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Vieux 02/07/2017, 13h23
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DC

Catégorie « Excellent »


Harley Quinn 22


Genre : Meet the parents

Les parents d'Harley, qui ignorent tout de sa vie mouvementée d'anti-héroïne propriétaire, débarquent chez elle sans prévenir, au pire moment!
Ou pas?
Dans la back up du temps où Harley était maquée avec Mister J, nous assistons à quelques péripéties et palabres qu'elle a avec d'autres criminelles costumées de Gotham, façon tranche de vie.

Rien à ajouter. C'est toujours aussi fun, réussi et bien fait.

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20




MARVEL

Catégorie « Excellent »

Silver surfer 12


Genre : Choc post traumatique

Dawn a tellement de mal à digérer la mauvaise nouvelle du numéro précédent que son esprit divague et que le surfeur doit chercher des solutions assez radicales, notamment auprès des réfugiés survivants de planètes qu'il a sauvés dans le volume précédent. Mais Dawn devra bien émerger des tréfonds de sa peine à un moment...

Un numéro intimiste très bien mené et fin sur le deuil, toujours aussi bien raconté et original. ça va être dur de passer après Slott et les Allred...

Scénario : 17/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 17/20




Steve Rogers : Captain America 18
(Secret empire)

Genre : Donald Trump 2.0

Le nouveau chef des USA débarque en pleine réunion d'urgence de l'ONU pour leur poser ses conditions au cours d'un discours magistral mais empli d'une tension palpable pour ses auditeurs médusés. Jamais un chef d'état américain n'avait été aussi agressif à la tribune. C'est l'heure pour le roi Namor de choisir un camp et pour celui du Wakanda de tenter un coup de poker.

Un numéro puissant, reposant sur des dialogues ciselés et un combat d'orateurs qui prend le lecteur aux tripes. Il n'y a pas qu'avec les poings que les super-héros peuvent s'affronter, comme le prouve ce numéro passionnant.

Scénario : 17/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 17/20



Catégorie « Très bon »

Secret empire 5

Genre : Victoires et défaites de l'empire secret

Les graines de la dissension déjà existantes sont arrosées par la veuve noire pour un résultat qui devrait être explosif, tandis que la traque de l'Hydra contre ses élèves continue, que celle des vengeurs à la recherche des morceaux du cube cosmique à travers le monde connaît quelques épisodes à leur avantage, que des explications sont données, notamment sur l'identité du traître et que d'autres, liés à Mjolnir et à Thor, s'épaississent. Un mort revient à la vie...

Spencer continue à broder avec talent sa toile, même si on a un peu l'impression qu'elle est un peu artificiellement diluée (sûrement pour augmenter le nombre de numéros de la mini au final). Après, sachons garder la tête froide: on sort de cette bouse de Civil war II et Secret empire est du caviar en comparaison. Déçu de m'être trompé sur l'identité du traître.

Scénario : 15/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20



Doctor Strange 22 (Secret empire)

Genre : Wilson Fisk et les héros de New York

Le bon docteur, ses alliés et l'inquiétant Wilson Fisk tentent de renverser la vapeur face au nouveau maître de New York, le baron Mordo!
Heureusement, la richesse du caïd lui a permis de se préparer à toute éventualité et il a fait d'une magicienne maléfique une de ses obligées...

Très aidé par les supers dessins d'Henrichon qui mettent bien dans le bain et par la situation dramatique dans laquelle les personnages se trouvent, ce numéro prenant et intéressant nous détaille la situation dramatique dans laquelle la plupart des personnages urbains de Marvel se trouve coincés. Si on regrette que le doc fasse un peu de la figuration, on appréciera la très bonne utilisation du caïd, qui nous permet de nous remémorer pourquoi il tient toujours le crime organisé d'une main de fer à New York et fait jeu égal avec les autres super criminels malgré l'absence de super pouvoirs...

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 15/20



The silver surfer epic collection 7

Genre : Le règne de Thanos

Cet epic collection compile les numéros 51 à 66 de la première série, l'annual 4 et quelques histoires courtes issues du titre anthologique Marvel comics presents.

Il couvre les années 91 et 92, autant dire qu'il me ramène loin en arrière car j'ai lu certains épisodes dans le défunt magazine Nova, quand j'étais collégien.
C'est "mon" surfeur, celui avec lequel j'ai grandi. Il est assez différent de celui de Stan Lee (le plus connu) ou même de la version très froide de Kirby (l'original, avant qu'il devienne plus humain avec sa rencontre avec les FF). Rien à voir non plus avec la version Slott/Allred actuelle.

Le surfeur de l'époque est un être calme mais qu'il vaut mieux ne pas énerver, tant il est prompt aux actes destructeurs quand il est poussé à bout, pouvant même tuer dans certaines circonstances. Loin d'être en paix, c'est un personnage tourmenté par son passé familial mais aussi celui de ses actes en tant qu'ancien héraut de Galactus.

On commence par l'annual 4, qui voit les gardiens de la galaxie originels (ceux des années 70) traquer le pouvoir de Korvac à travers le temps. Au 26ème siècle, ils trouvent le surfeur d'argent qui protège un des ancêtres du criminel, un pacifique patriarche qui a crée une utopie parfaite et a accueilli un personnage plus puissant et émo que jamais puisqu'il a récupéré les bracelets de Quasar et que sa fiancée Shalla Bal est décédée, de même que tous les gens qu'il a connus.
S'ensuit un duel typique de Marvel, très bien mené et écrit par un Ron Marz en philosophe pragmatique et léger et dessiné comme l'essentiel des numéros de ce volume par l'efficace et sobre Ron Lim, que je considérais à l'époque comme le dessinateur "par défaut" de Marvel avec Mark Bagley tant ces deux là produisaient.
Marz utilise les deux histoires de cet annual qui suivent cette intrigue pour poser les jalons de quelques sous intrigues qu'il développera plus tard dans ce volume et qui sont dessinées par d'autres. Le reste, ce sont des pin ups de l'univers du chialeur cosmique.

A l'époque de la parution des épisodes de ce volume, Nova, la terrienne Frankie Raye, est devenue le nouveau héraut de Galactus et commence à se couper de ses sentiments humains, qu'elle conservera avec l'aide du surfeur et d'un petit voyage spatio-temporel bien fichu, le 51.

Les numéros 52 à 59 se déroulent entre les 6 numéros de la mini série Le défi de Thanos (the infinity gauntlet) et sont en général assez bien faits mais loin d'être indispensables à la lecture dudit excellentissime crossover. Ils permettent notamment de poser le nouveau statut de l'empire Kree, de montrer l'évolution de la relation entre le surfeur et son nouvel ennemi juré, le titan fou (il succède dans ce rôle à Captain Marvel et Adam Warlock) et de confronter l'être d'argent à ses doutes et à ses peurs, tout en lui conservant une certaine emotivité intrinsèque et explosive. Ron Lim ne dessine pas tout, ces épisodes étant marqués par le passage de pas mal de dessinateurs invités tous moins bons que lui mais qui demeurent assez bons.

Les répercussions de l'annual 4 sont visibles dans le numéro 60 puis les numéros 61 à 64 nous proposent le meilleur de cet epic collection : Le surfeur doit sauver une bonne partie de la galaxie en devenant le porteur volontaire d'un virus mortel et destructeur qui faisait partie de la collection de Tanneleer Tivan (du temps où il était cool et inquiétant, loin de la version post films des gardiens de la galaxie). C'est l'occasion de nous replonger à nouveau dans le passé du surfer et dans sa psychologie très torturée de l'époque (à son insu) mais aussi de retrouver brièvement le charismatique Captain Marvel originel.

Les épisodes 65 et 66 introduisent un nouvel avatar peu intéressant de Mistress Love et Master Hate, les dieux cosmiques et le retour d'un des ennemis les moins intéressants de Norrin Radd. Et en plus, c'est dessiné par des tâcherons de seconde zone.

On conclut avec les trois histoires tirées de MVC presents. Dans celle extraite du 66, Radd reçoit des appels de détresse d'un vaisseau de guerre vivant. C'est écrit par Len Wein avec de jolis dessins de Hugh Haynes et c'est très sympathique. Dans celle extraite du 97, on a une histoire anecdotique de team up entre Mister Fantastic et du surfeur avec un Ron Wilson qu'on a connu plus inspiré aux dessins et on conclut par les numéros 93 à 96, dans lesquels Nova aide des vaisseaux abritant les survivants d'une planète mangée par Galactus à survivre. C'est écrit et dessiné par des gens qui me sont inconnus mais c'est de la bonne came.

En bref, cet epic collection 7 est bien moins indispensable que le 0 et le 2 mais demeure une agréable lecture pour qui aime le personnage où veut se replonger dans les débuts d'une ère sombre pour les comics, avant que ça ne dégénère pendant longtemps.
Le surfeur de cette époque est loin d'être mon favori mais Ron Marz en fait un personnage humain et attachant, loin du cliché du personnage sage et distant, quasi parfait. Ron Lim est très à l'aise sur les sagas cosmiques (je dirais même que c'est ce qu'il fait de mieux) et nous pond encore une fois la meilleure version graphique de Thanos selon moi, devant celle de son créateur ou la version Pérez.

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20



Ben Reilly : the scarlet spider 4

Genre : Le duel des araignées

Kaine remonte la piste de Ben Reilly et tente de percer à jour son plan du moment...

Un très bon numéro qui fait bien avancer l'intrigue principale, bénéficiant de solides dialogues mais bien malin celui qui sait ce qui nous attend pour le second arc, à partir du numéro 6. Espérons que Peter David a un plan intéressant car on commence à tourner un peu en rond.

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20



Catégorie « Bon »

Man-thing 5

Genre : La fin des aventures de Man-thing


L'homme-chose est toujours forcé à se battre dans une arène d'un autre monde pour le plaisir de sa reine démente. Devra il aller contre sa bonne nature pour sortir et commettre l'irréparable?

En back up, une histoire dans laquelle un petit ami rencontre les parents...différents de sa copine.


R.L Stine nous livre une fin honnête et demeure aussi barré qu'il le peut jusqu'au bout, conservant son humour noir bon enfant. Tout ça ne va pas très loin et est souvent facile mais suffisament bien écrit et dessiné pour garder le lecteur curieux jusqu'au bout.
Au final, une mini-série qui a eu le mérite d'essayer de conserver le côté barré et original du run de Gerber même si elle laisse quelques pistes en suspens (du genre, à quoi servait l'apparition de l'ancienne petite amie du monstre dans l'histoire?).

La back up est une fois encore très sympathique.

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20




The punisher 13

Genre : Pupu enquêteur

On a volé une arme dans une des planques de Pupu! Comment dire? Ce n'est pas l'idée du siècle car Frank se met immédiatement à remonter sa piste, punissant quelques malheureux au passage...

Une petite histoire one shot bien menée et réussie, dans l'esprit des numéros auto-contenus du run de Mike Baron. Une bonne surprise.

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20




Secret empire : underground 1

Genre : Mission secrète

Situé avant les évènements de Secret empire 5, ce one shot fort sympathique et bien réalisé nous décrit une mission des vengeurs pour récupérer un morceau du cube cosmique tombé en terre sauvage, ce pan caché de l'antarctique abritant toujours des dinosaures et des tribus barbares. Qui dit Terre sauvage dit Sauron et mutants..S

Dispensable pour le cours global du crossover, ce numéro rafraichissant a pour mérite d'être à la fois divertissant, drôle sans être lourd et dans l'esprit des épisodes plus légers d'antan.
Très bonne utilisation d'Hercules et Quicksilver et un Sauron toujours aussi hautain et ridicule.

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20



Edge of Venomverse 1

Genre : Venomverine

Sur une terre parallèle, une version enfantine de X 23 fusionne avec le symbiote anonyme et s'échappe d'un labo. Quelques années plus tard, elle fait équipe avec les jeunes mutants fugueurs tirés du titre oublié NYX (débuté aux dessins par l'excellent et trop rare Joshua Middleton, qui n'avait même pas fini la mini dans laquelle X 23 apparait pour la première fois dans l'univers des comics marvel, étant issue d'un DA X men). mais un évènement incroyable se produit.

Ce numéro débute le futur crossover Venomverse en nous présentant la première version alternative de Venom qui va y prendre part.
C'est simple, bien écrit et dessiné mais sans génie.

Scénario : 13/20
Dialogues : 13/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 13/20



Catégorie « Sympa »

Secret empire : brave new world 2

Genre : Déception, encore

On trouve trois histoires dans ce numéro. La première introduit un nouveau Patriot dans l'univers marvel et nous décrit un peu la vie quotidienne des populations sauvées par les vengeurs et protégés par eux.

La seconde raconte une aventure comique d'Hydra Bob qui bosse désormais pour le gouvernement des USA, forcément.

La troisième est la suite des aventures des envahisseurs dans le royaume sous-marin de Namor.


Un numéro qui m'a déçu au même titre que le premier par son manque d'ambition et d'intérêt.
Pourquoi introduire un nouveau Patriot? Quel intérêt, d'autant plus que le nouveau venu manque terriblement de charisme?
La seconde histoire est tout juste sympathique, tout le gag venant de la chance incroyable d'Hydra Bob. dans le même genre, j'ai préféré l'histoire plus travaillée et surprenante de Gwenpool dans le numéro précédent.
La dernière histoire enfile les clichés comme les perles et dispose de dessins qui ne me plaisent pas.
Brave new world est pour l'instant le seul titre lié à Secret empire que je regrette d'avoir pris.

Scénario : 12/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 12/20
Note finale : 12/20



UDON

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

Street Fighter vs Darkstalkers 3

Genre : Enfin, ça bouge!

Après un numéro 0 et deux numéros fort décevants, le numéro 3 nous réconcillie avec la mini en faisant quelque chose de très simple: il fait avancer le scénario de belle manière!

Contrairement à la couv', vous ne verrez pas encore l'affrontement Sagat/Victor mais en échange, on a la première rencontre entre les troupes de Gill et la créature cousue à partir de cadavres, celle très attendue entre Morrigan et Lilith, la suite bien foutue du combat des street fighters contre Lord Raptor et des invités inatendus. le plan de Jedah se met lui aussi en marche.

Un très bon numéro, malgré les dessins toujours décevants d'Edwin Huang. L'histoire prequel qui ouvre ce numéro 3, dessinée par le très bon Hanzo Steinbach, fait plaisir à voir. Et bien sûr, toujours une jolie galerie de dessins de fans inspirés qui conclut les dernières pages.

Scénario : 16/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 15/20


Dernière modification par Man-Thing ; 02/07/2017 à 14h23.
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