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Pour pouvoir sortir également Final Night ?
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Alors du coup ça a été un échec complet ^^.
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Mais avec Final Night et Zero hour, Semic pouvait du coup aussi sortir le Green Arrow de Kevin Smith C'est la stratégie de parution "marabout - bout de ficelle - selle de cheval"
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Oh, Zero Hour est compréhensible en lui-même.
A l'époque, j'avais juste chopé le tpb (qui contenant certes les bouts de Showcase) et je n'avais pas tant galéré que ça.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Oui je n'ai pas un souvenir de truc incompréhensible.
Certes pas simple d'accès mais je ne me rappelle pas avoir lutté pour capter.
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Si ça continue faudra que ça cesse! |
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Y'a quand même masse de perso qu'on avait jamais vu en France, le coup de Monarch/Extant et le reboot de Hawkman...
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Wonder Man, My Fair Super Hero : une histoire de rédemption, de mémoire et d'amour. Un beau programme pour cette mini. Écrite par Peter David, son seul défaut serait la partie graphique avec un Andrew Currie soit trop mal inspiré sur les proportions des personnages et la fin en mode baclage, le fill-in de Todd Nauck vient un peu sauver le tout. Sinon sur l'histoire en elle-même c'est encore une fois une réussite de la part de PaD, à son habitude il mêle humour et réflexion, maîtrise du marvel universe et très bonne caractérisations. On se régale des dialogues et des jeux de mots, ses situations sont comme à chaque fois bien trouvées et aucune scène n'est artificielle. Une mini qui aurait mérité un meilleur traitement graphique, mais on le sait PaD est souvent abonné depuis des années aux auteurs non bankable, ou alors jusqu'au moment où ils le deviennent. Un très bon moment de relecture, je gardais un souvenir dans les grandes lignes de cette mini, après mettre rafraîchi l'esprit et après l'avoir lu pour la première fois d'une traite je pense qu'elle restera plus longtemps dans mon esprit.
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Ces temps-ci, je repars sur les séries Comics' Greatest World avec les séries originelles X et Ghost. En rouvrant les pages de ces numéros, je redécouvre les jeunes talents de l'époque, soit Ivan Reis et Doug Mahnke. Pour le contenu, un crossover Ghost/Barbwire offre une histoire assez gonflée, avec une guerre des sexes poussée à son paroxysme sous l'influence d'un démon : un gang de fillettes de moins de 10 ans éventre joyeusement un garçon en griffonnant des comptines sur leur acte, une mère arrache les vêtements de sa fille adolescente pour séduire des étudiants qui passent, et les héroïnes sauvent la situation par le pouvoir du baiser saphique. Etrange.
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Ah oui, la mini Wonder Man, en dépit d'un graphisme .... différent, était du top-David.
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Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
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Incredible Hulk #55 à #69 (dessins de Leandro Fernandez) Hide in Plain Sight Un arc qui absorbe la médiocrité. On se demande ce qui a pu passe par la tête de Jones. Autant l'intrigue à la X-Files peut sembler longue mais elle est cohérente et maitrisée, autant cette excursion dans le marvel verse avec l'homme absorbant est un échec sur toute la ligne. Jones tente de donner une nouvelle approche des pouvoirs de Creel et cela donne du n'importe nawak. On ne saisi pas comment Banner se trouve impliqué la dedans et en plus il y a une nouvelle figure féminine qui sera oublier sitôt cet arc passé. Leandro Fernandez aurait pu faire des étincelles mais il a également l'air de se demander ce qu'il fait dans cette galère. D'où une prestation graphique pas appropriée et pas du niveau de cet artiste. Une horreur. Incredible Hulk #60 à #65 (dessins de Deodato Jr) Split Decisions Enfin on accélère quoi que. Jones donne un sérieux coup de fouet à son intrigue et c'est dommage qu'il ne conclue pas ici ce qui aurait donné une fin plus que correct. C'est la réunion de tout les protagonistes et de toutes les intrigues dans un récit qui lorgne vers l'horreur (le clone de Banner, les Krills) avec un Hulk très présent et puissant sous les pinceaux de Deodato Jr. Il y a de bonnes idées (les Krills), un rapprochement entre Samson et Vertugo mais également de jolie face à face attendus (Betty - Nadia et Betty - Banner). Mais le scénariste pèche par gourmandise et le dernier épisode #65 fait de la peine au lecteur qui, à l'instar de X-Files, se rend compte que Jones peut continuer à ce rythme pendant longtemps. D'où une perte d'intérêt pour le final explosif et qui n'offre pas une fin à la hauteur d'un personnage comme Sandra Vertugo et son fils. La révélation sur l'identité de Mister Blue m'a plu par contre. C'est bien fait et je pense que plus d'un lecteur a du être surpris à l'époque. Les problèmes avec Betty vont venir ensuite. Allez on repart pour un tour.... Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 07/12/2015 à 21h12. |
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Dead Like Me De toute façon on est désormais en permanence dans l'arc de trop. Dead Like Me n'est intrinsèquement pas mauvais mais Jones tire toujours sur les mêmes ficelles et cela se voit. Donc plus aucune surprise pour le lecteur. Au contraire sa vision de Betty Banner choque. Il en fait une espionne parfaite, soldat d'un armée fantôme sans personne pour la diriger. Faire revenir Betty ainsi n'était pas une mauvaise idée (quoi que PaD ne l'a pas vu ainsi) mais sitôt le mystère éventé on sent Jones maladroit comme si il ne savait pas trop quoi faire avec ce nouveau personnage. Reste les différents triangle amoureux que le scénariste instaure qui aurait pu donner sur le long terme quelque chose de très intéressant. Samson - Betty c'est crédible. Et Jones aurait réussi à donner une existence à Nadia crée par Peter David. Cet arc est également une grande déception sur le sort de Sandra Vertugo et son fils, dont on attend la résurrection en vain. Côté menace pas d'inspiration non plus mais du réchauffé avec le clone de Banner métamorphosé en horreur vivante. Hulk est alors en proie à un moment de violence rare. Doug Braithwaite encré par Bill Reinhold (un encreur qui lui convient parfaitement) se fond immédiatement dans l'univers de la série dans une prestation qui rappelle celle de ces prédécesseurs. On quitte les protagonistes en se demandant ce que l'on a réellement lu et où Jones souhaite en venir (mais le sait il lui même à ce moment de son run). Incredible Hulk #70 (dessins de Mike Deodato Jr) Simetry Stand alone qui voit Banner encore en fuite aider un mystérieux personnage en fin de vie. Pas mal et cela tranche enfin avec la confusion de l'arc précédent. Jones trace sa route sur le chemin du fugitif et on peste qu'il ne nous propose pas une suite d'épisode e cet acabit qui aurait renoué avec la tradition de Banner sillonnant l'Amérique profonde. Incredible Hulk #71 à #74 (dessins de Mike Deodato Jr et Doug Braithwaite Big Things Iron Man s'en mêle. On peut faire un parallèle avec Hide in Plain Sight.Aucune maitrise de la part de Jones dès qu'il s'éloigne de ce qu'il sait faire. C'est poussif et laborieux et l'intrigue est très confuse. L'implication de Tony stark aurait pu être mieux amené. Jones a surement du recevoir des pressions éditoriales car on voit bien que le ton du récit évolue pour aboutir à la mise en place de pion pour le final qui sera expédié. L'atmosphère à la X-Files avec iron Man ne fonctionne pas. Le lecteur n'a aucun attachement pour les nouveaux protagonistes présentés. L'armure d'Iron Man est mal dessinée et on sent les deux artistes peu à l'aise. Incredible Hulk #75 (dessins de Darick Robertson) Wake to nightmare Incredible Hulk #76 (dessins de Doug Braithwaite) Shaterred C'est le chant du signe. La fin du long run de Jones et la fin de ces idées. Fallait il revenir à tout prix sur la résolution de principal mystère, à savoir le grand manitou derrière tout cela ? Non je ne crois pas. Jones accumule les erreurs dans deux épisodes copieux mais expédié et écrit de manière très maladroits. Le premier est à oublier (celui anniversaire, le #75) avec un enchainement sur la fin de l'arc Big Things qui est une de pires transitions que j'ai pu lire. On ne croit pas une seule seconde à ce que l'on voit (seul Banner devenu très neuneu est pris dans le piège). Jones lache immédiatement l'identité du vilain derrière tout cela et continue dans le ridicule (la machine à remonter dans le temps sérieux !). Stark est le chainon manquant pour rapatrier le trio Samson-Betty-Nadia (qui n'a rien à faire là). Même Darick Robertson semble ne pas y croire bien que sa prestation reste correct. La conclusion se trouve dans le #76. Beaucoup d'action, une mort inutile est jamais exploitée par la suite, des personnages out of character (Betty surtout) aux réactions surprenantes, un Leader aux capacités mentales surpuissantes et aux motivations disproportionnées au regard de tout les moyens engagés et de la machination ourdie. On referme cet épisode en se demandant si il ne manque pas des pages. Un bien beau gachi. |
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Petite lecture de la série Punisher pré-"Over the edge" par Chuck Dixon. Après être passé pour mort (durant le crossover "Suicide Run", une copie de Death of Superman), Castle fait un retour fracassant à New York, se mettant à dos les médias et par conséquence l'opinion publique. Voyant son ancien collègue devenir de plus en plus désaxé, Microchip tente de recruter un remplaçant tout en mettant en place un plan pour supprimer le Punisher.
Dixon est bon mais il s'agit d'un travail de commande, prévu pour amener Castle à un certain point (le priver de son entourage et de sa motivation) et au niveau éditorial pour mettre fin au 3 séries Punisher de l'époque. Du coup, l'histoire voit apparaître des persos sortis de nulle part ou se répéter deux trois fois la même situation afin de permettre à la série de gagner du temps jusqu'au final du Punisher-verse dans Countdown. |
#1649
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Quelques lectures pleines d'amour : un marathon Spider-Girl du What if au #60 de la première série : DeFalco et Oliffe composent une bonne petite série reprenant le principe du Spider-Man originel (intrigues de lycée et combat contre super-vilains) tout en rendant hommage aux années 90 : tant aux run de DeFalco sur Fantastic Four, Thor et Thunderstrike qu'à la Saga du Clone (le point de divergence avec l'univers Marvel est précisément le Chapitre Final - en virant donc tout la reprise par Byrne )
Plus sérieusement, on sent l'affection de DeFalco et Oliffe pour les histoires de Lee et Ditko puis de Romita. On retrouve le reflet de plusieurs scènes classiques (abandon du costume provisoire, vendetta avec les Osborn, personnage menacé de noyade alors que le temps presse pour sauvé un proche,..) avec plusieurs variations qui permettent d'éviter la repompe pure et simple. Un délice. Petite virée dans le Remender-verse avec un doublé Uncanny X-Force / uncanny Avengers. Autre hommage, cette fois aux X-Men des années 90, du Chant du Bourreau à Onslaught. Remender connaît son histoire et concocte des intrigues qui surfent sur la nostalgie des fans, de l'âge d'Apocalypse à 2099 en passant par Excalibur. Bref, je préfèrerais toujours à un auteur de romans graphiques (kof Morrison kof) un bon scénariste de comics Dernière modification par JB ; 11/01/2017 à 11h57. |
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Ayant parlé de Lights Out ce matin, j'ai voulu me relire ce cross-over datant de 2 ans.
ca passe toujours tout seul même si Justin Jordan confirme son statut de maillon faible et une certaine redondance dans les intrigues depuis.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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