#1771
|
||||
|
||||
La parution bimensuelle de la série All-New Guardians of the Galaxy, si elle oblige la contribution de fill-in artists, compense cela par la qualité de ces intervenants ponctuels. Et le scénariste Gerry Duggan (dont je découvre actuellement ses épisodes - épatants - du volume 3 de Uncanny Avengers) facilite la vie du lecteur, déjà gâté visuellement, par des épisodes où ses dessinateurs intérimaires s'occupent d'histoires compréhensibles sans suivre tout le titre. Sachez cependant que les Gardiens de la Galaxie sont réunis pour un dernier coup, mais Gamora en particulier est intéressée par l'acquisition d'une Pierre de l'Âme et a convaincu Drax de l'accompagner dans cette quête. Mais le Destructeur a récemment décidé de devenir pacifiste. Pourquoi ? On apprend donc qu'en se posant sur une planète, il a découvert une peuplade sous le joug d'un roi cruel. Lorsqu'il croise la route d'esclaves, son sang ne fait qu'un tour et il attaque ce régent. Ce geste de justice aura des conséquences terribles pour les indigènes... Et justifiera que Drax dépose les armes. Duggan est un auteur décidément curieux : capable d'écrire le pitreries de Deadpool (même si je reste hermétique à cet humour), comme de construire une saga sur-vitaminée de Hulk (où le géant vert décidait de faire le grand ménage parmi ses semblables), difficile de se faire un avis sur ses qualités réelles. Scénariste habile ou vraiment inspiré, capable de devenir un scribe qui compte ? Ce 7ème épisode des All-New Guardians of the Galaxy est en tout cas aussi réussi que le #5 (dessiné par Chris Samnee), bien que possédant une tonalité plus dramatique. L'explication sur le revirement radical de Drax est excellente tout en fournissant une bonne dose d'action. Les plus connaisseurs du personnage ont même droit à un clin d'oeil sur son passé, quand il était différemment vêtu et... Jouait du saxophone ! Et puis, bien entendu, la participation de Greg Smallwood donne à ce chapitre un cachet exceptionnel. Il est d'abord surprenant de retrouver l'artiste dans cet univers après sa prestation fabuleuse à Moon Knight, mais, c'est la marque des grands, il y est comme chez lui instantanément. Son travail sur la texture, dû à ce tracé unique (qui fait penser à l'usage d'un crayon non encré), et le découpage (ce jeu sur la disposition des cases, la séquence des images, le rythme donné par le dessin) sont remarquables, très impressionnants. De quoi rendre impatient de savoir où Smallwood va rebondir cet automne - j'adorerai le voir s'approprier Daredevil (avec un bon scénariste si possible - dommage que Jeff Lemire soit reparti chez DC...). Incompréhensiblement, ce 7ème épisode ne figurera pas dans le premier tpb des All-New Guardians of Galaxy, comme si quelqu'un chez Marvel avait imaginé qu'il n'était pas important (comme le n°5) à la continuité de la série. Procurez-vous donc ce single issue sans hésiter ! |
#1772
|
||||
|
||||
Sensational She Hulk 47
Artistes : Scénariste - Simon Furman Dessin - Rick Levens Encrage - Keith Williams Pitch : She Hulk est sur étrange affaire à défendre ou l'homme accuser dit que se sont des poupée qui ont agi. Il semble avoir raison lorsque son quartier est subitement sous le feux d'un combat entre Marionnette. Avis : Un peu déçu par ce numéro hyper étrange. Je sais bien que les sensational n'ont jamais été trop réaliste mais là le fait de voir puppet master gigantesque mais Wezzie à sa taille là ou She hulk est minuscule est mal fait si le tout est une question de perspective (Pour ça Imbattable utilise bien mieux se genre de délire). Les dessins sont loin d'être extraordinaire comme sous byrne et le Watcher au style ... Je sais même pas comment le décrire tellement c'est what the fucK. Sensational She Hulk 51 Scénariste : Scott Benson Artiste : Tom Morgan Pitch : Jen est réveiller par Renée qui lui dit qu'il manque des planche pour éditer une de ses prochaine aventure. She Hulk passe donc au studio Marvel ou elle rencontre un jeune interne et voit des planches de Savage She Hulk. Inquiète de l'image que cela aura sur elle d'éditer ça, elle saute dans la planche. Avis : Mitigé. Y'a des moments drôle comme celui ou elle tente de passer d'une case à l'autre dans un lieu totalement différent avant de se souvenir que Byrne n'étant plus à bord elle n'a plus se pouvoir. D'autre son vraiment trop nawak comme l'ennemi éléphant ridicule (Au plus toute aussi ridicule). J'aime beaucoup le fait que she hulk puisse aller dans les planches BD malgré tout. Les dessins sont pas formidables, mais meilleur que le n°47. J'aime beaucoup comment il dessine les deux She Hulk. On est malgré tout bien loin du niveau de Byrne et on voit sans mal pourquoi là série c'est arrêter au 60. Sensational She Hulk 58 Artistes : Scénariste : Sholly Fischer Dessin : Dennis Jensen Encrage : Barb Kaalberg Pitch : She hulk est embêter par le Gopher qui espère devenir le partenaire de She Hulk. Mais elle doit surtout faire face à un Electro qui est alimenter par une batterie Nucléaire. Avis : Ha si je devais m'avancer je dirais que Dan Slott tiens certaine idée de son run de se comics. Ici en effet on a référence au comics qui permettent au Gopher d'aider Jenifer à battre Electro. Mais à part ça rien a sauver tellement l'aventure n'est pas terrible. D'ailleurs le moment ou Electro n'a plus de jus est mal expliqué, même si assez drôle de le voir complémenter She Hulk pour tenter de pas se faire trop frapper. Y'a de belle planche et d'autre trop moche. Vraiment déçu par ses achats pour rattraper certain de mes trou sur ce volume. |
#1773
|
||||
|
||||
Superboy's Legion 1/2 et 2/2
Artiste : Scénariste et Dessinateur : Mark Farmer Encreur : Alan Davis Pitch : R.J.Brande trouve l'épave d'une navette kryptonnien qui a garder jusque là un bébé en hibernation. Quelque année plus tard Superboy se fait souvent remonter les bretelles par la Science Police qui n'arrive plus à toléré qu'il transgresse les règles. La science Police menace même Brande de représailles en lui prenant son entreprise s'il n'arrive pas à contrôler superboy. Brande s'énerve alors contre son fils adoptif lui disant à quel point il est déçu. Superboy part en pleur pour les étoiles bien décider à ne plus revenir. Il croise d'abort un Green Lantern avant de décider de sauver un vaisseau en perdition avec l'aide des futurs Saturne Girl et Cosmic Boy. Superboy décide alors d'ouvrir l'inscription à tout les jeunes à pouvoir de l'univers avant de s'atteler à leur première tache (Le sauvetage d'une planète menacer par une astéroïde) avant qu'un mystérieux personnage soit intriguer par Brainiac5. Avis : On est dans un très bon elseworld. On dépend très rapidement par Brande que sans superman les héros du 20éme siècle ont été décimer. On apprendra plus tard par qui et comment. On a d'autre version de personnage connu (Assez peu pour moi qui est donc lut avec plaisir). Mon seul point négatif sera de dire qu'a vouloir mettre beaucoup des personnages de la légion aimé des fans, les auteurs en mettent peut-être un peu trop, et que certain n'ont pas le temps de vraiment briller. Un peu déçu qu'on ne reparle pas non plus du cas des Green Lantern de cette univers Coté artistique le duo Farmer/Davis fonctionne merveilleusement. Je regrette qu'il n'y ait pas eut de suite. Et je conseille à tout les amoureux (Ou non) de la légion. |
#1774
|
||||
|
||||
Je viens de dévorer les 5 numéros de Ether de Kindt et Rubin et franchement c'est l'une des meilleures lectures comics de l'année (donc jusque là, je veux dire)
Kindt construit un univers complexe, avec pas mal de pistes ouvertes pour "autre chose", des personnages qui ont encore beaucoup à raconter, qu'il s'agisse de leur histoire sur Terre ou dans l'Ether. C'est réellement passionnant, la porte ouverte à des suites, à d'autres histoires ! L'écriture est vraiment très fluide, sans jamais être cryptique, on se laisse porter par le récit, découvrant la richesse de cette mini-série passée quelque peu inaperçue je trouve (aucune boutique que j'ai été voir n'avait pris le "risque" d'en commander des exemplaires pour leur rayon par exemple, je n'avais d'autres choix que de la VPC) Graphiquement, c'est bien évidemment sublime, du Rubin en très grande forme, qui s'en donne à cœur joie pour nourrir ce monde magique très mystérieux ! Toutefois, on garde quand même tout du long le sentiment d'à peine effleurer cet Ether et son peuple. Tout est tellement concentré sur Boone qu'au final on aurait envie qu'ensuite ça aille un peu plus loin ! Donc très bonne surprise, maintenant on attend la suite Du coup, je me relirais bien The Fiction tiens !!!
__________________
Mon site (qui date ) Dernière modification par FredGri ; 05/08/2017 à 13h32. |
#1775
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
#1776
|
||||
|
||||
David Rubin a déjà un bon palmarès au compteur, qu'il s'agisse de ses albums "européens" comme les deux volumes de Héros, son Beowulf ou ses œuvres "de jeunesse" comme Hors d'atteinte ou Le salon de thé de l'ours malais ou bien de son boulot US comme les deux Aurora West avec Paul Pope ou l'excellente mini-série parue en 2015: The Fiction !
C'est en effet, à mes yeux un auteur à suivre absolument, des projets à venir, et j'espère une prochaine trad de son Gran Hotel Torismo, je crois qu'il est sur le Black Hammer 12 et en Octobre sur le spin off de la série... J'avoue que c'est enthousiasmant. Donc le fan que je suis est heureux (au cas ou j'ai mis les liens vers les avis que j'ai écrit sur Sceneario, pour les albums pré-cités !!!)
__________________
Mon site (qui date ) Dernière modification par FredGri ; 07/08/2017 à 11h52. |
#1777
|
|||
|
|||
Il a déjà illustré Black Hammer #9 et en effet il fera le #12.
Merci pour les liens |
#1778
|
||||
|
||||
J'ai le 9 (le seul single que j'ai de la série )
Et de rien pour les liens. Pas de prétention derrière tout ça, juste l'envie d'informer, au cas ou. Je me rends juste compte que je n'ai pas chroniqué The Fiction, du coup je vais relire la mini ce soir
__________________
Mon site (qui date ) |
#1779
|
||||
|
||||
Le 9ème épisode du Hawkeye de Kelly Thompson et Leonardo Romero poursuit son bonhomme de chemin. Ou, ce serait plus juste, continue de progresser car il est clair que la série a franchi un cap depuis deux épisodes, en resserrant son intrigue sur le passé de Kate (et ses conséquences sur son présent) : l'héroïne a retrouvé son père, ou plutôt un LMD de son père, doté de pouvoirs sur la suggestion, et qui lui a précisément laissée entendre qu'elle aussi détient sans doute des capacités surhumaines grâce à son héritage génétique. Quoi de mieux pour vérifier cette théorie que de l'éprouver dans une sorte de fight club où Kate a retrouvé Liam Donnelly, le père d'Anna, sa dernière cliente, qui vient se battre là pour éponger ses dettes ? Lorsque l'inspectrice Rivera interroge Quinn, Ramone et Johnny, les assistants de Kate, pour savoir où elle est passée, tous ensemble vont à sa rescousse... Si tant est qu'elle a besoin. Il FAUT vraiment lire (ne serait-ce que pour la soutenir, mais surtout pour le plaisir) ce nouveau volume de Hawkeye : le scénario est toujours aussi bien mené, mélange de fraîcheur, d'humour (Kate a toujours des punchlines imparables) et d'action. L'aspect detective story de la série n'est pas sophistiqué mais les enquêtes de Kate sont surprenantes, nous entraînant dans les bas-fonds de Los Angeles, avec des adversaires à la fois coriaces et inattendus (et originaux - seule Mme Masque reste une figure familière mais le plus souvent dans l'ombre, tirant les ficelles). Et il FAUT lire Hawkeye pour Leonardo Romero qui est un artiste à l'image de la série : son style, inspiré de la "ligne claire", trait simple et élégant, représentant les nombreuses filles du titre avec bon goût, cache bien son jeu car, par ailleurs, le découpage est toujours épatant, les compositions des plans soignées, le tout servi par la superbe colo de Jordie Bellaire. Enfin, la dernière page, comme à l'accoutumée désormais, suggère une surprise vraiment accrocheuse pour la suite. Lisez Hawkeye ! |
#1780
|
||||
|
||||
J'ai continué mon marathon Excalibur vol.1, là j'en suis vers le 75...
Après une série d'épisodes très pénibles à lire, le grand écart est absolu avec le retour de Davis au 42, au dessin et en seul scénariste. Ce deuxième run est passionnant, et reprend peu ou prou les intrigues et personnages du premier. A part Kitty qui retrouve ses équipiers et la réunion d'Excalibur avec les X-Men qui passaient pour morts depuis un bail, il y a bien peu à retenir de la période intermédiaire. La série ne perd rien de son fun, les personnages féminins de Davis sont à croquer (et en particulier Kitty, tour à tour boudeuse et espiègle, la vision du personnage par Davis est pour moi définitive), mais en plus l'artiste va résoudre toutes les intrigues et questions en suspens depuis son départ et celui de Claremont. Il faut dire aussi que ce premier run a été un peu gâché par une saga interminable avec des fill-in bien trop éloignés du style de Davis. Ici ça passe bien mieux notamment avec quelques épisodes par Madureira. Quant au scénario, loin des errements de la saga Cross Time Caper , on a ici une série d'épisodes parmi les plus intéressants pour la mythologie mutante: les origines et la nature du Phénix (quel face-a-face avec Galactus), une suite et fin (ou presque) à Days Of Future Past...n'en jetez plus. Si je dois adresser un seul bémol c'est l'ajout à la fourche des nouveaux persos comme Cerise. D'ailleurs je me demande si les épisodes par Lobdell juste après Davis qui révèlent son origine et les circonstances de son irruption sur Terre ne sont pas inspirés par des éventuelles notes de Davis? La periode suivante fait retomber l'équipe dans une sorte de train-train interrompu par les crossovers et intrigues communs à plusieurs séries de l'epoque: Attractions Fatales, le Complot Phalanx, le Maître de Jeu et ses Parvenus...ça va être dur de tenir jusqu'au run d'Ellis. |
#1781
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
#1782
|
||||
|
||||
Ben j'ai même pas l'impression que Claremont ait essayé de faire des dialogues drôles, l'humour passe surtout par les situations illustrées par Davis (d'où le souci des fill-in incapables de reproduire cette ambiance).
Et malgré l'ambiance humoristique Claremont a fait comme sur X-Men: lancer en quelques cases des sous-intrigues qui seraient résolues un jour...ou pas. Davis a fait un travail remarquable pour remettre de l'ordre et conclure cette première période qui aurait été une fin parfaite pour la série. |
#1783
|
||||
|
||||
Oui Claremont faisait quand même du très bon boulot sur cette série, mais c'est vrai aussi que Davis transcendait complètement l'ensemble, et on s'en rend bien compte quand il est seul aux commandes.
Perso, je n'ai longtemps eu que les Davis, avec les quelques Marshal Rogers qui venaient s'intercaler deçi delà. Mais malgré Lobdell il y a quelques petits passages entre les deux grosses périodes Davis qui sont sympas, même si ça ne valait absolument pas ce qu'il pouvait faire de son côté, c'est clair ! Plus tard Ellis fera du bon taff, bien que de mémoire els épisodes de Lashley faisaient mal aux yeux, par contre ceux de Pacheco étaient très sympa !
__________________
Mon site (qui date ) |
#1784
|
||||
|
||||
Je viens de me récupérer le second volume de Distant Soil version remasterisée, dira-t on ! (6€ sur Amazon, visiblement une occas' qui a très vite été rectifiée, à ce que je vois, tant mieux pour moi )
Et je dois bien dire que malgré l'ambiance parfois assez kitch de l'ensemble, je reste assez fan du travail de Doran sur sa série. Les dessins sont vraiment d'une grande finesse et très expressifs et l'univers me plait assez en fin de compte. Je pense que pour lire ce deuxième tome il va falloir certainement que je relise le premier Il semble néanmoins que Doran et Image aient eu, fin 2014 des soucis avec un imprimeur qui aurait coulé, perdant dans la foulée une grosse quantité de négatifs, dont tout le matos lié à Distant Soil, ce qui a couté énormément d'argent à Doran d'une part et qui couterait encore plus cher pour tout recommencer et tout réimprimer... Du coup, les deux volumes qui devaient suivre sont étrangement tombés dans les oubliettes. J'ai un gros doute que ça se soit bien vendu aussi, c'est très connoté 80's... Toutefois, le travail de restauration, de remise à niveau de Doran (beaucoup de planches de refaites, par exemple) est époustouflant et c'est dommage que l'on n'ai pas la suite avant un bout de temps ! Faudrait que je me renseigne pour savoir ou en est cette histoire ! En tout cas, penchez vous sur cette série, ça en vaut la peine ! Mon avis sur le premier volume, au cas ou...
__________________
Mon site (qui date ) |
#1785
|
||||
|
||||
Pour ma part, j'aime beaucoup la saga Cross-Time Caper, même s'il est effectivement dommage que Davis n'ait pas pu la dessiner entièrement. En même temps, quand on voit le foisonnement de chaque image et de chaque planche, tenir le rythme avec cette richesse dans les détails me semble impossible (il suffit d'examiner avec quel soin Davis illustre le moindre arrière-plan, décors et figurants compris, c'est insensé).
Mais j'adore ces bonds dans toutes les dimensions, on ne sait jamais où l'équipe va tomber. Même en la relisant, cette saga conserve sa fraîcheur, son énergie. Pour ce qui concerne l'humour et son traitement par Claremont, d'une part il est peu comparable avec les facéties plus farcesques de DeMatteis-Giffen sur JLI, là on est dans un comique british, du non-sense, de l'absurde. C'est plus fin (même si je ne déprécie pas la JLI, très drôle aussi, mais plus simplement, plus directement). D'autre part Claremont co-écrivait avec Davis comme il le faisait avec Byrne, quoique de manière beaucoup plus harmonieuse (Davis a toujours déclaré que Claremont avait été son partenaire non seulement le plus doué mais le plus aimable), donc le mérite est partagé. Je pense juste que Excalibur détone tellement dans l'oeuvre de Claremont qu'on a du mal à concevoir qu'il ait pu être drôle tout seul. Moi, je crois qu'il s'éclatait avec Davis (les Annuals des New Mutants ou celui des Uncanny X-Men en témoignent aussi en étant aussi marrants), qu'il y avait une vraie complicité, une vraie complémentarité entre eux. Je suis aussi en train de relire tout ça en ce moment (même si je vais sauter les épisodes entre la fin du run de Claremont et Davis et ceux de Davis en solo). Après Davis, j'ai arrêté net la série, c'était inégalable et, finalement, comme Nextwave, j'espère que Marvel n'osera jamais relancer le titre (surtout en osant promettre quelque chose d'aussi détonant). Il y a des choses comme ça qui doivent rester en l'état, y revenir ne peut que les gâcher. |
|
|
Discussions similaires | ||||
Discussion | Auteur | Forum | Réponses | Dernier message |
Que RE-lisez vous en ce moment? | EsseJi | Critiques VO et VF des forumers | 2645 | 18/05/2024 20h58 |
Que lisez vous en ce moment? (part II) | PSYCHO PIRATE | Critiques VO et VF des forumers | 11839 | 07/06/2015 09h30 |