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CATWOMAN ETERNAL TOME 2
Dessin : David Messina Collection : DC Renaissance Couverture : Cartonnée Nombre de pages : 160 Date de sortie : 27 mai 2016 Prix : 15€ Dernière modification par FA ; 03/06/2016 à 15h14. |
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BATMAN ANNEE 100
Public : Ado-adulte - à partir de 12 ans Genre : Super-héros Collection : DC Classiques Date de sortie : 03 juin 2016 Pagination : 272 pages Prix : 22.5 EUR |
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GOTHAM ACADEMY TOME 2
Dessin :Karl Kerschl Collection : DC Renaissance Date de sortie : 03 juin 2016 Pagination : 176 pages Prix : 17.5 EUR |
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HARLEY QUINN & POWER GIRL
dessins : Stephane Roux Collection : DC Renaissance Date de sortie : 03 juin 2016 Pagination : 152 pages Prix : 15 EUR |
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Ouais, enfin, Stéphane Roux est loin de tout dessiner.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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J'adore toujours autant cette couverture très Star Wars. La mini-série est vraiment pas mal, imparfaite, mais amusante.
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"In college we were lovers. Now we are enemies. It is that simple." |
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Batman, la malédiction qui s'abattit sur Gotham est un récit offrant la promesse d’un mariage entre l’atmosphère gothique de Batman, et l’horreur de Lovecraft, le tout servi par le respecté auteur de Hellboy, Mike Mignola. Une telle combinaison donne vraiment envie, on imagine toute de suite les possibilités, les situations, et on se lance dans le récit avec hâte !
Au final ? Mouais… il y a du potentiel, mais ça explose en cours de route… Déjà, quand il y a marqué Mignola en gros sur la couverture, et que c'est la seule personne mentionnée en quatrième de couverture, on ne peut s’empêcher d’être déçu en ouvrant le bouquin et en remarquant que ça n’est pas lui qui dessine… Sentiment renforcé par le fait que Richard Pace, qui co-écrit l’histoire, aurait initialement du la dessiner, et certaines planches sont présentées en bonus… ces planches sont meilleures que les dessins de Troy Nixey… mais bon, au moins monsieur Nixey livre des planches conformes à l’ambiance du récit… Niveau histoire, ça commence bien. Très bien, même, avec une expédition en arctique, une société secrète, un immortel ayant écrit un livre maudit, tout en respectant les personnages originaires de l’univers de Batman et en ne se contentant pas de faire du name-dropping. Jusqu’à la fin de la première moitié, tout va bien. Ça commence à se dégrader pour la fin du second tiers, avec une très mauvaise utilisation de Double-Face (alors que pourtant ce n’était pas compliqué…), mais ça reste encore suffisamment plaisant. C’est l’acte final qui à mes yeux fout tout en l’air. Quand on pense Lovecraft, on pense à la lutte désespérée par des hommes au bord de la folie, prêts à l’ultime sacrifice dans l’espoir vain de retarder l’inévitable et offrir à l’humanité une survie de quelques siècles voir moins… là non ! C’est Batman, il a des armes magiques, alors il va lui péter la gueule, à l’entité ! Et avec un deus-ex-machina en prime ! Et ça casse complètement l’ambiance… ce qui fait que le récit est au final raté… En plus, c’est beaucoup trop court, il y avait moyen de faire 2 ou 3 épisodes de plus sur le thème. On a un récit sur la folie, et pas de trace du Joker ! On a un univers qui contient le Roi en Jaune, et pas de trace de l’épouvantail ! Gueule d’argile aurait également très bien convenu à ce genre de récit… Au final, on en sort déçu… Ça n’est pas mauvais malgré son final raté, il y a de bonnes choses, mais il y avait moyen d’espérer mieux sur ce thème. Donc ce n’est pas un récit à éviter, mais lisez-le en connaissance de cause, sans en attendre beaucoup. Il y a également un épisode en bonus, tiré de Legend of the dark knight, dessiné cette fois-ci par Mignola. C’est un stand-alone assez sympa, même si on a un peu l’impression de lire un des premiers récits de Hellboy tant l’ambiance est similaire.
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"My Lord, you have no space suit..." "Air is for cowards ! Do it !" mes ventes diverses et variées mes recherches diverses et variées les aventures d'Archibald Long-Jean |
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De quoi ça parle ?
Dick est toujours agent de Spyral, mais découvre que l'organisation, maintenant dirigée par son ancienne partenaire, poursuit en secret des objectifs différents. De plus, un traître semble sévir dans leurs rangs... En parallèle, Dick va revenir à Gotham, où tout le monde le croit mort, et faire équipe avec un homme d'acier aux capacités fortement diminuées. Qu'est-ce que ça vaut ? Suite de la série au concept le plus pourris du monde et qui pourtant tient bien la route. J'étais prêt à brûler la série dès son annonce, mais les bons retours et la lecture du tome 1 m'ont montré qu'avec des auteurs qui savent quoi raconter, il n'y a pas de mauvais concept. Le tome 2 est dans la lignée du premier, bourré d'action sur font d'espionnage, avec des intrigues alambiquées, et Grayson y est toujours sexualisé comme peuvent l'être les personnages féminins dans ce média (et c'est rigolo à voir dans ce cas précis). L'intrigue gagne en complexité, mais se perd dans la volonté de trop en faire, de tenter de reprendre l'ambiance que Grant Morrison avait donné à Spyral dans Batman Incorporated, sans y parvenir. On aurait gagné à avoir quelque chose de plus direct et de moins alambiqué, parce que ça donne l'impression de vouloir faire passer quelque chose de simple pour un monument de complexité et d'intrigue... Autre reproche : la présence de Superman. Le personnage a subi une grosse évolution dans sa série, et si on ne l'a pas lue on a du mal à se faire à l'idée que Superman soit en t-shirt et se balade en moto... en plus l'épisode n'est pas spécialement bien écrit, même si le duo fonctionne. Au final, c'est à prendre ou à laisser ? Si vous avez aimé le premier tome, la suite est à la hauteur. Si vous n'avez pas aimé, ça ne vous fera pas changer d'avis. Si vous n'avez pas encore tenté la série, que vous aimez Dick Grayson, James Bond et Mission Impossible, allez-y, ça vous plaira. Si vous n'aimez pas Robin, que vous pensez que l'espionnage ne va pas avec les super-héros, ou que Midnighter n'aurait jamais du faire partie de la continuité DC, ça n'est pas la peine, mais à ce moment là je doute que vous soyez en train de lire ces lignes...
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Je suis le seul à lire du Batman en ce moment ?
Batman & Robin Eternal - tome 1 De quoi ça parle ? Une mystérieuse organisation dirigée par l’énigmatique Maman lance une offensive sur les alliés de Batman. Bruce ayant perdu la mémoire suite à son combat contre le Joker, la tache de mettre cette organisation hors d’état de nuire revient à 75% des anciens partenaires de Batman (parce que Damian est totalement absent de l’histoire…). Dick, Jason et Tim, aidés de Harper, vont découvrir que Bruce leur a caché un très sombre secret. Qu’est-ce que ça vaut ? Bon, une petite contextualisation des attentes pour commencer : j’adore Robin ! J’adore ce qu’il représente vis-à-vis de Batman, j’adore l’évolution de Dick et j’adore voir agir les partenaires de Bruce entre eux. Du club de ceux qui aiment Robin, je fais partie des 33% qui préfèrent Dick (les 33% qui préfèrent Damian peuvent passer leur chemin, les 33% qui préfèrent Tim peuvent rester, et les 1% qui préfèrent Jason je ne peux rien pour vous… ). Donc mes attentes pour cette série étaient assez élevées… peut être un peu trop… Vous vous souvenez de Deadly Genesis, quand le professeur Xavier avait disparu et que soudainement les auteurs se sont mis à ternir son image en lui faisant faire des actions répréhensibles dans son passé ? Eh bien là c’est un peu pareil… Batman fait dès le premier épisode une action tellement out of character qu’on devine tout de suite qu’il y a du contrôle mental dans l’histoire. Puis chaque épisode contient un flashback peu intéressant dans l’ensemble racontant comment Bruce en est arrivé là. Cette partie est à mon sens clairement ratée… le duo Batman et Robin ne fonctionne pas, les évènements sont peu intéressants vu qu’on devine où cela va mener, et ça n’avance pas assez vite. Clairement, à la moitié de la série, c’est raté. Mais la majorité de la série se passe dans le présent. Sur ce point là, c’est bien plus réussi que les flashbacks, mais ça n’est pas exempt de problèmes… Pour les points positifs, les team-ups des différents héros fonctionnent bien. Les personnages manquent de relief et sont généralement réduits à 1 ou 2 caractéristiques distinctes, mais ils fonctionnent bien entre eux et c’est plaisant à lire. Le rythme est correct et le temps consacré à chacun est équilibré. Il faut toutefois reconnaitre que les caractères des personnages sont quand même trop similaires (oui, même Red Hood !), et l’absence de quelqu’un comme Bruce ou Damian pour contrebalancer tout ça est vraiment dommage… En négatif, il y a quelques longueurs et des faux twists qui nuisent à la qualité globale… mais le plus problématique, c’est le manque de lien entre la fin d’un épisode et le début du suivant. Ce n’est pas le cas à chaque fois, mais pour certains on a l’impression d’avoir loupé une scène. Le pire étant vers la fin du bouquin, quand un ordre ecclésiastique est parachuté de nulle part dans l’intrigue et où l’épisode commence en plein milieu de l’action. Enfin, le format n’est pas vraiment adapté pour cette série… c’est le cas pour toutes les séries hebdomadaires publiées par Urban, donc rien de nouveau, mais ça reste un défaut. Ok, il n’était pas possible de publier un épisode par semaine en France, les séries n’auraient jamais trouvé leur public. Mais il aurait mieux fallu publier ça en revue mensuelle regroupant 4 épisodes. Bon, en se forçant à ne lire qu’un épisode par jour, on retrouve cette sensation de serial, donc ça n’est pas le plus gros défaut du bouquin. Et donc on le prend ou pas ? Au final, ça reste assez faible… il y a des trucs sympa, mais rien de vraiment excellent, et les flashbacks sont vraiment mauvais… On en est à la moitié de la série, et il n’y a pas d’élément accrocheur qui donne vraiment envie de lire la suite… Si vous avez lu et apprécié les autres séries hebdomadaires de l’éditeur, vous pouvez tenter le coup en connaissance de cause, ça n’est pas une arnaque, la série est moyenne. Mais si vous n’avez pas lu toutes les autres séries, je vous conseille plutôt Future Ends, qui avec le même nombre d’épisodes en un tome proposait des intrigues qui accrochaient d’avantage le lecteur.
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Batman Rebirth Tome 8 est sorti, avec le fameux passage sur le mariage de Batman et Catwoman. Tom King et ses dessinateurs préparent l'événement depuis quatre tomes, mais... les rebondissements ont provoqué bien des réactions chez les lecteurs.
Voici pourquoi je considère que ce tome et la gestion de ce mariage sont bons et cohérents : https://topcomics.fr/batman-rebirth-...si-et-coherent . Attention, c'est rempli de spoilers ! |
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De plus, Tom King a toujours dit que ce numéro était une étape et non une finalité.
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Oui, mais "tout le monde" l'a oublié.
Après, je condamne vraiment la communication de DC dessus : la campagne de promotion, avec des annonces, des one-shots annexes, fait vraiment penser qu'il s'agissait d'un événement définitif. Comme pour Countdown et Final Crisis, que je cite dans l'article, DC a organisé la comm' comme s'ils ne connaissaient pas ce que l'auteur écrivait ! |
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Urban Comics sort enfin un beau et gros volume sur la série Red Hood et les Outlaws, longtemps attendue par les fans.
Ici, l'ancien Robin Jason Todd, tué par le Joker et revenu en héros aux méthodes expéditives (proche du Punisher), réunit une "Sombre Trinité" avec l'Amazone Artémis et Bizarro, clone de Superman. Ce qui apparaît comme un pitch "facile" offre cependant une très bonne surprise - car les nombreux épisodes de ce volume sont extrêmement agréables à lire. Bien dessinés, avec beaucoup d'humour, de rebondissements et d'émotion, ces numéros sont un grand plaisir de lecture, dont je n'attendais pas autant. Pour en savoir plus sur mon avis : https://topcomics.fr/red-hood-et-les...-superheros-dc |
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Ca a l'air plutôt chouette graphiquement. Et des styles plus légers que ce à quoi on pourrait s'attendre avec un cast "griity" comme ça, c'est une bonne idée.
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Je pense donc je signe. |
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Oui, la "Sombre Trinité" existe... mais Red Hood, Artémis et Bizarro sont plus des "gris" que des "dark". Leurs aventures sont funs et dynamiques, leurs relations sont bien creusées.
Ce sont surtout des personnages abîmés par la vie et les épreuves, et qui arborent des postures "bad", pour se défendre. C'est intéressant. Je ne pensais pas autant. |
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