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Vieux 05/05/2019, 15h23
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Un bon mois de lectures VO vous attend ici ! Avec plus de DC qu’on en a vu depuis des années !!!





DC

Catégorie « Excellent »

Freedom fighters 5

Genre : l’équipe est au complet

Uncle Sam rejoint enfin le monde réel et fait connaissance avec la nouvelle version des Freedom fighters. Adolf Hitler II décide d’activer Overman, la version nazie (et qui va apparemment réserver des surprises) de Superman.

Un numéro riche en moments forts, prenant, puissant et nanti de superbes dessins. La plus grande épreuve de l’équipe est devant eux et on attend impatiemment la suite de cette mini-série vraiment géniale, clairement une des meilleures aventures des Freedom fighters de mémoire de lecteur.

Scénario : 16/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 17/20

Catégorie « Très bon »

DC year of the villain 1

Genre : one shot intrigant

Ce one-shot à 25 centimes lance un évènement majeur qui va impacter toutes les séries DC régulières (dont Harley Quinn !) avec trois histoires liées et qui semble nous refaire le coup d’Underworl unleashed à la sauce Luthor.
La première est centrée sur le plus grand méchant de l’univers DC et dévoile en partie ce qui est un de ses plans les plus ambitieux à ce jour. C’est du Snyder de haute volée, très prenant et du bon Jim Cheung aux dessins, clairement l’histoire qui m’a le plus convaincu.
La seconde raconte la rencontre entre un mystérieux personnage d’un côté, Batgirl et Green arrow de l’autre. Le mystérieux personnage fait à Batgirl « oune proposition qu’elle ne peut pas refuser » et le lecteur est intrigué malgré des dessins pas fous d’Alex Maleev qui fait selon moi juste le job. Bendis est plutôt convaincant sur les dialogues et l’objectif est rempli car on a envie d’en savoir plus !
La troisième histoire est la plus mystérieuse à mes yeux car la plus incompréhensible en non lecteur de Justice league : Perpetua, une méchante apparemment surpuissante, est bien décidée à rayer les héros de la carte et Luthor est partie de son plan. Intéressant mais difficile à lire donc. Les dessins sont réussis mais je ne suis pas fan des couleurs.
Le numéro se conclut par quelques pages de previews (textes et dessins) annonçant le bouleversement « year of the villain » dans les titres DC et le tout donne envie de lire la totale, c’est dire le job est bien fait.
En gros, une très bonne surprise pas chère du tout !

Scénario : 16/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 16/20

Catégorie « Bon »

Harley Quinn 60 et 61

Genre : désinsectisation, donjons et dragons

Dans le numéro 60, Harley doit faire face à une sorte d’invasion d’insectes E.T avec un fusil futuriste. Plus futés qu’ils en ont l’air, ils sont aidés par une intelligence artificielle qui va mettre la belle en difficulté.
Le numéro 61 est la première partie d’un dyptique dans lequel Harley débarque à Gotham pour remonter le moral de Selina après son mariage raté. Elle se retrouve dans une version fantasy médiévale de la ville de Batman dans laquelle elle doit vendre chèrement sa peau car tout le monde a oublié la réalité…

Ces deux histoires indépendantes sont racontées de manière agréable par un Humphries toujours aussi efficace et accompagné par les très beau dessins de deux dessinateurs que je ne connaissais pas, Basri (numéro 60) et Scmidt (numéro 61).
Le tout manque terriblement d’audace et d’originalité mais c’est si bien fait que c’est déjà satisfaisant.

Scénario : 13/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 14/20

Dceased 1

Genre : Marvel DC zombies

Dans un monde parallèle à la terre classique, la justice league parvient à repousser Darkseid qui retourne chez lui. Malheureusement pour cet univers il semble avoir enfin découvert la fameuse équation d’antie vie qu’il recherche en vain depuis sa naissance. Problème : elle n’est pas comme il l’avait imaginée…

Une version Marvel zombies de l’univers DC (c’est pas DC ghouls normalement ?), pourquoi pas surtout avec un titre jeu de mots sympa en prime. L’histoire en elle-même est simple mais réussie, même si un peu trop cliché et manquant terriblement d’un gramme d’originalité. Les dessins sont ce qui pèche le plus dans ce numéro : un Hairsine en petite forme et deux inconnus (pour moi), Gaudiano et Harren, qui palient à son retard (Gaudiano) voire le remplacent sur l’essentiel du numéro (Harren). Le manque d’harmonie graphique s’en ressent terriblement, d’autant qu’aucun des trois dessinateurs n’a un style adapté ou plaisant à mes yeux. On espère que c’est un accident de parcours et que la suite sera plus convaincante.

Scénario : 12/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 12/20
Note finale : 13/20





MARVEL

Catégorie « Excellent »

Spider-man : life story 2

Genre : les sombres seventies de Peter

Parker bosse désormais conjointement avec un Mister Fantastic que Sue a quitté pour Namor ainsi qu’avec un autre personnage bien employé. Il sort avec une Gwen Stacy également brillante qui travaille quant à elle pour son ancien professeur de fac, un certain Miles Warren. La guerre du Viet-nam se poursuit et semble empirer avec un Iron man très impliqué dans l’effort de guerre et un Captain America fidèle à lui-même. Spidey se demande quelle toute suivre : s’engager pour son pays quitte à révéler son identité ? Une personne ne semble pas aller bien dut tout dans son entourage : Harry Osborn, qui sort avec une Mary-Jane pas franchement heureuse…

Zdarsky continue à explorer brillamment les périodes phares de Spider-man et s’adresse essentiellement aux connaisseurs tant le numéro est blindé de références aux numéros des années 70 et fait des clins d’œil intelligents et bien vus (Octopus, Flash Thompson, le chacal…). Les dessins de Bagley sont toujours aussi beaux. Toujours un vrai bonheur de lecture souvent émouvante, prenante et intelligemment nostalgique, soulignant souvent la phase sombre de décennies présentées rétrospectivement comme idéales par certains.

Scénario : 17/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 17/20

Invaders 4 (pas de numérotation Legacy)

Genre : l’histoire secrète de Namor après la guerre

Dans ce numéro presque entièrement dessiné par Butch Guice, qui se charge des planches de la série qui se passent dans le passé, on découvre ce qu’a fait Namor après la guerre avant d’être retrouvé et « réveillé » par Johnny Storm. Et ce qu’on lit est aussi logique que bien vu. Zdarsky nous présente un Namor tourmenté et loin du quasi schizophrène décrit bien souvent. Marqué par la guerre et son statut de métis humain/mutant qui n’appartient vraiment à aucun des deux mondes, le personnage est plus passionnant que jamais, très peu de scénaristes s’étant jusque là risqués à une étude psychologique du personnage. Les rares planches de Magno sur le présent convainquent elles aussi et on a hâte de lire la suite de cette série des Invaders assez géniale.

Scénario : 17/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 17/20

Catégorie « Très bon »

Avengers epic collection 23 : fear the reaper

Genre : Kang et les gatherers sur le devant de la scène avec le reaper en guest star

Ce TPB rassemble Avengers volume 1 n°348 à 359 et la majeure partie des annuals 1992 de Captain America, Thor, Fantastic four et avengers et couvre les années 1992 et 93.
On commence par un premier gros tiers des près de 500 pages qui le composent dévolu à l’intrigue « Citizen Kang » composé des 4 annuals sus-cités et qui compte près de 175 pages tout de même. C’est une bonne histoire de Kang et sa reine appelée à jouer un nouveau rôle dans les années 90 mais elle vaut surtout pour les 4 back-ups qui racontent l’histoire très longue et compliquée du personnage de façon claire, intéressante et réussie. Les dessins y sont de plus bien plus agréables que ceux des histoires principales, presque tous marqués par les années 90 qui débutent.

Le reste du volume est composé d’histoires issues de la série régulière des vengeurs et composés pour l’essentiel par la même équipe Harras (scénario) et Epting (dessins) à de rares exceptions près. Le numéro 348 est par exemple dessiné par l’agréable Javinen et montre l’absence d’émotions de la Vision l’époque de même que la rémission de Carol Danvers, alors connue sous le nom de Binary. Le numéro 349 est dessiné par Epting et s’intéresse à un complot d’Hera et Arès contre Hercules, prélude à des évènements à venir dans un volume futur apparemment.Les numéros 350 (dessiné par Epting) et 351 (dessiné par Larosa) sont consacrés à une intéressante rixe entre vengeurs et Starjammers. On a ensuite une de mes parties favorites du pavé avec les numéros 352 à 354, exceptionnellement écrits par Kaminski et dessinés Wyman. Ils décrivent le retour du reaper, en version zombifiée et hérault d’un des copains de Shuma-Gorath, Lloigoroth (directement inspiré par une création lovecraftienne pour ce qui est de son nom). Ces 3 épisodes cassent le rythme habituel des aventures de l’époque des vengeurs pour les plonger dans une ambiance très Defenders (période DeMatteis) très réussie et très sombre.
Les épisodes 355 à 358 introduisent les gatherers, équipe venue d’un monde détruit et menés par le mystérieux Proctor, qui sauvent des héros de monde apocalyptiques pour les « fusionner » avec des personnages de la terre 616. Ces numéros comptent parmi les meilleurs de cet epic collection et annoncent une très bonne histoire à venir dans le prochain volume de la collection. Le numéro 357 est un peu à part et consacré à une intrusion des acolytes de Magneto dans le manoir des héros.

N’ayant lu qu’un seul numéro de cet epic collection, le 356, j’ai découvert avec plaisir les annuals sur Kang (que seuls les dessins dévoient un peu) et la suite des numéros de la série principale, avec un Epting au style toujours aussi différent de celui qu’il a actuellement mais qui est déjà très plaisant. Les scenarii de Bob Harras sont réussis et toujours intéressants car il prend son temps de montrer la vie quotidienne et des saynètes réussies. La parenthèse Kaminski/Wyman, m’a également beaucoup plu. Je ne connaissais pas du tout ce scénariste dont je viens de découvrir qu’il a beaucoup œuvré dans la veine Grim and gritty dans les années 90, notamment sur Morbius.

Scénario : 16/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20

The superior Spider-man 5 (numérotation Legacy 38)

Genre : Spider rendez-vous

Spock a rendez-vous avec la médecin qui l’a soigné et qui est inquiète de la différence d’âge qu’elle a avec le corps du clone qu’il occupe. Qu’est ce que ce serait si elle savait qu’elle sortait avec un super criminel…
Peu après, le retour de Master Pandemonium l’oblige à requérir l’aide d’un docteur Strange qui n’a pas franchement confiance en son interlocuteur…

Un numéro mené tambour battant, qu’on dévore tant l’écriture de Cage est réussie et en phase avec son époque. Son portrait d’un Octopus de plus en plus altruiste mais pas doué socialement en fait un des meilleurs personnages Marvel actuels et un des titres que j’aime le plus lire ces deniers mois. Les dessins de Hawthorne me plaisent bien et j’espère que l’équipe œuvrera longtemps sur le titre.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20

Symbiote Spider-man 1

Genre : années 80, symbiote et Mysterio

Cette mini-série marque le retour de Peter David sur le personnage dans une période durant laquelle il a énormément écrit ses aventures, les années 80. Dans ce premier numéro, aidé d’un Greg Land en très grande forme et un peu moins statique que d’habitude, on suit ses aventures post secret wars premier du nom où, aidé de son nouveau costume (qui est un symbiote, à son insu), et de la chatte noire avec qui il sort, il combat des personnages aussi colorés et petits bras que Mysterio et la mouche humaine… David nous projette dans les pensées d’un Mysterio qui en a marre d’être tourné en ridicule y compris par ses alliés et décide d’organiser un petit casse pépère qui va lui en mettre plein les poches. QU’ets ce qui peut mal tourner ?

David dresse un portrait très humain et réussi du grand looser devant l’éternel qu’est Mysterio, régulièrement présenté comme l’un des plus faibles des sinister six, si ce n’est le plus mauvais. Il montre que ce personnage intelligent peut devenir une menace si il croit un peu en lui-même et découvre un certain secret de l’arachnide par exemple…
Il développe également la chatte noire qui sort de son cliché d’éternelle risque-tout prête à tout pour Spidey et qui n’en a rien à faire de Peter Parker à travers une jolie scène avec Tante May. Au final, ce premier numéro très réussi parvient à émouvoir le lecteur (on pense notamment à une page en particulier qui montre parfaitement que l’époque est ancrée dans le passé et sur laquelle l’éditeur du titre revient avec humilité et intelligence).
Pour les dessins, c’est le bon Greg Land, avec de chouettes couleurs et une ambiance globale vraiment enveloppante et réussie.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20

The Punisher 10 et 11 (numérotation legacy 654 et 656)

Genre : Pupu met à genoux Bagaglia

Castle continue son entreprise de démolition globale du petit état souverain de Zemo en affrontant les troupes de l’hydra présentes sur l’île puis son plus grand ennemi, Jigsaw.

Ces deux numéros de pure action sont jouissifs, comme souvent avec l’équipe qui est sur le titre depuis le numéro 1 : le script de Rosenberg est simple mais très efficace, avec des dialogues aussi naturels qu’énergiques et fluides (et une pointe d’humour noir bienvenu), les dessins sombres et réalistes de Kudranski sont statiques mais immersifs et les couleurs de Fabela donnent un vrai plus au titre en en amplifiant l’ambiance. La suite promet d’être explosive pour ce titre qui est encore et toujours un très bon run du punisher depuis la reprise au numéro 1.

Scénario : 14/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20

War of the realms 1, 2 et 3

Genre : l’univers de Thor envahit la Terre et plus particulièrement les USA

Malekith, un ennemi très à l’honneur dans le titre Thor depuis que Loki est devenu gentil, envahit la Terre après avoir submergé l’intégralité des mondes protégés par Asgard. Aidé par la connaissance terrestre de l’odieux patron de Roxxon Darrio Ager, à qui il a promis les ressources de l’antarctique, ses troupes déferlent sur le monde et les héros ont bien du mal à le contrer. Le punisher se joint au crossover de façon étonnante en en occupant l’un des rôles clés, le fer de ses armes étant du poison pour les elfes noirs de Malekith !

Malgré un numéro 1 un peu poussif car trop cliché (où on découvre que Thor a un chien !), les numéros 2 et 3 sont bien plus réussis et nous montrent la mort d’un personnage mineur apprécié de votre serviteur et surtout le début de la contre-attaque des super-héros dans le numéro 3, qui portent la guerre en territoire ennemi. Sur le mode des films, c’est l’occasion de voir les super-héros en véritables soldats qui tuent en état de légitime défense ou pour la victoire et c’est pour moi assez perturbant quand ça concerne des personnages qui ne sont ni Venom, ni le punisher d’autant plus que ça ne semble pas les troubler plus que ça mais passons.

Ce crossover est pour l’instant très réussi car très beau malgré la simplicité de son propos. Les dessins de Dauterman et les couleurs de Wilson sont superbes et constituent l’atout majeur de War of the realms. L’emploi de personnages urbains comme Daredevil et le Punisher, peu habitués aux grands crossovers d’ampleur mondiale, est également une très bonne surprise, d’autant plus qu’ils ont des rôles bien choisis et qui leur conviennent parfaitement.

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 15/20

Doctor Strange 13 (numérotation legacy 403)

Genre : Galactus fait des siennes

Strange essaie contenir la faim dévorante de Galactus, qui meurt de faim et aimerait bien manger les nombreux mondes magiques dans lesquels un sorcier indélicat l’a enfermé.
Strange va devoir faire une alliance avec certains des souverains qui les régissent…

Un numéro très bien mené qui, malgré l’emploi du personnage de Galactus, est très « classique Strange » dans la forme. On regrette seulement les dessins pas folichons de l’armada de dessinateurs emmenée par Barry Kitson.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 15/20

Guardians of the galaxy 4 (numérotation Legacy 154

Genre : les gardiens sont au complet

Les gardiens emmenés par Star-lord, ou plutôt par Groot, retrouvent Gamorra mais sont suivis par l’équipe surpuissante menée par Starfox et qui entend éliminer la femme la plus dangereuse de la galaxie…

Un numéro très bien équilibré entre dialogues et action qui continue la bonne impression du numéro précédent, la série semblant avoir trouvé sa voie. Ça reste très classique dans le déroulement ou le cliffhanger et pas du grand Cates…Shaw livre par contre des planches très convaincantes.

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20

War of the realms : The Punisher 1 (of 3)

Genre : Frank à la rescousse

Cette mini-série située durant le numéro 1 du titre War of the realms décrit les actions du Punisher aux prises avec l’invasion de créatures surnaturelles : seulement armé de son expérience de vétéran de l’Afghanistan, de son entrainement de ranger et d’un équipement conséquent, il vient en aide à la population de New-York prise au piège et affronte elfes noirs, géants des glaces et des flammes…

Ce premier numéro est, comme il se doit avec le personnage, bourré d’action. Les très beaux dessins de Ferreira (que je ne connais pas) appuient efficacement le propos de Duggan qui utilise intelligemment le personnage, qui fait ici office de super garde du corps qui colmate les brèches les plus dangereuses tout en aidant les simples mortels d’un hôpital et en faisant flèche de tout bois.
Un premier numéro convaincant.

Scénario : 13/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20

Free comic book day : Spider-man 1

Genre : Carnage est lâché

Ce numéro est constitué de deux histoires : la première est dévolue à Eddie Brock, désormais privé de son symbiote et enfermé à Ryker’s island après avoir tenté en vain de prévenir la police de l’imminent retour de Carnage qui cible tous les gens ayant un jour porté un symbiote et ça en fait du monde depuis les dernières années, notamment presque tous les super-héros et un certain nombre de criminels.
La seconde histoire est beaucoup plus légère et dévolue à la quête de a meilleure pizza de New-yor entre Spider-Peter et Spider-Miles, chacun voulant faire découvrir à l’autre une partie de son enfance. Le shocker va être pris au milieu de ce « duel ».

Un numéro bien sympathique avec cette introduction au prochain crossover arachnide d’août, Absolute Carnage, dans lequel l’ensemble des super-héros va devoir tenir survivre à un Carnage surboosté par les pouvoirs d’un dieu déchu. L’histoire est réalisée par l’équipe actuelle du titre Venom, Cates et Stegman et cette introduction très classique plante bien le décor en faisant une première victime que personne ne regrettera…Mention spéciale au Carnage de Stegman, flippant comme il faut.
La seconde histoire écrite par Ahmed et Taylor est anecdotique mais complète et sympathique. Pas fan des dessins de Cory Smith par contre.

Scénario : 13/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20


Catégorie « Bon »

War of the realms : war scrolls 1

Genre : anthologie bien mais pas top

Ce premier numéro de l’anthologie dédiée au crossover est constituée de 4 histoires censées de situer après le numéro 2 de la série principale. Seule la première est le premier chapitre d’une histoire suivie et fait explicitement référence à des évènements du numéro 3 de la série principale. Les artistes impliqués étant nombreux je ne donnerai pas leurs noms.
La première histoire est dédiée à Daredevil et à son rapport compliqué au monde de Thor qu’il côtoie d’abord de loin en loin mais que les évènements récents vont conduire à l’impliquer au milieu du monde des asgardiens suite aux évènements du numéro 3 de la série principale. C’est très introspectif et plutôt bien fichu, fidèle au personnage ici nanti de nouvelles capacités pour protéger New York.

La seconde histoire est plus anecdotique et dévolue aux Warriors three, qui aident les terriens et comptent un nouveau membre féminin, l’exubérante Hildegarde, qui ne veut pas qu’on la compte dans leurs rangs. C’est sympathique mais très anecdotique.

La troisième histoire nous donne le point de vue de Wolverine et du Punisher qui sauvent des enfants de la mort. Là encore, malgré des dessins assez beaux, rien de remarquable.

La dernière histoire nous montre l’équipe d’Howard the duck chargée de rechercher un chien perdu en pleine invasion pour le compte d’une personne très fortunée. Je vais me répéter mais cette histoire trop courte est basique et assez inintéressante si ce n’est le plaisir de revoir notre canard favori.

Au final une anthologie pour l’instant ultra dispensable qui ne vaut que par son histoire à suivre.

Scénario : 13/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 13/20

Captain America 9 (numérotation Legacy 713)

Genre : on continue de ronfler

Ce numéro continue à s’intéresser à la vie de Cap en prison (on est donc avant War of the realms) et à sa compagne Sharon Carter et à ses tentatives de n’en tirer avec une nouvelle venue mystérieuse et une équipe féminine de choc.

Un numéro qui ronronne sans rien de vraiment notable. Je continue à m’ennuyer sur ce titre très lent. Trop lent.

Scénario : 13/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 13/20
Note finale : 13/20


Fantastic four 9 (numérotation Legacy 654)

Genre : le soufflé retombe brutalement

Les plans de Fatalis s’écroulent pitoyablement grâce aux FF et à une alliée inattendue.

Un numéro « plus classique et bateau tu meurs », avec zéro prise de risque. Du lu et relu. Bien fait mais ennuyeux.

Scénario : 12/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 13/20
Note finale : 13/20

Web of Venom : cult of Carnage 1

Genre : trop classique

Misty Knight débarque dans la petite ville de Doverton dans le Colorado, célèbre pour avoir été « symbiotifiée » par Carnage il y’a quelques années lors des évènements de Carnage USA.
Elle veut apprendre de la bouche de John Jameson, qui travaille désormais avec elle, ce qu’il y’a découvert, c'est-à-dire un étrange culte de Carnage qui a supplanté l’église locale et à laquelle seul le shérif semble ne pas adhérer.

Un numéro lovecraftien ultra bateau et dispensable dans lequel on apprend rien sur la situation actuelle qu’on a pas lu ailleurs et qui ne sert qu’à impliquer un joker futur sous la forme de Jameson.
Tout ça pour ça. Du Tieri en mode automoatique mais des dessins pas mals de Beyruth, que je ne connais pas.

Scénario : 10/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 13/20
Note finale : 13/20

War of the realms : strikeforce the dark realm 1

Genre : one shot ultra dispensable

Ce oneshot se déroule durant War of the realms 3. Cap charge Pupu de constituer une équipe afin d’aider Freya à détruire le Bifrost artificiel et maléfique créée par les troupes de Malékith en territoire elfe noir. Freiyja lui demande de choisir une équipe de héros qui lui ressemblent, des types dark and gritty, car ça risque d’être sale. Ça tombe bien, il y’en a plein dans l’univers marvel. Il choisit donc Blade le chasseur de vampires, le nouveau Ghost rider et Miss Hulk pour la force brute de son alter ego.

Un Pupu écrit un peu en dépit du bon sens, plus sensible que l’habituel, plus cynique et moins fou, beaucoup de blabla inutile à la progression de l’histoire si ce n’est sur le rôle futur de Freiyja et au final un sentiment que ce one shot apporte très peu au numéro 3 de la série principale. Les dessins de Yu sont assez basiques par rapport à d’habitude et pas convaincants.

Scénario : 10/20
Dialogues : 12/20
Dessins, encrage, couleur : 13/20
Note finale : 13/20


Venom 13 (numérotation Legacy 178) – tie-in war of the realms

Genre : peu inspiré

Ce numéro se situe pendant le numéro 1 de la série principale. Brock a perdu son symbiote mais tente de lutter contre les elfes noirs. Une des sorcières de Malekith trouve ça cool et, semblant voir son futur, décide de lui donner une pierre magique lui permettant de matérialiser ses désirs de pouvoir sous la forme d’un symbiote artificiel…

Un numéro très basique et très baston écrit par un Cullen Bunn peu inspiré qui en profite pour ramener un ennemi majeur de la période Flash Thompson de Venom et qui semble très ennuyé de récupérer le personnage sans son symbiote. Les dessins de Coello sont par contre très réussis.

Scénario : 10/20
Dialogues : 13/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 13/20
Réponse avec citation