#16
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Apres ce numéro m a fait tiquer.. Olsen and co.. j ai l impression qu on a cru être un an dans l futur du DC Universe mais là.. j ai le sentiment que c est un autre univers.. non?
Bref si le joker tient le numéro à bout de bras.. Ca reste nebuleux et parfois .. Mais bon cet episode est trés sympa comme tu le dis. |
#17
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#18
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Uncanny X-Men #4
Bon, ben ça ne va pas être brillant, ce Disassembled. Déjà que ça démarrait très lentement, trop lentement même, le #3 laissait espérer que ça se lance vraiment ; mais le #4 fait retomber déjà les choses, avec bien trop de discussions et des longs tunnels de dialogues. Cela rend la lecture fort désagréable, tant cela semble ne jamais finir. Mais, surtout, ça n'avance pas. Et, encore plus, avec les annonces de Marvel sur Age of X-Man, le lecteur peut aisément savoir comment va finir ce Disassembled... alors qu'il reste encore six numéros. Bravo pour la gestion du suspense, Marvel. Bon, en dehors de cela, Rosenberg/Thompson/Brisson livrent des caractérisations solides, et je vois ce qu'ils veulent faire avec les "jeunes" ; mais, bon sang, que ça se voit ! Ca n'a aucune douceur dans l'approche, aucune brillance, tout se déroule d'une manière tellement prévisible que ça en devient insupportable. Surtout que la caractérisation de Nate est, elle aussi, définitivement imbitable. Bref. Heureusement que Pere Perez livre de jolies planches... c'est bien tout. Le reste est ultra prévisible, chiant et long. Pffouu. Dire que je pensais qu'on ne pouvait se crasher plus que No Surrender ! |
#19
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The Immortal Hulk #10
Bon. Al Ewing livre, à mon sens, sa meilleure prestation sur ce titre, et Hulk a ici la saga la plus surprenante, troublante, intrigante et bluffante depuis des années ; et ce #10 est un numéro superbe, d'une intensité terrible, avec des sentiments de dégoût, de rejet, de surprise et de peur au fil de la lecture, en plus d'un plaisir absolu de se plonger là-dedans. Voilà. Rien d'autre à dire de plus ; c'est parfait. C'est ce que je veux lire. C'est ce qui me met sur les fesses. C'est ce qui me choque, me stupéfait, m'éblouit, me donne absolument envie de lire la suite. J'adore. Ewing est extraordinaire, et Joe Bennett, de retour seul aux commandes graphiques, est en feu, et livre des planches d'une puissance terrible, et d'une ambiance étouffante. Le final est grandiose. Dix numéros parfaits... dix numéros d'une saga dont on sait encore si peu, mais où tout fonctionne. Bravo. Merci. Vite, vite, vite la suite ! Encore, oserais-je même ! |
#20
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#21
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Ca va bien vu les ventes actuelles.. 33eme et juste en dessous de 50 000
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#22
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Shazam #1
Je dois avouer que je n'ai ni une grande connaissance, ni une grande passion pour Captain Mar... ha, pardon, Shazam. J'avais suivi, de loin, la relance New52, mais je n'étais pas vraiment attiré, et je n'ai pas tout lu. J'ai malgré tout tenté ce numéro, et j'en ressors plutôt content ; mais pas beaucoup plus. Geoff Johns livre un récit plutôt solide et sympathique, en jouant bien sur les caractères de ses (très) nombreux personnages. Tous ne sont pas forcément bien servis, mais tous tentent d'exister, et le coeur de leurs caractérisations est plutôt bon. C'est gentil, sympathique, bon enfant, plutôt dynamique, et même fun. C'est agréable. L'ouverture de la série est propre, mais ne va pas forcément trop loin ; Johns en a encore beaucoup sous la botte, et il faudra voir ce qu'il a en tête pour ces fameux mondes magiques. L'ensemble se tient, néanmoins, et Johns démontre surtout sa maîtrise de l'émotion et du moment dans le second récit, centré sur Mary, avec une force assez puissante. C'est bien fait, ça touche juste, et c'est très bien, donc. Dale Eaglesham est très solide dans la première intrigue, même si quelques poses me semblent trop "forcées", inhumaines comme beaucoup de postures de super-héros, mais en dehors des conventions ; m'enfin, c'est joli et dynamique. Dans un style manga, Sen s'occupe de la deuxième histoire, où il apporte une douceur et une humanité très justes. Dans l'ensemble, j'ai envie de lire la suite, et Johns commence bien ; mais il faudra en dire plus, et rapidement, pour conserver mon intérêt ! |
#23
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Martian Manhunter #1
Un début plutôt solide pour cette maxi-série, centrée sur Martian Manhunter ; même si je dois avouer que revoir encore une intrigue liée au passé martien de J'Onn, ça devient lassant. A croire que chaque auteur veut toujours raconter le même type d'histoire ! Bon, ici, Steve Orlando raconte autant le quotidien policier et humain de J'Onn, que des passages passés sur Mars, plus ambigus que d'habitude ; pourquoi pas. Je préfère ses quelques idées, caressées jusque-là, sur la société et les interactions entre Martiens. J'espère que l'auteur va continuer sur cette voie, ce qu'on découvre ici est surprenant, et pertinent. Après... après, c'est bien, hein, mais ça démarre lentement ; et en terrain connu. Une enquête glauque. Des liens avec Mars. Un J'Onn perturbé. Des révélations prévues. Des ombres sur son héroïsme... franchement, j'ai l'impression de toujours lire ça avec lui, depuis dix ans. A voir ce que Steve Orlando a prévu, je serais de la suite ; mais j'aimerais un peu de divergence, pour changer. Riley Rossmo a un style étrange, surprenant, parfois doux, parfois sombre et glauque ; c'est adapté, en tout cas, au récit et même au personnage. A voir la suite. Espérons une bonne surprise. |
#24
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Superman #6
Je n'avais pas été convaincu par Brian Michael Bendis sur ce titre, avant le dernier numéro, que je trouvais extrêmement bon et fin ; je suis heureux de voir qu'il poursuit sur cette voie. J'ai notamment apprécié le début, avec une narration en voix off sur des double-pages, qui permettant autant à Ivan Reis de livrer de superbes planches, qu'à Bendis de creuser la caractérisation de son Superman ; qui me plaît bien, est cohérent et a beaucoup de sens. C'est fin, je le répète, et c'est très agréable. Surtout, l'auteur poursuit bien les choses, avec le retour de Clark, et ses doutes et envies, qui viennent en contradiction avec ses devoirs. C'est pertinent, l'ensemble gagne de l'intérêt, et Rogol Zaar apparaît certes bien trop fort - mais bon, la saga finit sur une note intéressante, au moins sur ce point-là. J'attends les prochains numéros pour me positionner sur le cliffhanger, mais je doute que cela me plaise ; du moins si ce n'est pas du "bluff". A voir. Bendis semble avoir trouvé la voie qui me convient, ainsi que la voix du personnage, ici, et Reis est l'auteur de très belles planches. Une réussite, après des débuts plus poussifs ! |
#25
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Justice League Dark #6
Quelle série. Alors que James Tynion IV m'avait surpris par un crossover si rapide après le lancement du titre, l'ensemble fait sens dans le propos qu'il entend raconter, et il déroule ici son canevas, déjà si efficace. Mystères, secrets, doutes, faiblesses humaines, épique, et tentatives de sauvetage hélas minées par un sort funeste annoncé ; tout cela fonctionne extrêmement bien, d'autant que l'auteur maîtrise complètement ses personnages et la continuité magique, qu'il rend fluide pour les novices. En jouant sur deux tableaux, même si le passage sur Myrra est plus long, le scénariste réussit à raconter plusieurs choses en même temps, mais livre surtout des portraits très forts et humains de ses personnages. Si Bobo est la "star" et est déchirant, Blue Devil n'est guère loin, et Tynion continue d'écrire un meilleur John Constantine que tous ceux qui s'y sont frottés depuis des années. Son intrigue générale est alléchante, ses épisodes sont bons et dynamiques, la série en elle-même est extrêmement addictive et puissante ; quel bonheur. Notamment grâce à une continuité graphique impressionnante, rappelant la rigueur et la puissance de Detective Comics. C'est Daniel Sampere qui s'exécute ici, et c'est autant joli que fluide. Un grand moment, pour une future grande série. |
#26
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Batman Damned #2
Bon sang, que c'est glauque. Si Brian Azzarello accélère sa narration, et nourrit plus son numéro, notamment en multipliant les apparitions et guest-stars, avec des réinterprétations surprenantes, il s'encombre encore d'une voix off particulièrement lourde et insupportable ; mais bon, l'ensemble se lit déjà mieux. Cependant, un fait demeure : le fond et la forme sont extrêmement glauques, et je ne suis ni client de l'un (le fond est désespéré, poisseux, avec un retcon qui ne plaît guère sur Martha & Thomas Wayne), ni de l'autre (avec un côté dégueulasse, sale, une provoc' facile avec notamment cette Harley ravagée). Bon, cela se laisse mieux lire que le premier, mais... ça ne me plaît pas, tout ça. Lee Bermejo livre des planches superbes, si on est client de son style, qui s'insère si bien dans le propos de son scénariste ; mais l'ensemble ne me parle pas. Je tenterais encore le #3... mais sans certitude. |
#27
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peut on parler de retcon quand on est hors continuité...? (pas encore lu donc pas d avis )
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#28
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#29
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Sinon me manque deux couvertures et je vais pouvoir commencer à poster mes avis.
Ou rien de moins que 15 lectures ! |
#30
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Mais j'avais trop intégré l'idée que les Wayne étaient bons et amoureux. |
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