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Vieux 15/07/2016, 01h07
Fletcher Arrowsmith Fletcher Arrowsmith est déconnecté
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-Généalogiste Sénile--Gardien du Temple-
 
Date d'inscription: avril 2005
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Fletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super Pépette
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Posté par Slobo
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Green Arrow 2 (DC ; Scénario Benjamin Percy ; Art Otto Schmidt)

Pitch :
Oliver est mort ... En tout cas très vite déclarer comme tel. (Mais un corps qu'on retrouve pas dans le comics, vous connaissez la suite). Donc on voit un Diggle (Qui ici n'est pas pote) qui va apprendre la nouvelle, puis Canary. Et les liens entre Shadow et les méchants. Et comment Oliver s'en remet (Avec une scène de bisou digne de Yes Man)
Avis :
Contrairement a son voisin aquaman, Pari tenu de percy. Oui c'est un chouilla convenu (Comment un corps perdu en pleine mer pour être bouffer par les orcs, fini sur le rivage ?). Mais bon c'est vraiment que du bon et ça donne même le sourire. C'est certes pas la première fois qu'Oliver perd tout je pense (Détrompe moi Arrowsmith). Mais ici j'ai sentit le même effet que sur un daredevil époque Renaissance (C'est dire le bon effet sur moi).
Et puis Otto continue d'illuminer le comics. Oliver est mort, place a Green Arrow. Vive Green Arrow.
On n'ira pas jusqu'à comparer ce début d'arc à Born Again surtout que du côté du story telling Percy n'est pas encore Miller. il y a plein de bonnes choses dans ce deuxième numéro. Même si le twist semble éculé, Percy joue la carte Rebirth à fond et c'est appréciable. En plus comme il continue à prendre dans le run le plus marquant du new 52, celui de Lemire (Diggle ici). Je lui repproche quand même certaines approximation dans la narration : rythme déséquilibré (cela va trop vite ou pas assez et l'emploi de raccourcis). D'un côté tant mieux car l'histoire avance, d'un autre on a quand même l'impression que cela manque de densité (l'annonce de la mort présumée d'Oliver manque de gravité et de profondeur ; le passage avec Black Canary aurait mérité un peu plus densité ; le retournement d'Henry m'a également semblé rapide). Néanmoins l'ensemble est très agréable à lire. La nouvelle menace et le statut quo d'Oliver qui évolue sont suffisamment intéressant pour faire de Green Arrow une série à suivre chez DC.
J'ai évidemment la cover de Juan Ferreyra.


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Posté par Slobo
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Superman 2 (DC ; Scénariste Peter J Tomasi ; Dessin Patrick Gleason ; Encrage Mike Gray)

Pitch :
Jonathan craint que son père l'amène a la ligue mais pas du tout. Il veut lui montrer comment il s'occupe de libérer des glaces un sous-marin. Mais ça se complique quand un monstre attaque. Plus la naissance de L'Eradicator.
Avis :
Que du plaisir et même de la surprise. Je m'attendais pas à ça. C'est pas mal de souffler le chaud et le froid comme ça autour de Jonathan. J'aime beaucoup le parallèle entre lois et clark et la naissance d'amitié/amour entre jonathan et sa jeune voisine.
J'aime beaucoup le costume de Jonathan (Ainsi que d'où il vient) qui me rappel un des costume de Connor Kent (Période Young Justice vers le 30 je dirais).
Les dessins sont aussi une des grandes forces de ce comics.
Que du plaisir je vous dit ... Foncez.
Mon dealer m'ayant offert le choix, j'ai pris la couv de Rocafort.
Bien content d'avoir la cover de Gleason de mon côté
Comme pour Batman&Robin, Tomasi continue de toucher juste au sujet de la relation père-fils très bien mise en avant dans ce numéro. En bon père Clark initie Jon à ses pouvoirs. Et il faut savoir souffrir pour cela. C'est également la découverte du costume de Jon et Lois trouve naturellement sa place, montrant qu'elle n'est pas là qu'en faire valoir (excellents dialogues dans la scène où elle soigne Clark). Tomasi en profite au passage pour assainir un peu la place de chacun au sein de la Justice League.
Autre bon point, il humanise un peu plus Jon dans deux passages essentiels : tout d'abord avec l'enterrement de vous savez qui puis en introduisant le voisinage via une mignonne petite fille et son père (encore une relation père - enfant) suite à une chute étonnante qui remet en cause nos certitudes sur Jon. La fin amène enfin la première grosse menace que j'espère voir en action dès le prochain numéro.
Un superbe travail du trio Tomasi - Gleason - Gray.
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