Justice League of America : Ray Rebirth 1 (DC ; Scénario Steve Orlando ; Artiste Stephen Byrne)
Pitch :
Ray est un jeune garçon qui ne peut jamais sortir de chez lui et doit rester constamment dans l’ombre. Il ne doit être en présence d’aucune source de lumière (Même celle de la télé, il faut que se soit pas tout le temps). On voit ray grandir et vouloir mettre en question sa maladie. On suis sa première sortie qui a l’air de bien se passé, jusqu’à ce qu’il semble explosé au yeux de ceux qu’il rencontre.
Avis :
Bon, on peut définitivement jeter à la trappe le Ray New52. Le numéro qui se passe lui aussi dans l’ombre est plus qu’étrange et je n’ai pas totalement accroché. Pourquoi faire de Ray un gay ? (Si j’ai tout bien compris). Je trouve aussi que pour quelqu’un qui n’a jamais eu ses pouvoirs, il les contrôle fachement vite. Moins désagréable que Atom. Au niveau du Vixen en plus simpathique car on peux comprendre que Ray tente de fuir ainsi. Alors que Vixen fait très narcissique.