#1951
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Legacy II, fais moi signe si tu les veux pas cher... |
#1952
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Legacy, c'est ce que j'ai lu de mieux.
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#1953
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Merci à tous pour vos réponses, j'avais déjà jeté un oeil à Legacy justement, et j'étais bien intéressé donc vous ne faites que confirmer mon petit coup de coeur!
Pour ce qui est de toutes les autres collections? Et les collections actuelles? |
#1954
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Fantastic Four : Season One
Scénariste : Roberto Aguirre Sacasa Artiste : David Marquez Pitch : Reed Richard a comme idée de développer le voyage spacial touristique. Et pour son premier test, il propose à ses proche de se joindre à lui. Susan storm, son ancienne étudiante et petite amie actuelle. Jonathan Storm, le frère de celle-ci qui travail comme modèle. Et son ami Benjamin Grimm. Mais voilà que le voyage ne se passe pas comme prévu tout 4 vont développer des pouvoirs hors de l'imagination. Heureusement une menace souterraine occupe l'actualité cachant à la fois le test illégale et son crash avec ses conséquences. Mais lorsqu'un monstre attaque new york Red y voit l'opportunité de se présenter à leurs bénéfices. Avis : Une relecture sympathique du début des FF. Quelque différences notable comme l'ajout de la scientifique qui aide Reed. Ou le fait que Reed propose à Mole Man de rejoindre son laboratoire. J'ai aussi retrouvé en ce Namor amnésique et SDF la version de Byrne. J'ai trouvé ça plutôt bien mené et pas trop facile. Bien sur je trouve dommage qu'on ne voit si peut de Doom. Il est intéressant de noter que Reed ici avoue souffrir d'une forme d'autisme. Je me demande s'il se sont inspiré du Sheldon de BBT, le show datant de 2007-2008. En tout cas je n'ai pas vu autre part ce fait être mis en avant pour Mr Fantastic. (Pas dans les rares origines story que j'ai lu, ni même la relecture du mythe dans les Ultimate FF). Après j'ai du mal à voir ce qu'apporte cette lecture. Car on peut difficilement la voir comme une origine story menant à la lecture du run des FF (Même si on a droit au n°570 de Hickman). Après les Earth One de la distingué concurrence triche aussi avec les origines du mythe. Mais ils ont assez de terre parallèles pour que je les mettent à part comme les récents Earht ONE. Là pour marvel c'est plus difficile de lui trouver une place. J'ai beaucoup aimé ce que propose Marquez, même si ce n'est pas parfait au niveau des visages, et qu'il abuse des longues cases rectangulaire, peut pour des panorama mais pour des plans sur une perso (Et beaucoup de vide derrière) et quelque regard appuyé. Alors oui pendant ma lecture ça ne m'a pas gêné et ça a donner du rythme et même de l'émotion, jouant donc pleinement son roles. Mais là en feuilletant pour écrire cette avis je ne peux pas dire être gêner d'en voir autant. Un achat pas chère (5 euros), autant qu'un comics actuel de la maison des idées. Je ne regrette donc pas d'avoir pris ce risque. Je serais même près à chercher le Avengers Season One. ^^ |
#1955
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J'ai toujours un peu ce préjugé sur les écrivains qui viennent produire en comics. C'est deux exercices différents, il a bien des Joe Hill et des Benjamin Percy qui s'en tirent bien, et désormais je viens de découvrir Chelsea Cain qui m'a emballé avec sa série Mockingbird. C'est dur à croire que ce titre était la première expérience en comics de la femme de lettres. Je l'imagine lectrice du genre tant elle a tout compris aux codes, et même aux références qui parlent au fanboy. Ce Mockingbird est d'autant plus une réussite que j'ai du mal avec la résurrection du perso depuis Secret Invasion. Pour faire passer la pilule il fallait un titre intelligent, rempli d'humour, avec des audaces et le tout respectueux des personnages, et c'est exactement la recette appliquée. C'est toujours un plaisir de se laisser surprendre par un sleeper, je savais que ce titre avait une fan-base qui le défendait, et ces gens là avaient du goût. Dommage que l'aventure n'ait duré que 8 épisodes, dorénavant c'est une petite pépite cachée dans l'histoire du médium, qu'on se transmettra de connaisseurs en connaisseurs. A conseiller pour ceux qui ont aimé : - Superior Foes of Spider-Man |
#1956
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Voilà un titre que j'aimerais faire (comme la on going actuelle de Hawkeye et Miss Hulk)
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#1957
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Des Contest of Champions ou Secret Wars revisité il n'y en pas eu temps que cela. Peut être pas original sur le pitch (et encore) mais l'écriture de Jenkins est assez subtile pour de tomber dans la parodie. Sa maxi réserve quand même des surprises même si il est évident que le ton est désenchanté et sans trop d'espoir. L'autre atout c'est quand même les dessins de Carlos Magno, très précis et méticuleux sur Deathmatch. |
#1958
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Le premier Annual de la série Batman de l'ère "Rebirth" n'était pas le fruit de l'auteur Tom King mais une compilation d'histoires courtes par plusieurs scénaristes et dessinateurs. Je l'ai lu et c'est dispensable. En revanche, le deuxième, qui vient de paraître sous le titre Some of these days, est d'un tout autre tonneau et mérite d'être, sans détour, qualifié de chef d'oeuvre, grâce à la qualité de l'équipe qui a travaillé dessus mais aussi, mais surtout, pour sa charge émotionnelle. Autrefois. Batman et Catwoman sont au début de leurs carrières respectives. Une nuit qu'il s'occupe de malfrats dans les bas quartiers de Gotham, elle s'introduit dans la Bat-cave par effraction et vole la Bat-mobile. Alfred Pennyworth avertit son maître qui retrouve rapidement son véhicule ayant éventré la vitrine d'un bar mal famé. Plus tard. Après avoir envoyé le Sphinx derrière les barreaux, Bruce Wayne s'interroge sur la dernière énigme que lui a adressé son ennemi et remarque que son crayon a disparu. Catwoman vient de le lui dérober et elle est encore dans le manoir à l'intérieur duquel il la poursuit. Mais elle parvient à s'en échapper malgré la police qui l'attend à l'extérieur. Plus tard. Catwoman s'enhardit et déverrouille le coffre-fort de Bruce Wayne dans la chambre de ce dernier. Batman la surprend comme elle en retire une perle du collier de feue Martha Wayne. Ils comparent leurs destins similaires, tous deux orphelins très jeunes, mais aussi leurs différences, chacun d'un côté de la loi. Une fois encore, la voleuse réussit à s'éclipser. Plus tard. Batman attend Catwoman chez elle et l'interroge sur ce qui la pousse à constamment le harceler. Elle lui explique le défier ainsi pour le pousser à devenir meilleur, prêt à affronter les vilains les plus retors. Attirés l'un par l'autre, ils finissent par s'embrasser après s'être démasqués pour la première fois, puis évoquent leur première rencontre - sans être d'accord à ce sujet... Beaucoup plus tard. A l'hiver de leurs vies, en couple, Bruce Wayne et Selina Kyle patientent dans le cabinet d'un médecin en continuant à se chamailler sur l'endroit où a eu lieu leur première rencontre. Le docteur les interrompt : il a de mauvaises nouvelles... Atteint d'un mal incurable, Bruce préfère parler d'autre chose pour distraire Selina. Malgré ses efforts, elle craque. Plus tard, elle rencontre leur fille, the Huntress, qui a pris contact avec Zatanna à propos du mal qui ronge Bruce. Mais la magicienne a estimé qu'il était trop tard... Selina, entouré de proches, ferme les yeux de son grand amour. Elle descend ensuite à la Bat-cave et monte dans la Bat-mobile. Un chaton noir s'approche d'elle, portant attaché à son collier un billet sur lequel sont inscrits les derniers mots d'amour de Bruce pour sa femme. Sans vouloir paraître grandiloquent ou définitif (puisque son oeuvre est encore en cours, et qui plus, relativement fraîche), il me semble qu'après la lecture de ces presque quarante pages il y a actuellement, parmi les scénaristes de comics contemporains, Tom King et les autres. En quelques années, cet ex-agent du gouvernement, fan de bandes dessinées depuis son adolescence, reconverti tardivement comme auteur, a fait son trou, patiemment, pour finir par se voir offrir la rédaction d'une série aussi exposée que Batman. Et c'est sans faillir, avec l'assurance d'un auteur aguerri, qu'il conduit le titre depuis maintenant plus de trente numéros, après s'être fait remarqué auparavant ici (un passage chez Marvel avec la mini-série récompensée Vision) et là (Grayson, co-écrit avec Tim Seeley). Il avait laissé son tour pour le premier Annual, mais entre temps, il a pu bouleverser la vie de Batman en officialisant son couple avec Catwoman (une demande en mariage en bonne et due forme à la fin du troisième arc narratif, I am Bane). Profitant de l'occasion, il a choisi de développer cette situation de manière extraordinairement émouvante dans ce deuxième Annual que la couverture sous-titre comme celui des Date nights - Last rites (soit les "rendez-vous nocturnes - derniers rites"). Lee Weeks, artiste trop rare, dessine la première partie du récit, situé dans le passé de Bruce Wayne et Selina Kyle, occupant 30 pages sur les 38 au total du fascicule. Le rythme y est alerte, l'humeur badine, et le découpage moins stricte que ce qu'on a l'habitude de lire dans la production habituelle de King. Weeks traduit magnifiquement ce jeu du chat et de la chauve-souris avec une souris en guise de fil rouge, grâce à ce trait vif, expressif, somptueusement rehaussé par les couleurs de la géniale Elizabeth Breitweiser. King nous montre un couple en formation dont se dégage une tension érotique évidente mais aussi des fêlures similaires : Bruce Wayne et Selina Kyle ont tous deux perdu leurs parents très jeunes et se sont construits sur ce deuil, mais de manière dissemblable. Catwoman provoque son vis-à-vis sciemment pour le mettre à l'épreuve dans ses premiers pas de justicier et King appuie sur le symbole du chat joueur, malicieux, dominateur quand elle lui dit qu'il n'a au fond jamais cessé d'être le riche petit orphelin dans son grand manoir avec son majordome. Batman est dérouté par ce défi sans cesse répété qui ne semble conçu pour le blesser mais pour le réveiller, le maintenir en alerte. C'est effectivement l'objectif. Le ressort très original, à la fois ludique et périlleux, de ce couple repose sur le fait qu'elle agit ainsi pour l'entraîner, l'endurcir, l'améliorer. Catwoman n'est pas une méchante, elle n'est pas le Joker, Double-Face, le Pingouin, le Sphinx : sa position morale est plus ambiguë, ses actes plus troubles, elle ne cherche pas à faire mal. Batman est désarçonné par cela car son activité de cambrioleuse la range du côté des criminels sans qu'elle ait du sang sur les mains - quelle est la différence entre un voleur et un tueur ? Le voleur ne prend jamais de vie. Puis, grâce à une transition magistrale (un échange verbal qui se prolonge sur plusieurs décennies et fluidifie une large ellipse), Michael Lark prend le relais de Weeks au dessin et représente Bruce Wayne et Selina Kyle au soir de leur vie, visiblement retirés de leurs activités masquées, depuis longtemps mariés. Ils attendent en se querellant avec complicité un médecin qui leur apporte une mauvaise nouvelle - la maladie de Bruce. King vient en deux pages de passer de la griserie d'Eros à la noirceur de Thanatos et nous annonce rien moins que la mort de Batman. Le lecteur est saisi, sidéré, a d'abord du mal à réaliser ce qui vient de se jouer, refuse presque d'y croire avant de se rappeler que le héros n'est pas un de ces surhommes pourvu de pouvoirs, altérant sa durée de vie. La suite de ce second acte enchaîne les scènes brèves - Selina ayant requis l'aide de sa fille pour avoir celle de Zatanna et de la magie pour guérir Bruce, Selina affirmant comme jadis qu'elle n'est pas là pour aider Bruce avant de l'embrasser. Puis, tout aussi sèchement, le scénariste nous montre le héros vaincu, terrassé, sur son lit, gisant, sa veuve lui souhaitant de trouver le repos. Le moment est poignant, comme rarement, parce que sans effusions, traité très sobrement, avec beaucoup de dignité et d'intensité. Les grandes BD se distinguent dans ces instants ainsi traduits, les plus délicats, les plus difficiles, les plus extrêmes, les plus intimes, où un auteur réussit, sans recourir à de grands effets, à produire une émotion authentique, touchante. Lorsque l'on ressent comme un des personnages la joie d'un bonheur, la douleur d'une perte, et le temps passé entre les deux, qui densifie ce qu'on cherche à nous communiquer. Alors qu'il nous impressionne actuellement avec Mister Miracle, Tom King avec le concours de deux artistes prodigieux comme le sont Lee Weeks et Michael Lark nous bouleverse avec ce mémorable, déjà classique parmi les classiques, Batman Annual 2. A n'en pas douter, une des lectures les plus puissantes de cette fin d'année - de l'année tout court. Dernière modification par wildcard ; 13/12/2017 à 16h02. |
#1959
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J'ai chercher le Avengers Season One sans le trouvé, à la place on m'a proposé :
Dr Strange : Season One Scenariste Greg Pak Artiste : Emma Rios Un numéro revenant sur les origines de Strange qui ici va vite devoir faire équipe avec Wong et une jeune femme avant de retrouver des bagues avant Mordru. J'ai trouvé ça pas mal mais j'avais trop le film en tête je pense pour apprécier. Y'a trop de choses qui me semble assez similaire sur le début. Bon après tout deux partent du comics de base donc c'est pas surprenant, mais j'ai eut peu de plaisir à revoir ses origines en comparaison du Fantastic Four. Ensuite l'aventure est plutôt pas mal et bien mené. Je pense que la seconde chose qui joue dans le fait que j'ai moins aimé, c'est les dessins. Ils sont bons, mais y'a un coté sombre qui me plait peu (Tout comme les méchants caricatural). On pourra aussi regretté l'absence de Dormamuu. Après le "I come to bargain" c'est ici trop léger et facile comme fin (Mordru perdant sa concentration aspiré dormamuu c'est où, et Wong en mode super guerrier mais qui n'arrive à rien faire, et calmer par Strange avant que les entités du vishanti ne détruise eux aussi la terre par son manque de contrôle). En supplément le premier numéro de Aaron. C'est un petit oui par rapport à ce qu'on m'en a vendu. |
#1960
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Sinon ayant aimé les 2 tomes de Star Trek / Green Lantern j'ai essayé le :
Planet of the Apes / Green Lantern 1 Histoire : Robbie Thompson Scénario : Justin Jordan Artiste : Barnaby Bagenda Les débuts sont un peu différents puisqu'ici une personne masquer va sacrifié un membre de chaque corps afin de retrouver un artefact que les gardiens avaient bien caché. Le mystérieux individus ignore deux choses. Que de l'une quelqu'un a déjà mis la mains sur son bien (Un singe du nom de Cornelius) et que de deux les anneaux ne marche pas dans ce monde car aspirer par l'anneau de ce monde. On va donc en apprendre (Encore) de belle sur les gardiens qui sont (décidément) près à tout pour garder de vilains secret. On va avoir des affrontement entre les différents corps de Lanterns (Green, Red, Sinistro) qui se trouveront là, en plus de ceux que le singe à l'anneau va créer (Car oui cette anneaux à le pouvoir de créer d'autre anneaux mineur). Et Gardener va avoir la pire bonne mauvaise idée de sa carrière à savoir amener Gorilla Grood dans ce monde. J'ai un peu lutter en milieu de tome et décrocher sur la fin tellement ça devenait un peu nawak (Je comprend pas pourquoi le pouvoir et passé à un autre singe qui n'avait pas l'air gentil alors que c'était toujours cornelius qui avait l'anneau (unique). Oui je fais comme Dr strange dans ma lecture du dessus à référencé Lords of the Ring ^^ Et puis surtout à la vérité les dessins ne sont pas gégéne ... Et ça aide pas. Donc pas convaincu. |
#1961
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Ben, justin jordan, faut pas aller plus loin
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#1962
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Seven To Eternity, de Rick Remender & Jerome Opeña. Beaucoup aimé ce premier volume regroupant les 4 premiers numéros. Contrairement à ce que j'ai parfois lu je n'ai pas spécialement trouvé qu'il était difficile de rentrer dans le récit. Certes c'est un monde totalement nouveau mais la trame reste relativement "classique", on est loin d'un Low par exemple je trouve. En tout cas j'ai très vite était pris dedans, on a une belle palette de personnages intéressants, un univers à découvrir, un récit qui sent bon la quête épique, et un vrai propos derrière. Si j'avais d'ailleurs un reproche à faire ça concernerait une planche qui fait perdre à ce propos politique toute subtilité, j'ai trouvé ça assez inutile et grossier dans le discours, dommage. Sinon c'est top et Opeña (qui a apparemment bien participer à l'élaboration de l'univers sur lequel il travail depuis un bail avec Remender) rend de superbes planches! Vivement le tome 2. D'ailleurs j'en profite pour poser une question : j'ai vu que le dernier numéro a avoir été publié est le #9 en août dernier, mais il me semble que ça ne marque pas la fin de la série ?
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#1963
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Je n'avais pas aimé le #1 en vo et avais stoppé de suite.
A 10 euros, je vais peut-être redonner une chance.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#1964
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C'est agréable à lire, il y a du souffle, quelques clichés aussi, mais rien de rédhibitoire. |
#1965
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Bon bien j'ai pas fait gaffe en commandant le Avengers Season One je l'ai reçu mais en allemand. Donc je recommande cette fois en anglais et la version allemande ira au travail.
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