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#406
12/11/2015, 19h38
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Oui. Une des minis qui démarraient du feu de Dieu et se sont un peu vautrées sur la fin...Dommage.
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"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18 
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#407
13/11/2015, 21h05
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#408
13/11/2015, 21h25
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 Ca ne m'est même pas venu à l'esprit  J'avais bien loupé un truc donc 
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http://www.comicsvf.com Les récaps (rigolotes) de Game of Thrones Saison 5 Stannis à Davos : On n'a rien pu faire, ils étaient au moins genre vingt-deux et puis y en avait un torse nu.
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#409
13/11/2015, 21h27
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C'est une des raisons qui m'a fait apprécié ce numéro...
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#410
19/11/2015, 18h26
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DC
Catégorie « Excellent » RIEN Catégorie « Très bon » RIEN Catégorie « Bon » Secret six n°8 Genre : Tarte aux quetsches Les six tentent donc de faire revenir Black Alice à la normale, celle-ci subissant une sorte de « fièvre magique » qui la rend à moitié folle et qui menace le monde entier. Blockbuster décide de rester avec elle pour la protéger d’elle-même tandis que le reste de l’équipe est aiguillé par de mystérieux individus encapés pour se diriger vers Atlantis pour détruire des piliers millénaires responsables du dawa qui vise les mages de la terre. Et qui dit Atlantis dit Aquaman… Un numéro qui montre les différents camps en présence avec une partie des six dans le mauvais camp, à deux doigts de provoquer un désastre. Ce numéro est assez basique malgré l’enjeu intéressant, comportant des dialogues amusants (les filles de l’équipe qui lorgnent avec convoitise Aquaman et Catman lors de leur combat). Dommage que le dessinateur régulier doive se faire aider sur ce numéro, la qualité s’en ressent. Scénario : 14/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 14/20  Harley Quinn 22 Genre : Baklava Harley rentre d’Hollywood après sa mission. Le fils d’une des ennemies de son allié l’espion grabataire Sy Borgman entreprend de se venger d’elle et de ses exploits des premiers numéros de la série, envoyant ses sbires russes la tuer dès son arrivée à l’aéroport… Un numéro guère folichon qui pèche par son intrigue mollassonne et cliché. Quelques dialogues sont intéressants et relèvent le niveau du numéro, notamment celui de la peluche Joker. L’un dans l’autre, un numéro qui détend. Scénario : 13/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 14/20  Catégorie « SYMPA » RIEN MARVEL Catégorie « Excellent » RIEN Catégorie « Très bon » Sam Wilson : Captain America 3 Genre : Kouign amann Cap attaque une installation du docteur Karl Malus, ancien ennemi un peu oublié de Spider woman qu’on avait revu récemment dans la mini-série un peu décevante Superior Carnage. Il a donc survécu et retrouvé l’usage de ses jambes mais aussi…un petit quelque chose en plus ! Lancé dans des expériences génétiques croisant humains et animaux pour un mystérieux commanditaire, cette aventure marque le bref retour de Cap Wolf, épisode peu glorieux du passé de Steve Rogers. Décidément, Spencer pioche avec efficacité dans le passé du personnage et parvient à nous intéresser à ce qui n’est qu’un numéro introductif de l’arc en utilisant l’humour (les dialogues Misty/Sam sont excellents) mais n’oublie pas de distiller une dose d’horreur (les expériences de Malus, la nouvelle nature du bon docteur lui-même). Surtout, il introduit un sidekick pour Captain America qui n’est autre qu’un nouveau faucon, qui promet d’être très intéressant vu sa nature. Vivement la suite ! Scénario : 15/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 16/20  Deadpool 2 Genre : Galette des rois Les heroes for hire de Deadpool sont les stars de ce numéro. Essentiellement composée d’anciens mercenaires ou de vigilants déguisés en Deadpool, on assiste ici à leur vie de tous les jours, faite de réponses à des mails de gens en détresse qu’ils aident mais qui ne les paient jamais, étant sans le sou, comme un propriétaire modeste qui veut se débarrasser de revendeurs de crack. L’impression bizarre que nous avions au sujet de Deadpool lui-même dans l’épisode 1 est confirmée dans ce numéro plein de mystères qui continue à prolonger le suspens mais il manque à mon avis quelque chose pour nous passionner. Certains personnages sont assez inutiles pour l’instant ou n’ont qu’un rôle unique à jouer (Stingray qui vole et est moral, Foolkiller III qui est une brute psychopathe...) et seules les dernières pages sont vraiment réussies entre leur dernière mission et le cliffhanger. On a presque l’impression que ce numéro est un peu dilué et aurait pu tenir sur moitié moins de pages. J’espère que la suite tirera ceci vers le haut car pour l’instant, y’a un goût d’inachevé Scénario : 15/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 15/20  Catégorie « Bon » Secret wars too 1 Genre : Clafoutis Un one shot melting pot avec à boire et à manger par différentes équipes. Les histoires se passent juste avant le numéro 2 de Secret wars ou dans de petits domaines méconnus du crossover. Toutes ou presque ont un but comique avéré. La première se déroule dans la vie de Jonathan Hickman, alors qu’il annonce son but aux équipes de Marvel concernant le déroulement du crossover. Problème : il n’a pas l’ombre d’une idée sur la façon dont il va la conclure. Lui apparait alors Fatalis qui dialogue avec lui, sorte d’émanation de son imaginaire, qui lui conseille de se confier à ses éditeurs. Cette petite histoire permet d’imaginer une explication au départ d’Hickman de Marvel à la fin du crossover et de lui rendre un hommage un peu décalé. Nous assistons ensuite à un domaine de Battleworld dans lequel Spidey parvient à éviter la mort de son oncle Ben en arrêtant son futur meurtrier en lui faisant se rendre compte de ses erreurs verbalement.. Problème : son oncle est à son insu lui-même un criminel et un meurtrier qui a tué un de ses cousins pour hériter sa fortune ! Le pire étant que des tas de Peter Parker alternatifs tous plus bizarres les uns que les autres débarquent très vite dans un imbroglio invraisemblable et pythonesque, accusant l’un ou l’autre d’avoir tué l’oncle Ben de son domaine. Bon, c’est gentil, quoi. Symbolique, absurde et sympathique mais ça vole pas haut. Miss America et Lady Bishop sont les héroïnes d’une autre histoire. Condamnées à défendre le bouclier contre les marvel zombies et les Ultron, elles décident un jour d’utiliser le pouvoir transdomaines de Miss America afin de trouver une…pizza ! Elles visitent des domaines réels de Battleworlds ou imaginés pour l’occasion (dont une avec des avengers genderbender, Earth 63) et c’est l’occasion pour Lady Bishop de se rapprocher de sa nature d’Hawkeye. Une histoire bien dessinée et plutôt sympa. Galactus est la star de l’histoire suivante. C’est un blogueur culinaire reconnu dans tout l’univers et une alliance de héros (Jessica Jones, Daredevil et Spider-man) est devenue ses hérauts en échange de la survie de la terre, l’aidant techniquement pour son blog. Mais un jour, un pirate du net, le gardien, met son site hors ligne pour le troller. Commence alors la quête d’un artefact qui permettra de le remettre debout, avec un bel hommage au film « Dans la peau de John Malkovich ». Sûrement la meilleure histoire du lot, drôle et déroutante, avec une bonne analyse du net (j’ai adoré l’aveugle Daredevil affecté à la surveillance des news du net car sa cécité lui permet de supporter plus longtemps de lire les commentaires troll et racistes, du gros nawak) Dans l’histoire suivante, D-man, allié de Captain America, est ressuscité peu avant Secret wars 2 par un type qui s’est trompé en voulant invoquer un démon. Il décide d’utiliser cette nouvelle vie pour faire le bien et se gaver de tartes aux fruits. C’est…gentil. Une autre histoire confronte un trio de Cyclope (Scott Summers) à un Wolverine qui les défait aisément. Ils sont jaloux de lui car il doit sortir avec Jean Grey (apparemment, ils sont partageurs car ils parlent de la même). Arrive alors Beardevil, le Daredevil d’un monde dans lequel tout le monde est un ours parlant, qui tue Wolverine et le dévore... Du nawak sympatoche mais pas grandiose, qui a le mérite de m’avoir fait réfléchir sur l’issue d’un match entre les deux ennemis jurés Cyke/Wolverine Enfin, la dernière histoire par Eric Powell nous montre un monde dans lequel les personnages Marvel sont réels et des sortes d’acteurs bossant pour la firme. Cette petite histoire nous montre comment la diva Fatalis a accueilli la décision de Marvel d’en faire un dieu mais aussi comment ses petits camarades aiment le faire rager (il faut dire que la confiture de myrtille sur une tunique blanche ça fait tout de suite moins sérieux). Une histoire mignonne, quoi. Un one shot à réserver aux complétistes et aux nostalgiques de What the ? et de Not brand ecch. Scénario : 14/20 Dialogues : 14/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 14/20  Catégorie « Sympa » RIEN
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#412
19/11/2015, 19h59
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C'est
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#414
20/11/2015, 00h33
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Oui.
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#415
30/11/2015, 19h16
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MARVEL
Catégorie « Excellent » Silver surfer 15 (Last days) Genre : La fin de la première partie Suite et fin de l’excellente série de Slott et des Allred ! Elle s’est faite attendre mais c’est pas grave vu la qualité du final et vu que la série principale Secret wars est toujours pas finie. ça nous permet de nous remettre dans le bain. Tout ça était En tout cas, les auteurs se lâchent comme toujours et se paient même le luxe de faire appel à des éléments oubliés des lecteurs, qui figuraient dans les tous premiers numéros, bouclant superbement bien la boucle ! Cerise sur le gâteau : le titre redémarre au numéro 1 avec la même équipe aux manettes dans les titres post secret wars. Le bonheur à l’état pur. Scénario : 18/20 Dialogues : 18/20 Dessins, encrage, couleur : 18/20 Note finale : 18/20  Catégorie « Très bon » Hail Hydra 4 Genre : la fin du run de Remender Ian Rogers est toujours prisonnier du domaine régi par Hydra et est pourchassé par les avengers fascistes locaux. Cette fois, il ne reste aucun moyen de renverser la vapeur et la tentation de rester prisonnier d’une des bulles des rêves du docteur Mindbubble est bien tentante… Ce numéro boucle le run de Remender sur Captain America et son fils, avec les valeurs de piété filiale, d’abnégation, de ténacité et de loyauté dans l’épreuve qu’il a fait passer tout au long de celui-ci. Habile idée de s’être servi du crossover Secret wars pour le boucler car le monde fasciste de l’Hydra est totalement à l’opposé des idéaux de Ian, résumant bien ce contre quoi il se bat. En tant que domaine de Battleworlds en revanche, le New York d’Hydra a apporté très peu de choses à la géographie du crossover, fonctionnant totalement en vase clos. De plus, Ian est bien le personnage pré Secret wars, qui se souvient du monde avant Doom, ce qui casse un peu le concept des habitants ignorants de l’Histoire de Battleworlds, surtout avec l’histoire de l’ascenseur dimmensionnel. Au final, ça boucle bien les efforts de Remender sur Cap, même si de manière incomplète et un peu décevante, tout comme l’ensemble de son run, très « montagnes russes ». Par contre, j’espère ne pas revoir Ian dans le monde post Secret wars car il n’apporte pas grand-chose à l’univers de Cap selon moi, étant assez redondant avec par exemple, le faucon ou Bucky/Winter soldier. Scénario : 15/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 14/20 Note finale : 15/20  Carnage 2 Genre : la fin de la simplicité de l'intrigue La couverture ne ment pas : Carnage est bien un titre d’horreur ! Nous avons donc Jameson et son équipe, piégés dans une mine désaffectée avec Carnage qui les tue un par un en se servant des pouvoirs de camouflage de son symbiote, l’équipe de sa cible et du FBI qui décident de descendre les aider avec leur invité musclé et… Ais je oublié de dire que Jameson C’est un peu la faiblesse de cette histoire d’horreur pour l’instant : à ajouter trop d’ingrédients dans la marmite, Conway en fait trop et échoue à vraiment terrifier. Ça fait un peu trop foire aux monstres et grand guignol pour vraiment inquiéter. Et c’est surtout à cause de la présence de Perkins se défend très bien aux dessins, malgré les défauts sus cités, son Carnage étant superbe et la séquence sur Bref, un titre qui peut aller vers le meilleur comme la caricature. Espérons que les auteurs se souviendront de ce qui est vraiment effrayant : la suggestion. Scénario : 14/20 Dialogues : 14/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 15/20  Catégorie « Bon » RIEN Catégorie « Sympa » RIEN DARK HORSE Catégorie « Excellent » RIEN Catégorie « Très bon » Masters of the universe: minicomic collection Genre : la fin d'une époque Cet énorme pavé de 1200 pages vendu à un prix modique est vraiment imposant. Il comporte tous les mini comics parus sur les maîtres de l’univers et She Ra, mais aussi sur les nouvelles aventures spatiales d’He man et sur les débuts du reboot de l’univers de 2002. Ajoutons à cela une BD inédite et jamais publiée avec deux hommes serpents qui bossent pour Skeletor avant même l’apparition du roi Hiss et même un script inédit consacré à une introduction BD de Faker, le faux Musclor bleu comme Skeletor et habillé comme lui. Clairement, mon respect est total pour le prix modique de l’ouvrage et sa qualité. 1200 pages reliées, annotées, classées dans l’ordre, avec des interviews assez longues des créateurs (dommage que Timm manque à l’appel de ce point de vue), pas mal d’inédits et une recolorisation habile des planches (pour ce que j’en vois en tout cas), il y’a de quoi en être soufflé. Il est assez fascinant de voir l’univers des maîtres se mettre en place, de constater l’évolution de celui-ci, le caractère de plus en plus fourbe de Skeletor, ses rapports tumultueux avec Hordak et Hiss. Car oui, Skeletor est la raison numéro 1 de lire toutes ces histoires. On a presque mal pour lui et ses tentatives parfois pourtant habiles de mettre la main sur le château des ombres. Le gars est méritant, mine de rien ! Un autre aspect plaisant de ces histoires est qu’on a pas juste le Bien contre le Mal, mais des alliances entre les trois forces en présence, les maîtres de l’univers proprement dit, les guerriers maléfiques de Skeletor, les homme serpents du roi Hiss et la terrifiante horde maléfique d’Hordak, dont on comprend vite qu’il a les meilleurs hommes, bien que peu nombreux et qu’il est le seul qui menace tous les autres. C’est dans les comics les plus récents que ce jeu d’alliances est le plus visible et réussi. Autre chose très intéressante : noter les éléments que le DA des années 80 a apportés aux comics, qui rejettent certaines choses et en accepte d’autres selon les époques. On sent que les équipes sont assez autonomes et en font un peu à leur tête. ça donne un côté artisanal pas désagréable à l'ensemble. Ensuite, viennent les comics de She Ra. C'est beaucoup trop girly pour moi mais je reconnais certaines qualités à l'ensemble des histoires, comme son héroïne en avance sur son temps et un bon aspect technique général. Les nouvelles aventures de He man, avec un départ dans l'espace de notre héros et sa lutte contre Skeletor et ses mutants de l'espace est assez plaisante. On aurait aimé en lire plus, malgré des personnages un peu fadasses de design. Pour conclure l'ouvrage, on a des BD des années 2000 qui reprennent de manière très classe l'arc inachevé des années 80 The ultimate battleground. On a là l'aboutissement de ce que peut être une BD sur les maîtres et de l'intérêt qu'elle peut revêtir chez les adultes quand on la traite de la même manière que l'excellente série TV inachevée de 2002. Skeletor est particulièrement à l'honneur. La BD en noir et blanc non publiée est dans la lignée de celle des années 80, de plutôt bonne facture. Le synopsis tapé à la machine à écrire (nostalgie) sur Faker et ses méfaits est du même tonneau. En bref, un ouvrage vraiment recommandé, malgré des histoires souvent un peu trop simples (en même temps c'est pour les enfants). Quelques très beaux coups de crayon valent le détour (Alcala, Timm et quelques autres) et il est grisant d'assister à la naissance d'un univers qui se construit peu à peu, certains personnages étant plus intéressants et marquants, comme Man-e-faces/Maskor, Triklops... Une bouffée de nostalgie! Scénario : 15/20 Dialogues : 14/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 16/20  Catégorie « Bon » RIEN Catégorie « Sympa » RIEN
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#416
30/11/2015, 22h25
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Tu m'as l'air un peu diviser sur Hail Hydra 4 un peu comme moi.
Par contre moi j'aimerais revoir Ian & sa demi soeur mais sur un autre monde tant qu'a faire ^^ Mais ça laisse peu de doute qu'il appuis sur 616. Quoi que comment connaitrait-il le n° de cette terre ?
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#417
30/11/2015, 22h41
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Je trouve qu'il s'en est bien tiré pour la fin car son run est tout de même très inégal. Ce final a le mérite de bien synthétiser les thèmes de prédilection qu'il a développés toutes ces années.
Après, son run ne restera pas dans ma mémoire, honnêtement.
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#418
30/11/2015, 23h53
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#419
01/12/2015, 06h15
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C'est un peu tout ce qui m'a dérangé dans le concept de lui donner un fils. Autant j'ai trouvé intéressant de le coincer dans la dimension Z (après, la réalisation était décevante selon moi) et de le faire élever un enfant, autant il avait déjà deux fils adoptifs, Bucky et le faucon. Mais bon, c'est ma vision. Du coup, je trouve que Ian n'ajoute pas grand chose à l'univers de Cap.
Ceci dit, c'est vrai que j'ai trouvé la fin du run relativement bien vue, avec cette projection d'un Ian avec toutes les cartes en main dans une "dimension Z" parachevée. Mais comme fin, j'ai trouvée celle de Silver surfer bien plus spectaculaire et satisfaisante. Elle m'a vraiment parlé et interrogé.
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#420
01/12/2015, 13h44
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Bucky, c'était à une époque où Cap était trop jeune pour assumer un rôle de père. Sam, j'ai du mal à comprendre où tu vois une relation père-fils entre eux, ça a toujours été son meilleur ami avec une relation d'égal à égal, c'est plus un frère qu'un fils.
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