#16
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Petit hs : quelqu'un a lu les Quasar de Gruenwald ? Comment Haywire revient ? |
#17
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C'est Shape et pas Morph. On peut le voir comme un croisement entre Clayface et effectivement Plastic Man.
Haywire arrive sur la Terre 616 avec le reste des membres du Squadron Supreme après le GN Death of Universe qui fait suite à la LS. Gruenwald en profite pour utiliser le Squadron Supreme dès Quasar #13 (employés du Projet Pegasus). Il décide ensuite de rester sur Terre lors du special Avengers/Suqadron Supreme écrit par Busiek et dessiné par Pacheco. Il meurt dans Avengers: Celestial Quest #8 |
#18
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Merci pour les infos !
Bon sang ! DEATH OF A UNIVERSE que je ne connaissais pas doit valoir le coup d'œil après la lecture de Squadron Supreme ! Merci 1000 fois Arrowsmith ! Dernière modification par bukowski ; 04/05/2018 à 11h30. |
#19
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Dans Celestial Quest, Haywire est un peu boulet. Il embarque avec les Vengeurs pour pouvoir demander à la Mort de lui ramener Inertia (morte dans un autre univers, sauf erreur de ma part...) et, quand ça ne marche pas, lui saute dessus et se fait absorber. Dernière modification par JB ; 04/05/2018 à 11h46. |
#20
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J'ai regardé, et j'ai l'impression que cela se passe avant que le groupe passe dans l'univers 616
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Je pense aussi. Ca vient juste après la série dont on parle...
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#23
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Le GN est la suite de la LS qui reprend là oú se termine le #12.
Gruenwald au scénario, Paul Ryan aux dessins. C'est le chainon manquant avant leur arrivée dans Quasar. |
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Merci Arrowsmith, je viens de lire Squadron Supreme : Death of a Universe et c'est une merveille ! En plus d' être une conclusion à la LS, cet album permet de retrouver un personnage bien connu des amoureux de The Thing !
Quelqu'un sait pourquoi cet album n'est pas sorti en VF ? Ca me semble fou. |
#25
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Il va falloir que je mette la main dessus un de ces 4....A moins que Panini ne se décide enfin à le publier....
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Miguel&Diego! Mes ventes Mon blog à môa https://fr.ulule.com/arelate-t9-et-valerius-proculus/ |
#26
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Ayant pourtant lu 4 ou 5 fois la série parue dans Spidey, je suis ressorti de cette mini avec un sentiment finalement mitigé.
En plus de cases qui semblent avoir sauté et d'une page imprimé dans le désordre, j'ai aussi eu l'impression, presque 30 ans après, que les bulles de pensée faisaient le plus souvent penser à des romans photos à l'eau de rose. Globalement, les moyens pour réaliser le projet d'Utopie ne sont qu'esquissés pour laisser la place aux romances diverses et au recrutement des "vilains". En conclusion, seule la brutalité sèche de la confrontation finale et le sentiment de gâchis général qui prédomine donnent du nerf à cette saga. Comme quoi, la nostalgie nous joue parfois des tours! |
#27
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Je viens de finir pour la première fois les 12 épisodes.
Alors, forcément faut pas comparer trop avec des successeurs comme Watchmen, bien plus travaillés. Avec The authority, ça passe. On dirait pas mal un précurseur de ce dernier avec l'optimisme des long seventies finissantes et pas de cynisme. On sent clairement que Gruenwald veut démontrer que le sauveur n'existe pas (il est d'accord avec Nightwing, ça se se sent tout du long, surtout dans l'épisode tie in de Captain America). On sent également, et c'est la grande force de ces épisodes, qu'il aime ses persos du squadron supreme, des versions plus humaines et faillibles des la JLA, à quelques personnages près, comme le très bon Tom Thumb, meilleur perso de tous selon moi. Le docteur Spectrum et le whizzer sont assez touchants aussi. Et il y'a clairement un côté précurseur de ce titre qui permet de l'apprécier sur le thème "super héros super sauveur du monde...et fasciste". ce que je regrette : le côté très décousu des épisodes, tantôt centrés sur le programme, tantôt sur les états d'âme des persos. Ceux-là même qui font échouer le grand projet impossible d'Utopia. Un final marquant mais amené de façon abrupte et qui laisse en plan certains personnages. On sent que les épisodes sont presque écrits comme des stand alone, peut-être selon la méthode d'écriture courante de l'époque? En tout cas, c'est parfois avec un manque de finesse. Exemple : les lavages de cerveaux, dont les membres ont été maintes fois victimes par le passé et qui le sont fait affronter les vengeurs. A un pu deux membres près et un directeur de prison qui fait la fine bouche, tout le monde trouve ça super de priver des êtres humains de libre arbitre. Après, ils ont peut-être des séquelles du run des Defenders de Dematteis, dans lequel l'overmind avait presque réussi à conquérir le monde? En bref, un TPB très intéressant quand resitué dans le contexte mais je trouve un Superman : red son plus convaincant dans son exécution sur un thème similaire.
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"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18 |
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