Encore un prolongement de
DC Universe Rebirth sauf qu'à la différence de
Flash: Rebirth #1 rien de nouveau n'est dévoilé sur le futur de la série.
Au contraire, Dan Abnett use d'un gimmick foudroyant pour raconter (meubler?) son histoire. Heureusement qu'il n'y a pas plus de membres car c'est très redondant mais ça a le mérite de sonner juste.
Au passage, il faut croire que DC fait une croix sur le passé New 52 de Donna Troy et son chaudron foutraque pour revenir à du plus classique. C'est heureux, tout comme les liens entre membres (sauf la phase baiser qui m'a fait tiquer surtout que Linda est mentionnée par la suite donc fonce la récupérer Wally!
).
Niveau dessin, comme j'apprécie Brett Booth, ça passe comme une lettre à la poste.
Le petit moment lecture que j'ai attendu 5 ans et c'est bon.