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Posté par C'étaitSaSecrétaire? |
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J'ai l'impression que la Kaballah Quest peut marcher comme ça, que tu peux prendre n'importe quel épisode et l'ouvrir n'importe où et capter complètement toute la combinaison conceptuelle/esthétique/émotionnelle (l'ambiance, quoi) d'une scène isolée, autant qu'en lisant l'épisode dans sa totalité, sans que les pages précédentes ou suivantes te manquent. |
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J'ai pas compris ça, dans le truc d'Ellis. j'ai l'impression qu'il évoque un truc beaucoup moins élaboré, qui marcherait à un pur niveau sensitif. Un truc qui s'apparente à de l'ambient, c'est à dire, quelque chose qui est à peine palpable, trés archétypal et dont tu ne gardes que peu de souvenirs. Une bande plus minimaliste, à mon avis, plus manga dans son format et dans sa narration, je pense.
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Posté par C'étaitSaSecrétaire? |
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Niveau prose, Burroughs rentre pour moi totalement dans cette catégorie. Tu lis une page de Burroughs tous les lundi soir, et l'oeuvre vit normalement, l'ambiance est là à toutes les échelles - les thèmes, le style, la portée sont véhiculés au niveau de la phrase, du paragraphe, du chapitre, du roman. Je lis la trilogie Ticket/Machine/Nova comme ça, et ça passe très bien. Du roman qui se lit comme de la poésie. |
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Là je sais pas, j'y arrive pas. Faudrait que j'essaye en anglais peut-être.
Ceci dit, je ne vois pas trop en quoi Burroughs est du roman...