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Je n'attendais rien de Jed McKay qui ne m'a jamais convaincu à chaque fois que j'ai essayé un de ses comics, et je ne pensais pas même aller sur le premier, mais avec 5 mins à tuer, je me suis lancé... Alors, à part si la cible sont les lecteurs de 12/15 ans, j'ai vraiment passé l'âge de ces conneries. Je ne peux plus voir en 2024 (et déjà depuis 10 ans au moins) une équipe de vilains qui prennent la pose et déclinent, chacun leur tour, leurs identités ! C'est d'un ringard, d'un autre siècle tout simplement. C'est une parodie de comic book. Et la révélation du "big boss", je n'avais rien lu... Mais c'est tellement ridicule et éculé qu'on le voit venir à 15000km ! ("Tu veux savoir qui a fait ça, hein ?? Et puis qui à fait ceci ?? Et qui a été assez malin pour faire cela ??? heiin ??") Et le pire c'est la non réaction du héros qui se fait surprendre à la fin. Comment y croire juste 5 secs ? C'est nul. Vraiment à part USM, il n'y a plus rien qui me botte chez Marvel. Mais je ne pense pas être la cible.
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COMIXITY !!! A l'écoute des comics ! Le PODCATCH !... Du pod et du catch quoi. Le Bureau des Comics a ouvert ses portes ! |
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Je suis aussi surpris de retrouver ce Blade là, 15 jours après sa dernière série (déjà oubliée ?). Malgré ces petits désagréments, la lecture est plaisante, les dessins sont beaux et j'ai hâte de lire la suite. |
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Ne me dites pas que j'avais raison pour le vilain?
Bah, au moins, ce sera beau. (si Pulp's se décidait à taffer, ce serait bien).
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Du Jed McKay...
Bloodhunt #01 du vide sacrément vide... C'est certes beau mais cela se lit en 5 min et McKay nous ressort pour la troisième fois en peu de temps une équipe de super vilains avec des noms de code à la con dont le seul intérêt est de permettre à son artiste de s'amuser (après Timeless et Avengers). Quant à l'identité du bad guy, autant dire que ce cliffhanger qu'on voit arriver au mieux 10 pages avant la fin ne relève pas le niveau... Du coup je m'inscris en faux avec Ben car ce cliffhanger est beaucoup trop téléphoné. A fuir A côté de cela DC propose quelque chose de plus fort avec son House of Brainiac Special qui fait avancer l'intrigue (il s'en passe des choses là) et nous livre un discours de Marc Russel contre le populisme. Ca fait du bien Recommandé juste pour Mark Russell |
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Etant dans la même situation que toi, cela pose la question de la cible Je viens de passer ma prochaine commande previews et les titres Marvel ne sont que des facsimile (la fin de GODS et moins récemment celle de Eternals fait que rien en me branche si ce n'est USM que j'achète à sa sortie s'il me reste de l'argent) |
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pour bloodhunt quelqu un a comparé les deux versions... c est par curiosité ca rajoutera pas du sens mais..
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Je ne crois pas que la RED BAND soit déjà sortie (l'idée étant pour Marvel de tenter de faire en sorte que des lecteurs achètent les 2 versions) |
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Cable #4
Une fin correcte et plutôt agréable, pour une mini-série hélas trop longue et quand même maladroite. Fabian Nicieza achève la confrontation entre Old et Young Cable et Parvenu, qui veut profiter d'Orchis pour former une Necroacy en transformant l'Humanité en Homo Unitus. Young Cable a tiré sur Old Cable, mais sans le tuer, et pour se rapprocher de Parvenu. Old Cable croise un métamorphe déjà vu avec Gambit, engagé ici dans de l'espionnage industriel, mais Young Cable veut "laisser" Parvenu tenter sa chance, car les perspectives du futur évoquées par Old Cable le coupent de tout espoir. Old Cable laisse faire, mais joue sur l'ego d'un Parvenu qui veut transformer tout le monde trop vite, et en meurt. Les deux Cables disent tout à Irène, puis chacun admet qu'aucun d'entre eux ne voudrait que le jeune devienne l'ancien. Ils continuent de collaborer ensemble, en espérant que rien ne soit figé finalement. C'est bien, oui. Fabian Nicieza retombe intelligemment sur ses pattes, en gérant bien les caractérisations de ses Cables. Il se fait plaisir en jouant avec d'anciens personnages, et livre de bons rebondissements, avec un Young Cable profond et un Old pertinent dans sa posture. Dommage qu'on ait eu des numéros trop maladroits avant, avec une intrigue pertinente mais mal menée. Scot Eaton & Lan Medina assurent aux dessins, dans une approche fluide et correcte aussi. Une bonne fin d'une mini-série déséquilibrée. |
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Ultimate, c'est ça ? |
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Il y avait des couvs des numéros suivants
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
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Ah, je ne suis pas allé voir, du coup ça va.
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Je le dis et le redis, le meilleur qualité/prix du moment est Batman/Dylan Dog.
Le #2 transforme l'essai du #1! Même si cela a 4 ans car réservé au marché italien au départ, c'est foutrement bon et ancré dans l'histoire du DC Universe mais aussi dans l'univers de Dylan Dog (est-ce une vitrine pour inciter à en publier?). Avec du John Constantine et du Etrigan, je me suis régalé! DC peut solliciter (si ce n'est déjà fait?) Roberto Recchioni pour écrire d'autres histoires! Je n'avais expérimenté Gigi Cavenago que sur Magic Order mais il m'avait tapé dans l’œil. Quant à Werther Dell'Edera, son style est déjà plus connu (même s'il ne dessine pas grand-chose ici logiquement). Très recommandé.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Il y a eu des tests de publication chez Dark Horse, puis , plus récent, chez Epicenter Books, de Dylan Dog (et Zagor)
mais les books étaient un peu cher...
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Shoot Shoot don't talk |
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X-Men #34
Un peu facile, mais un peu malin quand même. Gerry Duggan prépare la fin de sa série, règle quelques éléments mais avance aussi des pions pour que les personnages retombent sur leurs pattes. Alors que M.O.D.O.K. manipule la génétique des agents humains de Orchis pour en faire des monstres qui terrorisent même ceux qui les soutenaient (pourquoi ? Euh...), il est poursuivi par Ms. Marvel (qui incarne "la lumière" des X-Men), Laura, Synch (et ils "règlent" le trouble entre eux) et une Firestar déchaînée. Ils tabassent M.O.D.O.K., tandis que Shadowkat libère un Caliban prisonnier de Orchis. Les X-Men en veulent à Charles Xavier, Kitty veut que Caliban l'amène à lui pour le tuer. Caliban refuse, Wolverine arrive et prend le relais. Kitty s'en veut d'avoir été aussi loin, se dégoûte même. Logan explique que le rêve de Charles est mort et a emporté le rêveur, comme les vies de Moira l'ont étouffées. Il lui rappelle qu'elle a fait ce que son entraînement lui a appris, celui des X-Men et Oggun, pour survivre et se battre. Kitty veut tout arrêter après tout ça, Wolvie la libère maintenant : c'est lui qui va en finir avec Charles... C'est objectivement facile que Gerry Duggan tente de "laver" Kitty comme ça, mais... même court, l'échange avec Logan est bon. Le scénariste finalise bien, la transformation des gars de Orchis est précipitée pour les faire tomber de leur piédestal, mais ça passe. Ça me surprend, mais ça retombe un peu sur ses pieds, avec un Joshua Cassara qui propose des planches efficaces et quelques belles images (notamment Wolverine). Facile, clairement, mais étonnamment pas si mal. |
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The Invincible Iron Man #18
Efficace, encore. Gerry Duggan poursuit la course vers la fin de Fall of X et de la série, sans pleinement emballer mais sans faillir. Ici, un Tony blessé s'associe à Feilong et Magneto (qui "casse" le précédent en ne sachant même pas qui il est, alors que Feilong le hait de lui avoir "pris" Mars). Ils pilotent le géant Sentinel Buster, détruisent quantité d'usines de Stark Sentinels et affrontent Nimrod. Magneto bat ce corps-là de Nimrod en utilisant le Mysterium, puis s'en va. Tony étale Feilong, alors que Rhodey s'enfuie de prison avec l'armure War Machine rapetissée, et Living Laser & Sandman. Efficace, oui. Gerry Duggan règle le problème des Stark Sentinels, montre une vulnérabilité de Nimrod et livre de bons moments du trio Tony/Magneto/Feilong. Ça n'invente rien mais c'est plaisant, avec Creees Lee qui propose des dessins corrects, à défaut de briller. Une bonne poursuite d'une roule balisée mais pas désagréable. |
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