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#1
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Reprise du boulot, donc lectures en vitesse
- 1er numéro du Zorro de Marvel (Ian Rimmer / Mario Capaldi) : Point de Bernardo mais un gamin sourd-muet pour aider le Renard, ce comics reprenant la série des années 90. Peu d'importance si l'on n'est pas familier avec cette continuité : le premier numéro voit Zorro chuter de son cheval et perdre tout souvenir de son identité de Don Diego, ce qui permet d'introduire le lecteur à cette version du personnage. Sympa, avec une petite tentation de la retraite pour notre héros lorsqu'il se rend compte que sa personnalité de justicier avait pris la place de son moi réel. - Les one-shots marquant le début et la fin d'Onslaught, de Lobdell et Waid + Adam Kubert. Quel foutoir. Le premier, Onslaught / X-Men, est construit autour d'une histoire déjà résolue dans la mini Bishop, soit l'identité du traître chez les X-Men, et le prologue s'attarde sur les deux personnages clés (Jean Grey pour le parcours qui la mène à filmer la vidéo évoquant le traître et Bishop) en oubliant complètement les autres héros. Pourtant, il y avait matière à exploiter sur Xavier changeant d'avis sur les méthodes à adopter, mais Onslaught part directement sur la confrontation et se démarque du chauve à roulette. Pour le second, Onslaught / Marvel Universe, on voit les héros gigoter dans tous les sens mais seuls Hulk et le tandem Vision/Malicia mènent des actions claires, ce qui rend la lecture extrêmement confuse. Une note : parmi les héros qui foncent dans Onslaught pour lui donner une substance à abattre (pas du tout clair dans les faits) censément des non-mutants avec une clause exceptionnelle pour la Sorcière Rouge, se trouve Namor, pourtant considéré comme le premier mutant (en terme de chronologie de publication). Oubli étrange de la part de Waid. |
#2
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Sauf que à l'époque, Namor n'était plus un mutant (tout du moins, personne ne s'en rappelait), cela n'est revenu que bien plus tard, avec Fraction je crois !
D'ailleurs pour moi ce n'est pas un mutant, c'est un hybride ! |
#3
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le coup de Namor mutant, c'est pas mentionné dans la série de Byrne?
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#4
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Je ne suis pas volontaire pour vérifier ^^
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#5
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Moi j'avais adoré ces 2 one shots (mais j'adore ce cross aussi).
Kubert carbure a mort. Mais c'est vrai que je n'avais pas fait gaffe pour Wanda (mais vu qu'elle etait necessaire a Heroes Reborn, Marvel a pas fait dans le detail...) Pour Namor, c'est moins genant car pour moi il n'a jamais été un mutant (encore une riche idee de Fraction dans son run pourri...) Et de souvenir, non Byrne n'a jamais sous entendu ça... |
#6
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D'ailleurs c'est drôle car Namor y va alors qu'il est un mutant mais personne ne le relève et pour Wanda c'est l'inverse du coup elle y va "protégée" par ses pouvoirs sur les probabilités mais en fait c'est juste parce qu'elle n'était pas mutante. Du coup Vif-Argent aurait pu y aller ^^ |
#7
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Infinite crisis (les 5 tomes d'urban comics), mis à part day of vengeance et la guerre rann than agar j'ai repris une claque..
Il y a quelques années ça avait été ma première lecture DC, j'avais été un peu paumé. Avec plus de lecture quel bonheur ! ça me donne l'envie de relire crisis on infinite earth et son compagnon et j'espère surtout qu 'Urban va sortir 52. |
#8
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Dans le one-shot, Red Richards explique que ce sont ses pouvoirs mystiques qui ont permis à Wanda d'intégrer Onslaught malgré le fait qu'elle soit mutante.
leonidas : quelles sont tes réserves quant à Day of Vengeance et Rann/Thanagar War ? |
#9
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Wolverine's Revenge : comme quoi quand une histoire est bien écrite il n'y a aucun problème à la relire même si on connait la chute. Avec cet arc Aaron a réussi à justifier toute la violence du perso, de son passage aux enfers jusque son retour sur Terre. Là encore c'est bourrin, très mais en même temps c'est du griffu que l'on lit, et quand on connait la finalité de ce bain de sang on y trouve une certaine finesse. Le choix de Guedes au dessin est parfait, comme Ryp c'est le genre d'artiste qui mal utilisé peut paraître malsain, et quand on leur donne du caviar ils révèlent tout leur talent.
Et encore une fois, une énième fois, il y a ce rapport père/enfant(s) dans les thèmes de prédilections de Aaron, jusqu'où ira-t-il avec ce filon? En tout cas ici il l'a encore utilisé avec brio. |
#10
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Oups, mauvais timing. J'ai voulu me relire Master of Kung Fu, plus précisément l'équivalent singles des récits publiés dans le Thor "Flash" d'Artima (#83-89), avec le retour de "Ku Namfu" aux affaires. Je ne m'attendais pas vraiment à ce que l'histoire traite du rassemblement de groupes terroristes sous la coupe d'un leader fanatique et s'achève au sommet d'une des tours du World Trade Center, avec la menace d'explosion d'une bombe et le crash de l'appareil de Fu Manchu....
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#11
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Relire à bientôt 40 ans les mystères du meurtre écrit par Neil Gaiman et dessiné par P.Graig Russel. .... se dire que l'on fut bien ignorant à la moitié de cet âge et que vieillir a du bon.
Une envie, une folie de prendre ce bouquin, publié par Semic à l'époque, dans ma bibliothèque. La joie d'avoir ce choix. Deux jours que je suis dessus et la magnifique prose de Gaiman a accompagné mes actuelles journées difficiles. Vive le meurtre originel quand il est raconté de la sorte. Quelle poésie dans le verbe qui remonte à la source de façon si évidente que l'on reste subjugué par les conclusions d'une première enquête fondatrice et génératrice de l'univers. Et quand en plus c'est accompagné par les crayons magiques de P.Graig Russel ..... Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 15/09/2016 à 23h27. |
#12
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X-O Manowar version Acclaim, les 14 premiers numéros (Waid et Augustyn / Sean Chen puis Scott Eaton).
Durant la Seconde Guerre Mondiale, les US récupèrent une armure utilisée par les nazis mais n'arrivent pas à l'activer. Seul un petit génie pacifiste, Donovan Wylie, parvient en 1996 à percer ses secrets, et l'armure - qui se lie de façon symbiotique et permanente à son utilisateur - est confié à un soldat à la gueule carrée, sans peur et sans reproche. Lors du baptême du feu de l'armure X-O, Wylie réalise cependant que l'armure réagit à l'instinct de préservation de son usager, mais trop tard pour prévenir le trompe-la-mort qui la porte. Donovan est lui-même obligé de fusionner avec l'armure à son tour pour échapper à la mort, et se retrouve donc à jongler entre ses préoccupation scientifique et la pression de l'armée. Bof. Un Iron Man avec une pincée de Venom/Spawn. Les premiers numéros sont assez sympa avec une pseudo science qui tient la route, mais la série dégringole assez vite avec un triangle amoureux entre le héros, sa compagne psychiatre et une biophysicienne excitée par le danger et plongeant dans l'action flingue à la main et sous tifs à la poitrine (elle se jettera entre autres sur Magnus et Woody). La lecture n'est pas désagréable mais c'est du recyclage d'idées. |
#13
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Suicide Squad version Giffen et Paco Medina. Situé durant la présidence de Luthor, cette série suit une incarnation de la Task Force Omega (parce que "Le X est trop utilisé ces temps-ci") menée par le Sergent Rock et Bulldozer, néanmoins chapeauté par Waller en haut lieu.
Giffen compose une série oscillant entre humour et violence : la première histoire massacre purement et simplement l'ex-Justice League of Antartica pour les connaisseurs, la mission suivante décime une équipe d'inconnus, et Giffen submerge l'île de Kooey Kooey Kooey et ses touristes. A côté de cela, on a un numéro assez baroque sur le recrutement de Deadshot. Par contre, un story arc assez long devient bavard au point que j'ai cru lire du Claremont (une scène bien fétichiste accentuant ce sentiment). Dans les derniers numéros, Giffen fait table rase en réintroduisant des antagonistes de la première série et en évacuant les persos créés pour la série |
#14
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Du old school DC en version semic book : LEGENDS de Wein, Ostrander, Byrne et Kesel.
Très bien. Je ne m'en souvenais pas, et comme ma connaissance du DCU s'est affinée depuis 2004, j'ai découvert à nouveau cette relance se voulant au départ comme un nouveau COIE (idée finalement abandonnée même si un épisode tente le mimétisme en composition de pages). La montée en puissance de la création des nouveaux héros (qui conduira à la nouvelle Justice League) se fait progressivement et DC utilisera à nouveau le concept, quelques années plus tard, des héros qui font peur à l'Amérique (notamment dans Kingdom Come). Je n'ai pas lu l'édition Urban mais on sent bien quelques manques (les séries tie in). Dommage que Wonder Woman arrive comme un cheveux sur la soupe vers la fin. Byrne encré par Kesel, je dis oui. En fait cette relecture m'a été fortement suggérée suite à mon achat (puis lecture) du trop gros bouquin d'Urban sur la ligue Bwa Ha Ha (la Justice League de Giffen, De Matteis et Maguire). A part l'objet, ce fut une agréable lecture, qui a du en surprendre plus d'un à l'époque. Je serais de la suite. Du bon DC, comme j'aime. Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 25/09/2016 à 01h14. |
#15
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