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#1
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Le rAOÛT des critiques VO
Batman #76
City of Bane, deuxième partie. Après le "choc" du #75 et la présentation rapide, voyons un peu les conséquences d'une Gotham contrôlée par Bane, "pacifiée" à la dure par Batman/Thomas Wayne et Gotham Girl. Ca ne rigole pas. Bon, c'est plutôt agréable même si c'est (encore) décompressé. La Gotham contrôlée est rigolote à découvrir, même si finalement ça reste très superficiel : on croise des personnages, mais on voit peu l'impact sur la population. L'ensemble reste correct, le duo Bat/Cat va devoir se reconstruire et c'est bien, tandis que Tom King gère toujours bien les Robins, même s'il les utilise peu. Dommage que Tony Daniel tire (déjà) un peu la langue, les personnages sont assez crispés, et je ne trouve pas beaucoup de visages "beaux". Ca fait le job, mais c'est assez moyen. Allez, voyons la suite ! |
#2
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Je me permets une petite explication sur mon titre.
J'aime bien faire des jeux de mots pour les sujets de critiques mensuels, mais celui-ci est peut-être obscur. Un raout est un mot ancien qui évoque une réunion, une fête, un cocktail mondain. Il vient de l'anglais "rout", pour compagnie ou rassemblement. Cela me semblait indiquer pour la réunion de critiques. |
#3
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Lois Lane #2
Après un très prenant et intense #1, Greg Rucka et Mike Perkins poursuivent sur la même dynamique. Moins de surprise, mais plus d'assurance après des bases bien posées. Un épisode sobre et efficace. Greg Rucka a créé de bonnes fondations, il les utilise et se lance. L'équilibre entre les différents moments est bon, et j'apprécie autant le propos sur le bashing subi par Lois, très pertinent dans notre période actuelle post #MeToo, que l'enquête sur la journaliste morte. L'intervention de Renee Montoya est cool, et l'auteur gère très bien les dialogues. Mike Perkins illustre ça dans un style sombre qui sied complètement à ce polar bien mené. Ca fonctionne bien, l'ambiance est parfaite, et l'ensemble est une lecture absolument agréable. Vivement la suite ! |
#4
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#5
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Section zéro 5/6
Quelle déception que ce titre. J’attendais une suite au trois premier depuis les années 90’s et si relire les 2 premier fut un plaisir, cela a été moins vrais pour le 3. J’esperais beaucoup du 4 mais il m’a pris à contre pied sautant d’un coup dans le futur. La on revient en arrière et si j’aime plus cette temporalité mais pas le nouveau look de wild man, ni le look des nouveau. J’ai pris la couv avec normal avec doc challenger face à un dinosaure mais on ne voit pas l’un comme l’autre tout du long. J’ai un peu l’impression de mettre fait avoir du coup. |
#6
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Le premier numero de Lois Lane m a donne l envie d attendre un beau volume d urban comics pour apprecier l ensemble d un bloc.
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
#7
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Merci pour la créativité des titres et aussi et surtout pour ces critiques VO qui aiguille mes futurs choix VF
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#8
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Absolute carnage 1:
Cela devait être une intrigue dans la série Venom mais Marvel n'avait pas fait d event depuis bien deux mois !! Donc c est parti pour un nouvel event !! Pourquoi j'ai pris ? Car je suis fan de l'équipe créative, fan de spidey et mon premier évent spidey a été Maximum carnage que j avais trouvé dans une brocante peut de temps après avoir commencé les comics. De quoi ça parle ? Eddy Brock est recherché par toutes les polices, il ne semble plus avoir son symbiote et est pourchassé par Carnage devenu pour faire simple un dieu symbiote. Eddy va demandé de l aide au plus grand spécialiste des symbiotes au monde: Notre spidey national !! Alors ça vaut quoi ? Bah c'est plutôt du tout bon. Les dessins sont juste incroyable collant parfaitement au scénario. Oserais dire que l on sent une symbiose entre le scénariste et le dessinateur !! Le scénario lui est sympa et il aurait été super à 4 dollars On nous ressortir bien la situation, le rythme est bon, les dialogues aussi. On a une bonne exploitation de la continuité et les persos sont bien écris. J ai tiqué sur une scène ou Peter est en costume de spidey et en présence de normie Osborne et d autres personnes parle de normie comme étant son filleul... Un très bon épisode dont le seul défaut est le prix. Avant Marvel vendait son premier numéro pas cher pour inciter le lecteur à tester. Maintenant ils vendent le numéro 1 une fortune car ils ne trouvent plus le moyen de garder un lecteur plus de 3 numéros.
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
#9
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Mais faut pas flatter mon mauvais goût pour les titres, hein. Ca va mal finir. T'es plus courageux que moi. Merci ! |
#10
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The Green Lantern #10
J'étais sûr d'avoir lu, lors de l'annonce de l'arrivée de Grant Morrison sur le titre, que chaque numéro serait indépendant. Mais l'auteur a déjà triché, avec plusieurs intrigues qui se suivaient directement, même si on changeait d'ambiance. Bon, là, on a la première partie d'un diptyque "officiel", et ça fonctionne encore bien, même si on est (déjà !) dans la suite directe du numéro précédent. Un diptyque officiel au coeur d'un triptyque officieux, donc. Bref. Un numéro encore intense, même si je n'ai pas forcément toutes les clés ; je ne reconnais pas grand-monde, alors que je suis sûr que Grant Morrison s'amuse avec la continuité. Bon, ça n'empêche que c'est une histoire solide, bien que classique. Les caractérisations sont bonnes, les rebondissements sont agréables et Liam Sharp livre de très belles planches. C'est toujours cool. Très "sage", sans grande révolution cosmique ou dans tout l'univers DC, mais c'est fort agréable ! |
#11
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Et que moi
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#12
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Berserker unbound 1
On suis une copie de Conan qui s’en retourne à sa famille. La seule chose qui le motive à combattre les différents dangers de son monde. Avis : Un numéro de mise en place assez lent et peux original. J’ai un peu grincer des dents de voir que celle qui est digne de lui au combat n’a pu faire face. Bon lui aussi qui parle de manière très mégalomane du héros/monstre qu’il est dois se résoudre à une décision qu’il regrette de suite. Comme on pouvais le craindre sa confrontation à notre monde sert de cliffhanger. Cote graphisme j’adore c’est un délice. Pas certain de faire le 2. |
#13
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champions 8
Les champions sont désormais diriger par Viv et Riri veux des explications. Viv doit donc laisser l’equipe (dusk, power man, red locus et snow guard a eux même. Ils font face aux freelancers qui infiltre une base. Et la dessus arrive Sam et Kaldera. avis : Si j’ai aimé red lotus et que je trouve dust bien servis, j’ai trouvé ça facile et pas terrible. Comme de par hasard la base qui intéresse les freelancers et celle où y’a le casque de nova. Comme par hazard personne va empêcher Sam de le reprendre. Je parle même pas de l’arrive du corps qui repart tranquille vers leur mort (dans les gardiens de la galaxie). Seul le cliffhanger éveil mon intérêt mais je ne peux que penser comme marvel. Il est tant d’arreter les frais et sûrement relancer derrière. Dommage zub peux faire mieux je pense. |
#14
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Ca ne me dit rien, et je l'ai lu il y a peu.
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#15
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Superman : Up In The Sky #2
Le premier numéro de ce titre, qui "colle" dans chaque épisode deux numéros de la saga proposée dans les magazines Walmart, m'avait surpris et troublé. J'avais beaucoup aimé l'approche de Tom King sur Superman dans sa série Batman, et son court récit dans Action Comics #1.000. Mais la forme de son histoire, ici, sa narration m'ont troublé. Ce #2 ne change pas l'impression : c'est bien, mais troublant ; et je passe un peu à côté. Superman est donc parti dans l'espace pour retrouver une petite fille enlevée. Bon. C'est bien. Les idées sont bonnes, même si c'est fort classique, et l'hommage aux caractéristiques morales de Superman est bon. Mais la narration est extrêmement sèche : pas de transition, pas d'explication, pas de contextualisation. Tom King donne des "moments" de ce voyage, des instants qui sont bons mais manquent de liants. Andy Kubert livre des planches appliquées, mais je suis trop influencé par Dark Knight III, j'ai constamment l'impression de voir ce Superman-là. Bon, ça fonctionne très bien, c'est joli ; et le récit a de bonnes idées. Mais la forme voulue me trouble, et gêne ma lecture. C'est bien, mais je passe à côté. |
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