Yep, Kobik n'efface rien pour que les gens apprennent de leurs erreurs dans cette guerre (sympa pour le smorts de Las Vegas qui n'aient rien demandé par exemple) alors qu'à la base elle en est la cause vu qu'elle est à l'origine des événements avec Steve. Du grand n'importe quoi... Franchement, être éditeur chez Marvel c'est comme être assistant parlementaire...
Un peu comme après Civil War où les héros se mis dessus, ils se rabibochent en 2-3 coups de cuillère à peau...
Donc oui, les personnages gardent sur la conscience ce qu'ils ont fait.
Ici, les gens vont devoir cohabiter avec des gens qui ont été des collabos et des négationnistes comme si de rien n'était... La preuve, l'épilogue par Paco Medina sur 4 pages(!!!) montre me père et le fils au début du #1 qui sont contents que tout aille bien avec des voisins qui nettoient sa maison taguée...
Pour Cap, c'est plus "subtil", comme dans Superman III où Clark sous l'effet d'une pseudo-kryptonite se la joue bizarro (prendre Steve et un Cube cosmique le modifiant) puis par la suite se fait une dichotomie gentil Clark versus méchant Superman. Ici, Kobik dissocie le bon Steve du Cap Hydra pour un combat que ce dernier perd en étant éclaté par Mjllnir porté par le bon Steve. En fait la version Hydra a pu le soulever lors du FCBD grâce à un sort d'Elisa, la fameuse Madame Hydra dont au final il n'y a aucune explication à son sujet, ni même l'identité de Kraken alors que Nick Spencer et surtout Tom Brevoort (pas à 1 non-vérité près) avaient indiqué que cela jouerait un rôle.
Quant au fameux Vanishing Point, Kobik profite de la présence de la nouvelle génération (chacun des jeunes pour les one-shots) à la fin de la bataille pour leur faire expérimenter une rencontre avec leur prédécesseur en vue d'une future menace (whaou grosse histoire teasée en 2 lignes pourries sur une case qui sent le rajout).
Un carnage de choses expédiées...