#1696
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Ah ouais, Norway no mori.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
#1697
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EN tant que père indigne, j'ai regardé la BA du film Deadpool avec ma fille qui veut absolument le voir...
Du coup j'ai ressorti le premier volume des aventures de DEadpool de Joe Kelly chez Panini, qu'on lit à deux... Et je suis très surpris de voir que c'est devenu culte à ce point... La traduction n'aide pas, je dois dire. Entre l'argot très caricatural employé par les personnages et les relations pas évidentes entre les textes et les images, je dois dire qu'il faut s'accrocher et encore plus pour trouver ça drôle (Deadpool a le même humour que tous les cons en costumes qui font du stand-up pourri dans les bars américains). Mais ce qui me dérange le plus, c'est que c'est très mal écrit. Il y a des planches où on comprend rien à ce qui se passe. il faut être clair, il y ades pages où les persos sont représentés en ombres chinoises en alternance avec des gros plans et on est bien en peine de réaliser qui a donné un coup de pied à qui... Alors oui un personnage peut faire un pose bouffant la moitié de la page mals du coup il n'y a pas de décor, et on ne situe pas vraiment les personnages. Les blagues sur la cécité de Al tombent à plat la plupart du temps... c'est très amateur je trouve. Ca s'arrange avec l'histoire de Typhoïde mais bon je ne suis pas devant le chef d'oeuvre méséstimé escompté. |
#1698
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Est-ce la même traduction que la version magazine de l'époque ?
Après, le début de cette série régulière rebondit pas mal sur les deux mini-séries qui l'ont précédé (la Fouine dans la première, le deal avec Syren, Black Tom et le fléau dans la seconde) ET sur la série Wolverine de l'époque Onslaught. Beaucoup de bagages donc... |
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Honnêtement, j'ai l'haibtude de raccrocher les wagons en comics... donc en effet il y a pas mal des persos à introduire mais mon vrai problème, ça a été de rééxpliquer ce qu'on a lu et qui aurait du être clair. La mise en page est juste à chier...Ca m'a rappler les horribles numéros des X-Men pour le retour de Claremont avec Leinil Yu...On comprend rien parce q'en entre les planches où ils sautent tous en avant les bras tendus pour rien et les scène importantes sur format timbre post avec les persos en "silhouette" qui parlent (du coup in ne sait pas qui dit quoi). labsence du décor qui fait qu'on sui Diablo et Cécliia reyes infférement à l'église, dans un dispenser et puis dans une cave aux fond uniformément bleu pour bien nous aider à suivre... Non pour moi c'est ni fait ni à faire. C'est technique.
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#1700
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J'ai attaqué la relecture integrale (et je n'ai jamais lu la fin, ce sera donc une lecture!) de Planetary, suite a l'annonce de la reedition prochaine d'Urban.
Putain ce que c'est bon!!!!!!!! |
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Relecture de Solo Avengers / Avengers Spotlight par bribe.
Comme l'indique plus ou moins le titre, les numéros se focalise sur les aventures solo d'un des Vengeurs mais contiennent pour beaucoup deux histoires : l'une généralement consacrée à Oeil de Faucon (m'en fous, je fais de la résistance !) et l'autre à un Vengeur n'ayant pas droit à sa série. Je zappe surtout les parties publiées en VF (Hawkeye vs Trickshot quand c'était encore original) pour voir les inédits : sympa, je découvre les débuts de la rédemption de Rita DeMara sous le crayon d'Amanda Conner, une histoire sur Dane Withman par Stern et Paul Ryan, Hellcat confrontée à son passée par DeMatteis et June Brigman, les suites de la saga Olympienne (après le siège de la maison des Vengeurs) par Bob Layton, la résurrection de Dragon Lune à la suite de The New Defenders... |
#1702
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J'ai repris quelques one-shots Tangent Comics, soit un univers parallèle de DC assez différent des Elseworld : au lieu de transposer les personnages dans une autre époque en gardant peu ou prou leurs personnalités et pouvoirs, cette ligne de comics les réinvente sur des concepts de Dan Jurgens repris par divers scénaristes. Ainsi, dans un monde où la crise de Cuba s'est aggravé et la Guerre Froide s'est réchauffée en un conflit ouvert en Tchécoslovaquie, Green Lantern est une gardienne spirituelle ramenant provisoirement les morts à la vie pour qu'ils accomplissent une dernière mission, les Metal Men sont une unité militaire d'élite réputée pour revenir intacte de chacune de ses mission, Flash une adolescente née dans l'espace et dotée de pouvoirs liés à la lumière, Wonder Woman une création génétique extra-terrestre hybride de deux races en conflit qui, en combat, se lance dans des monologues philosophiques...
Bonne lecture pour l'instant : Peter David s'occupe de l'amazone verte à queue qu'est Wonder Woman avec son humour habituel en ouvrant l'histoire sur une blague sur Descartes (déjà entendue dans Babylon 5) qui préfigure la conclusion du numéro ; Robinson laisse parler son amour pour l'âge d'or en faisant de Captain Comet un Rocketeer, de King Faraday un investigateur de l'étrange et en transformant Captain Boomerang en leader de formation aérienne à la Blackhawk ; Ron Marz compose un récit solide sur Metal Men, en mettant en parallèle le récit de la dernière mission des Metal Men à une journaliste avec les faits réels ; le one-shot Flash est résolument comique, et la jeune héroïne évite sans trop de difficulté les pièges de son père, littéralement décrit dans l'annexe comme une fusion entre Dick Dastardly et l'inspecteur Clouseau. D'ailleurs, chaque fin de numéro permet de découvrir le concept proposé par Dan Jurgens, l'évolution via plusieurs esquisses et l'influence de chacun des auteurs sur le produit final. |
#1703
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Tangent m'a toujours intrigué. Les numéros sont-ils aisément disponibles, y a-t-il des TPB ?
Merci de ces retours toujours instructifs. |
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Je les ai trouvé assez simplement en singles. Il y a deux TPB pour la première vague de 1997, un TPB pour les one shots de l'année suivante et 2 TPB pour la maxi série Superman's reign (située plusieurs années après) - j'ignore par contre si les TPB des séries de 97 et 98 comprennent le matériel supplémentaire disponible en fin de single.
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#1705
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Merci, je vais me renseigner. Ce serait dommage que ces bonus soient squizzés.
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Aquaman de PAD (#1-46 + 0) avec principalement Elgeland et Calafiore au dessin. L'ex-souverain d'Atlantis est devenu un hermite, mais est ramené à la civilisation par Aqualad, qui lui transmet une mission confiée par l'armée US. Cela s'avère être un piège de Charybde, un nouvel ennemi qui convoite les pouvoirs d'Aquaman dont il compte se servir pour dominer le monde. Enlevé, Aquaman rencontre la mystérieuse Dolphin et, bien qu'il parvienne à vaincre Charybde, Orin a sa main gauche dévorée par des piranhas. Après quelques affrontements contre Lobo, Superboy ou Kyle Rayner, Aquaman rencontre son fils inuit qu'il confie à Atlantis, et se voit conférer la mission de réunir les cités perdues d'Atlantis contre une invasion alien imminente, puis est impliqué dans un conflit entre Poséidon et son fils rebelle Triton.
Avec une écriture toujours de qualité, Peter David redéfinit le personnage d'Aquaman, en allant vers une transformation radicale (ce qui était plus ou moins la norme à l'époque, il faut dire). Le début du run est particulièrement sombre pour l'auteur, qui laisse cependant poindre son humour habituel et quelques références Star Trek (un docteur McCoy demande à Orin de ne pas lui faire de remarque sur son nom, la découverte d'un fils inconnu se fait sur le modèle de Star Trek II). Là où PaD excelle cependant, c'est dans la description toujours légères des relations entre personnage, et dans le portrait de héros faillibles et sur le fil du rasoir (Fallen Angel, Captain Marvel, Hulk vers la fin du Panthéon) et Aquaman ne fait pas exception à la règle. J'ai l'impression en passant que Morrison s'est inspiré de la scène du retour de Mera (qui trouve Aquaman et Dolphin sur la couche conjugale) pour son run de Uncanny X-Men |
#1707
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The Question, la série post-Crisis de Dennis O'Neil illustrée par Cowan : Victor Sage est un reporter de la ville de Hub City, ville corrompue jusqu'à la moelle à côté de laquelle Gotham ressemble à Metropolis. La nuit, il combat le crime sous l'identité de The Question. Le premier numéro de la série le voit affronter Lady Shiva qui le met rapidement KO, et les hommes de main d'un prédicateur fou le laissent pour mort après lui avoir brisé les os, tiré une balle dans la tête et jeté dans un fleuve. Il est cependant secouru par Lady Shiva qui, sentant sa combativité et son attrait pour la violence, le soigne et le confie à Richard Dragon. La série suit donc le retour de Sage à Hub City après une année d'entraînement et ses efforts pour sauver une ville toujours plus proche de l'effondrement.
Dans le ton, la série est assez proche des séries Green Arrow ou The Vigilante, chacun de ces titres dépassant la simple thématique du justicier défouraillant les criminels pour étudier son impact sur le héros et son entourage. Dennis O'Neil dépeint une ville en pleine chute et propose des portraits de personnages qui suscitent à la fois répulsion et empathie, tout en parvenant à varier le format de ses histoires. |
#1708
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avec un épisode fantastique (le 3 ou 4) avec la vieille sur le banc
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#1709
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C'est un plaisir de lire tes retours, JB.
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#1710
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