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Vieux 15/12/2013, 14h04
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DC

Batgirl 26


La confrontation finale entre Batgirl et sa galerie de méchants du new 52 (Knightfall exceptée) est épique.
Ce numéro est fantastiquement bien mis en scène, avec ce Jim Gordon toujours persuadé que Batgirl a tué son fils mais forcé de collaborer avec elle dans sa maison en état de siège par les sbires de Knightfall !
Pasarin est hyper à son aise, ça claque.
Un des meilleurs numéros de la série jusque là, avec des dialogues très justes. Comic de la semaine !

Scénario : 16/20 Toujours du bon Simone. Un très bon épisode de baston, très bien écrit car plein de bons dialogues et de tension.
Dialogues : 17/20 L’un des points forts du numéro. La relation entre les Gordon est extrêmement réaliste et prenante.
Dessins, encrage, couleur : 17/20 Pasarin est on fire. Il est très bon dans ce genre d’ambiance sombre.

Note finale : 17/20 Un des meilleurs numéros de la série jusqu’ici.





MARVEL


The superior foes of Spider-man 6

Les débiles se sont fait doubler par Boomerang! En effet, celui-ci veut garder pour lui tout le butin et doubler les gens pour qui il bosse ET conclure avec la serveuse du bar qu’il fréquente.
Prisonniers du hibou, ses alliés (qui sont quatre, faites les comptes) vont devoir dépendre d’un texto envoyé par Beetle, qui est la fille de…Suspense !

Une série toujours aussi bien écrite, pleine de vitalité et d’humour. Les dessins accompagnent bien le délire mais ce sont les dialogues et la narration qui sont sans reproches. Spencer livre ici une de ses meilleures BD.

Scénario : 16/20 Comment se tirer d’une situation périlleuse ?
Dialogues : 17/20 La qualité des dialogues fait qu’on se passionne pour le sort des sinister six (qui ne sont que cinq en tout, rappelons le !)
Dessins, encrage, couleur : 15/20 Lieber livre un bon boulot mais pas de quoi sauter au plafond.

Note finale : 16/20 Une série toujours aussi fun et bien écrite. Un des titres les plus réussis de Marvel, notamment dans sa constance qualitative



Captain America 14

Un numéro de baston Nuke vs Cap et le faucon. Et le pire c’est que c’est si prenant que c’est l’un des meilleurs numéros du run jusque là !

On conclut la confrontation entre deux symboles de l’Amérique et ça marche à plein car ils représentent deux guerres à la postérité différente (la 2ème guerre Mondiale et le Vietnam).
Remender se surpasse dans ses dialogues, rendant l’affrontement vraiment prenant par la confrontation idéologique mêlée à la dimension humaine (à travers la réflexion sur les vétérans et leurs souvenirs des conflits auxquels ils ont participé, leur mémoire de leurs compagnons d’armes…).
Avec celui sur la confrontation Zola/Cap (numéro 9, je crois, de tête), c’est la première fois que j’ai eu l’impression de lire le perso tel que je l’aime et ça fait bien plaisir.

Scénario : 16/20 Réflexion sur les vétérans, leur trauma, la liberté de la presse…
Dialogues : 16/20 Ils rendent intéressant ce numéro de combat.
Dessins, encrage, couleur : 15/20 Le meilleur de Pacheco sur la série à ce jour.

Note finale : 16/20 Si on m’avait dit qu’un numéro du Captain de Remender se hisserait aussi haut dans mon classement…



Inhumanity : the awakening 1

Suite aux évènements de Inhumanity : the hunt (dont il me reste à lire le numéro 4), quelques jeunes super héros issus de la Jean Grey’s school et d’Avengers academy aident à sauver les rescapés des évènements qui ont frappé New York pendant Infinity.
Pixie des X men est en train de pianoter sur son portable et tombe sur une série de tweets d’une humaine qui vient de se découvrir inhumaine et dont elle pense qu’elle veut se suicider. Toute l’équipe décide de l’aider à la sauver, sans rien dire à leurs tuteurs.

Tout le numéro est orné de bandeaux en haut de page qui rendent compte des tweets échangés entre la mutante Pixie (sous pseudo) et un humain anonyme (dont je pense au vu des échanges qu’il s’agit en fait de son cothurne Quentin Quire, qui veut la faire rager). Ça rend le comic assez long à lire mais ça lui donne un ton « Djeun’s » bienvenu.

L’histoire relatée en dessins est ultra classique et ne mérite pas spécialement d’être relevée. Heureusement que la série est finie au numéro suivant. Je regrette d’avoir acheté cette mini au final.


Scénario : 12/20 Ultra classique. Aucune surprise.
Dialogues : 14/20 Un effort de narration et de dialogues, mais c’est bie moins réussi que dans un Toung avengers par exemple.
Dessins, encrage, couleur : 12/20 Je déteste les dessins.

Note finale : 13/20 Hautement dispensable.




Wolverine 12

Si je compte bien, c’est l’avant dernier numéro du run de davis, qui ne revient pas pour le relancement à zéro du titre, remplacé par Ryan Stegman.
Je peux dire avec certitude que je lâche l’affaire.
La série avait bien débuté mais l’arc « Killable » est vraiment en dessous du reste. Au rayon des qualités, le scénariste est excellent pour montrer la fragilité du personnage, son traumatisme de ne plus régénérer. Ça et les dessins de Davis, c’est le point fort.
Le reste ? Depuis quelques numéros, ça ronronne et on s’ennuie fermement. Alors, dans ce numéro, Wolvie fait toujours face à l’élite de la Main en étant diminué et j’aime beaucoup la façon dont il est décrit. Le problème quand on referme le numéro est qu’on s’en fout. Le cliffhanger est banal, mal amené et toute la maîtrise de Davis ne suffit pas à faire rester le lecteur.

Au final, je trouve cet arc décevant. Même les numéros avec Pferfederici avaient plus à raconter. Et puis bon, j’étais là surtout pour Davis, moi. S’il se barre, j’ai plus de raisons de rester.

Scénario : 13/20 Assez chiant, juste sauvé par la condition du héros.
Dialogues : 14/20 Kitty est bien écrite, Wolvie aussi. Mais les dialogues des méchants sont décevants.
Dessins, encrage, couleur : 17/20 Du bon Davis. Pas son meilleur travail mais il en a encore sous le capot.

Note finale : 13/20 Vivement la fin de la « saison 1 », que je lâche le griffu!

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