un numéro convenu, pas désagréable à lire mais vraiment pas passionnant. Iceman vient aider sa ville d'enfance attaquée par des créatures envoyées par Orchis, pour le provoquer et le faire passer pour responsable. Il sauve ses anciens bourreaux d'enfance, mais aussi et surtout sa mère, qui lui annonce qu'elle est finalement fière de lui. Bobby va jusqu'au bout de lui-même pour vaincre, et est rappelé/ramené par Roméo, qui gère et s'inquiète à distance. En parallèle, Orchis identifie la base de Bobby, et envoie le tueur The Cleaner pour l'anéantir. Gros bof, oui. Steve Orlando utilise des éléments qui, en soi, ne sont pas mauvais, et peuvent être efficaces malgré leur côté convenu. Sauf que la façon de raconter est particulièrement moyenne, sans jamais être nulle, mais sans jamais me passionner et même m'intéresser. Ca se lit, mais ça s'oublie très vite. Idem pour le dessin de Vincenzo Carratu, classique et solide, mais jamais bluffant ou prenant. Oubliable et vite oublié. X-Men: Red #15 Sympathique et intéressant. Al Ewing fait définitivement ses p'tites sagas dans son coin, souvent épiques et immenses, mais cantonnées dans ses séries ; ça surprend, mais ça reste agréable. Ici, il poursuit la guerre civile sur Arakko/Mars, mais dédie cet épisode essentiellement aux origines du Fisher King. Celui-ci a fusionné avec un autre Arakkii, là, et l'on apprend son histoire. Jeune, à six ans, il est esclave et sans pouvoir, forcé de nourrir un Arakkii télépathe violent, qui le prive de "tout" son être, et le rend "invisible" au fond. A quinze ans, il veut se rebeller et tuer un maître, mais une Mutante précog' l'arrête et ils se mettent ensemble. A quarante-cinq ans, lui et elle sont mariés, parents de deux enfants, et s'allient avec sa soeur à elle pour convaincre Solem de les aider dans une révolte. Mais ils sont trahis par des espions bactériologiques, et Genesis/Annihilation la tue elle pour les punir ; devant les yeux de leurs enfants, dont la fille voit son père faible. En parallèle, Genesis attaque la Confrérie par la mer, avec une créature sous-marine immense qu'Ororo tue... mais son sang immense versé active un portail à l'intérieur d'elle. Qui fait arriver les Cavaliers/enfants de Genesis, et les monstres d'Amenth ! C'est bien, oui. Al Ewing semble adorer l'idée de construire, bâtir une société, des rites, un passé à Arakko et Amenth, et je dois avouer que c'est intéressant à suivre. Je continue de penser que l'on se perd un peu dans tous les participants et intervenants, mais ce focus sur le Fisher King est pertinent et bienvenu. Le final était attendu, mais c'est clairement un sale coup et ça fait un bel effet. Graphiquement, Yildiray Cinar a un style agréable, classique et un peu robuste. Ca me rappelle du Darick Robertson actuel, ce qui est sympathique. Une vraie belle création, dans son coin malgré quelques flous. Avengers Inc. #1 Très agréable et sympathique, même si j'aurais aimé que les mystères demeurent un peu plus. Ici, Al Ewing enchaîne après la mini-série Wasp, où Whirlwind a été manipulé par des ennemis puis emprisonné. Sauf que... au Raft, lui et cinq autres super-vilains "communs" sont tués, d'un tir mystérieux dans la tête ; avec quelqu'un de non-visible disant "justice est faite". Janet est appelée pour enquêter vu son lien avec Whirlwind, notamment car le Maire Luke Cage a des limites pour l'intervention légale des super-héros en ville... et cela doit être fait "sans costume", ce qui choque Jarvis vu la passion de Janet pour les combinaisons (ils sont dans le bar de Janet pour super-héros). Jan va au Raft avec des tenues adaptées pour changer de taille, elle observe les corps, s'interroge, y revient et... voit que les morts se relèvent, sans savoir ce qu'il y a. Ils s'emportent, s'en prennent à elle - sauf Whirlwind, dont la blessure au front se change en petit diamant. Il se relève, s'en prend aux super-vilains car il n'est pas Whirlwind - mais Victor Shade, avec des pouvoirs de changement de masse ! Janet voit le lien avec Vision, et surtout le vocabulaire de Vic sur le mystère et l'enquête. Elle en récupère la "garde" pour enquêter, sans costume, alors que, ailleurs, Eric O'Grady (vivant ?) échange avec un scientifique barbu (dont se souvenait en flash Victor Shade), qui dit avoir renoncé à Whirlwind... et qui refuse de se faire appeler "Doc" car il préfère C'est bien, oui. Al Ewing maîtrise bien le personnage de Janet, très agréable à suivre en enquêtrice mais surtout en femme marquée, troublée, pas brisée mais pas pleinement en forme. Le scénariste gère particulièrement cette héroïne qui a vécu et subi beaucoup, vit encore, mais sans enthousiasme inutile ou déplacé. Le mystère est prenant, j'ai aimé la surprise sur Victor Shade et Whirlwind, mais... j'aurais préféré ne pas connaître tout de suite le twist, par goût du suspense. Dommage. Graphiquement, Leonard Kirk livre de bonnes planches, mais ça me paraît moins "beau" ou fluide que d'autres fois. C'est solide, mais un peu plus gras. Un bon début, une belle approche. |
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Tom reste clairement clivant. Certains le trouvent génial, avec une vraie voix là où d’autre trouve qu’il est sur-hypé et qu’il se répète.
A moi de me répéter, pour moi il est un auteur parmi d’autres, plutôt dans le haut du panier mais un rien trop prétentieux et se cassant trop souvent la tronche sur ses projets qui valent plus pour ses collaborateurs graphiques que pour lui seul. J’ai lu Gotham City Year one en un bloc et si ça se laisse lire, je ne l’achèterai que pour le dessin de Hester. Et j’ai été très dérangé par un sous-entendu sur la (vraie !) relation entre Batman et Slam Bradley qui tombe de manière super maladroite et forcée en fin de dernier numéro si je me souviens bien. Dans le même genre, je trouvais the good Asian mieux écrit par exemple. Batman Killing time, je l’ai trouvé illisible. Aucun intérêt et cela m’a fait prendre conscience en plus que David Marquez était le digne héritier de l’école Top Cow. Joli en surface et un sens de la narration moyen si pas bancal. Wick/Div, je rejoins totalement Fred pour la comparaison avec Morrison en mode hautain. J’ai arrêté après le deuxième arc. Trop orienté hypsters qui touchent leurs phones en permanence avec leurs zizis et s’amusent en gobant des pilules en boites. Non merci. Sur papier, c’était tentant et j’aime cette équipe créative. Mais ça m’a appris à me méfier de Gillen et à ne pas le considérer comme une des grands à suivre sur tous ses projets (cela étant, pour qui cela reste-t-il vrai de nos jours ?). Beaucoup aimé The Rogues et Catwoman de Chiang sur le fond comme la forme. Swamp thing green Hell était aussi sympa si vite lu. Je termine de lire Immortal Hulk et je trouve ça excellent. Une vraie proposition audacieuse sur le perso, un vrai run, un vrai récit d’horreur, etc… Le seul bémol est qu’Al Ewing a clairement (re)lu tout Hulk avant de commencer et il est donc idéal de bien connaître le perso et son histoire. A tout le moins le run de Peter David. |
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Gillen à un propos et une voix tout comme Hickman mais aussi Ellis, Milligan ou Morison avant eux et ce aussi bien sur du creator owned que sur du mainstream (là où c est le plus dur)
Sur le mainstream je vois Aaron où Zdarsky comme de bons artisans dans la lignée de Nicieza, Claremont ou Wolfman. Ce qui n est pas péjoratif hein je n ai pas dit Lobdell ou Kavanagh Dernière modification par mrcitrouille ; 14/09/2023 à 18h57. |
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Hickmann pour moi c est pas plus que claremont et aaron est largement au dessus rien qu avec scalped ou southern bastards
Pour moi aaron est pas moins bon que gillen... si ce dernier a trouvé sa vœux avec loki.. ses thor ou Iron man par ex...ila une voix..des thèmes.. Vous êtes quand même bien dur avec aaron et très magnanime avec gillen et surtout hickmann dont j attend une seule totale réussite... pour l instant il promet promet mais ne tient jamais |
#727
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Hickman doit être le seul auteur qui m'a hypé sur chaque début de ses runs mais qui m'a systématiquement lassé au point de n'en finir aucun.
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Dis ce sera ou le combat entre les deux Laura kiney. Et tu va le lire ? |
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Pour moi en mainstream j'ai aimé ses Avengers mais sinon je dirai l'ensemble de ses prods Image |
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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Le problème di black label c est un côté fourre tout. Je ne vois pas de ligne éditoriale claire, même le format n est pas uniforme, il y a un côté "on le fout là parce que c est un peu hors continuité ou une vision d artisye" mais ça ne justifie pas à mon sens à sonner une identité à la ligne. Et du coup je trouve que ça dessert même les titres sympa qui sont sortis |
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Je n'ai pas compris ?
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J’avais vu que Laura (x-23) et old laura (Wolverine) aller s’affronter. Mais je me rappel plus dans quel titre.
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J’avais vu que Laura (x-23) et old laura (Wolverine) aller s’affronter. Mais je me rappel plus dans quel titre.
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Je ne sais pas. Je me souviens d'un numéro récent de X-Men où elles se croisent et décident qui fait quoi (X-23 jeune garde le pseudo Wolverine et va dans X-Force ; X-23 vieille reste dans X-Men avec Synch).
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