#481
|
||||
|
||||
Avec les récentes Collection Eaglemoss, et ces Chronicles chez Urban on peut se demander si DC (via ses partenaires locaux) ne teste pas le marché pour une validité de patrimonial -- car leurs tests passé : Chronicles , puis Silver Age n'ont pas fonctionné, surtout que les 2 collections font des redites, et en plus avec les Archives ... l'exception pour l'heure reste la Legion (avec une fan-base hyper active), mais cela laisse des pans entiers non réédités sur du Supes, Batsou, Flash, Gl ... sans parler des séries plus "confidentielles" ?
(pour le marché Allemand, Panini ne sort que les TPB existant aux USA, souvent en HC.. ce qui donne des prix pires que Urban, sur les petites paginations -- je n'ai pas d'infos sur les autres pays)
__________________
Shoot Shoot don't talk |
#482
|
||||
|
||||
X-Men #24
Plus une grosse revue de micro-événements avant le Hellfire Gala (définitivement infernal, vu ce qu'il se prépare), mais ça se lit bien. Gerry Duggan brasse en effet plusieurs personnages et situations : il règle le cas Pogg avec un peu d'humour, il montre Kid Cable de retour pour empêcher ORCHIS d'agir mais il se fait amputer le bras bionique et geler, il révèle que Destinée tente de convaincre Rogue de ne rien faire pour avertir les X-Men du destin de Manifold, et l'on voit Magik emmener Sunfire en Outremonde pour récupérer un Arakkii perdu, mais... ça va mal se passer. Ca se lit bien, mais c'est plus un catalogue qu'une histoire. Le passage sur Pogg est rigolo mais un peu lourd sur les rimes, même si Gerry Duggan écrit très bien Forge, cynique mais pas aussi mauvais que d'autres fois. C'est efficace, mais il est quand même temps que ce Gala infernal arrive après tant de préparation. Graphiquement, Joshua Cassara assure solidement, mais il ne m'épate plus. Ultime préparation bienvenue : c'est efficace, et il temps d'y aller. Doctor Strange #5 J'espérais, à la fin du #4, que l'intrigue avance... et elle bondit, même ! C'est agréable, et c'est en outre bien fait et intéressant. Stephen et Clea vont donc au mariage d'Umar et Tiboro, un autre Sorcier Suprême qui a participé à l'assassinat de Strange. L'ensemble est tendu, mais plus du côté de Clea, qui retient difficilement sa rage. Umar lui explique que cette union est liée par la peur, une alliance entre Sorciers pour éviter les attaques mystérieuses. Umar révèle avoir formé avec Tiboro un autre héritier, un bébé fille que Clea devra élever si Umar disparaît. Dormammu vient célébrer le mariage, avec des piques, mais l'ensemble est gâché par une attaque... celle Très bien, oui. Jed MacKay assure réellement, livre de bons dialogues, et gère complètement bien ses personnages. Bon, Stephen a l'avantage, ce qui m'embête tant j'ai apprécié la Clea solo du même scénariste, mais ça se lit fort bien. L'échange avec Umar est pertinent, et le final est surprenant mais donne de bonnes idées. Graphiquement, Pasqual Ferry est en effet très bon, avec un style qui colle très bien à l'onirisme magique, et des personnages bien croqués. Une série qui fonctionne vraiment bien. Fantastic Four #9 Très bon. Ryan North achève sa micro-saga, avec ici un focus surprenant mais réussi sur un personnage trop souvent secondaire : Alicia. Tout l'épisode est sous son point de vue, avec sa voix-off mais aussi ses idées pour combattre Xargorr, le monstre extraterrestre mise en lien avec un vieil épisode du Marvel des années 50. Alicia modèle des formes projetées par Sue, et toutes deux parviennent à vaincre Xargorr en évitant les attaques de leurs proches possédés. Tout finit bien, ici grâce à Alicia. C'est top, oui. Ryan North maîtrise extrêmement bien Alicia, qu'il rend passionnante. L'épisode est vraiment tourné vers elle, avec de très bonnes idées dans son rapport aux autres, notamment ce qu'elle vit quand ça se bagarre (elle ne voit rien, entend les sons, les mouvements). Son plan est bon, l'initiative de Sue aussi, et toutes deux ressortent très grande de cette petite intrigue, agréable et intelligente. Graphiquement, Ivan Fiorelli ne casse pas la baraque, mais son style fluide et clair fonctionne bien. Chaque épisode me plaît énormément, cette série est un vrai bon p'tit plaisir. Captain Marvel: Dark Tempest #1 Très bavard, quand même, mais plutôt réussi. Après la fin du volume de Captain Marvel ayant eu le plus de numéros (50), Kelly Thompson est partie et, avant un nouveau titre sûrement en lien avec le film à venir, Marvel maintient Carol mensuellement par cette mini-série. Bon, ça se lit plutôt bien. Ann Nocenti lance Carol dans plusieurs activités, entre une soirée entre copains d'enfance marins un soir de tempête, elle qui sauve leurs bateaux à la dure, puis un coucou à Spider-Woman, puis un discours de motivation auprès de jeunes blasés et désespérés par le monde, puis un trou noir à gérer, et enfin une entité qui erre et recrute Nitro (tiens, tiens) contre elle. Oui, ça se lit bien. Il y a beaucoup de choses, c'est dense, Carol est bien écrite. C'est assez intense et riche, mais... maladroit sur les mots employés. Déjà, il y a trop de voix-off, c'est un peu lourd. Ensuite, tous les dialogues de marins sont aussi lourds, ça me fait passer à côté. Enfin, le dialogue entre Carol et les jeunes blasés a du sens, mais ça fait un peu donneur de leçons, et c'est un rien bof. Graphiquement, Paolo Villanelli assure aux dessins, sans briller mais avec des planches correctes. Un numéro avec des maladresses, mais une vraie richesse d'événements. On en a pour son argent. Captain America #750 Ah ça, c'est un numéro anniversaire ! Alors que DC a livré des versions un peu tièdes pour les anniversaires de The Flash et Wonder Woman, Marvel y va à fond et propose un épisode riche, gras, avec des maladresses, mais un vrai festival global. Pas mal ! On commence avec "A cup of tea", où Tochi Onyebuchi et RB Silva révèlent comment et pourquoi Sam a obtenu son nouveau bouclier, et est redevenu Captain America. Cela vient de Misty qui, avec plein de proches, a forgé le bouclier, non pas pour que Sam redevienne Cap', mais pour qu'il assume pleinement sa grandeur en agissant ainsi. Sam conteste puis accepte après une attaque mystérieuse. Bon, ça se lit bien mais c'est poussif. En fait, j'aime beaucoup l'idée que Misty et d'autres veuillent pousser Sam à assumer qui il est, mais c'est quand même "beaucoup de bruit" juste pour expliquer ce bouclier. Ca lui donne une aura énorme, qui n'est pas forcément justifiée par la série qui vient de se finir. Et cette attaque finale est un peu piteuse, même si le discours de Sam à ses parents est émouvant. Graphiquement, c'est beau et très réussi, même si je ne suis pas fan des couleurs. On enchaîne avec "Nothing but a fight", où Jackson Lanzing & Collin Kelly proposent au fond la conclusion de Cold War, et une première approche de fin de série. Les funérailles de Roger permettent une réunion globale, avec Sharon qui révèle devenir Destroyer pour lui, le robot qui devient Nomad, et finalement Steve qui parle à Bucky. Ce dernier révèle avoir organisé Cold War pour "booster" Ian, mais surtout le protéger : l'Outer Circle le voulait, Bucky en a fait Roi de la Dimension Z et intouchable. Steve est content, mais l'héritier du créateur secret du bouclier les trouve et leur donne une lettre qui ne devait sortir que lorsque le QG volant ennemi apparaîtrait. L'ingénieur a créé une faille dans le vaisseau, l'occasion d'en finir ! Alors que Peggy a aussi son épilogue. Bon, c'est bien. Lanzing & Kelly se précipitent, et ça se sent, mais ça ne se voit pas trop. C'est plutôt efficace et réussi, hormis ce moment gênant de Sharon qui révèle masque et costume en plein enterrement ; c'est too much. L'échange Steve / Bucky est top, très réussi et émouvant, et l'héritier qui amène la solution contre l'Outer Circle, c'est facile mais ça passe. Graphiquement, Carmen Carnero livre une très jolie prestation, en retenue, mais elle ressort grandie de ses prestations. On continue avec des petits récits, des hommages. "Reflections" de Stephanie Williams et Rachael Stott est un discours inspirant de Sam auprès de jeunes afro-américains. Un peu lourd, mais ça se laisse lire. "The Hero" de J.M. DeMatteis et Sara Pichelli évoque un ami de Steve qui a été son premier protecteur et héros, et que Steve a retrouvé puis évidemment accepté comme homosexuel avant un final déchirant lié à ses ennemis. Emouvant, touchant, bien fait ; un sans-faute, et même un graphisme efficace. "Then & Now" de Dan Jurgens évoque, par Jarvis, ses liens avec Cap', et notamment comment il l'a aidé à s'habituer au monde, via le maintien de goûts culinaires des années 40. Bon, ça s'oublie vite mais c'est mignon. "The Mantle" par Cody Ziglar et Marcus Williams montre un entraînement de Steve et Sam avec leurs boucliers, en échangeant sur l'héritage du titre. Pas joli, pas bien colorisé, pas intéressant. Et "One Lucky Shot" de Gail Simone et Daniel Acuna voient des gamins de Brooklyn récupérer le bouclier après qu'un agent d'Hydra ait tiré sur Cap', on le pense mort, les gamins résistent mais Cap' revient aider. Simple et prévisible, mais efficace et prévisible, avec de bons moments bien organisés, et bien dessinés. Un numéro anniversaire maladroit, avec des segments précipités pour les séries qui se finissent, mais de bonnes choses quand même, et un vrai sentiment de festival global. |
#483
|
||||
|
||||
Assez d accord
Ce qui est dérangeant sur l intrigue principale est qu on sent que tout est rushé mais en même temps c est délayé dans des conversations sans fin. C est du rush decompréssé. Oui la meilleure histoire est celle où dematteis revient sur Arnie Roth (qui a quand même pas mal inspiré le modele MCU de Bucky Barnes) |
#484
|
||||
|
||||
Oui, je m'en suis rendu compte !
Après, les résolutions s'annoncent faciles, mais la discussion Steve / Bucky est bonne, surtout les cases où ils ne disent rien et sont gênés. Le procédé est bourrin, mais la façon de rédiger les dialogues est bonne. |
#485
|
|||
|
|||
Black Adam 1-12: J’ai beaucoup aimé.
Si ce n’est pas du Priest du niveau de Black Panther ou Deathstroke, ça reste très bon avec son écriture et approche très intellectuelle (sociale même) et érudite. Le premier arc, c’est vrai, tourne un peu en rond à la lecture mais pose des bases pour la suite, et la fin offre un nouveau status-quo pour le perso. Et Priest le présente comme plein de contradictions (j’ai toujours aimé le perso, qui est un peu le Namor de DC). Aux dessins, on a d’abord le toujours enthousiasmant Rafa Sandoval sur 4.5 numéros mais surtout Eddy Barrows sur 4.5 autres qui est parfait pour souligner la rage, la violence et le côté hautain du perso. Et pour le reste, des vilains fil ins d’auteurs brésiliens pas franchement près. |
#486
|
|||
|
|||
Pour ceux qui veulent/aiment du super-héros self contained, malin et différent (en l'occurence, des super villains), je recommande chaudement Minor Threats chez Dark Horse dont le tpb sort cette semaine
![]() |
#487
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Là Thompson malgré avoir fait grincer des dents avec sa mini révélant les origine mi-Kree de Carol à réussit à enrichir l'univers du personnage et la rendre plus simpathique et accessible. J'avoue c'est pas le nom de Nocenti qui me fera venir sur ce titre. Mais qui ? Willow Wilson qui a lancé avec succès Kamala n'avait jamais su prendre en main Carole (Qui lui appartenait pas faut dire) et c'est planté sur wonder Woman. Tom Taylor qui m'a agréablement surpris surpris sur All New Wolverine (Je détesté Laura à l'époque). Mais dernièrement il faut une femme pour écrire un titre sur une femme. Et puis il est chez la distingué concurrence. Mariko Tamaki s'était planté sur She Hulk mais avait continué avec succès à me faire lire les aventure de Laura sur X-23. Peter David ? S'il en est encore capable ? S'il a encore des idées de fou ? Mais comme Taylor, il n'est pas une femme. Franchement j'avoue ne pas voir qui me botterais de voir débarqué sur ce personnage qui n'est clairement pas mon préféré. Je lui en veux toujours pour comment elle a traité Spider-Woman/Julia Carpenter pendant Civil War (C'est dire comment j'ai la dent dure envers elle). Dernière modification par Slobo ; 07/07/2023 à 18h42. |
#488
|
||||
|
||||
Le relaunch faisant suite à cette mini-série a déjà été annoncé.
|
#489
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
Le contenu est excellent à chaque épisode. Un titre à ne surtout pas manquer !
__________________
La blague qui tue de l'HOMME BANANE ! https://www.youtube.com/watch?v=sYc5E_7vwLA |
#490
|
||||
|
||||
Comment ça Peter David n est pas une femme ?
|
#491
|
||||
|
||||
Traveling to MArs 1 et 2
Par Mark Russell et Roberto Meli (Chez Ablaze) Roy Livingston est atteint d'un cancer en phase terminale. Et c'est l'une des raisons qui font que Crazy Beef Corportion l'ont choisi pour cette mission sans retour. Contre 10 Millions de Dollars qui iront à sa mère, Roy accepte le voyage.. seul, enfin, avec 2 robots comme seule compagnie. Mais pourquoi ce voyage??? Car un vaisseau automatisé d'exploration à découvert une ressource dans les sous-sols martiens, une nouvelle énergie qui replacera le pétrole... Les nations unis se sont réunis et ont décidées, afin d'éviter toute guerre, que la première entreprise qui posera un pied humain sur Mars aura l'exploitation.... Et contre toute attente, c'est donc, Crazy Beef Corporations, 1ere entreprise d'Alabama productrice de fausse viande , lance son expédition... j'avais raté lors des préco, et il m'a fallut qq semaine pour récup les premiers numéros (le 5 est le dernier sorti, il est dans ma PAL, mais j'attends les 3 et 4). Disons le de suite, c'est noir, très noir, l'histoire est racontée du point de vue de Roy, le cadre autour du voyage (épisode 1), ses conditions de vie durant ce voyage (2), mais j'aime, ce n'est pas une lecture pour tout le monde (on suit un malade du cancer en phase terminale, qui a des idées noires, qui a abandonné sa mère sans la prévenir, et qui repense à son ex femme a qui il n'a pas parlé depuis 20 ans... et sans espoir de retour. Donc oui, c'est très noir, et comme tout récit de Russell il y a de la critique sociale / sociétale... (une entreprise de fausse viande qui organise un voyage pour avoir les exploitations de la future richesse sur MArs ^^) . les 2 premiers numéros m'ont vraiment bien accrochés (et j'attends la suite avec engouement).
__________________
Shoot Shoot don't talk |
#492
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
![]() |
#493
|
||||
|
||||
X-Men: Before The Fall - The Sinister Four
Un bon one-shot sur des "Variants" de Mr Sinistre, et sûrement l'une des rares fois où je les trouve "supportables". Ici, on a Dr Stasis (qui se pense le "digne" héritier du Nathaniel Essex originel, car il est le pinacle de l'avancée humaine à son niveau) qui invite à un rencard Mother Righetous (elle aussi dérivée d'Essex, mais basée sur sa femme Rebecca décédée). Ca papote, ça flirte, ça se lance quelques piques vu la fin du couple Essex (leur premier fils malade, Nathaniel se perd dans ses recherches pour le sauver, l'enfant décède, un deuxième arrive mais Nathaniel est hanté par ses travaux, Rebecca décède...). Finalement, Mother Righetous apprend à Stasis qu'un quatrième existe (Orbis Stellaris), puis ils reviennent dans la maison du premier couple, et conviennent d'une alliance. En vérité, Stasis savait déjà pour Orbis, ils collaborent, et là veulent piéger Mother pour lui rappeler qu'elle doit... obéir. C'est bien, oui. Kieron Gillen gère bien l'ensemble et, sans le côtéd décadent de Mr Sinistre, ses "Variants" et leurs intrigues me sont plus agréables. Stasis est bien écrit, il est pertinent de le voir lié à des grandes expériences humaines (le Sérum du Super-Soldat, par exemple), et l'échange avec Mother Righetous est intense et très réussi. C'est très bien, oui, et Paco Medina assure, dans un style classique et solide, sans briller mais avec efficacité. Un bon one-shot, avec une intrigue maîtrisée et débarrassée du style décadent de Mr Sinistre, fun mais devenu lourd. Thor Annual #1 Bon, j'ai tenté cet Annual car j'aime bien les deux scénaristes (ailleurs), et j'étais curieux de ce prologue de la série Immortal Thor à venir. J'avoue que j'en ressors non pas déçu, mais vraiment pas emballé. Jackson Lanzing & Collin Kelly livrent un gros épisode sans surprise et sans grand intérêt pour la franchise, mais efficace en soi. Un MODOK a récupéré des bouts du Pont Arc-en-Ciel (oui, oui) et est devenu MYTHOS, une super-entité qui joue sur les 10 Mondes. Il change la Réalité à sa convenance après avoir vaincu Thor, qui d'abord suit la tactique de son père Odin (se retirer d'une bataille perdue d'abance), puis se rebooste auprès d'un Peter Parker différent mais courageux. Thor se relance dans la bataille et gagne, mais ne tue pas MODOK et le laisse chercher qui il est vraiment ; comme Thor vient de se le rappeler, ici. Bon, c'est prévisible mais efficace. Les deux scénaristes ne surprennent pas, mais c'est plutôt plaisant, bien que ce MODOK devenu MYTHOS lasse vite, et surtout cette autre Réalité est bien fade. M'enfin, ça se laisse lire, avec un Ibraim Roberson lui aussi solide, mais sans briller. Vite lu et oublié, mais agréable en soi. Et vient ainsi le prologue d'Immortal Thor, par Al Ewing et Martin Coccolo... et je ne suis vraiment pas emballé. Ca devient une habitude sur les séries Thor de vite évacuer les conséquences du run précédent, mais j'apprécie peu ici de voir Oui, je ne suis pas emballé. Il y a peu de pages, et si l'échange Thor / Sif est efficace, je trouve que cette approche est un peu superficielle, que ça soit pour le spoiler ou même le retour du costume. Ouais, ça ne m'emballe pas, avec aussi un graphisme efficace mais sans briller, et j'espère qu'Al Ewing sera meilleur sur le #1 et ses suites. |
#494
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
A lire ton texte, je ne rate rien.. la future série est dans mes preco .. on verras ....
__________________
Shoot Shoot don't talk |
#495
|
||||
|
||||
Ca sera peut-être bien, hein. Mais ce prologue pour "ça", ça ne m'emballe pas.
|
![]() |
|
|
![]() |
||||
Discussion | Auteur | Forum | Réponses | Dernier message |
Sorties Singles et Collections 2023 (semaines du 27/12/2023) | Fletcher Arrowsmith | Singles | 179 | 25/12/2023 20h32 |
DC mars 2023 | scarletneedle | Sollicitations éditeurs | 14 | 19/12/2022 16h57 |
DC février 2023 | Dhargo | Sollicitations éditeurs | 2 | 19/11/2022 21h33 |