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Il était évident depuis le début que l'effet Secret Wars ne serait jamais expliqué et que Marvel n'en ferait qu'à sa tête en lâchant "Secret Wars" sans autre explication lors des divers contradictions. Marvel aurait pu faire de la conclusion de Secret Wars son COIE mais non ils ont préféré le n'importe quoi et ne pas respecter leur lecteurs.
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Rock Candy Mountain #4
Le quatrième numéro de Rock Candy Mountain vaut bien ses 3,99$. Déjà 32p sans pub plus un article pour terminer.
L'histoire : Jackson et Slim sont mis en prison (volontairement). Forcément cela va mal se passer car il tombe dans celle où Marion Flimbo (voir les numéros précédents) tente de faire régner sa loi. Pin pan poum et bourre pif et matons corrompus vont ils réussir là où même le diable à échoué à mettre au pas Jackson ? Rien n'est moins sur dans un numéro encore déjanté où Kyle Starks continue d'enchanter (et de tout faire) sur un rythme endiablé et bourré d'humour. Un nouveau personnage haut (c'est rien de l'écrire) en couleur entre en scène, en la personne de Big Sis tandis que les fédéraux s'accrochent et remonte la piste. Histoire bien encré avec son époque et la dépression. Une réussite. Next : les aventures du soldat Jackson. |
#48
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Bah secret wars a pas besoin de masse d explication reed richards reconstruit les mondes selon ces souvenirs ces connaissances et sa volonte donc en gros il fait ce qu il veut A la limite tu te demandes pourquoi il a pas creer des mondes parfaits ? Mais dans la vraie vie tu te poses la meme question si t es croyant ou pourquoi il a pas prevenu la torche et la chose qui s inquietent pour rien La par contre pour me cas morales des questions se posent pour moi. Il est completement integre a cet univers son pere est agent du shield depuis des annees Sa mere ne se souvient pas etre morte ni meme que son fils est spider man Je veux dire en 19 numeros de la série il n abborde aucunement le fait que son univers est mort. Lui a la limite c est un super heros mais meme son pote ganke le vie super bien. En fait pour justifier la mini spider men 2 bendis rend incoherent toute la serie spider man. Pire dans jessica jones jessica rencontre un gars lambda qui se souvient de secret wars et cela le rend fou L editeur c est son boulot de dire euh brian c est pas possible ca En une ligne de dialogue il me fait arreter une mini et une reguliere Chapeau gars
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
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Ah non, ça c'est ce que suggère Hickman et c'est ensuite une explication toute faite pour fainéants. Rare sont les titres Marvel qui pointent les différences entre avant et après Secret Wars et les protagonistes de l'univers Marvel semblent se satisfaire de ces bizarreries. Et puis à la fin comme pour Spider-Men, on suggère que Secret Wars est passé par là (cela marche la preuve toit même tu écris c'est simple Reed Richard fait ce qu'il veut) et roule ma poule. C'est désolant et surtout pas professionnel.
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Et que personne ne s en souvienne sinon ca tient pas la route Apres les semis reboot relunch c est toujours la merde. New 52 avec batman qui a eu 4 batman en 5 ans Mephisto qui annule le mariage de peter parker pour sauver tante may mais qui en cadeau rend son identite secrete refait revivre harry osborn J ai fais des efforts pour comprendre le new 52 mais secret wars des que j ai vu que ca parait sur les memes erreurs j ai lache l affaire. Par contre bendis qui contredit le principe meme de sa serie juste pour justifier sa mini spider men 2 ca passe pas
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#51
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Comme Doom, Reed n'a pu faire qu'avec ce qu'il connaissait et ce qui existait avant. Par exemple il n'a pas pu changer les nature des super-vilain (A part Doom lui même). |
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Reed connaissait chaque personne de l'univers L emplacement de chaque étoile Le solde de mon compte courant Quel homme !! Non en fait ca tient pas debout secret war
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D'une part, Secret Wars n'a pratiquement rien changé à la réalité Marvel à le passage de Earth 616 à Earth-1, histoire de satisfaire Axel Alonso. D'autre part, je crois qu'il est établi que le fait qu'Owen Reece ait été éparpillé dans le Multiverse justifie que les réalités soient reconstruites à l'identique, et c'est Franklin et non son paternel qui recrée les réalités (ce dernier se contente de jouer les lanceurs façon base-ball dans les dernières pages de Secret Wars)
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Ah bon faut plus dire Univers616 alors ... Mince alors je vais pas y arriver de ci-tôt ! ^^
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Dark Days : The Casting #1
DARK DAYS : THE CASTING #1
W : Scott Snyder et James Tynion IV P : Jim Lee, Andy Kubert, John Romita Jr I : Scott Williams, Klaus Janson, Danny Miki Autant j'avais lu un premier numéro agréable, avec un gout d'event à l'ancienne autant ce casting me semble raté. La faute au réalisateur principal, Scott Snyder, qui a définitivement perdu la formule pour écrire un scénario compréhensible. De toute façon on voit bien qu'il a l'air de se fiche un peu de l'univers (DC pour rappel) dans lequel il fait évoluer ses acteurs, du moment qu'il donne la vedette à son acteur blockbuster intouchable : Batman. Il n'y en a que pour lui avec éventuellement Green Lantern et le robin du pauvre (dont le lien avec le metal semble parachuté) en acteurs secondaires. J'ai cru un instant lire un sub plot mystérieux sur Hawkman. Peine perdu les espoirs mis dans la forge ont vite fondu (seule l'allusion aux challengers of the unknows m'a fait ouvir un oeil, mais cela sera t il utilisé par la suite ou bien comme je le pense, Snyder tente de faire du Geoff Johns en travaillant la continuité DC ?) On referme ce numéro avec un gout très désagréable dans la bouche car ce long prologue (deux numéros spéciaux à 4,99$ chacun quand même) n'ont pas fait avancer le film. Pire les quelques certitudes de la Forge sont évanouies. D'où Batman tire t il tout ses renseignements ? Késaco (ou kamoulox) de ce qu'il y avait dans al forteresse de Superman (le plus incompréhensible d'après moi). Et puis drôle gestion du temps avec Batman qui se balade sur l'ensemble du globe et à le temps de revenir voir Green Lantern qui lui a peu bougé. La machine invisible (influence Momo ?) m'a bien fait rire tout comme les explication vaseuses se rapportant à la mort de Batman. Reste le Joker qui aurait dû être multiples ... Là encore son emploie m'a semblé hors sujet, comme dans un mauvais film. J'ai bien ris à l'utilisation de l'épée de feu (dont le créateur justifie pleinement la lame enflammée) par Batman dans une quête d'une vie qui avance étonnamment bien et qui devient pas si mystérieuse au fur et à mesure que l'ertzaz de script se déroule. A j'oubliais : pas la peine de chercher Mister Terrific (ou les outsider), Superman (ou la JL) ils ont disparu. Wonder Woman fait bien une apparition mais seulement une. Bref je trouve cela raté tout simplement. Dernière modification par FA ; 01/08/2017 à 22h51. |
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Superman #27
Comme le numéro précédent, la pause volontaire dans les aventures de Superman se fait en douceur avec un Scott Godlewski inspiré. PS : j'ai la cover de Lee Weeks de mon côté. |
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Britannia we who are about to die #4
BRITANNIA WE WHO ARE ABOUT TO DIE #4/4
W : Peter Milligan P : Juan José Ryp aidé de Ryan Lee et Roberto De La Torre Un sans faute avec une très bonne conclusion pour le mentalist de l'antiquité. En fâcheuse posture suite à l'attaque d'un dieu et trahis pas son propre fils Antonius ira chercher la vérité aux origines de Elissa, aidé par Rubria et Achillia. Numéro assez dense avec un bon équilibre entre action et réflexion (sans oublier des moments plus intimes autour de Antonius et son entourage), je souligne le fait que Peter Milligan ne tmbe jamais dans la facilité en faisant appel à des forces mystérieuses type super pouvoir pour faire avancer et conclure son histoire. Totale immersion également dans la Rome antique grâce aux dessins de Juan José Ryp qui a étudié l'époque (dommage ne pas avoir réussi le grand chelem en se faisant seconder pour ce #4) qu'il restitue de manière fort détaillée. A noter que dans chaque single est doté d'un cahier de 2 ou 4 pages comportant un article et des documents sur l'époque. Cette deuxième (car il y en aura une troisième ) est supérieure à la première. Ne boudez pas votre plaisir, c'est rafraichissant et surprenant (dans la production US actuelle j'entends). |
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Harbinger Renegade #5
HARBINGER RENEGADE #5
W : Rafer Roberts P : Darick Robertson I : Richard Clark Ils sont où les Renegades ? Absent de ce numéro Rafer Roberts ne se laisse pas prendre au piège et nous montre qu'il maitrise l'univers Valiant. Du coup on a droit à Generation Zero à la place (vous savez l'autre équipe de Harbingers) d'un côté et aux H.A.R.D.S Corps de l'autre. Et comme il avait été annoncé certains (et plus d'un) ne vont pas réchapper de cet affrontement sanglant. J'ai aimé ce scénario sans concession avec une promesse tenue (the death of a major valiant hero) et dans la continuité de la série Generation Zero (très moyenne au passage). Darick Robertson fait le job (cela valait le coup d'attendre) et le compte à rebours vers la seconde Harbinger Wars est désormais bien lancé. Par contre déception et incompréhension à la lecture de la page pub annoncant le futur event. Le scénariste sera ..... Matt Kindt Mais pourquoi lui ? C'est un des seuls scénaristes Valiant d'importance qui n'a pas (ou si peu) travaillé sur les personnages liés aux Harbingers (PRS compris). |
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Flash #26 et #27
FLASH #26 et #27
(on peut mettre le #25 également pour avoir l'arc Running Scared au complet) W : Joshua Williamson P : Howard Porter (#26 et #27) et Paul Pelletier (#27) I : Andrew Hennessy et Howard Porter Surement le meilleur arc pour Joshua Wiiliamson depuis qu'il a repris en main la destinée de l'homme le plus rapide (quoi que) de l'univers DC. le genre : affrontement physique et psychologique entre Flash (Barry Allen) et Reverse-Flash(Eobard Thawne) le décors : le Flash Museum au 25eme siècle Guest star : Iris West Déjà le scénariste met (enfin de côté) les autres speddy un peu trop présent à mon gout. Ensuite il appuie où cela fait mal chez Barry en le mettant devant ses responsabilités et ses absences. La vision du futur avec ses enfants fait froid dans le dos et appel même chacun à se questionner sur la place qu'il occupe dans une famille. Puis vient le temps des trahisons et enfin l'affrontement final (car il ne peut en rester, comme dans Highlander). Cela va vite, les scénario prend le temps de rappeler les enjeux tout en construisant le fil directeur. Arrive le dénouement qui va laisser des traces chez les protagonistes qui ont survécu. Williamson est passé à la vitesse supérieur inscrivant son Flash dans la lignée des meilleurs saga de ses illustres prédécesseurs. Cerise sur le gâteau la partie graphique de ces 3 numéros est relevé avec une mention spéciale pour Howard Porter (magnifique) Dernière modification par FA ; 01/08/2017 à 23h33. |
#60
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Tout l'inverse de moi qui est préféré ce Casting à The Forge. Même si en effet batman bouge un peu vite d'un point à l'autre du globe.
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Jeu, Set et Match pour les avis de juin. | Slobo | Critiques VO | 71 | 04/08/2017 19h12 |