Que trouve-t-on au sommaire de Sombre HS3 ?
photo Johan Scipion
Sombre est un jeu de rôle pour se faire peur comme au cinéma. Chaque partie est un film d'horreur imaginaire dans lequel on joue des victimes.
Fascicule format A5 de 72 pages (dont 68 numérotées), le troisième numéro hors-série de la revue Sombre présente
le compte rendu d'une campagne en sept épisodes improvisée dans le setting
Indian Lake.
Blurb :
(Version courte et de bon goût, pro de chez corporate.)
Sombre 8 fut mon concept album, un numéro construit autour d'un décor unique, un camp de vacances américain.
Sombre HS3 est son bootleg, la captation live d'une campagne improvisée dans ce setting.
Sept épisodes joués en
Sombre Classic,
Zéro et
Max sur une période de près de cinq ans. Une histoire de meurtres et de fantômes à la fin des années soixante, sur fond de trafic de drogue et de guerre du Vietnam.
Sombre HS3 montre par l'exemple la manière dont on construit une campagne
Sombre une improvisation après l'autre.
Blurb 2, la suite :
(« Y'en a un peu plus, je vous le mets quand même ? »)
Copain rôliste, je pense à toi. Toi qui en convention, lorsque nous discutons après l'une de mes démos, me dit « Ah oui mais non, olala, pas moyen. Parce que tu vois, le one-shot, c'pas du vrai jeu de rôle. Moi, c'est campagne ou rien ». Mets donc tes yeux sur ce numéro et tu constateras par toi-même que
Sombre se prête très bien au jeu long façon franchise cinématographique.
En plus, le septième épisode est jouable à ta table. Ouais je sais, one-shot tout ça, mais t'auras qu'à faire semblant que tu as mené les six autres. Reconnais que la proposition ludique n'est pas commune. Ils sont légion les auteurs qui veulent que tu commences leur campagne. Moi, je t'invite à finir la mienne. J'ai prévu tout le matos qui va bien : les comptes rendus de mes parties évidemment, mais aussi des prétirés accrocheurs et une énôôôrme carte relationnelle. Tu vois comme je te chouchoute, copain.
En plus du plus, ce dernier épisode a un dispositif funky, que tu n'as peut-être pas souvent utilisé : la table est répartie entre joueurs, auxquels échoient des victimes standard de
Sombre, et assistants du meneur, ces derniers interprétant chacun une faction entière d'antagonistes. Rivales les factions bien sûr, pour que ce soit vraiment fun.
Sommaire détaillé :
The man who shot the sixties, récit de campagne en sept épisodes :
1. The Canadian Connection
2. De pire en fils
3. Bloody Bowie
4. Love overdose
5. Le jour de la Sainte Pelle
6. Rape and no revenge
7. Retour en enfer
+ 4 pages d'aides de jeu
Je re-reviens demain pour préciser les infos pratico-pratiques.