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MICRONAUTS THE NEW VOYAGES N°15
Publié par Marvel en Décembre 1985. "Dancer from the Dance!", 22p.
Scénario: Peter Gillis. Dessin: Kelley Jones. Encrage: Dany Bulanadi.
Cover: Kelley Jones. |
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Ouh l'accroche menteuse!!!
Princess Mari raconte comment, alors qu'elle était encore adolescente et don encore princesse en activité sur Homeworld, elle se lia d'amitié avec une danseuse du nom de Diarmid, de la planète Iawai. Elle fit de celle-ci la danseuse de la cour et sa confidente tandis qu'un certain Eved, membre de la cour, lui tournait autour puis se mit à être fasciné par Diarmid.
[U]
Vous croyez qu'elle a vu qu'elle a de la pelure de tapioca sur la tête? 
[/B]
Aprés avoir commis une faute d'étiquette lors d'un repas, faisant préjudice à Diarmid, Eved orchestra une mise en scéne avec le Baron Karza pour regagner ses faveurs. Mais cela tourné mal, car Mari et Diarmid avaient échangés leurs places grâce à un gadget fourni par Karza. Mari fut sérieusement blessée, Karza fit arrêter Eved (qui lui barrait la route vers plus d'influence à la cour) etDiarmid sacrfia ses jambes pour que Mari puisse remarcher, aprés avoir tenté de convaincre Eved de ne pas venir en aide à Mari, par peur de le perdre (elle en état amoureuse
).
Un peut chétif, son espéce de dinosaure à Jones....
C'est donc par l'intermédiaire d'un flashback que Gillis fait revenir le Baron Karza, ancienne figure incontournable de la série, mais que Gillis souhaite bannir de ses histoires. D'un côté, on est content de voir enfin à quoi ressemblait Homeworld et sa cour avant l'accés au pouvoir de Karza, et de l'autre on peut trouver cete histoire particulièrement tarabiscotée.
Le Baron Karza, fan de cuissardes? Pas sur que le personnage en ressorte grandi...
Surtout que Kelley Jones n'y est vraiment pas à son fort, avec tous ces visages quasi humains alors qu'il est plutot un dessinateur d'action. On peut aussi trouver
la pillule un eu grosse à avaler concernant Mari, qui n'avait jamais fait mention de cette justification de son nom (Marionnette) auparavant. On touche un peu à du retcon à ce niveau, la moitié du corps de Mari étant révélé comme n'étant pas le sien. A noter que la colorisation n'est pas trés heureuse, le régne des parents de Mari semblant avoir été pire pour les yeux que les années 70 en France!
Une mode...euh....colorée!
Un numéro étonnant mais aussi décevant, qui marque une pose bienvenue dans le délire philosophique sur la douleur de Gillis.