[Fletcher Arrowsmith]

Le Green Arrow de Benjamin Percy vaut le coup.

	Citation:			Posté par arrowsmith
	Il est excellent ce numero de Green Arrow Rebirth. Pour la sœur d'Oliver tu es passé à côté. Il faut lire le run de Lemire pour comprendre et ne pas se fier à la série télé. Percy ne se débarrasse pas de la dernier conquête de Oliver, il souligne qu'il est un play boy mais avec un engagement social et donc pas dupe de l'intérêt de draguer certaines femmes. C'est la première fois que je la voyais. Pour le reste Percy a parfaitement compris le cahier des charges et la direction que Rebirth lui impose. C'est assez brillant comme narration surtout qu'il ne vend pas son âme et sa plume et les vilains de services sont bien dans l'esprit un peu torturé du romancier. Les répliques de Black Canary font mouches et Otto Schmidt rend une copie presque parfaite (pas contre loin d'un graphisme à la Darwyn Cooke). A signaler que Schmidt s'occupe également de la mise en couleur pour notre plus grande joie. Vivement la suite

	Citation:			Posté par arrowsmith
	On continue dans le très bon, voir même excellent avec le GREEN ARROW #1 de Benjamin Percy et Otto Schmidt (sur cover de Juan Ferreyra). Suite directe du Green Arrow Rebirth, ce numéro est encore un ton au dessus, Percy étant en train de réussir sa fusion des Green Arrow avant et après New 52 : retour à ce personnage engagé, prise en compte du run de Lemire (dommage que la cover spoile cela), intrigue et trahison, monde de la finance et ses pourritures, action et surtout des amours contrariés avec une Black Canary assurément moderne (à lire en y voyant le bon côté de la chose). Le scénariste a haussé son niveau, lui qui m'avait un poil déçu dans sa prestation avant Rebirth comme si il ne pouvait pas exprimer pleinement son potentiel (se sentait il à l'étroit ?), sa narration semblant parfois peu compatible avec le carcan étroit du monde super héroïque. Un recadrage plus loin et un cahier des charges imposé voilà que Percy est en train de laisser sa marque sur l'archer de DC. Bon choix que d'avoir pris Otto Schmidt qui est parfait et l'alternance avec Juan Ferreyra promet déjà monts et merveilles.

	Citation:			Posté par arrowsmith
	Citation: Posté par Slobo Green Arrow 2 (DC ; Scénario Benjamin Percy ; Art Otto Schmidt) Pitch : Oliver est mort ... En tout cas très vite déclarer comme tel. (Mais un corps qu'on retrouve pas dans le comics, vous connaissez la suite). Donc on voit un Diggle (Qui ici n'est pas pote) qui va apprendre la nouvelle, puis Canary. Et les liens entre Shadow et les méchants. Et comment Oliver s'en remet (Avec une scène de bisou digne de Yes Man) Avis : Contrairement a son voisin aquaman, Pari tenu de percy. Oui c'est un chouilla convenu (Comment un corps perdu en pleine mer pour être bouffer par les orcs, fini sur le rivage ?). Mais bon c'est vraiment que du bon et ça donne même le sourire. C'est certes pas la première fois qu'Oliver perd tout je pense (Détrompe moi Arrowsmith). Mais ici j'ai sentit le même effet que sur un daredevil époque Renaissance (C'est dire le bon effet sur moi). Et puis Otto continue d'illuminer le comics. Oliver est mort, place a Green Arrow. Vive Green Arrow. On n'ira pas jusqu'à comparer ce début d'arc à Born Again surtout que du côté du story telling Percy n'est pas encore Miller. il y a plein de bonnes choses dans ce deuxième numéro. Même si le twist semble éculé, Percy joue la carte Rebirth à fond et c'est appréciable. En plus comme il continue à prendre dans le run le plus marquant du new 52, celui de Lemire (Diggle ici). Je lui repproche quand même certaines approximation dans la narration : rythme déséquilibré (cela va trop vite ou pas assez et l'emploi de raccourcis). D'un côté tant mieux car l'histoire avance, d'un autre on a quand même l'impression que cela manque de densité (l'annonce de la mort présumée d'Oliver manque de gravité et de profondeur ; le passage avec Black Canary aurait mérité un peu plus densité ; le retournement d'Henry m'a également semblé rapide). Néanmoins l'ensemble est très agréable à lire. La nouvelle menace et le statut quo d'Oliver qui évolue sont suffisamment intéressant pour faire de Green Arrow une série à suivre chez DC. J'ai évidemment la cover de Juan Ferreyra

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	Citation:			Posté par arrowsmith
	Citation: Posté par Slobo Green Arrow 4 (DC ; Scénario Benjamin Percy, Dessin Juan Ferreyra) Pitch : Ollie est entouré par la police. Diggle arrive la dessus pour régler ses comptes, pendant que Black Canary se fait capturé par Emiko. Avis : Je sais pas pourquoi j'était moins dedans. Revoir ollie aller une nouvelle fois voir Henry qui râle avant d'aider, voir ma Dinah se faire bêtement attrapé. Pas comprendre a quoi joue Emiko. Voir le méchant caricatural faire son méchant caricatural. Ca m'a peu convaincu. Le prochain devrait me plaire plus vu le cliffanger. Bon coté dessin je suis pas fan des couleur de Ferreyra. Y'a pourtant de belle utilisation de celle-ci pour des ambiances et de belle planche. Mais c'est pas mon style graphique préféré. Je l'ai trouvé parfait ce numéro. Benjamin Percy densifie de plus son en plus son écriture et pour l'instant je ressens moins sur ce titre que sur les autres DC que je lis le côté décompression suite au rythme de parution accéléré. Au contraire tout a été conçu pour une montée en puissance. On voit la patte du romancier derrière. Les pièces se mettent en place (Diggle, Emiko, la contre attaque de Green Arrow, les affreux qui se découvrent, la demoiselle en détresse à secourir, Shado, l'environnement car on se balade chez Percy) en vu d'une conclusion que j'espère être à la hauteur du quasi sans faute lu jusqu'à présent. Ferreyra a également haussé d'un ton. Je réitère ma remarque du #3, il se rapproche de ce qu'il a pu faire dans la première LS de COLDER (la folie dans la composition des planches en moins, logique après tout vu la démence distillée dans le titre Dark Horse). C'est très beau, lisible et dynamique.

	Citation:			Posté par arrowsmith
	GREEN ARROW #6 Oliver Queen attaque un nouvel arc, Sins of the Mother, avec Green Arrow #6. Benjamin Percy tente le récit en flashback en donnant la vedette à la jeune soeur de notre archer, Emiko. Le scénariste continue son sans faute, avec en plus une écriture toujours plus dense. Il monte clairement en régime pour le plus grand plaisir des lecteurs. Il est question ici d'agents doubles, de jeux d'étudiants qui tournent mal , de sectes, et des combats où la mesure du temps prend une importance inattendue. A ces jeux de dupes tel est pris qui croyait prendre à moins que de nouveaux retournement de situations fassent voler une nouvelle fois nos peu de certitudes. Je ne connaissais pas le vilain de service, mais il fait bien parti du folklore de l'archer vert. Encore une brillante idée de la part de Percy.