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Vieux 01/02/2020, 19h01
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MARVEL

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »



Deadpool : the end 1

Genre : La fin dont vous êtes le héros

Joe Kelly revient des années après écrire la fin finale de la fin de son run ! Comme il ne veut décevoir personne,il a prévu une bonne vingtaine de possibilités, au choix du lecteur selon ses goûts. Tout le monde sera content !

Une fin très originale et folle qui fait plaisir à lir tant on sent que les auteurs se sont décarcassés pour nous offrir quelque chose de bien. C’est graphiquement efficace et les blagues sont simples mais efficaces.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 16/20

The (new) defenders epic collection TPB 9 : the end of all songs

Genre : Fin d’un run pas du tout mythique mais très bien écrit



Ce TPB conclut la période Bronze age des Defenders, qui étaient rebaptisés « New » depuis le TPB précédent et le début du run du très oublié Peter B. Gillis, toujours accompagné de l’inoxydable Don Perlin. Nous trouvons les numéros du 138 au 152 de la série volume 1 ainsi que la dernière mini-série d’époque dédiée à un personnage, The Gargoyle, en 4 numéros, qui marque le bref retour de son co-créateur J.M DeMatteis et l’arrivée d’un très inspiré Mark Badger. Le tout date de 1984-86.

La mini-série est la perle de ce numéro : avec ses dessins qui évoquent les débuts du Sandman de Gaiman et son héros torturé dont nous découvrons les origines très intéressantes remontant à la Première Guerre mondiale, The Gargoyle est le morceau qui a le moins vieilli et qui est le mieux écrit du volume. Isaac Christians est plus humain que jamais et son combat contre lui-même tient aux tripes comme une sorte de pré-Sandman. La meilleure des minis liées aux Defenders !

Dans les numéros 138 ) 152, on assiste aux tourments de Moondragon, qui abrite à l’insu de tous un démon du même nom qui a détruit Titan (à l’époque de ces épisodes). Elle passera d’héroïne torturée à antagoniste finale du run avec une belle progression, très intéressante. Gillis s’amuse de son équipe en lui adjoignant un système d’alarme aussi ridicule que surprenant dont il semble très fier, vu qu’il l’utilise à tout bout de champs. Il promeut Candy Southern, copine d’Angel de l’époque, chef d’équipe, ce qui est rafraichissant. Il brode ainsi de petits stand alone bien fichus qui nous montrent entre autres une attaque bactériologique du repaire des new defenders, une histoire de campus et de mutants dédiée aux membres des anciens X-men, le bref retour d’un Ghost rider métamorphosé venant voir ses anciens amis des champions, l’attaque d’un démon venu du passé mais surtout la véritable nature du jeune Cloud, qui possède les deux sexes et peut se transformer en nuage, personnage avant-gardiste s’il en est.Les derniers épisodes concluent la série dans le plus pur style des seventies (avec un peu de retard donc) plein de rebondissements bien amenés comme le retour de Manslaughter, plus fou que jamais et la venue du mystérieux Interloper. Le final est superbe si on excepte des dessins assez fades de Perlin, comme d’habitude. Depuis les épisodes des New Defenders, son style très simpliste est bien
rehaussé par les différents encreurs qui le rendent plus réaliste et intéressant.

En bref, un volume dans la veine du précédent, moins bon que le run de DeMatteis mais surprenant et très agréable à lire pour qui aime les personnages bien campés.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 12/20
Note finale : 16/20

Avengers/defenders : Tarot 2

Genre : Le triomphe de Diablo (l’autre)

Defenders et Avengers sont à la merci de l’alchimiste Diablo. Oui, ça fait bizarre vu le looser que c’est d’habitude. Nous assistons à son bref trimophe malgré une erreur qu’il commet : il ne sait pas que Hulk est Bruce Banner !

Un scénario bien construit et fluide, de très beaux dessins de Paul Renaud…Cette mini est pour l’instant un bel hommage aux scénarios vintage.

Scénario : 16/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 15/20

X force epic collection TPB 2 : X-cutionner’s song

Genre : Le mystère Cable/Stryfe résolu (ou presque)

Ce TPB rassemble les numéros d’Uncanny X-men, X-Factor, X-men et X-Force estampillés au nom du crossover, ainsi qu’une histoire épilogue des New warriors liée au crossover, le très dispensable Stryfe’s strike files et surtout le joyeu de cet epic collection, la mini-série en deux numéros Cable : Blood and metal par Nicieza et Romita Jr (en grande forme !)
On y découvre le passé de Cable, chef de la bande de mercenaires, Six pack auquel appartenait aussi Domino, sa vendetta personnelle contre Stryfe, qui lui semble mystérieusement lié et ses nombreux voyages temporels visant ses buts personnels tout aussi ésotériques. Le mystère Cable commence à se révéler dans ces pages très intéressantes et franchement superbes. La crossover qui le suit est bien moins intéressant à mon goût : Cable tire sur le professeur Xavier, le mettant dans un état de léthargie avancée et compromettant la liberté d’X-force qui semble s’être détachée de lui. Le gouvernement sollicite l’aide d’X-factor et des X-men pour arrêter les jeunes mutants tandis que les très nineties Bishop et Wolverine traquent Cable. Pendant ce temps, les disciples d’Apocalypse réveillent leur maître affaibli de manière prématurée, Sinister semble tirer les ficelles de ce qui se passe et Stryfe décide de kidnapper Cyclope et Jean Grey…

Le scénario de Nicieza et Lobdell est inutilement étiré et c’est bien dommage car la fin est franchement superbe, prenante et même émouvante. Cable commence à livrer des secrets et la nature de sa relation avec Stryfe fait enfin sens à la lecture de ce crossover riche en révélations pour les lecteurs de l’époque. Les dessins sont d’une qualité globale assez homogène avec l’exception des planches de Jea Lee qui ont mal vieilli selon moi. Peterson fait du sous Kubert avec des problèmes de proportions mais Kubert et et Capullo sont impressionnants. Heureusement d’ailleurs que le final est dessiné par Capullo ! Les épisodes épilogues font bien le point sur l’après et sont très agréables à lire.
En bref, quelques épisodes d’anthologie (la mini et X-force 17 et 18 surtout) mais un ventre mou très daté nineties dans son traitement et ses enjeux. Le fait de savoir ce qui va se passer ensuite dans la série Cable enlève beaucoup d’intérêt à la lecture, le crossover se satisfaisant de trop peu de secrets lâchés.

Scénario : 15/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20

Catégorie « Bon »

Ravencroft 1

Genre : décevant

Le Ravencroft nouveau ouvre ses portes avec la bénédiction de Wilson Fisk, maire de New York. Son directeur est un personnage trouble et ses employés Misty Knight et John Jameson semblent l’avoir à l’œil, lui et…les membres de son équipe.

C’est plutôt agréable malgré le manque de l’originalité qu’on avait observé dans les 3 singles précédents et du meilleur des deux dessinateurs qui y opéraient. Autant dire que c’est vraiment moins bien que la très bonne surprise précédente et que ça fait pour l’instant surtout un hommage à la période Dark reign mais en moins bien.

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20

Doctor Strange : the end 1

Genre : confus

Strange est désormais bien vieux, Wong est mort et la magie se fait rare. Après avoir été embêté une fois de trop par de jeunes écervelés, il part pour son derner voyage…

Le scénario est assez simple et brumeux. La mis ene place du successeur de Strange (dont l’identité ne surprendra personne) est laborieuse et peu passionnante. Mais heureusement les dessins sauvent tout !

Scénario : 12/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 13/20

Catégorie « Sympa »

Captain Marvel : the end 1

Genre : bateau

Captain Marvel est plus puissante que jamais et fait toujours régner la justice après les derniers jours de la Terre. Elle semble même immortelle…Un jour où elle revient sur sa planète de naissance, elle découvre que toute vie ne s’est pas arrêtée et qu’une nouvelle génération de super-héroïnes a pris la suite de son combat. C’est peut-être le moment de jouer son va-tout.

Graphiquement très joli, le scénario est pour moi bien trop cliché et basique pour m’intéresser. On est jamais surpris ni ému par la situation, ce qui est un comble. N’ayant aucun atome crochu avec la scénariste et le personange, ça n’aide pas. Le plus décevant des The end nouvelle fournée pour l’instant, un cran devant Mile Morales the end grâce aux dessins.

Scénario : 12/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 12/20

Catégorie « Moyen »

Captain America n°18 (numérotation Legacy 722)

Genre : On dort toujours

cap et son équipe vont affronter le nouveau Scourge pour sauver les flics ripoux de New York et on comprend enfin pourquoi Fisk apparaissait dans les one-shots Ravencroft.

Aucune surprise et même pire : une confrontation sans saveur face au meurtrier. L’épilogue est ultra prévisible. Bref, on dort. Au prochain numéro, on va enfin savoir qui est Dryad, même si on s’en fiche. Pas une bonne période du Captain, ce run.

Scénario : 10/20
Dialogues : 13/20
Dessins, encrage, couleur : 11/20
Note finale : 10/20
Réponse avec citation