#166
|
||||
|
||||
Justice League vs. Godzilla vs. Kong #5
Bon, c'est dense. Brian Bucellato multiplie les éléments, les événements : Superman agonise, Lois demande et obtient des informations par Mercy Graves sur l'organisation Monarch, Aquaman parvient à stopper Godzilla avec un Kraken et des alliés, Supergirl veut faire de Kong un allié, Gorilla Grodd la manipule pour avoir Kong avec lui, Green Arrow enquête sur la Légion des Assassins, Shazam veut se venger des super-vilains par culpabilité mais se fait avoir par la Legion of Doom, Batman fait construire un gros truc par les Titans, et Lex s'empare de Mechagodzilla alors que Ra's al Ghul veut ressusciter un Titan. Oui, c'est dense. C'est agréable de voir autant d'éléments, d'événements, même si ça part dans tous les sens, quand même. Le sentiment d'urgence est bon, les rebondissements fonctionnent, même si l'univers DC reste "faible" face aux Titans, ce qui surprend un peu. Graphiquement, Christian Duce assure sur les monstres, mais est faible sur les gens... et Tom Derenick vient aider, solidement mais sans briller. Il faut admettre que ça envoie ; pas forcément du bon, mais ça envoie. |
#167
|
||||
|
||||
J'imagine mal Janet ne pas mettre à jour les fichier des vengeurs sur ce qui s'est passé.
|
#168
|
||||
|
||||
Superman #11
Dense, intense et prenant. Joshua Williamson réunit des éléments de sa saga, avec une narration un peu maladroite (un focus de crise au présent, un flashback expliquant comment les gens se sont réunis, et retour au présent), mais beaucoup de bonnes choses. Ici, Superman revient du passé, va à Supercorp où Mercy et Lena le cherchent, alors que la mère de Lex veut pousser sa petite-fille à "lâcher" Lex. Sauf que Graft et Pharm attaquent, pour libérer The Chained. Ils soumettent Superman, menacent Lena (qui veut aider son père, à distance), parviennent à transformer Superman avec de la Kryptonite Rouge, ce qui l'énerve... contre Lex, qui a été amené, mais aussi contre Graft et Pharm. Ca bagarre sec, ça tape dur, mais... les ennemis s'enfuient en libérant de la Kryptonite Verte nocive aux Humains, avec l'aide de la mère de Lex qui se retourne contre Supercorp. Et Lex révèle que ce plan de Kryptonite nocive C'est riche. Je suis en train de relire le début du run en VF, et c'est cool de voir que Joshua Williamson réunisse tout dans un sommet qui arrive vite. C'est un épisode assez "simple" dans son objet, ça se bagarre et ça réunit les éléments, et c'est dommage que cette narration initiale n'est pas fofolle. Le reste est bon, prenant et cool. David Baldeon n'est pas vraiment adapté à une telle histoire, mais il est efficace et solide. J'aime bien, même si c'est plus "simple" ici, un peu maladroit, mais riche. |
#169
|
||||
|
||||
On est sur des sorties au même moment, tu en demandes beaucoup !
|
#170
|
||||
|
||||
Wonder Woman #6
Grosse bagarre ; pas plus, pas moins. Tom King oppose Wonder Woman à la brigade formée contre elle, après qu'elle ait été piégée au Monument de Washington via Steve Trevor, agressé psychiquement devant elle par Dr Psycho. Angle Man booste Dr Psycho, Circé permet l'attaque surprise et un écran global, Giganta joue les muscles, Silver Swan veut aider (mais mal). Diana gagne, exténuée, et Grail arrive. Enorme bagarre encore, Diana l'emporte mais s'effondre. Le Roi de l'Amérique se croit gagnant, mais son énième long récitatif annonce qu'il se trompait. Grosse bagarre, donc. Bien menée, mais avec une voix-off vraiment lourde. Ca reste prenant, mais ça reste un exercice de style, avec une Diana constamment la meilleure, la plus forte, la plus formidable. C'est une bonne bagarre, bien menée par un Daniel Sampere inspiré mais un peu trop propre, et... ça s'arrête là. La back-up sur Trinity est gentillette mais redondante : Lizzie petite ne veut pas dormir, Damian et Jon tentent de l'endormir et cèdent à ses caprices. C'est mignon, mais déjà-vu, même si le graphisme d'Elen Ortega est cool. De bons moments, mais ça reste froid, poseur et Diana est "facile" dans ses réussites. Je n'en doute jamais à l'avance, et cette voix-off me lasse. |
#171
|
||||
|
||||
Titans #8
Transition douce ; pas mal, sans plus. Après Beast World, Tom Taylor enchaîne en posant les conséquences et préparant la suite. Beast Boy a survécu, a ressuscité même, mais les Titans ayant pris le contrôle armées, beaucoup se retournent contre eux. Comme Sarge Steel, incarnant le Bureau de la Souveraineté d'Amanda Waller. Gar le vit mal, part en mission de sauvetage durant une tempête avec les autres, mais est rejeté violemment par les gens en danger. "Raven" vient l'aider, alors qu'elle est dirigée par sa partie noire. Elle agit ainsi pour corrompre les Titans, ce qui plaît à Trigon qui lui révèle son terrible avenir global. Pas mal, oui. Tom Taylor gère, sans fauter, sans briller non plus. Les éléments sont classiques, prévisibles ; convenus mais pas désagréables. Je continue de penser que la survie de Gar est facile, même si je l'aime bien, et je trouve dommage qu'une série sur les Titans qui protègent le monde sans JL se concentre sur des ennemis habituels du titre (Church of Blood, Trigon, Dark Raven)... mais ça se lit. Stephen Segovia est en petite forme, par contre, et ça se voit. Une transition. Pas plus, pas moins. |
#172
|
||||
|
||||
Nightwing #111
Pas mal, pas mal. Tom Taylor enchaîne, doucement, en revenant à des éléments connus de son run et de Nightwing. Batman sollicite Dick car quelqu'un est mort à Gotham, tué comme Heartless le fait, et un enfant a survécu à l'attaque. Nightwing aide l'enfant, avec des flashbacks sur l'aide de Bruce à Dick. Nightwing tique sur les circonstances, voit que le meurtrier n'est pas Heartless mais un copycat et a priori C'est pas mal, oui. C'est un peu redondant de revenir encore sur l'aide de Bruce à Dick, mais Tom Taylor sait bien écrire Grayson, notamment avec des enfants. Il sème encore des éléments sur la peur du vide de Nightwing, caractérise bien le lien Bruce / Dick, et l'ensemble se lit... bon, sans passion. Notamment car Sami Basri n'est vraiment pas en forme, et c'est dommage. Une back-up sur un Grayson du XIVe siècle, revanchard et justicier, est sympathique par Michael W. Conrad et un Francesco Francavilla inspiré. C'est déjà mieux. Je reste patient, mais ça ronronne quand même. |
#173
|
||||
|
||||
A une ex-leader du groupe surement ! Désolé.
|
#174
|
||||
|
||||
Aux éditeurs.
|
#175
|
||||
|
||||
Encore plus.
Je trouve qu'il font de moins en moins d'effort. Sur face de boucq on parlait de Julia Carpenter. J'ai évoquer que pour moi son amitié (Meilleure amie) avec Jess me gêner beaucoup vu comment elle avait traité Julia. J'ai alors spéculer que Jess et Julia n'avait surement pas eu de lien entre elle. Quelqu'un m'a dit que si. Du coup je me suis demandé si le cas Jessica n'était une erreur des scénariste. Après tout la Jessica avec qui Carol avait fait équipe chez les vengeurs était une skrull et non la vraie. Par contre avant Civil Wars Julia était dans ses meilleures amies. Du coup je me suis dit que la scénariste a du lire Spider Woman en meilleur amie et n'avait pas vérifier laquelle. Mais pas que. Les relations sentimental sont devenu un grand n'importe quoi, la cohérence des amitiés passé/présente un peu difficile a défendre de nos jours (Genre Simon/Hank vu tout ce qui s'est passé. Donc oui j'aimerais que les éditeurs bosse un peu plus sur les histoires des personnages pour garder un peu de cohérence. Sinon quitte à tout effacer les conneries au lieu de les ignorer/retconer (Hein stark), ils devrait rebooter leur univers. |
#176
|
||||
|
||||
Je suis d'accord avec toi. J'ai l'impression qu'il n'y a guère de suivi, hormis dans les runs des scénaristes eux-mêmes.
|
#177
|
||||
|
||||
La dessus hélas les actions des persos sont devenus tellement extrêmes que plus personne ne devrait se parler.
Rien que le traitement dernièrement de Peter par les FF dans me run de Wells ou le pauvre péter est au bout de sa vie et explique qu il doit partir sauver Mj et que les FF disent on va d abord faire des test pour voir si on peut te faire confiance... Et puis simplement moi voir Tony dans la même pièce que Captain Marvel ou Steve ça me fait halluciner
__________________
If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
#178
|
||||
|
||||
Il y a quand même eu des frictions et des explications entre Tony et Steve après Civil War.
Je ne dis pas que c'est convaincant, mais ça a existé. |
#179
|
||||
|
||||
Guardians of the Galaxy Annual #1
Un beau et bon final. Colin Kelly & Jackson Lanzing achèvent par cet Annual leur court run, qui finalement n'a été qu'une grosse saga : Grootfall, débutée comme un western déchirant, où des Gardiens désespérés tentent de repousser des invasions massives d'un Groot désormais énorme, pour finalement se terminer sur... un happy-ending touchant. Bien joué. Ici, donc, les Gardiens ont été absorbés par Groot et ont compris que ce dernier est devenu massif car l'aîné de sa race a péri, et il lui revient de relancer la floraison universelle. D'autres Gardiens et gens avaient "péri", en vérité étaient dans Groot le temps de relancer la machine cosmique, via un Super-Soleil. Hélas, l'Empire de Spartax a mal compris, la soeur de Peter mène la fronde et les Gardiens Grootisés doivent la stopper, le temps que Groot soit emmené vers le Super-Soleil. C'est simple mais efficace. Colin Kelly & Jackson Lanzing gèrent bien leurs personnages, et leur script a une poésie soulignée encore par un Kev Walker en très grande forme, et épatant ici. Un run court, donc, mais bien mené, surprenant, un peu "facile" dans les explications sur Groot, mais... ça m'a pris au coeur, et c'est bien. Beau, bon et bien. |
#180
|
||||
|
||||
The Incredible Hulk #9
J'ai l'impression de toujours écrire la même chose : c'est super lent, c'est redondant, mais... quelle super ambiance, et l'intrigue me plaît. A nouveau, Phillip Kennedy Johnson amène un Bruce Banner (hanté par un Hulk qui le hait et le maltraite) et Charlie (la jeune fille qui l'accompagne, car elle voit en Hulk un mentor / protecteur après des années de violence familiale) sur un nouveau lieu rongé par un des Monstres libérés par The Eldest. Cette étrange entité veut manipuler et user de Hulk, et multiplie les opposants pour l'atteindre. Ici, nous sommes à la Nouvelle-Orléans, avec une femme étrange qui s'en prend à ceux qui ne sont pas "polis" ou gentils. Charlie tombe dans ses griffes, hélas, alors que Bruce est troublé, marqué et confronté par une Betty Ross à la solde de The Eldest (mais est-ce elle ?). C'est lent, quand même. Le scénariste prend son temps pour caractériser ses situations, et ça fonctionne, mais déjà neuf numéros, et finalement quasi aucune avancée réelle sur l'intrigue après qu'elle ait été posée. La diversité des Monstres est bonne, le lien Bruce / Charlie / Hulk aussi, et l'ensemble est prenant, mais... c'est lent. Graphiquement, Danny Earls assure dans une belle ambiance, travaillée et oppressante. Toujours bon, mais toujours lent. |
|
|
Discussions similaires | ||||
Discussion | Auteur | Forum | Réponses | Dernier message |
Sorties Singles et Collections 2024 (semaines du 02/10/2024) | scarletneedle | Singles | 148 | 21/09/2024 19h35 |
DC février 2024 | scarletneedle | Sollicitations éditeurs | 4 | 23/03/2024 10h11 |
DC Power 2024 | scarletneedle | Singles | 7 | 26/01/2024 19h31 |